* Logiciens ( mathématiciens (de la topologie ) et philosophes ) contribuant à " la logique nécessaire à la situation du Discours Analytique (DA) ", en 2013 ... |
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. . . . . | Vocab Math 0, 1, 2, 3, 4, notation math , Logique pour les nuls, opérateurs , 2, Logique Modale (47 pages, + pub parasite) , 2, Histoire des symboles, Panoramique, Almanach, |
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Nom |
Dates |
Apport majeur |
liens |
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A | ABEL Niels Henrik | 1802-1829 |
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ACKERMANN Wilhelm | 1896-1962 |
Consistance, non contradiction , complétude du calcul des propositions, 1928 | ||
ALEKSANDROV Pavel | 1896-1982 |
dégage la notion de compact | ||
ALEXANDER II James Waddell | 1888-1971 |
Définit les nombres de BETTI d'un espace topologique non triangulé. | ||
BARNACH Stefan | 1892-1945 |
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BERNAYS Paul | 1888-1977 |
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BERNSTEIN Félix | 1878-1956 |
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BETTI Enrico | 1823-1892 |
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BOCHVAR | ||||
BOLZANO Bernard | 1781-1848 |
Wissenschaftlehre. Théorie de la connaissance, de l'heuristique et de la science. La logique doit être apte à soutenir les mathématiques. La logique est science de la quantité. Notions d'analycité et de dérivabilité. | ||
BOOLE George * | 1815-1864 |
Premier système logico-mathématique achevé. Celui qui a découvert les mathématique pures selon RUSSELL. La Logique est un calcule efficace consistant en des procédures de décisions indépendantes de la métaphysique. Il élargit le champ de la logique traditionnelle en la reconstruisant. Il ne s'agit pas d'appliquer à la logique un traitement quantitatif mais de considérer l'algèbre de manière plus générale comme un calcul qui ne s'applique pas seulement aux nombres mais aussi à la combinaison des Symboles qui seuls valident le processus de l'analyse. Il veut mathématiser l'esprit humain par un système logique. |
1, 2, | |
BOOLOS George | 1, | |||
BOREL | ||||
BRENTANO Franz | 1838-1917 |
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BROWER Luitzen E.T | 1881-1966 |
L'intuitionnisme où les actes mentaux de preuves ou de justification joue un rôle fondamental. Pas d'énoncé vrai sans expérimentation mentale de cette vérité. | ||
BULL | ||||
CANTOR Georg * | 1845-1918 |
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CARDAN Jérôme | 1501-1576 |
1, 2, | ||
CARNAP Rudolph | 1891-1970 |
élève de Frege | ||
CARROLL Lewis | 1832-1898 |
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CARTAN Elie | 1869-1951 |
1945, Il définit les faisceaux et les suites spectrales. |
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1904-2008 |
La notion de filtre met un point fnal à la notion de limite |
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CAUCHY Augustin Louis | 1789-1857 |
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Cercle de Vienne, | 1929 | Le cercle de Vienne, ou Wiener Kreis, est un groupement de savants et philosophes1 qui a fonctionné à Vienne, de 1923– mais officiellement 1929 sous le nom de Société Ernst-Mach – jusqu'à l'assassinat de son chef de file, Moritz Schlick, le 22 juin 1936, après quoi le club se dispersa. Le Cercle existait de manière informelle déjà avant la Première Guerre mondiale. L’ouvrage de Ludwig Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus (1921), est un des textes de cette époque qui servit de « Bible » à la pensée viennoise. Le Cercle de Vienne s'est constitué d'abord comme un mouvement de promotion de l’empirisme logique (ou « positivisme logique »), et s'inscrit dans une double tradition philosophique, celle du rationalisme et celle de l'empirisme. suite de la rubrique --> ici, |
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Manifeste du Cercle de vienne, |
1929 | Le Manifeste du Cercle de Vienne est un texte historique et programmatique de Rudolf Carnap, Hans Hahn et Otto Neurath, publié en 1929, qui décrit les missions philosophiques, scientifiques et politiques de la conception scientifique du monde adoptée par les membres du Cercle de Vienne. Le titre complet de l'opuscule est La Conception scientifique du monde : Le Cercle de Vienne. | ||
CHURCH Alonzo | 1903-1995 |
fondements de l'informatique théorique | ||
COCCHIARELLA Nino | 1923- |
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COHEN Paul * | 1934-2007 |
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COUTURAT Louis | 1868-1914 |
1, | ||
D | DEDEKIND Richard * | 1831-1916 |
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DE MORGAN Auguste * | 1806-1871 |
