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A | ||||
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ARISTOCLES PLATON, |
- - L'oeuvre de PLATON, accès aux textes, présentations,thématiques, ...sur gaogoa, |
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DESCLOS |
Structure des dialogues de Platon, voir Item DESCLOS | |||
ARISTOTE | Oeuvre complète : source remacle, Organon, I, II, III, IV, V, Vrin, 1994, remacle, et voir L'organon, chapitre 10, pages 118, 119, 12, Vrin, 118, 119, 120, l'Hermeneia, traité de la proposition, source remacle, |
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ORGANON |
- Catégories ou Hermeneia, Interprétation, Traité de la proposition, Table, source remacle, bilingue, books.google, W, - De l'interprétation, ou Peri Hermeneias, source, TRICOT.pdf, PELLETIER, W, - Premiers Analytiques, le syllogisme, plan général, source remacle, books.google, W, - Seconds Analytiques, la démonstration, ou derniers analytiques, source remacle, Livre Premier, Livre second, books.google,W, - Topiques, les arguments, Tables source remacle, books.google, W, - Réfutations sophistique, sur le sophisme, Tables, source remacle, books.google, W, |
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Commentaires : | ||||
- voir aussi Organon, sur cosmovisions, | ||||
- Le Traité des Analytiques d'Aristote, sur cosmovisions, | ||||
- Le dérapage d'Aristote, J-M.Vappereau, | ||||
B | ||||
BELNA Jean-Pierre | Histoire de la théorie des ensembles, Ellipses, 2009 La théorie des ensembles a permis l'unification des mathématiques en servant de socle commun à leurs différentes branches : toutes y plongent désormais leurs racines. Cette organisation est relativement récente, puisque le concept d'ensemble n'est apparu qu'au milieu du XIXe siècle, lorsque des mathématiciens entreprirent de venir à bout de problèmes que la notion d'infini posait depuis l'Antiquité. Après les tâtonnements de Bolzano et à la suite des recherches de Riemann sur le concept d'espace, les véritables bases de la théorie des ensembles furent établies par Cantor et par Dedekind. Au tournant du siècle, la « crise des fondements» , en révélant ses faiblesses, imposa de l'axiomatiser. Une fois cette consolidation réalisée, par Zermelo principalement, la théorie put repartir de l'avant. À suivre le cheminement de pensée qui a présidé à cette élaboration, on entre en quelque sorte dans l'intimité de la notion d'ensemble. L'esprit des sciences On peut souhaiter explorer les sciences autrement que par les traités ou par les cours. Cette collection entend répondre à un tel désir de culture scientifique. Ses ouvrages, d'accès aisé, permettent à un large public de découvrir, de comprendre et d'apprécier. |
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La notion de nombre chez Dedekind, Cantor, Frege, Mathesis, Vrin, apperçu book google, 1993, 376p, | Table des matières, | |||
Dedekind, Cantor, Frege, trois mathématiciens de génie qui, à la fin du XIXe siècle, ont mené une réflexion approfondie sur la notion de nombre. L'histoire décrite montre comment la nécessité, ressentie alors de fonder rigoureusement l'arithmétique et l'analyse, a conduit à dévoiler un nouvel indéfinissable au devenir capital, l'ensemble, et à saisir la notion mathématique d'infini. | ||||
Histoire de la Logique, ellipses, 2014, Née dans l’Antiquité grecque avec Aristote et les stoïciens, la logique a continué de côtoyer la philosophie durant le Moyen Âge et jusqu’au XVIIe siècle. C’est à partir du milieu du XIXe siècle que des mathématiciens, en l’axiomatisant et en la formalisant à l’aide de diverses langues symboliques, l’ont rapprochée des mathématiques. Le XXe siècle a consacré ce basculement et renouvelé les questions philosophiques grâce à cette logique rénovée. Passée de la science du seul syllogisme à la théorie générale de la déduction, elle a même un temps pu prétendre fonder la mathématique. Le présent ouvrage raconte ce cheminement et ses étapes majeures, d’Aristote à la naissance de l’informatique avec Turing et de la théorie des modèles avec Tarski, en passant par Guillaume d’Ockham, Boole, Frege, Gödel et bien d’autres, sans oublier les logiques non occidentales. ...suite voir Table des matières, |
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BOOLE George | Les lois de la pensée, Mathésis, Vrin, 1854, 1992 Une exploration des lois de la pensée sur lesquelles sont fondées les théories mathématiques de la logique et des probabilités (An Investigation of the Laws of Thought on Which Are Founded the Mathematical Theories of Logic and Probabilities) " L'algèbre de Boole, qui trouve en grande partie son origine dans cet ouvrage classique, a eu une influence de plus en plus grande dans toutes les branches des mathématiques. De nos jours, les généralisations qu'elle a connues jouent un rôle important en topologie générale, en géométrie projective, dans la théorie des algèbres abstraites, en analyse fonctionnelle et en théorie ergodique générale, ainsi que dans la constitution de relais électriques, sans oublier les applications logiques qui en étaient le but initial. Qui peut dire quels autres usages lui seront trouvés dans le prochain siècle ! " écrivait Garrett Birkhoff en 1954, à l'occasion du centenaire des Lois de la Pensée. Cent ans plus tôt, George Boole avait, quant à lui, voulu réaliser dans L'Etude des lois de la pensée le projet - à la fois logique, mathématique et philosophique - de dévoiler les lois ultimes des opérations de l'entendement ; de construire, sur leur fondement, l'algèbre de la logique comme la mathématique même de l'esprit humain ; d'en dériver les bases d'une approche nouvelle de la théorie des probabilités ; d'en tirer des conjectures sur la constitution de l'intellect humain en vue d'éclairer, éventuellement, l'histoire des idées philosophiques de l'humanité..." |
Table des matières, |
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Au XIXe siècle, les fondements des mathématiques sont bouleversés, en particulier par l’ouvrage de George Boole, Recherches sur les lois de la pensée (1854), et par la théorie des ensembles de Cantor. Cependant, vers la fin du XIXe siècle, on découvre une série de paradoxes dans la théorie de Cantor. Bertrand Russell met en évidence un paradoxe à propos de la notion d’ensemble. Les mathématiciens reformulent alors des théories des ensembles suffisamment restrictives pour éliminer ces paradoxes, mais la question reste ouverte de savoir si d’autres paradoxes ne surgiront pas de ces théories, c’est-à-dire de savoir si ces théories sont consistantes. Depuis, et jusqu’à ce jour, on n’a pu donner que des démonstrations de consistance relative, c’est-à-dire correspondant au schéma suivant : la théorie A est vérifiée si la théorie B l’est. Un résultat particulièrement troublant est démontré en 1931 par Kurt Gödel : dans tout système d’axiomes, il est possible de construire des propositions qui ne peuvent être démontrées. |
