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Histoire des régions, , Maxicours, Wikipedia, wikiwand 1, 2, |
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La bibliothèque II d'Hadrien * |
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Bibliothèques Greek (360°, Map), Latin (360°, Map), Descriptif, & Cadre ci-dessous : Villa Adriana, Tibur |
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JAMBLIQUE
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- Jamblique (Iamblicos), né vers 250 à Chalcis ad Belum (Syrie) et mort vers 330, est un philosophe néoplatonicien.
Il entre vers 275 à l'école néoplatonicienne de Rome, dirigée par Porphyre de Tyr (lui-même élève de Plotin). Il retourne ensuite en Syrie enseigner la philosophie à Apamée. Jamblique est le troisième scolarque de l'école néoplatonicienne de Rome, après Plotin et Porphyre, en prenant Ammonios Saccas comme le fondateur. Le néo-platonisme est un avatar issu de l'enseignement de l'aristotélisme et du platonisme qui trouve son origine en Égypte, à Alexandrie (Ammonios Saccas), prend forme en Italie (Plotin), s'approfondit à Rome (Porphyre), se déplace en Syrie (Jamblique) et à Athènes (Syrianos, Proclos). - Traité de l'Âme (tiré de StoBée) : TRAITÉ DE L'ÂME. — I. Questions que soulève l'étude de l'âme. II. De l'Essence de l'âme. III. Des Facultés. IV. Du Nombre des facultés. V-VII. Des Facultés qui constituent l'essence de l'âme. VIII. Des opérations. IX. Des Actes. X. Du Nombre des âmes. XI. De la Descente des âmes. XII. De la Différence qui existe dans la descente des âmes. XIII-XIV. De la Vie de l'âme dans le corps. XV. De la Mort. XVI. De la Purification. XVII. De la Récompense
De l'Essence de l'âme. II - 1° Quelques-uns ramènent la nature de l'âme aux principes des quatre éléments. Selon eux, les corps premiers sont indivisibles, plus élémentaires que les éléments eux-mêmes; n'étant pas mélangés, étant d'ailleurs remplis uniquement de la première substance, qui est pure, ils ne sont divisibles d'aucune façon; ils ont une infinité de figures, parmi lesquelles se trouve la figure sphéroïde; or l'âme est composée d'atomes sphéroïdes. suite sur remacle,
II. L'essence de l'âme est par elle-même immatérielle et incorporelle, non-engendrée et impérissable ;... -voir cadre bas ci-dessous : Platonisme et néo-platonisme sur gaogoa |
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JEAN CATHOLICOS (PATRIARCHE D'ARMENIE JEAN VI DIT) | - Jean, sixième du nom dans la liste chronologique des patriarches d'Arménie, et généralement désigné sous ; la dénomination de Jean Catholicos, c'est-à-dire de Jean Patriarche, a reçu des Arméniens le surnom de Badmapan, qui signifie l'Historien.
L'Église apostolique arménienne (en arménien Հայաստանեայց Առաքելական Եկեղեցի, Hayastaneayc’ Aṙak’elakan Ekeġec’i) est une Église chrétienne autocéphale. C'est une des Églises des trois conciles. Elle revendique son titre d'« apostolique » en faisant remonter ses origines aux apôtres Jude Thaddée et Barthélemy. Devenue religion officielle du royaume d'Arménie avec la conversion du roi Tiridate IV par saint Grégoire l'Illuminateur, elle développe son particularisme du VIe au début du VIIIe siècle, qui voit sa christologie se stabiliser selon la doctrine miaphysite. Le « Patriarche suprême et Catholicos de tous les Arméniens » qui réside à Etchmiadzin près d'Erevan bénéficie d'une primauté d'honneur parmi les différents hiérarques ; le titulaire actuel est Sa Sainteté Garéguine II depuis le 27 octobre 1999. L'Église catholique arménienne ou Église arménienne catholique (en arménien : Հայ Կաթողիկե Եկեղեցի), partie intégrante de l'Église catholique, est l'une des Églises catholiques orientales. Le primat de l'Église porte le titre de « Catholicos-Patriarche de Cilicie des Arméniens », avec résidence à Beyrouth au Liban. Le 24 juillet 2015, Grégoire Pierre XX Ghabroyan a été élu patriarche par le synode de l'Église et le pape lui a accordé la communion ecclésiastique le lendemain. L'Église arménienne catholique emploie le rite arménien avec une liturgie spécifique.