Critique la théorie de la double quantification de Hamilton. Donne une définition restrictive de la la notion d'univers. Le concept postif ou affirmatif (A) est le complément du concept négatif (a) dans l'univers du discours dont il est question.Il introduit la proposition quantifiée numériquement (comme Lambert) pour construire des syllogismes numériquement définis. Pour donner une valeur numérique à la proposition particulière et ainsi de tirer une conclusion de deux prémisses particulières. Il découvre la loi de la dualité dite de De Morgan entre la somme et le produit. Loi applicable avec le calcul des Classes. Il est le père de la Logique des Relations qu'il développe en étudiant la nature de la copule EST. Il développe un symbolisme propre aux relations. (voir calcul des prédicats de 1er ordre, ou calcul des relations ou logique du 1er ordre) | ||
DEHN Max | 1878-1952 |
Elève de D.HILBERT. |
1, 2, | |
DESARGUES Gérard | 1591-1661 |
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1, 2, | |
DESCARTES René | 1596-1650 |
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DRETSKE Fred | 1932-2013 |
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DOYLE | ||||
E | ||||
Ecole de Lvov-Varsovie | école intellectuelle polonaise qui s'est développée autour de l’activité d’enseignement de Kazimierz Twardowski et de ses disciples de la fin du XIXe siècle jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. On lui doit des analyses sur des questions fondamentales de philosophie du langage, de logique, de philosophie des sciences et de mathématiques. C'est en effet à Lvov, et puis partiellement à Varsovie, que Jan Lukasiewicz, ->, Stanislaw Lesniewski, Alfred Tarski, Kazimierz Ajdukiewicz, Tadeusz Kotarbinski et bien d'autres encore, repensèrent dans un esprit d'analyse les questions fondamentales de la philosophie du langage, de la logique, de la philosophie des sciences et des mathématiques. |
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EILENBERG Samuel | 1913-1998 |
Théorie des categories. Théorie complète de l'homologie singulier. |
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EINSTEIN Albert | 1879-1955 |
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EULER Léonard * | 1707-1783 |
Invente (après Leibniz) une représentation diagrammatique des figures des syllogismes. (Interprétation extensive des propositons qui donne un sens restrictif à la particulière puisque toute particulière vraie peut s'avérer universelleement vraie !) . Les cercles d'Euler ne permettent que difficilement des représentations d'au plus trois termes. |
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FEYS Robert | 1889-1961 |
Système T | ||
FRAENKEL Abraham * | 1891-1965 |
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FRECHET Maurice Renée | 1878-1973 |
au XX siècle, pour dégager les propriétés communes au figures géométriques et aux ensembles des fonctions, definit les notions de métrique et de topologie. | ||
FREGE Gottlob * | 1848-1925 |
Formule les fondements de la logique mathématique contemporaine. Apports de Frege aux mathématiques : La théorie de la démonstration et de la définition; l'analyse des nombres. Le développement d'une notation formelle de la pensée est une tentative de réaliser l'idée de Leibniz d'une langue caractéristique universelle. Avec l'Idéographie, Begriffsschrift, Frege cherche à expliciter les principes propres au mathématiques. mais aussi les principes logiques de la culture formelle. Son but : expliciter toutes les étapes du raisonnement en spécifiant les méthodes d'inférence. Pour cela il faut un symbolisme propre aux mathématiques et au langage naturel. Frege s'appuie également sur la subsitution de l'égalité par l'implication (Peirce) et le calcul élémentaire des propositions (Mac Roll 1877) . La logique n'est plus subordonnée au langage naturel ! La propostion est considérée en bloc. Un symbole représente le contenu conceptuel d'une proposition..Son symbolisme différencie le contenu conceptuel et l'acte de jugement. Le symbole I--- sera repris par Russell pour marquer une assertion ou un axiome. Si l'idéographie de Frege n'a pas été retenue dans la logique contemporaine, elle constitue la première forme d'un système déductif (axiomatique du calcul des propositions). Sans user des tables de vérité Frege, néanmoins ses calculs sont fondés sur les fonctions de vérité. Frege exclut les propostions modales de son système logique. Pour le calcul des propositions : - opérateurs primitifs, Propositons primitives, Règles et principes fondamentaux, Frege définit les notions de logique de Fonction, de Concept, d'Objet. Les expressions de sens différents peuvent avoir un seul référent (Vénus ...) ou n'avoir aucun référent ( la plus petite fraction !). Le signe exprime un sens et désigne une référence (Sinn and Bedeutung). Les énoncés propositionnels réfèrent à la valeur de vérité ( V ou F). En 1983 il présente la logique non pour elle même mais comme un instrument nécessaire à la réduction logistique de l'arithmétique. Russel critiquera la règle de compréhension non restreinte de Frege qui rendait sa théorie contradictoire (de même pour Cantor et la théorie des ensembles). En 1902 Frege arrête de publier après avoir signalé l'objection de Russell (la critique de Russell deviendra la théorie des Types de Russell). Il abandonne l'écriture de son 3 eme volume et Il ne publiera plus que des travaux mineurs et il abandonne le logicisme en 1923 pour chercher une fondation des mathématiques sur la Géométrie. Ses derniers écrits semblent soutenir l'avènement d'Hitler au pouvoir et les projets de d'expulsion des Juifs d'Allemagne.Un seul étudiant de Frege , CARNAP Rudolf poursuivra son oeuvre logique. |