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BOOLE par BACHIR DIAGNE.S |
BOOLE, l'oiseau de nuit en plein jour, Un savant, Une époque, Belin, 1989, Chapitres : Introduction, p7 - 1. L'autodidacte, p17 : Années d'enfance - Maitre d'école - Le professeur - L'hymne à la science - Religion et poésie - La science du système intellectuel - 2. Rencontres : De l'algèbre numérique à l'algèbre de la logique, la nouvelle analytique, p71, - 3. L'oiseau de nuit en plein jour : La reconstruction symbolique du langage - L'optimisme du symbolique, p111 - 4. Le remords : Le mathématisme et la question de l'ininterprétable - Le livre à venir - p171 Conclusions, p191 Annexes : - 1. Quelques éléments pour une chronologie du devenir mathématique de l'algèbre de Boole p201 - 2. Anneau de Boole, p207, - 3. La théorie du syllogisme chez Aristote, p209 - 4. Dénomination des syllogismes , p211 - 5. Modes et figures du syllogisme , p213 - 6. Les différentes formes de conversion et d'opposition des propositions, p217, - 7. Table des matières de "Mathematical Analysis of Logic", 1847, p219, - 7. Table des matières de "An Investigation on the Las of Thought", p220 - 8. Chronologie historique, p221, - 9. Chronologie des travaux publiés par Boole , p225, - 10. Liste des auteurs cités, p229 - 11. Biographies, p233 - 12. notes, 239/262 |
W, |
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BREHIER.Emile | Emile BREHIER, La Théorie des incorporels dans l'ancien stoïcisme,Vrin, 1997, Contre Platon et Aristote, c’est dans les corps que les stoïciens et les épicuriens veulent voir les seules réalités, ce qui agit et ce qui pâtit. Par une espèce de rythme, leur physique reproduit celle des physiciens antérieurs à Socrate. Ainsi les stoïciens rejettent, dans les incorporels, les non-être comme le lieu ou le temps. |
google book aperçu, |
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& W, | ||||
& Uqac, Histoire de la Philosophie T I et T II | ||||
& La philosophie au Moyen Age | ||||
& Du sage antique au citoyen moderne : étude sur la culture morale, | ||||
C | ||||
CANTOR Georg | Sur les fondements de la théorie des ensembles transfinis, Jacques Gabay, 1889, 1989, 2011, Sur les fondements de la théorie des ensembles transfinis est la traduction française (par François Marotte, en 1899) de deux articles publiés en allemand dans les Mathematische Annalen, respectivement en 1895 et 1897. Cantor, après avoir révolutionné les mathématiques en ayant prouvé l'existence d'ensembles non dénombrables et — de ce fait — ouvert la porte à des infinis infiniment « plus grands » que d'autres, formalise ici le point d'orgue de son travail sur ce sujet, à savoir une « arithmétique » sur les ensembles infinis, prolongeant la notion de nombre fini usuel à des « nombres » infinis : les ensembles (ou nombres) transfinis. Dans cette réédition, Fernando Zalamea, grâce à sa préface et à ses notes, permet de restituer avec justesse toute la fraîcheur et l'inventivité de Cantor, laquelle à parfois été quelque peu « lissée » au fur et à mesure que ses théories ont été absorbées et intégrées à l'édifice mathématique au cours du siècle suivant.(ci-dessus Texte de Présentation du site des Editions spartacus). |
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Infini & transfinis, VILLEMIN.Gérard, | ||||
Nombre transfini, wikipedia,
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CARROLL Lewis | La logique sans peine, Hermann, 1896, 1992, 2001, 292 pages Sommaire : I- Les choses et leurs attributs, À l'adresse des spécialistes, |
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CAVAILLES Jean | Sur la logique et la théorie de la science, Vrin, 1942, 1997 | |||
CHARRAUD.Nathalie, | Lacan et les Mathématiques, Anthropos,*, 1997, Trois mathèmes majeurs de Lacan, dans leur double face pulsionnelle (lien avec un savoir inconscient) et mathématique (objet à partir duquel s'est déployé un savoir mathématique) sont présentés dans ce livre : la stratégie qui servira de fil rouge à travers les textes des Ecrits, la notion topologique de voisinage qui ouvre une nouvelle approche des processus primaires de l'inconscient, et enfin l'infini, mathème par excellence par sa double imbrication à la fois subjective, intime pour chacun, et mathématique. |
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CHAZAL Gérard site internet, |
Eléménts de logique formelle, Hermès, Paris, 1996, Eléments de logique formelle propose une approche de la logique comme description du fonctionnement valide de notre esprit. La logique, discipline normative qui nous révèle les arcanes de notre entendement est par la même au coeur de la recherche philosophique. Elle est donc bien plus aujourd'hui qu'une technique très profondément mathématique. Cet ouvrage qui s'adresse tant à l'étudiant qu'à l'honnête homme, présente donc les techniques logiques élémentaires depuis la logique aristotélicienne jusqu'à la logique moderne, calcul des propositions et calcul des prédicats. Chaque chapitre est suivi d'une série d'exercices visant à mettre le lecteur en situation de pratiquer la technique logique. Le corrigé des exercices est donné à la fin de l'ouvrage. De plus quelques textes philosophiques accompagnent certains chapitres et s'offrent à la méditation. Cet ouvrage s'efforçant de toujours donner un recul réflexif par rapport à une discipline, recul qui fait le propre de l'esprit philosophique. ( Un des rares livres de Logique qui, à notre connaissance, soit logique ! - GPE) |
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CORI.René, LASCAR.Daniel, |
Logique mathématique, 1- Calcul propositionnel, algèbre de Boole, calcul des prédicats, Préface de Jean-Louis KRIVINE, Dunod, 2003; Cours, Sciences Sup, DUNOD, 2003 Domaine d'une grande richesse, la logique mathématique donne lieu à des découvertes théoriques majeures. L'explosion de l'informatique, avec des applications et des intuitions nouvelles, lui a fourni une impulsion décisive et inédite. Ce cours, enseigné à l'université, traite de manière détaillée des domaines fondamentaux de la logique mathématique. Dans ce premier tome sont exposés le calcul propositionnel, les algèbres de Boole, le calcul des prédicats et les théorèmes de complétude. Le second est consacré aux problèmes de récursivité et de formalisation de l'arithmétique, aux théorèmes de Gödel et aux théories des ensembles et des modèles. Outre lecours, de nombreux exercices corrigés permettront au lecteur d'acquérir et de maîtriser les différentes notions exposées. L'ouvrage, n'exigeant aucune connaissance préalable en logique, se destine principalement aux étudiants en licence et master de logique, mathématique et informatique. Il intéressera également les élèves ingénieurs et les étudiants désirant s'orienter vers les mathématiques pures ou l'informatique, ainsi que les chercheurs et les ingénieurs de recherche en informatique. source Leclerc (!). |