- au sujet des Croix, voir la Table La croix des Croix sur gaogoa, |
et évolution église orthodoxe
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JEAN CHRYSOSTOME | - Jean Chrysostome (en grec ancien : Ἰωάννης ὁ Χρυσόστομος), né à Antioche (aujourd'hui Antakya en Turquie) entre 344 et 3491, et mort en 407 près de Comana, a été archevêque de Constantinople et l'un des Pères de l'Église. Son éloquence est à l'origine de son épithète grecque de χρυσόστομος (chrysóstomos), qui signifie littéralement « à la bouche d'or ». L'anaphore qui constitue le cœur de la plus célébrée des Divines Liturgies dans les Églises orthodoxes lui est attribuée. Sa rigueur et son zèle réformateur l'ont conduit à l'exil et à la mort.
À la fois saint, père de l'Église orthodoxe, docteur de l'Église catholique romaine et de l'Église copte, Jean Chrysostome est fêté le 13 novembre, le 27 janvier (translation de ses reliques), le 30 janvier (fête des Trois Hiérarques) dans l'Eglise orthodoxe, le 13 septembre dans l'Eglise catholique. Quatre liturgies : " Dans son Dialogue sur le sacerdoce (IV, 3), influencé par les idées de Grégoire de Nazianze, il décrit ainsi l'idéal qui est le sien : « La parole, voilà l'instrument du médecin des âmes. Elle remplace tout : régime, changement d'air, remèdes. C'est elle qui cautérise ; c'est elle qui ampute. Quand elle manque, tout manque. C'est elle qui relève l'âme battue, dégonfle la colère, retranche l'inutile, comble les vides, et fait, en un mot, tout ce qui importe à la santé spirituelle. Quand il s'agit de la conduite de la vie, l'exemple est le meilleur des entraînements ; mais pour guérir l'âme du poison de l'erreur, il faut la parole, non seulement quand on a à maintenir la foi du troupeau, mais encore quand on a à combattre les ennemis du dehors »5. Dans le même ouvrage (VI, 5) , à propos du monachisme, Jean écrit que ce n'est pas la seule voie menant à la perfection. " .... source et suite sur wikipedia, - Oeuvres complètes sur biblio monastique, |
![]() Jean Chrysostome, Homélie, 1078, source gallica bnf, folio Jean Chrysostome présentant le manuscrit à l'empereur Michel VII Douccas, flanqué de l'archange Michel (f. 2v) |
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JERÔME de Stridon |
- Jérôme (saint et docteur de l'église), Hieronymus, naquit vers l'an 331; à Stridonia, aujourd'hui Strigau, en Croatie. Son père l'envoya à Rome, où il acquit, sous le grammairien Donat, une connaissance parfaite des littératures latine et grecque.
Après avoir lavé les fautes de sa jeunesse dans les eaux du baptême, qu'il reçut à l'âge d'un peu moins de 30 ans, il visita la Gaule en passant par Aquilée. C'est dans cette ville qu'il se lia avec Rufin, dont il fut plus tard l'antagoniste à l'occasion d'Origène. Il se rendit de là à Stridonia, sa ville, d'où il retourna à Rome, avec l'intention d'aller s'ensevelir dans la retraite en Orient.
Après la mort de ce pape, en 384, saint Jérôme retourna à Jérusalem en 385. Il fit un voyage en Egypte, pour voir le célèbre aveugle Didyme à Alexandrie et les monastères de la vallée de Nitrie. Livré à ses travaux sur la Bible, il acheva ses jours dans la grotte où repose son corps, près de celle (où) la légende fait naître Jésus à Bethléem. Il fut persécuté par Pélage, dont il avait combattu l'hérésie, et mourut en 420. - Saint JERÔME, sur remacle, Table des matières, - Vulgate, édition originale de 405, source laportelatine, - Les Bibles, source BiblechezAlice, - Sur la Vulgate, quelques précisions de pascal.dupuy, |
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JULES L'AFRICAIN |
- Sextus Julius Africanus dit Jules l'Africain (v. 160 - v. 240), d'une famille originaire de la province d'Afrique d'après son surnom, mais apparemment né en Palestine peut-être à Emmaüs Nicopolis près d'Ælia Capitolina, la ville reconstruite sur l'emplacement de Jérusalem, qu'il appelle son « ancienne patrie », ἀρχαία πατρίς, est un écrivain chrétien de langue grecque, auteur d'un ensemble d’œuvres, dont la première chronique universelle conçue dans une optique chrétienne, chronologie de l'histoire du monde depuis la Création biblique jusqu'à son époque. Tous ses écrits ne sont connus que de façon fragmentaires, à l'exception de deux lettres, dont de plus larges extraits sont cités par certains Pères de l'Église.