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FREUD Sigmund * | 1856-1939 |
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G | GALOIS Evariste * | 1811-1832 |
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GARSON | ||||
1777-1855 |
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GENTZEN Gerhard | 1909-1945 |
Construit une méthode de "déduction naturelle" sous hypothèse où les propositions sont composées de termes simples d'on on fait l'hypothèse séparemment, d'où son nom ! | ||
GÖDEL Kurt * | 1906-1978 |
Complétude du calcul des prédicats de 1 er ordre. Théorème d'incomplétude de Gödel -pour l'arithmétique des entiers. Cohérence de l'hypothèse du continu dans la théorie des ensembles. |
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GOLDMANN | ||||
GROSJEAN Jean-Pierre ? * | ||||
GUITART René * | ||||
H | HAMILTON William | 1788-1856 |
Contre la logique empiriste développe une philosophie de l'inconditionné. La logique est une science formelle indépendante de la psychologie et de la théorie de la connaissance. Théorie de double quantification (critiquée par de MORGAN). Quantification du prédicat pour les propositions affirmatives puis négatives (toto totale, toto partielle, parti-totale, parti-partielle) | |
HAUSDORFF Félix | 1868-1942 |
Donne aux axiomes de la topologie une forme identique à celle utilisée aujourd'hui. | ||
HEEGAARD Poul | 1871-1948 |
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1, 2, | |
HEGEL Georg Wilhelm F * | 1770-1831 |
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HERBRAND Jacques | 1908-1931 |
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HERMITE Charles * | 1812-1901 |
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HEYTING Arend | 1898-1980 |
Logique intuitionniste. HEYTING formule une axiomatisation de référence pour cette logique propositionnelle intuitionniste - 1930-. Ce système ressemble à la logique classique mais n'admet pas les principes de double négation et de tiers exclu. La logique BHK ( Brouwer, Heyting, Kolmogorov) définit l'acte capable de justifier l'assertion d'un énoncé en fonction des actes capables de justifier l'assertion de ses constituants immédiats. | ||
HILBERT David * | 1862-1943 |
Courant logiciste/Apports majeurs : Théorie des invariants, axiomatisation de la géométrie, fondement de l'analyse fonctionnelle (espace de Hilbert) . Hilbert et ses étudiants ont fourni une partie significative de l'infrastructure mathématiques de l'éclosion de la mécanique quantique et de la relativité générale. Hilbert adopte les idées de Cantor en Théorie des ensembles et les nombres transfinis. Il est le fondateur de la théorie de la démonstration de la logique mathématique et distingue les mathématiques des métamathématiques (les 23 problèmes de Hilbert).En 1900 il propose son programme ( Le programme de Hilbert) pour fonder les mathématiques: Que les mathématiques soient fondées en s'appuyant sur la logique ! (d'où le nom de courant logiciste). (Dans la lignée de Leibniz). La première solution présentée en 1904 consiste en une preuve syntaxique par laquelle on prouve directement qu'il est impossible de déduire un énoncé et sa négation à partir d'un axiome d'une théorie. Cette preuve ne s'intéresse pas à la sémantique mais seulement aux symboles mathématiques et logiques. Dans la mesure où l'on vérifie que c'est bien le cas de tous les énoncés par récurence (inductivement), la preuve est circulaire et insuffisante. Hilbert proposa la distinction entr ele principe mathématique de récurence et la méthode intuitive de raisonnement par récurrence, ce ne fut pas suffisant. Vers 1920; Hilbert propose une méthode de démonstration pour déterminer mécaniquement si une formule est ou n'est pas un théorème. Mais Church et Turing montrent en 1936 qu'il n'existe pas de procédure mécanique de décision pour la logique et pour l'arithmétique. Il reconnait que la preuve de la cohérence issue de sa théorie de la démonstration ne saurait être absolue et qu'elle doit reposer sur un ensemble de méthodes élémentaires intutivement correctes. Il admet l'impossiblité de démontrer par des procédes finitistes la non contradiction de l'arithmétqiue et de toutes les théories la contenant ainsi que plus généralement la non contradiction d'un système formel à l'aide des seules ressources qu'il contient lui-même. Il cherche à axiomatiser la notion de limite et de continuité, il introduit les voisinages. |
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HINTTIKKA Jaakko * | 1929- |
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HOPF Heinz | 1894-1971 |
Définition des filtrés. |
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HUEWICZ Wallman | 1904-1956 |
1935 Définition des filtrés . Groupes d'homotopie. |
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HUNTINGTON Edward V | 1874 1952 |
Axiomatise l'algèbre de la logique (Whitehead, Boole, Jevons et Venn) | ||
HUSSERL Edmund * | 1788-1856 |
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JEVONS William Stanley | 1835-1882 |