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Logique mathématique, 2- Fonctions récursives, théorème de Gödel, théorie des ensembles, théorie des modèles, Préface de Jean-Louis KRIVINE, Cours, Sciences Sup, DUNOD, 2003. Domaine d'une grande richesse, la logique mathématique donne lieu à des découvertes théoriques majeures. L'explosion de l'informatique, avec des applications et des intuitions nouvelles, lui a fourni une impulsion décisive et inédite. Ce cours, enseigné à l'université, traite de manière détaillée des domaines fondamentaux de la logique mathématique. Dans le premier tome sont exposés le calcul propositionnel, les algèbres de Boole, le calcul des prédicats et les théorèmes de complétude. Le second est consacré aux problèmes de récursivité et de formalisation de l'arithmétique, aux théorèmes de Gödel et aux théories des ensembles et des modèles. Outre lecours, de nombreux exercices corrigés permettront au lecteur d'acquérir et de maîtriser les différentes notions exposées. L'ouvrage, se destine principalement aux étudiants en licence et master de logique, mathématique et informatique. Il intéressera également les élèves ingénieurs et les étudiants désirant s'orienter vers les mathématiques pures ou l'informatique, ainsi que les chercheurs et les ingénieurs de recherche en informatique. |
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COUTURAT.Louis, | Les principes des mathématiques, Librairie Scientifique et Technique, | |||
L'algèbre de la logique, Librairie Scientifique et Technique, | ||||
DESCLOS. Marie-Laurence, |
Structure des dialogues de Platon, Philo, Ellipses, 2000, La philosophie de Platon, l'un des temps forts de la pensée occidentale, est sans doute aussi déroutante pour le lecteur contemporain que ne l'était l'un de ses principaux personnages, Socrate. Ni traité, ni essai, elle s'offre à nous sous la forme de multiples dialogues. Il est dès lors bien difficile de suivre les méandres de l'argumentation, d'en repérer les moments-clés, de savoir à qui Platon fait endosser la paternité de telle ou telle affirmation. Et pourtant c'est dans ce " dialoguer " que résiderait toute la philosophie. Il importe donc — que l'on opte ou non pour une lecture transversale — de disposer d'un instrument permettant d'en parcourir les principales étapes et d'y retrouver les concepts les plus importants, mais aussi les images et les récits qui font sa particularité. Tel est l'office du présent ouvrage. |
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DUNS SCOT.J, | - Signification et vérité, Question sur le Peri hermmeneias d'Aristote, Translatin, Vrin, 2009, | |||
F | ||||
FREGE Gottlib | Ecrits logiques et philosophique, Points, Seuil, 1848 ?, 1879, 1925, 1971, |
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W, |
Les fondements de l'arithmétique, L'ordre philosophique, Seuil, 1884, Ouvrage capital aujourd’hui encore, Les Fondements de l’arithmétique, de 1884, donnent la première définition logique du nombre cardinal ; ils élaborent, pour ce faire, une théorie extensionnelle du concept : aussi comportent-ils, au plan philosophique, une critique minutieuse de l’empirisme, de l’abstraction au sens classique et du criticisme kantien : ils s’articulent, du même coup, à une théorie générale des fonctions qui constitute un progrès analogue celui qu’accomplissait, au plan mathématique, Dedekind à la même époque, sous le titre de théorie des applications, et qui ébauchait la substance d’une théorie « naïve » des ensembles. |
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Gottlob FREGE, Bertrand RUSSELL, Correspondance, 1902-1912, bilingue, Traduction, notes et introduction de Catherine WEBERN. E.P.E.L., L'UneBévue, 1980, 1994, | ||||
Frege, Encyclopédie philosophique, | ||||
G | ||||
GARDIES Jean-Louis |
Essais sur la logique des modalités, 1979, L'inspiration philosophique se rattache aussi bien à Carnap et à la tradition analytique qu'à Husserl et à la Phénoménologie mais surtout, à travers les uns et les autres, à leurs grandes origines communes : Leibniz et Bolzano. |
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Pascal entre Eudoxe et Cantor, 1984 "Les préoccupation anthropologiques de Pascal ne se dissocient pas de ses préoccupations d'ordre physique et surtout mathématique. |
appofondir : |
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La logique du temps, | ||||
L'erreur de Hume, | ||||
Le raisonnement par l'absurde, | ||||
GENTZEN Gerhard | https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00528945/document |
W, + divers texte à lire en ligne |
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G. Gentzen, Recherches sur la déduction logique, Paris, Presses universitaires de France. 1955. | ||||
GIRARD Jean-Yves , |
TURING Alan,voir TURING ci-dessous, La machine de Turing, Sciences, S131, Points, 1991, 1995, |
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Le point aveugle - Cours de logique Tome 1, Vers la perfection, 01-06-2006, Herman | ||||
Ce livre est à la fois un cours de logique (théorie de la démonstration) et d'épistémologie des "fondements" . Il s'adresse aussi bien aux mathématiciens qu'aux informaticiens, aux philosophes qu'aux physiciens et aux linguistes. Il nous emmène du paradoxe de Gödel (l'incomplétude), des limbes du signifiant, à la logique parfaite, cette logique sans point aveugle ou presque qui réfère à un monde d'action. Nous quittons alors les vérités pérennes pour vivre dans l'instant : en termes linguistiques, nous passons de l'imparfait au parfait. L'infini retrouve ainsi son étymologie (imparfaite) : celle du non-terminé. Epistémologiquement, le texte rompt avec la sempiternelle polarisation entre réalisme et anti-réalisme, en lui substituant l'opposition entre existence et essence. D'ontologique, la question devient morphologique : la logique est-elle antérieure aux phénomènes qu'elle contrôle ? Cet ouvrage est le premier d'une publication en deux volumes ce n'est qu'au second tome, avec l'analyse de l'imperfection, que nous arriverons à la pérennité non pérenne ; c'est un peu la réconciliation de l'essence et de l'existence sur d'autres bases que la familière combinatoire logistique : les algèbres d'opérateurs. |
Table des matières, | |||
Le point aveugle - Cours de logique Tome 2, Vers l'imperfection, 01-03-2007, Herman | ||||