Pour peu que l'on ait des connaissances de quelque étendue, on doit, je pense, savoir appliquer les éléments d'Euclide; et il n'est pas difficile de résoudre, au moyen du premier livre, le problème qui consiste, soit à Mesurer la largeur d'un fleuve dont les ennemis occupent la rive opposée, afin de pouvoir préparer les matériaux nécessaires pour y jeter un pont, soit à Prendre de loin les hauteurs d'une muraille, afin de disposer, avant d'en approcher, des machines de guerre d'une grandeur convenable. Or, pour faire mieux comprendre notre démonstration, nous la ferons précéder de ce théorème : ....suite et schémas sur remacle,
Le talisman dont il est ici question consiste généralement en une figure pentagone que les pythagoriciens nomment , On y inscrivait certaines images, certaines paroles, variables suivant l'objet que l'on avait particulièrement en vue, mais toujours accompagnées de signes musicaux qui servaient à les distinguer les unes des autres, en même temps qu'à compléter leurs vertus occultes. source remacle, |
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JULIEN Le PHILOSPHE, dit Apostat (par les méchants chrétiens) |
- Flavius Claudius Julianus (331 ou 332-26 juin 363), Julien II, nommé Julien le Philosophe, également appelé Julien l'Apostat par la tradition chrétienne, est nommé César en Gaule de 355 à 361 par Constance II, puis proclamé empereur romain à part entière de 361 à 363. Vingt mois de règne laissent la place à une postérité remarquable, ses actes et ses œuvres inlassablement commentés et bien plus souvent honnis et vilipendés que loués.
Julien doit son surnom d'« apostat » à sa volonté de rétablir le polythéisme dans l'Empire romain, alors qu'il avait été élevé dans la religion chrétienne (plus précisément dans l'arianisme, sous la direction des évêques Eusèbe de Nicomédie, puis Georges de Cappadoce). Il a produit des écrits critiques contre le christianisme qui, avec le Discours véritable de Celse, sont un précieux témoignage de l'opposition païenne au christianisme. .. Devenu maître de l'Empire tout entier, Julien promulgue un édit de tolérance autorisant toutes les religions et il abolit les mesures prises non seulement contre le paganisme, mais aussi contre les Juifs et contre les chrétiens qui ne suivent pas le credo d'inspiration arienne qui avait la faveur de Constance. En 362 il promulgue un édit qui interdit aux chrétiens d'enseigner la grammaire, la rhétorique et la philosophie, soit l'ensemble de l'instruction profane. Il justifie ainsi l'édit sur les chrétiens : « Qu'ils cessent d'enseigner ce qu'ils ne prennent pas au sérieux ou qu'ils l'enseignent comme la vérité et instruisent les élèves en conséquence ». Parallèlement il tente de réformer le paganisme sur le modèle des institutions chrétiennes (moralité des prêtres, création d'institutions charitables) et institue une hiérarchie des cultes autour du dieu Soleil. - Au printemps 363, Julien se lance dans une vaste expédition militaire qui le mène jusqu'à Ctésiphon, capitale des Parthes, dont il doit cependant abandonner le siège pour des raisons tactiques et logistiques. Vainqueur sous les murs de Ctésiphon d'un combat contre les défenseurs de la ville, abandonné par le roi d'Arménie qui devait faire sa jonction avec lui, Julien est contraint d'entamer une retraite précipitée, au cours de laquelle, peu avant le 26 juin 363, il est mortellement blessé. L'historien et évêque de Cyr Théodoret rapporte que Julien, transpercé par une lance, aurait formulé ces mots à l'intention du Christ, tout en tentant d'arracher de son côté l'arme qui venait de le transpercer : « Tu as vaincu, Galiléen ! » (Vicisti, Galilæe), reconnaissant ainsi la victoire inéluctable d'un christianisme encore non majoritaire dans l'Empire et qu'il a voulu combattre. - Il reste de Julien quelques écrits satiriques, les Douze Césars, son meilleur ouvrage, le Misopogon, des Discours politiques et religieux et des Lettres, etc. source cosmovisions, - - Table des matières , source remacle, DIALOGUE DE SAINT JUSTIN AVEC LE JUIF TRYPHON Ἀπολογία ὑπὲρ Χριστιανῶν πρὸς τὴν Ῥωμαίων Σύγκλητον.