Jevonsd opposé à la conception exclusive des termes de l'addition par Boole propose d'interprêter la disjonction de manière exclusive. Il invente un principe de dualité ou A + A = A alors que pour Boole A = A. Jevons invente l'aphabet logique qui anticipe les Tables de vérité. Il crée la première machine logique. | ||
JUNGIUS Joachim | 1587-1657 |
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KANT Emmanuel * | 1724-1804 |
Crée une Table (arbitraire) des jugements. Quantité, qualité, relation, modalité. Distingue jugements analytique et synthétiques selon que la notion du prédicat est contenu ou pas dans le sujet. | ||
KAUFFMAN Louis | 1945- |
Polynome de Kauffman |
1, | |
KLEENE Stephen C | 1909- 1994 |
Théorie de la récursion, K3 fort et faible. | ||
KLEIN Félix | 1849-1925 |
théorie des groupes... | ||
KOLMOGOROV Andreis | 1903-1987 |
BHK | ||
KORZYBSKI Alfred | 1879-1950 |
logique non aristotélicienne (Bachelard, Laborit, Ellis, PNL, Gestalt..) | ||
KRIVINE Jean-Louis * | 1939- |
1, 2, 3, | ||
KRIPKE Saul Aaron * | 1940- |
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KREISEL Georg * | 1923- |
1, | ||
LACAN Jacques * | 1901-1981 |
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LAMBERT Jean-Henri | 1728-1777 |
Neues Organon. Théorie de la science de la connaissance et de la raison. (Influencé par Leibniz) Notion de probabilité. Applique les procédés de l'algèbre à la logique. Imagine une représentation diagrammatique des modes du syllogisme par des droites. Démontre que pi n'est pas un nombre rationnel. | ||
LANGFORD Dudley | 1958? |
1,2, | ||
LEIBNIZ Gottfried Wilhelm | 1646-1716 |
Père de la Logique Symbolique.Création de la Logistique. Premier mathématico-logicien. Première grande coupure dans la Logique. La syllogistique comme mathématique universelle. Le Calculus ratiocinator : le calcul des propositions. Dieu est mathématicien ! |
1, 2, | |
LEMMON | ||||
LERAY Jean | 1906-1998 |
1945, Il définit les faisceaux et les suites spectrales. |
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LEWIS Clarence Irving | 1883-1964 |
Logique avec implication stricte | 1, | |
LICKORISH W.B.Raymond | 1938- |
, An introduction to knot theory Springer |
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LISTING Johann Benedikt | 1808-1882 |
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1, 2, |
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LOBATCHEVSKI Nicolaï Ivanovitch | 1792-1856 |
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LOCKE John * | 1632-1704 |
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LÖWENHEIM Léopold | 1878-1957 |
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Ecole de Lvov-Varsovie, |
1878-1956 |
- Jan Łukasiewicz, né le 21 décembre 1878 à Léopol et mort le 13 février 1956 à Dublin, est un philosophe et logicien polonais, connu pour sa critique du principe de contradiction d'Aristote. L'auteur des travaux sur la probabilité, l'interprète original de la logique des stoïciens et un critique du déterminisme dans la science, Łukasiewicz est le premier à énoncer une logique trivalente, admettant le vrai, le faux et le possible. De ce premier calcul logique non classique naissent ensuite, entre autres, la logique modale, la logique probabiliste et la logique floue. Łukasiewicz a également jeté les bases de l'informatique moderne en créant la notation polonaise et en développent avec Alfred Tarski et Stefan Banach les fondations de la notation inverse, une manière d'écrire des expressions arithmétiques largement utilisées à ce jour en informatique.
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W, |
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- élève de Twardowski, son souci de clarté et de précision, son horreur de l'obscurité et de l'équivoque le rapprochent de G. E. Moore - En l'absence de traduction de ses œuvres philosophiques, Łukasiewicz est surtout connu comme logicien et comme historien de la logique antique. - sa première publication (Cracovie, 1910), intitulée Sur le principe de contradiction chez Aristote, dans laquelle il distingue trois formes de ce principe (ontologique, logique et psychologique), il profite de l'occasion qui lui est donnée pour attirer l'attention des lecteurs polonais sur l'une des antinomies russelliennes. - L'intérêt de ces recherches est philosophiquement de montrer que la logique n'est pas quelque chose de rigide mais que, même à un très haut degré de généralité, il y a des alternatives possibles. Étudiant la logique propositionnelle classique, il révèle que les systèmes d'axiomes de Frege, de Hilbert et de Russell contiennent chacun un axiome différent redondant ; d'où des travaux sur la consistance, la complétude et l'indépendance des axiomes. - C'est peut-être pour ses études de logique ancienne qu'il est le plus connu, en France du moins. Il reconstitue la logique stoïcienne des propositions depuis Philon de Mégare. Surtout il renouvelle la présentation de la syllogistique aristotélicienne (Aristotle's Syllogistic, 1951). Sa thèse originale est que les syllogismes aristotéliciens ne sont pas comme on l'a cru des schèmes d'inférence valide mais des lois logiques. On lui doit la première axiomatisation moderne de la syllogistique.