Ce livre est à la fois un cours de logique (théorie de la démonstration) et d'épistémologie des "fondements". il s'adresse aussi bien aux mathématiciens qu'aux informaticiens, aux philosophes qu'aux physiciens et aux linguistes. Le premier tome Vers la perfection s'achevait sur la logique linéaire et la distinction entre parfait et imparfait : le parfait renvoie à un monde d'actions où l'on vit dans l'instant loin des vérités pérennes, alors que l'imparfait est le monde de l'infini et de la pérennité, lieu du non-terminé. Alors que la perfection s'analyse sans problème, tous les paradigmes logiques considérés deviennent problématiques hors du mode parfait. Dans ce second tome, Vers l'imperfection, nous interrogeons ce monde imparfait. En particulier, comment postuler la pérennité sans postuler en même temps la pérennité de la pérennité ? Une pérennité non pérenne s'exprime cependant dans les logiques iconoclastes, des systèmes qui font sens sur le papier, mais qu'on a du mal à asseoir : la bonne intuition se trouve finalement du côté de la mécanique quantique et des algèbres d'opérateurs : c'est la géométrie de l'interaction. L'interprétation de l'imperfection suppose la reconnaissance de l'intrication entre sujet et objet : on découvre in fine que la tradition logique a minimisé le rôle du sujet ; paradoxalement, en cherchant des notions objectives, elle est tombée dans le subjectivisme. Le premier tome s'ouvrait sur l'essentialisme arrogant de Tarski : la vérité est la dualité de ce qui est vrai. Le second tome lui répond en se refermant sur une définition subjective de la vérité, qui tient (enfin) compte de la place prépondérante du sujet dans l'énonciation. |
Table des matières, | |||
GÖDEL par CASSOU-NOGUES Pierre |
GÖDEL, Les Belles Lettres, Figures du savoir, 2004, 2008, Kurt Gödel (1906-1978), mathématicien, logicien et philosophe, est incontestablement l'un des plus grands esprits de notre temps. Ses réponses aux questions radicales posées par le XXe siècle au langage, aux mathématiques et à la pensée rationnelle ont modifié de façon décisive l'assise du savoir contemporain: Existe-t-il une langue qui permette d’isoler les phrases vraies dans tout monde possible ? Pouvons-nous ou prouver ou réfuter chacune des phrases que nous pouvons y énoncer? Ou bien, dans une langue donnée, existe-t-il des phrases indécidables? Sommes-nous des machines? Si nous pensons correctement, notre pensée doit pouvoir s’énoncer dans une langue univoque mais, en utilisant une langue définie, nous écrivons comme une machine. Existe-t-il des machines capables d’écrire tout ce que nous pouvons penser? Existe-t-il des objets qui ne sont ni dans l’espace ni dans le temps et que nous ne pouvons percevoir qu’avec nos esprits? Les nombres sont-ils de tels objets? Les mathématiques apparaissent comme le modèle de l’activité rationnelle et l’arithmétique donne le modèle de la certitude mathématique. Mais pouvons-nous donner un fondement à l’arithmétique élémentaire? On présente ici les réponses de Gödel, en suivant son œuvre logique et philosophique, depuis sa démonstration de la complétude sémantique du calcul des prédicats (1929) à sa réflexion sur le continu chez Cantor (1947), en passant par son théorème dit d’incomplétude (1931) – théorème qui a rendu Gödel fameux au-delà de son domaine et influencé jusqu’au psychanalyste Jacques Lacan. |
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GÖDEL, Les démons de , par CASSOU-NOGUES Pierre |
Les démons de Gödel, Logique et folie, par CASSOU-NOGUES Pierre, Seuil, Science ouverte, 2007, et Points 2015, Kurt Gödel (1906-1978) fut sans doute l'un des plus grands logiciens de l'histoire. Son théorème d'incomplétude, publié en 1931, est peut-être la proposition mathématique la plus significative du XXe siècle. Il a bouleversé les fondements des mathématiques et fait l'objet de commentaires philosophiques sans fin et d'exploitations abusives sans nombre. Gödel ne publiera que peu pendant la cinquantaine d'années qui suivront. Mais il laissera des milliers de pages de notes philosophiques inédites. On connaissait déjà les excentricités de la vie de Gödel, qui, craignant d'être empoisonné, mourra quasiment d'inanition. Ses notes, décryptées et étudiées ici pour la première fois en français, révèlent une pensée encore plus surprenante. Elles montrent que Gödel croyait aux anges comme au diable - parmi bien d'autres étrangetés. Il tente au cours des années de constituer ces idées bizarres en système logiquement cohérent, dont l'analyse éclaire d'un jour nouveau ses découvertes mathématiques. Cette apparente « folie » d'un esprit génial pose de redoutables questions sur la nature même de la pensée logique. L'auteur de cet essai les aborde sans hésiter à y impliquer sa propre subjectivité, sous forme de courtes fictions fantasmées. Un livre aussi inquiétant que stimulant. |
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H | ||||
HEGEL.G.W.F | La science de la logique, Encyclopédie des Sciences philosophiques, traduit et annoté par Bernard BOURGEOIS, Librairie Philosophique J.Vrin. 1812, 1816, 1970, voir aussi, Science de la Logique, Livre premier, l'Être, Vrin, |
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HINTIKKA.Jaako, biographie, | Les principes de mathématiques revisités, Mathésis, Vrin, 1996,2007, | |||
HEIDEGGER.Martin, | Interprétation phénoménologique de la Critique de la raison pure, Heidegger, 11-1982- Gallimard, Professée en 1927, quelques mois après la parution d'Être et Temps, et publiée à titre posthume en 1977, cette Interprétation phénoménologique ne fait pas double emploi avec les deux livres sur Kant publiés par Heidegger lui-même, Kant et le problème de la métaphysique (1929) et Qu'est-ce qu'une chose ? (1962). Comme l'écrit en effet son éditrice, le présent cours, comparé au livre de 1929, «apparaît moins comme un exposé délayé que comme une élaboration de l'interprétation de Kant, conduite sous la forme d'une analyse détaillée et minutieuse des textes». |
Table des matières, | ||
HUGHES & CRESWELL | - le modal c’est justement quand il y a trois valeurs, ou quand on en met quatre, mais c’est pas comme ça, c’est pas en faisant des logiques plurivalentes que l’on a fait des logiques modales, vous avez aujourd’hui un très bon livre de logique modale qui s’appelle A new introduction to Modal Logic , 2, apperçu du livre booksgoogle, en anglais et qui est écrit par Hughes and Cresswell, mais manque de chance comme toujours pour les bons livres, la première édition était déjà épaisse comme ça, elle était excellente, il y avait plein de bonne chose, pour apprendre et pour étudier, et maintenant le bouquin a eu tellement de succès qu’il a doublé de taille, alors maintenant il faut une brouette pour le porter, si vous trouvez une édition des années 60-70, Ils montrent qu’il y a 520 systèmes de logiques modales, on ne sait pas du tout à quoi ça sert, et ils ont écrit après Kripke, Kripke c’est le mathématicien logicien qui a inventé le modèle sémantique des logiques modales, c’est-à-dire les jeux logiques, alors je vais vous expliquer très vite ce qu’est une Logique Modale pour Hughes ans Cresswell et pour Kripke, - Apophantique, - Extrait du cours de J-M.Vappereau du mardi 10 septembre 2013, aux Mines, Paris, |