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ARMENGAU.F |
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La logique de LUKAZIEVCZ, W, Les connecteurs propositionnels de la logique de Łukasiewicz sont l'implication → , la négation ¬, l'équivalence ↔ , la conjonction inclusive ∧, conjonction exclusive (multiplié dans cercle), disjonction inclusive ∨, disjonction exclusive ⊕ , et les constantes propositionnelles (non-zero !) 0 ¯et 1 ¯. La présence de la conjonction et de disjonction est une caractéristique commune des logiques sous-structurelles sans la règle de contraction, à laquelle la logique Łukasiewicz appartient. suite sur wikipedia, |
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- LUKASIEVCZ.Jan, par Jean Largeault, en 1972, dans le recueil Logique mathématique – Textes. - Jan Łukasiewicz, Écrits logiques et philosophiques Introduction, traduction et notes par Sébastien Richard, Fabien Shang et Katia Vandenborre, Vrin, 2014, lu par Lény OUMRAOU, Le présent ouvrage est un recueil de treize articles publiés entre 1922 et 1953. Ils sont inédits en français, à l’exception du premier, |
L"oeil de Minerve, | |||
MAC COLL Hugh | 1835-1909 |
La logique repose sur le calcul élémentaire des propositions. Le calcul des énoncés équivalents comprend des variables (énoncés proportionnels) et des foncteurs propositionnels (négation, conjonction, disjonction, implication, équivalence). La relation d'implication est fondamentale pour la pensée et au coeur du raisonnement et du lien sujet prédicat (si l'antécédent est vrai !).Il popularise la loi de dualité entre conjonction et disjonction.. Il influence Frege. | ||
MAC DERNOTT | ||||
MAC LANE Saunders | 1909-2005 |
Définit les catégories. | ||
MAC LAUGHLIN | ||||
MILL John Stuart | 1806-1873 |
Logique anti-formaliste. La logique juge ! Importance de l'épistémologie et de la méthode. Il critique la syllogistique : le syllogisme est une pétition de principe puisque la conclusion est présupposée dans la Majeure. ( Faux car la conclusion est une inférence tirée de faits particuliers, conformément à la majeure.) | ||
MILNOR John Willard | 1931 |
Montre qu'il existe plusieurs structures différentiables sur S7 | ||
MOORE George Edward | 1873-1958 |
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MORSE Marston | 1892-1977 |
1935-Présentation par anses. | ||
NEUMANN Von, John | 1903-1957 |
Théorie des ensembles NBG (en réaction à la Théorie des des ensembles ZFC) | ||
NOETHER Emmy | 1882-1935 |
En 1927, il introduit les groupes d'homologie, c'est le début de la topologie algèbrique. Celà aura pour conséquence la découverte de la Théorie classsique de l'homologie dans les 25 années suivantes. |
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P | PASCAL Blaise | 1623-1662 |
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PAVEL Aleksandrov | 1896-1982 |
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PEACOCK George | - L'Euclide de l' algèbre, reconstruit l'algèbre comme système symbolique, d'un point de vue postulationnel qui dégage les lois de combinaisons des symboles, . Il distingue algèbre arithmétique et algèbre symbolique. | |||
PEANO Giuseppe * | 1858-1932 |
Son idéographie plus simple que celle de Frege devriendra après filtrage de Russell et Whitehead, la langue symbolique de la logique moderne. Péano et son équipe de mathématiciens sont très populaires auprès des logiciens du XIX e siècle . Péano considère la logique (l'expression symbolique des lois logiques) comme subordonnée aux mathématiques. Comme Frege il cherche à évacuer la langue naturelle des mathématiques pour la remplacer par des termes logiques. C'est l'objet de son Formulaire (de mathématique)-1895. Il considère que puisque les mathématiques peuvent être entièrement réduites à un langage symbolique, elle acquiert ainsi un caractère universel. Il en serait de même pour toute science qui pourrait être exprimée sous forme symbolique. Voir son symbolisme ... |
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PEIRCE Charles Sander * | 1839-1914 |