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HUSSERL- JOUMIER Laurent, |
Lire Husserl, Philo, ellipses, 2007, |
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HUSSERL |
Voir Bibliographie Mathématiques, | |||
JOUMIER Laurent, | Lire Husserl, Philo, ellipses, 2007, L’œuvre husserlienne peut être abordée par différents « chemins » conduisant à la phénoménologie transcendantale. Ce livre se propose d’accompagner le lecteur de Husserl sur plusieurs d’entre eux. Pour faciliter l’entrée dans des textes exigeants, il les met en perspective et apporte une explication et une illustration des concepts fondamentaux qui y sont à l'œuvre. Outre les grands ouvrages introductifs à la phénoménologie que sont les Idées directrices et la Krisis, ce sont les travaux de logique et de théorie de la connaissance (Philosophie de l’arithmétique, Recherches logiques, Logique formelle et logique transcendantale) qui constituent les principales étapes de ce parcours de lecture. |
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K | ||||
KANT Emmanuel | Logique, Vrin, 1997 « La logique est une science rationnelle non seulement selon la forme, mais selon la matière; une science a priori des lois nécessaires de la pensée, non pas relativement à des objets particuliers, mais bien relativement à tous les objets en général; c’est donc une science du droit usage de l’entendement et de la raison en général, non pas de façon subjective, c’est-à-dire non pas selon des principes empiriques (psychologiques) : comment l’entendement pense – mais de façon objective, c’est-à-dire selon des principes a priori : comment il doit penser ». |
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Comparatif des tables matières versions TISSOT et GUILLERMIT | ||||
Le vocabulaire de KANT, Jean-Marie VAYSSE, ellipses, 2010 Toute philosophie est invention de concepts et clarification de notions usuelles, visant à donner "un sens plus pur aux mots de la tribu". La philosophie de Kant en est le modèle-type : qu'il s'agisse de mots communs ou de termes techniques, elle redonne du sens à ce que la langue commune et la tradition scolaire ont oublié en le figeant dans une pseudo-évidence. Parce qu'il va à l'originaire, le maître de Koenigsberg ne recherche jamais l'originalité. Ses mots ont force légiférante et font de lui le "scolarque" d'une époque. Ne pas se payer de mots c'est alors endurer la patience du concept dans un travail sur la langue visant à trouver le mot juste. Comprendre Kant c'est en connaître le vocabulaire. Nous en exposons ici les mots essentiels, dans un lexique qui est également un guide de lecture à l'adresse des débutants qui veulent découvrir sa pensée comme de ceux qui souhaitent l'approfondir. |
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Critique de la Raison pure, Préface de la seconde édition, 1787, Texte ! philo-labo, 22 pages Traduction et analyse par Ole Hansen-Love, 2019, Comment trouver la voie sûre de la science, La logique, La mathématique et la physique, La métaphysique, La révolution copernicienne, La limitation du savoir, La critique, Les changements de la seconde édition, |
Plan de La critique de la raison pure, selon W, |
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KRIPKE Saül | La logique des noms propres, (Naming and Necessity), La logique des noms propres (Naming and Necessity) est un classique de la philosophie analytique contemporaine. Saul Kripke, logicien et philosophe de premier plan, y expose une nouvelle théorie de la référence linguistique et s'en sert à la fois pour clarifier les fondements conceptuels de la « sémantique des mondes possibles » (dont il est l'un des pionniers) et pour redonner vie aux problèmes métaphysiques traditionnels touchant à la nécessité et à la contingence ; il montre également l'incidence qu'ont ses conceptions logico-linguistiques sur les débats contemporains en philosophie des sciences et sur le problème des rapports entre le corps et l'esprit. Kripke s'exprime avec humour dans un style direct et sans technicité. Son livre illustre la vitalité de la philosophie nord-américaine actuelle. |
Table des matières, 175 Avertissement, 7 Première conférence, 11, Deuxième conférence, 59, Troisième conférence, 95, Supplément, 145 Appencide, Préface à l'édition de 1980, 133 |
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Kripke, référence et modalités, Paris, PUF, 2005. Pascal Engel, Identité et référence. La théorie des noms propres chez Frege et Kripke, Paris, Presses de l’École normale supérieure, 1985 |
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Référence, 2017, Gregory Bochner, Université Libre de Bruxelles (F.R.S.-FNRS), gbochner@ulb.ac.be, | ||||
KRIVINE Jean-Louis | Théorie des ensembles, Cassini, 1998 | |||
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L | ||||
LACAN Jacques | Le temps logique, 1945 La logique du fantasme, 1966-1967, |
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LARGEAULT Jean bibliographie bnf, |
La logique, Que-ais-je ? 225, PUF, 1993 Il a défendu la logique intuitionniste (mot qu'il écrivait résolument avec un seul n), à une époque où elle était presque unanimement négligée, et avant que l'informatique lui permette un retour en force. Mais à l'inverse d'une tradition remontant à Arend Heyting, il refusait de réduire l'intuitionnisme à son formalisme, et préconisait un retour, non seulement à la technique intuitionniste, mais plus fondamentalement à sa philosophie. Les considérations « métaphysiques » de Luitzen Egbertus Jan Brouwer, généralement considérées avec amusement ou condescendance (par exemple, à l'époque actuelle, par le logicien Jean-Yves Girard), lui paraissaient essentielles à l'intuitionnisme. |
Table des matières, | ||
LASCAR Daniel, voir CORI | ||||
LUKASIEWICZ.Jan, | La syllogistique d'Aristote, dans la perspective de la logique formelle moderne. Vrin, 1972, 2010. Son premier livre portait sur le principe de contradiction chez Aristote. Il en montrait l'importance, mais aussi la fragilité logique. Son dernier livre, (... source ...! E.Leclerc !), consacré à la syllogistique, une partie de la logique, porte de nouveau sur Aristote. Pour peu qu'elle n'ignore pas Frege, les matrices logiques de Peirce, les Principia Mathematica de Russel et Whitehead, ainsi que les apports considérables des logiciens polonais, comme Lesniewski, Slupecki et Lukasiewicz lui-même, l'histoire de la logique, et en l'occurence l'étude des Premièrs Analytiques, constitue une voie d'accès privilégiée pour comprendre ce que sont les formalismes. Toute la deuxième partie du livre est une exploration de la syllogistique modale. |