Le logicisme. La logique des relations, la théorie de la quantification, la logique trivalente (puisque l'énoncé vague n'est pas bivalent !). Soit de nombreuses contributions à la logique symbolique. La logique est la science des lois qui permettent d'établir de façon stables les croyances ! La logique exacte repose sur la pensée diagrammatique ou iconique : la pensée mathématique. Son système logique comprend une théorie de la signification (somme du concevable et de l'observable) basé sur une conception triadique du signe et une régression à l'infini des interprétants possibles et une logique vague (Peirce a contracté une allergie à l'univers de la précision en travaillant à des problèmes pratiques et techniques associés à des mesures dans le cadre de l'US Coast and Geodesic Survey.). Pour lui les mathématiques dépendent de la logique. Sur la forme propositionnelle Peirce privilégie l'inclusion car pour lui l'égalité est une inclusion (l'inclusion est rarement une égalité). Le syllogisme ne dépend plus du principe d'identité mais d'un principe de transitivité. L'illation est la nouvelle relation entre le sujet et le prédicat, mais cette théorie ne traite pas des relations et n'exprime pas la propostion particulière dans le cadre de la logique des classes. En examinant chez Boole le problème de la relation il développe la conception moderne des Quantificateurs influencé par De Morgan. La logique des relation est une généralisation de la logique des classes (une lettre indique la relation : Aij relation simple, Aji relation réflexive..) Quantification des relations (voir les formules..). Le calcul des propositons est chez lui moins achevé que celui de Frege et il introduit une procédure de décision : les tables de vérité, ce avant Wittgenstein Il utilise l'amphec comme connecteur ! Peirce après la déduction et l'induction souligne l'importance de l'abduction comme troisième mode de conclusion. |
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POINCARE Henri * | 1854-1912 |
Inventeur de la topoogie algébrique et différentielle. Il définit les invariants numériques entrevus par E.BETTI (nombres de BETTI)/ Il introduit le premier groupe d'homotopie ou groupe de Poincarré pour des études sur les fonctions multiformes. Il introduit les triangulations et le balbutiement de la Théorie de la tranversalité. | ||
PONTRIAGUINE Lev Semionovitch | 1931 |
1953-Etudie le corbordisme |
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POPPER Karl | 1902-1994 |
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POST Emil | 1897-1954 |
Démontre en 1921 la consistance (la non contradiction), la complétude (forte et faible) ainsi que la décidabilité du calcul des propositions | ||
PRIOR Arthur | 1914-1969 |
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Q | ||||
QUINE Willard * | (1908-2000), philosophe, logicien et mathématicien américain, l’un des penseurs les plus importants de ce siècle. Né à Akron (Ohio), Quine s’attache à montrer que la philosophie, et plus spécialement l’épistémologie, loin d’être une métascience, est « une partie intégrante de la science » et qu’il convient de clarifier conceptuellement les questions philosophiques, donc scientifiques : si la philosophie n’a pas pour vocation de fonder la réflexion sur la science, elle est néanmoins le lieu de clarification du discours de celle-ci. Quine aborde la théorie de la connaissance sur le terrain de l’ontologie : confronté à la question « Qu’est-ce qui est ? », il adopte la perspective naturaliste, selon laquelle toute métaphysique au sens de philosophie première est impossible. Discutant la distinction traditionnelle entre les jugements synthétiques (propositions empiriques ou factuelles) et les jugements analytiques (propositions nécessairement vraies), il considère que cette question doit être envisagée d’un point de vue empiriste, en vertu duquel ce que nous connaissons du monde nous vient de l’expérience ; Quine propose, en parlant de l’empirisme, une « théorie de l’évidence », soit un argument confirmatif dont on pourrait se servir, comme d’une preuve, dans une discussion. Quine est proche de Dewey, qui affirme qu’on ne peut appréhender la question ontologique que d’un point de vue qui concilie connaissance, esprit et signification, « qui font partie du même univers, auquel ils se rapportent ». Par ailleurs, un ensemble de connaissances constitue une théorie, à laquelle on accède via le langage. La position de Quine à l’égard de la connaissance scientifique est l’holisme épistémologique, selon lequel une hypothèse, un énoncé théorique, ne peuvent être vérifiés isolément par les données de l’expérience, et qu’il faut les soumettre à la doctrine vérificationniste de la signification. |
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- Willard Quine contribua à la logique formelle, à la fondation des mathématiques ainsi qu'à l'épistémologie. En logique, il est surtout connu pour avoir « simplifié » la théorie des types de Russell en façonnant en 1937 le troublant système de théorie des ensembles « New Foundations » (NF), dont la cohérence reste un des grands problèmes ouverts en logique mathématique.
Mais c'est avant tout à ses travaux philosophiques que Quine doit sa renommée au sein du mouvement de pensée analytique. Il a développé une pensée rigoureuse et s'est efforcé de réfuter un certain nombre de thèses de l'empirisme logique et de la phénoménologie, courants philosophiques dominants à l'époque où Quine commença sa carrière philosophique. Il a tenté de relier la philosophie aux sciences de la nature et a œuvré pour restaurer la crédibilité de l'ontologie. Une des particularités notables et originales de sa philosophie est ce qu'on appelle parfois son « gradualisme »1, attitude qui consiste à affaiblir ou niveler toutes les distinctions établies par les philosophes antérieurs : la dichotomie de l'analytique et du synthétique, la distinction entre énoncés d'observation et énoncés théoriques, la distinction du faux et du non-sens, etc. |
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- Quine a milité pour que l'on abandonne tout intérêt pour les autres logiques, non classiques, non standard. Quine est un logicien de la grammaire, il a bien formulé la différence qu'il y a entre les mathématiques et la logique, question que se posait Russell, dans les Principes de mathématiques , et Couturat; alors les mathématiques semblaient réductibles à la logique, courant logiciste, il ne faisait pas de différence entre les énoncés analytiques et les énoncés synthétiques de Kant,( question qui intéressait Frege), et que Cavaillès contredira dans les années 1930. Quine a trouvé le meilleur critère pour distinguer, marquer la césure entre la logique et les mathématiques, il dit que la logique c'est ce système de la coordination, plus ce que nous allons appeler le calcul des prédicats du premier ordre kantifiés , écrit avec un k, ces deux calculs forment la logique formelle , c'est le noyau de la logique, pour la science, et depuis les calculs de Boole et de Frege s'inscrivent là-dedans. JMV22062010-L130, -Quine en rejetant les logiques exotiques, et la logique modifiée empêche cet acte novateur qui est le plongement de la Logique classique dans la logique modifiée - Quine ne dispose pas du registre de l'écrit ni de cleui du discours qui n'ont pas besoin d'autres justifications divines, naturelles ou positives, lieux irréductibles quand les "mots font la chose" . |
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« une logique, que tout le monde considère », même Quine la considère comme ça, en bon américain isolationniste, Quine dit : les logiques exotiques sont sans intérêt, la Logique Canonique Classique, au sens de Tarski, dit : « c’est celle qui est la plus simple et la plus élégante », JMV23062015, | ||||
voir bibliographie Logiciens gaogoa, | ||||
RESCHER Nicholas | 1928- |
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RIESZ Frigyes | 1880-1956 |
au XX siècle, pour dégager les propriétés communes au figures géométriques et aux ensembles des fonctions, definit les notions de métrique et de topologie. | ||
REITER Hans J | 1921-1992 |
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RIEMANN Georg Friedrich | 1826-1866 |
Classe les surfaces, les variétés et traite les ensembles commes des objets géométriques. |
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RIVENC François, | 1945- | Professeur de philosophie de la logique et du langage à l'Université de Paris1. Il a obtenu le Premier Prix du Concours Général en Français en 1962, puis le Troisième Prix en Philosophie l'année suivante. Il est ancien élève de l'ENS-ULM, Agrégé de Philosophie, titulaire de la Maîtrise de Logique de ParisV, et a obtenu sa thèse de Doctorat en 1993 (titre: "Recherches sur l'universalisme logique, Russell, Carnap"). Il est actuellement Professeur de philosophie de la logique et du langage à l'Université de Paris1. Parcours Ancien élève de Louis Althusser à l'ENS-ULM, F. Rivenc a coupé les ponts avec la culture marxisante dès 1971, et s'est orienté vers l'étude de la logique mathématique et de la philosophie de la logique (Frege, Russell, Carnap, Quine, etc.). Après une dizaine d'années d'enseignement en lycée, il a été élu assistant en 1983, puis Maître de Conférences, puis Professeur à l'UFR de Philosophie de Paris1. |
bibliographie, | |
ROGOWSKI Walter | 1881-1947 |
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ROLFSEN Dale * | 1942- |
table 1, 2, | ||
RUSSELL Bertrand * | 1872-1970 |
On doit à Russell la théorie des Types, celles des Descriptions, du Calcul propositionnel, des Fonctions, des Classes, des Relations, aunsi que le Fondement logique des mathématiques ! Deux distinctions importantes chez Russell, l'implication matérielle et l'implication formelle. Le symbolisme de la Logique moderne est celui inventé par PEANO et revisité par RUSSELL. |
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SACCHERI Giovanni Girolamo | 1667-1733 |
Raisonnement par l'absurde (Euclide, Théodose, Cardan). Notions d'analycité et de dérivabilité. | ||
SCHÖNFINKEL Moses | 1889-1942 |
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SCHRÖDER Ernst | 1841-1902 |
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SCOTT Dana S | 1932- |
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SERRES Jean-Pierre | 1926- |
1945, Il définit les faisceaux et les suites spectrales. | ||
SHEFFER Isador M | 1901-1992 |
reduction des propositions à l'amphec (rejet ou binégation) | ||
SKOLEM Thoralf | 1887-1963 |