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- la logique de Lukasiewicz même si Lukasiewicz était très timide, très timoré, c’est un grand logicien, V01-43.52 ; son analyse et sa lecture de la syllogistique d’Aristote, qu’il a mené pendant 50 ans, c’est quelque chose de magnifique, c’était presque prêt à publier en 19o5, il l’a publié en 1955, et dans le cours du bouquin, il vous raconte qu’à un endroit il s’est trompé et il a modifié son point de vue, et son écriture, au moment où il découvre ça, c’est René Guitart qui s’en est aperçu, en lisant tout le bouquin, mais en plus Lukasiewicz il lit Aristote en Grec, il fait des notes, il commente tout le texte de la Syllogistique et de l’Organon en grec, c’est un truc formidable, JMV20150602 in L, Pianoeud, | ||||
N | ||||
NULS, Logique pour les Nuls ! |
La logique pour les nuls, en 28 pages Chap I, Antiquité, Moyen Âge, et Temps modernes, Chap II, Logique contemporaine classique, Chap III. Logiques non classiques : Logiques modales logiques multivalentes |
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PASCAL Blaise,
Dieu a fait les choses selon le poids, le nombre et la mesure. |
De l'esprit géométrique, Ecrits sur la Grâce, et autres textes, PASCAL.Blaise, GF-Flammarion, 1985, « Il ne faut pas guinder l'esprit ; les manières tendues et pénibles le remplissent d'une sotte présomption par une élévation étrangère et par une enflure vaine et ridicule au lieu d'une nourriture solide et vigoureuse. Et l'une des raisons principales qui éloignent autant ceux qui entrent dans ces connaissances du véritable chemin qu'ils doivent suivre est l'imagination qu'on prend d'abord que les bonnes choses sont inaccessibles en leur donnant le nom de grandes, hautes, élevées, sublimes. Cela perd tout. Je voudrais les nommer basses, communes, familières : ces noms-là leur conviennent mieux ; je hais ces mots d'enflure…» L'esprit de géométrie et de finesse, penseedepascal, in Les pensées de Blaise Pascal, |
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PLATON. ARISTOCLES |
- voir ARISTOCLES PLATON - Voir DESCLOS.Marie-Laurence, |
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POPPER.Karl R, | La logique de la découverte scientifique, Payot, 1934, 1959, 2017 Qu'est-ce qui est scientifique et qu'est-ce qui ne l'est pas ? Comment vérifier une théorie ? Qu'est-ce qu'une hypothèse scientifique ? Comment La connaissance progresse-t-elle ? "Chef-d'oeuvre" de Karl Popper, ce livre puissant défend l'idée que pour être scientifique une théorie doit être réfutable par l'expérience. Le célèbre philosophe y discute Einstein ou Bernoulli, Heisenberg ou Schrödinger, mais aussi Russell ou Wittgenstein ; il déploie plusieurs concepts cruciaux, tels ceux de corroboration, de falsifiabilité, ou de critère de démarcation, sur lequel repose toute connaissance scientifique ; et il aborde des thèmes comme la simplicité, l'incertitude, le hasard et la probabilité, les rapports entre théorie et expérience, entre science et métaphysique. Sir Karl R. Popper (1902-1994) l'une des des plus importants philosophes des sciences XXe siècle, est également l'auteur, aux Éditions Payot, de Conjectures et réfutations. |
Table des matières, à venir |
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Lire à ce sujet (Logique de la décourverte scientifique) l'intervention critique de J-M, VAPPEREAU, 1964, La répétition freudienne et l'involution signifiante écrite selon Lacan au moyen du point de capiton, 02, environ p12 |
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Conjectures et réfutations, Payot, 1979, 2006, Comment la connaissance scientifique progresse-t-elle ? Grâce à l'erreur. Des conjectures sont tout d'abord formées : on devine, on essaie des solutions. Puis ces conjectures sont soumises à la critique, c'est-à-dire à des tentatives de réfutation : on les teste. Dès qu'une théorie est réfutée, un progrès a été accompli, qui nous rapproche de la vérité. Mais pourrons-nous jamais atteindre celle-ci ? «Conjectures et réfutations» contient l'essentiel de la philosophie de Karl R. Popper (1902-1994) et prolonge, en la complétant par de nouveaux développements, sa célèbre «Logique de la découverte scientifique». |
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à propos de ¨Popper, Popper et Freud, à propos de la falsification et de la mauvaise foi de Popper, |
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PORPHYRE | Isagoge, Introduction de Porphyre aux catégories d'Aristote, Vrin, ?, 1998, voir la Bibliothèque d'Hadrien, sur gaogoa, |
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Q | ||||
Logicien de la grammaire ! |
La logique, pour Quine comme pour les membres du Cercle de Vienne dont il a repris et critiqué l'héritage, est un outil qui permet d'éclairer les débats philosophiques ; elle est le langage de la science, le langage dans lequel la science peut être exprimée avec la clarté maximale et dans lequel les discussions concernant l'existence de tel ou tel type d'objet ou la meilleure explication de tel ou tel concept peuvent être tranchées. Mais, à la différence des philosophes du Cercle de Vienne, et en particulier de son maître Rudolf Carnap, Quine n'attribue pas pour autant à la logique un statut épistémologique d'exception. La logique est une partie du grand tout de la science, et, à ce titre, elle est sur un pied d'égalité avec les mathématiques, la physique et les autres sciences. C'est là la conséquence de la critique par Quine du mythe de l'analyticité, selon lequel il y aurait des vérités – celles de la logique et, par réduction, des mathématiques – qui ne dépendraient pas du monde mais seulement du langage. Philosophie de la logique est commandé par cette double perspective : d'un côté, il s'agit de proposer une reconstruction de la logique classique qui soit en harmonie avec le rôle d'arbitre accordé au «point de vue logique», et d'un autre, Quine doit préciser le statut qu'il accorde à cette partie de la science, pour expliquer en quel sens les vérités logiques, tout en étant des vérités «comme les autres» s'imposent à nous par leur évidence. C'est ainsi qu'on retrouve dans ce livre les grands thèmes de la philosophie quinienne, qu'il s'agisse du rejet des concepts intensionnels ou de l'utilisation philosophique de la situation de traduction. |
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Logique élémentaire, Vrin, 1941, 2006 " ...la logique formelle (celle d'Aristote) étriquée et stéréotypée de la tradition a laissé la place à une nouvelle logique, discipline qui surpasse l'ancienne par l'étendue de son domaine et pas sa subitilité. La logique formelle traditionnelle n'est pas réfutée ni reniée, car ce qu'elle faisait , la logique nouvelle le fait, mais cela ne représente que le sous-produit d'une entreprise plus puissante". |