treillis et théorie des modèles | ||
STIEFEL Eduard | 1909-1978 |
Définition des filtrés. | ||
TARSKI Alfred * | 1901-1983 |
Courant formaliste. La sémantique formelle. Parallèlement au développement de la logique syntaxique, des logiciens s'intéressent à son aspect Sémantique, soit pas uniquement de la relation des expressions entres elles, mais de ces expressions avec un référent.C'est TARSKY qui popularise la THEORIE des MODELES qui trouve ses racines dans le travail de LOWENHEIM et SKOLEM. Elle repose sur deux théorèmes fondateurs :1) le théorème de compacité ou de finitude (un ensemble d'énoncés admet un modèle si et seulement si tous ses sous-ensembles finis admettent un modèle) et 2) le théorème de Lowenstein-Skolem (Une théorie dans un langage dénombrable qui admet un modèle infini admet un modèle dénombrable - ce denier pouvant toutefois contenir des ensembles non dénombrabes.) TARSKY développe la Théorie des modèles, c-à-d une sémantique formelle pour les langues formelles qui constitue une formalisation de la théorie correspondantiste de la vérité. Cela implique de distinguer le langage-objet et le métalangage (...). Pour TARSKI le concept de Vérité est un propriété des expressions, puisque les propriétés V ou F permettent le lien entre le langage et le domaine de référence, DONC formuler la sémantique d'un langage c'est faire un métalangage de ce langage er ainsi créer un MODELE. La théorie des modèles comprend 1) Son domaine de référence : ensembles d'évènements ou de propositions, 2) le modèle : ensemble des proposition et des valeurs de vérité; puis septs axiomes de la théorie des modèles (...) |
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TIKHONOV Andrei Nikolaïevitch | 1908-1993 |
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THOM René | 1923-2002 |
Le rôle joué par le fibré tangent. | ||
TURING Alan | 1912-1954 |
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URYSOHN Pavel | 1896-1982 |
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1, | |
VAPPEREAU Jean-Michel * | 1947- |
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VENN John * | 1834-1923 |
Proche de BOOLE. A une conception exclusive de la disjonction (OU exclusif). Il crée une représentation diagrammatique de la logique. Pose qu'avec trois propositions nous sommes assuré de l'existence d'un sujet car l'universelle ne nous apprend rien de son existence. L'universelle positive est conditionnelle négative et absolue. Il a une approche extensionnelle de la logique en terme de Classe.Les diagrammes de Venn permettrent des représentations complexes sans coonnaitre la conclusion. | ||
VAN BELLINGEN Alain * | ||||
VAN FRAASSEN Bas | 1941- |
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Von NEUMANN | 1903-1957 |
NBG | ||
VON WRIGHT Georg Henrik | 1916-2003 |
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W | WEYL Hermann | 1885-1955 |
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WIENER Norbert * | 1894-1964 |
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WHITEHEAD Alfred.North * | 1861-1947 |
Cherche l'unité de l'algèbre. Proche de Russell il quitte le logicisme pour la philosophie de la nature. Il critique la théorie einsteinienne de la gravitation. Sa pensée mathématique et philosophique s'oriente vers la métaphysique ou prévaut l'idée de "processus" (le monde entre flux et permanence). Il se situe dans la lignée de Platon, d'Aristote, des stoïciens, de Spinoza, de Leibniz, de l'immanence de Dieu.). Trace métaphorique du nouage: emboitements, soi, non-soi. Il appartient avec Russell et wittgenstein à la Cambridge Apostles society secret. Traité d'Algèbre universel. Pose les lois générales de l'addition (commutative et associative) et de la multiplication (distributive) . La logique de l'algèbre universel se divise en algèbre non-numérique (algèbre logique) et algèbres numériques. L'algèbre de la logique a une loi spéciale pour l'addition : A + A = A .Cet algèbre logique n'est pas strictement de la logique mais un calcul formel général et abstrait, applicable à la logique des classes et des propositions. |
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WHITNEY Hassler | 1907-1889 |
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WITTGEINSTEIN Ludwig * | 1889-1951 |
Deux philosophies chez lui : La première présentée dans le Tractatus logico philosophicus - 1929- est inspirée par l'analyse du langage chez RUSSELL et constitue une théorie de la représentation. " Le monde est constitué d'états des choses qui mis en relation forment une armature logique" WITTGEINSTEIN popularise la méthode décisionnelle des Tables de vérité. Il popose la forme générale de la proposition et de la Théorie des valeurs de vérité. Voir les Propositions du Tractatus, ex : "Ce dont ne ne peut parler, il faut le taire". La seconde se trouve dans les Investigations philosophiques, 1945-1956, le Cahier bleu et le Cahier brun. La signification est dans l'usage du langage et non dans la référence concrète. La signification des mots est réglée par des règles dans le cadre d'un "Jeu de langage". De même pour la logique qui n'est pas une connaissance à priori qui imprégnée d'un contenu empirique peut-être accessible par le biais de l'expérience du monde. |
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WUNDT Wilhelm * | 1832-1920 |
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ZERMELO Ernst * | 1871-1953 |