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Du point de vue logique, neuf essais logico-philosophiques, Vrin, 1953, 2003. Neuf articles fondamentaux. Du point de vue logique (1953) est le premier ouvrage philosophique de Quine et peut-être son plus important. Il rassemble des articles fondamentaux, en philosophie de la logique épistémologie, ontologie et philosophie du langage. |
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Méthode de logique, Armand Colin, 1950, 1972 : Cette introduction à la logique conduit, en quatre étapes successives, de la logique des fonctions de vérité ( ou logique propositionnelle) à la théorie des ensembles, en passant par la logiqe des prédicats (monadique, puis générale). Chacun des formalismes successifs est mis en place à partir du langage ordinaire. Le lecteur n'en est pas moins très vite installé au coeur de la logique sur laquelle il voit se multiplier les perspectives en même temps que les techniques indispensables lui sont enseignées à travers une grande variété de méthodes. Le public français sera sensible à l'attention exceptionnelle dont énéficient les idées de Herbrand, et beaucoup découvrirons ici sans doute leur importance. |
Table des matières, | |||
Le mot et la chose, Champ Flammarion, 1960, 1977 Le mot et la chose est sans conteste l'ouvrage central de la philosophie analytique du XX e siècle. .... Quine y expose de façon claire et provocante des thèses qui ont transformé l'héritage du positivisme logique, et du langage :.... |
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voir Logiciens & Langage sur gaogoa | ||||
QUINE-ROSSI |
Le vocabulaire de QUINE, Jean Gérard ROSSI, ellipses, 2001, Souvent présenté comme le philosophe américain le plus important de la seconde moitié du XXe siècle, W.V. Quine (1908-2000) a su exprimer avec brio, dans un style d'une clarté, d'une précision et d'une concision admirables, un ensemble de conceptions qui frappe par sa cohérence. Utilisant les ressources de la logique héritée de Frege et de Russell, s'inspirant du béhaviorisme et s'inscrivant dans le courant pragmatiste il s'est démarqué des positions défendues par Carnap et a critiqué deux des dogmes les plus importants de l'empirisme logique. Ceci l'a conduit à plaider pour une épistémologie naturalisée, non fondationnaliste et a contribué à faire de ce logicien orthodoxe plus qu'un simple contemporain du post-modernisme. |
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RIVENC François
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Introduction à la logique, PBP, 1989, 2003 Introduction à une approche sémantique du calcul des énoncés, aux questions formelles, aux ressources des langages du premier ordre ou encore au calcul des prédicats. ©Electre 2021 Ce manuel s'adresse à un public de non- spécialistes, particulièrement à des étudiants en philosophie et en sciences humaines, qui ne sont pas censés posséder un bagage mathématique important, mais sont désireux de maîtriser les notions de base et les techniques propres à la logique mathématique. "Dire que je recommande chaleureusement cet ouvrage, écrit Jacques Bouveresse dans sa préface, serait rester nettement en dessous de la vérité. Il est l'oeuvre d'un enseignant de la logique qui a été formé à la meilleure école et possède des meilleures références, dont les connaissances techniques sont irréprochables et le jugement tou à fait sûr, et que des années d'exprérience et d'enseignement de la logique à des étudiants de philosophie rendaient particulièrement compétent pour cette difficile tâche entre toute : rendre la logique comtemporaine accessible à un public de non-spécialistes. Le résultat est d'une qualité exceptionnelle et constitue une réussite tout à fait remarquable." Jacques Bouveresse, |
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Recherches sur l'universalisme logique : Russell et Carnap, Payot, Paris, 1993, 1992, La logique moderne se construit aujourd’hui dans l’esprit de la "théorie des modèles", avec ses distinctions standards entre "langage-objet" et "meta-langage". Le but de ces recherches est d'interroger les présupposés philosophiques à l'œuvre dans cette distinction. Dans ce but, la philosophie de la logique qui sous-tendait l'œuvre des pères fondateurs de la logique mathématique doit être systématiquement étudiée. L'œuvre fondatrice de Russell apparait ainsi guidée par l’idéal de l'"universalisme positif", idéal qui guide la construction effective de la logique selon les règles de la théorie des types logiques ; au passage, la genèse et la portée du principe du cercle vicieux sont au centre de l'attention : les questions du réalisme ou du constructivisme de l'ontologie de Russell peuvent de ce point de vue recevoir des éclairages nouveaux. L'œuvre de Carnap doit également être inscrite au compte de cette inspiration initialement universaliste, comme le montre le projet d'internalisation de la syntaxe logique du langage dans les systèmes formels construits et étudiés par Carnap. Cependant, les résultats d'incomplétude de Godel ont une portée négative directe sur ce projet, et en particulier sur le but essentiel poursuivi par Carnap : définir l'analyticité des mathématiques classiques. Finalement, la perspective universaliste succomba sous le coup de ces résultats de limitation. |
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Enoncés et descriptions, 1900-1912, 1986, La theorie russellienne des descriptions definies est bien connu, et sa portee ou sa valeur souvent discutee; moins connu, cependant, est le developpement de la pensee de russell a propos de themes et de questions dans le contexte desquels cette theorie a ete progressivement elaboree; ce travail tente de restituer l'ensemble de la problematique logico-philosophique du premier russell, et en particulier son analyse de la generalite, du mode de "reference" des termes singuliers indefinis et definis telle que l'expose l'ouvrage de 1903, les principles. Les difficultes de cette premiere theorie auxquelles russell fut sensible sont reperees, en particulier le probleme de la relation du "sens" a la "denotation" dans ces expressions "denotantes" que sont les descriptions definies. La "reduction" des descriptions, en tant que symboles incomplets, eut une grande influence sur l'orientation ulterieure de la pensee de russell : elle servit de modele ou de paradigme a la reduction ulterieure d'autres expressions, symboles de classes, enonces. Moins perceptible a premiere lecture est l'influence de cette theorie sur la question des "faits" et des propositions; les diverses positions de russell sur l'existence d'entites telles que la "signification" des enonces sont examinees jusqu'a la premiere tentative logico-epistemologique d'elaborer une theorie de la verite et du jugement qui ne presuppose pas de telles entites, et dont en tente de montrer tout ce qu'elle doit a la reflexion de russell sur la question de la connaissance "par description". |
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Sémantique et vérité, De Tarski à Davidson, Puf, Parmi les travaux contemporains en sémantique du langage ordinaire, le programme de Davidson se distingue par sa portée philosophique ; la théorie de la vérité que propose Davidson à titre de cadre sémantique s'épanouit en effet en une véritable philosophie du langage, connue sous le nom d'Interprétation radicale. Cet ouvrage tente une évaluation critique du programme de Davidson, à partir d'une question à la fois historique et conceptuelle : quels sont les rapports entre le projet d'une théorie de la vérité à la Tarski, et celui d'une sémantique formelle du langage ordinaire ? |
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ROMEYER DHERBEY.G, GOURINAT.J-B, |
Les stoïciens, 2005, Vrin, ROMEYER DHERBEY.G, GOURINAT.J-B, Chacun a une idee intuitive du stoicisme, puisque l'on fait stoiquement face a l'adversite et a la souffrance, et que l'on est stoique au milieu du danger. Mais il y a beaucoup plus que ces attitudes existentielles dans le stoicisme, qui fut la premiere philosophie de l'histoire a prendre la forme d'un systeme: transformant la theorie de la connaissance et la logique, les stoiciens construisent aussi l'une des theologies les plus audacieuses, ramenent par l'allegorie la religion traditionnelle a une mythologie, creent une physique originale, tentent de concilier la providence divine et la responsabilite humaine, et elaborent une ethique subtile et complexe, ou apparaissent pour la premiere fois l'ebauche d'une subjectivite et une theorie de la personne. Ces themes, et bien d'autres, sont traites ici d'une facon qui renouvelle notre connaissance du stoicisme. Une etude introductive etablit le bilan des recherches sur le stoicisme et son histoire, et diverses etudes montrent les origines, la transmission et les transformations de la tradition stoicienne. |
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ROSSI Jean Gérard |
Le vocabulaire de QUINE, Jean Gérard ROSSI, ellipses, 2001, Souvent présenté comme le philosophe américain le plus important de la seconde moitié du XXe siècle, W.V. Quine (1908-2000) a su exprimer avec brio, dans un style d'une clarté, d'une précision et d'une concision admirables, un ensemble de conceptions qui frappe par sa cohérence. Utilisant les ressources de la logique héritée de Frege et de Russell, s'inspirant du béhaviorisme et s'inscrivant dans le courant pragmatiste il s'est démarqué des positions défendues par Carnap et a critiqué deux des dogmes les plus importants de l'empirisme logique. Ceci l'a conduit à plaider pour une épistémologie naturalisée, non fondationnaliste et a contribué à faire de ce logicien orthodoxe plus qu'un simple contemporain du post-modernisme. |
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RUSSELL.Bertrand, WHITEHEAD biblio |
Principes de mathématiques, Principia mathematica, WHITEHEAD & RUSSELL, 1910-1913, W, W, 3 volumes, | The Principles of Mathematics [archive] Online text, |
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The principes of mathematic, RUSSELL, 1903, upwiki, Laurent SCHWARTZ | ||||
RUSSELL Bertrand | Introduction à la philosophie mathématique, Payot, 1921, 1991 | the Internet Archive |
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Un certain regard, Lumni, Ina, Les principes mathématiques, | ||||
La philosophie mathématique de Bertrand RUSSELL? Denis VERNANT, Vrin, 1993, | googlebook, | |||
THOMAS-d'AQUIN, Saint | ||||
HUMBRECHT.T-D |
Lire St Thomas d'Aquin, Thierry-Dominique HUMBRECHT, ellipses, Philo, 2009, Lire Thomas d’Aquin, c’est reconnaître en lui un philosophe et pas seulement un théologien. Lui-même a eu à cœur de conférer à la raison sa noblesse et à la philosophie son autonomie. Enraciné et novateur, rigoureux et limpide, élevé et concret, tel apparaît saint Thomas. Il convient de prendre connaissance de sa conception de la nature, de l’âme, de la connaissance et de la vérité, de l’éthique, de la métaphysique, du Dieu de la philosophie et de notre capacité à parler de lui. Le panorama trouve son équilibre, d’une part, dans la différenciation des méthodes intellectuelles et, d’autre part, dans l’interaction de la philosophie et de la théologie. Curieusement, il y a peu d’introductions brèves et synthétiques à la philosophie de Thomas d’Aquin disponibles aujourd’hui. Ce livre voudrait donner le goût de lire Thomas et de lire aussi ceux qui ont bien parlé de lui, dont au premier plan le philosophe médiéviste Étienne Gilson. |
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NODÉ-LANGLOIS. Michel, |
Le vocabulaire de Saint Thomas d'Aquin, NODÉ-LANGLOIS. Michel, ellipses, 2009, La philosophie de saint Thomas est une philosophie de théologien. L’idée qu’il s’en faisait est résumée par la formule souvent décriée mais mal comprise : philosophia ancilla theologiae - la philosophie (du théologien) est au service de sa théologie, ce qui ne signifie pas que la théologie asservisse la philosophie, mais seulement qu’elle s’en sert, c’est-à-dire qu’elle y puise ce qui lui est nécessaire pour la tâche qui est la sienne, et non pas celle de la philosophie : l’intelligence de la foi. Aussi bien saint Thomas récusait-il l’idée que les dogmes de la foi puissent être des principes de connaissance philosophique. Mais il récusait tout autant l’idée que la philosophie n’aurait rien à connaître de ce -qu’enseigne la foi, à commencer par l’objet même de celle-ci : Dieu. Que le travail du théologien saint Thomas ait produit des approfondissements essentiels de son héritage philosophique atteste que la foi, loin d’être un obscurcissement de la conscience et un obstacle à la réflexion, en est au contraire un stimulant et un moteur, qui au besoin défend la capacité de la raison à connaître le vrai, contre ses asservissements empiristes ou pragmatistes. |
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TURING Alan, GIRARD Jean-Yves | La machine de Turing, Sciences, S131, Points, 1991, 1995, Si l’invention de l’ordinateur ne peut être attribuée à un personnage unique, le Britannique Alan Turing est l’un des protagonistes essentiels de la révolution informatique. |
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VAPPEREAU Jean-Michel |
- cours de Paris ( MP3 sur le site e-Topologie, et quelques transcription des cours sur le site Gaogoa. - Textes sur le site de Jean-Michel VAPPEREAU. - |
JMV, |
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WITEHEAD | - voir RUSSELL - |
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WITTGENSTEIN. Ludwig, | Tractatus logico-philosophicus, Tel gallimard, 1922, ( Logique, Langage, Philosophie, ..) Table des matières, Préambule ( et notes) du traducteur, Gilles-Gaston GRANGER, 9, Introduction par Bertrand RUSSELL, 13 TRACTATUS LOGICO-PHILOSOPHICUS, 29 Index, 113, Tableau des symboles, 123 |
le livre, unil, | ||