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JUSTIN | - Justin (en latin Marcus Junianus Justinus) est un historien romain. On date le plus souvent son existence du IIIe siècle, mais certains la placent au IVe siècle après Jésus-Christ. Justin est l'auteur d'un Abrégé des Histoires philippiques (Epitoma Historiarum Philippicarum en latin), qu'il présente dans la préface comme un florilège des passages les plus importants et les plus intéressants du volumineux ouvrage intitulé Historiae philippicae et totius mundi origines et terrae situs, rédigé par Trogue Pompée à l’époque d’Auguste. Il explique d'ailleurs son intention lors de la préface : J'ai constitué à loisir, tandis que je séjournais à Rome, un recueil de tout ce qui se prêtait le mieux à l'instruction ; laissant de côté ce qui ne se laissait apprendre avec plaisir et ce qui ne pouvait servir d'exemple, j'ai ainsi constitué une sorte de petit florilège, afin que ceux qui avaient étudié l'histoire de la Grèce puissent disposer d'un support pour se la rappeler, et pour que ceux qui ne l'avaient point apprise puissent ainsi en être instruits. Cet ouvrage, je te l'ai fait parvenir, non pas tant pour ton instruction que pour tes corrections, afin aussi qu'il te soit possible par la même occasion de te représenter ma façon d'employer mon loisir, dont il importe, selon Caton, de rendre compte. Pour lors, en effet, ton jugement me suffit, dans la mesure où je sais disposer, pour la postérité, une fois que le désir de dénigrer aura disparu, de cette preuve de mon activité. On pense que Justin était un professeur de rhétorique. - source Ugo.brateli : source remacle, Livre XLIII Histoire ancienne de Rome et de Marseille. I. Après ce tableau de l'histoire des Parthes, de l'orient et de l'univers presque entier, Trogue Pompée rentre dans sa patrie, comme après un lointain voyage, pour tracer l'origine de Rome. Il se croirait citoyen ingrat, si, ayant mis au grand jour la vie de tous les peuples, il se taisait sur son pays. Il parle donc en peu de mots du berceau de Rome, de manière à ne pas franchir les bornes qu'il s'est tracées, et à ne pas taire non plus l'origine d'une ville qui est la capitale du monde. L'Italie eut pour premiers habitants les Aborigènes ; Saturne régna sur eux avec tant de justice, que sous son empire aucun homme ne fut esclave, aucun bien ne fut propre à personne ; toutes choses restèrent communes, et appartenaient par indivis à tous, comme un patrimoine commun. C'est pour perpétuer le souvenir de ces temps, qu'on a voulu que dans les Saturnales régnât une entière égalité, et que les esclaves prissent place à la table de leurs maîtres. L'Italie, du nom de son roi, fut d'abord appelée Saturnie ; et le mont qu'il habitait Saturnien. Là s'élève aujourd'hui le Capitole, comme si Jupiter eût chassé Saturne de sa demeure. Oeuvre complète de Justin, Abrégé de l'histoire universelle de Trogue Pompée, J.PIERROT & E.BOITARD, |
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JUSTIN de Naplouse |
- Justin de Naplouse, Justin Martyr ou Justin le Philosophe, né à Flavia Neapolis (actuelle Naplouse en Cisjordanie) vers le début du IIe siècle et mort (exécuté) à Rome vers 165, est un apologète et philosophe chrétien, auteur d'une œuvre rédigée en langue grecque, en grande partie perdue, à l'exception de deux Apologies et d'un Dialogue avec Tryphon, considérés comme des premiers jalons dans la séparation entre le christianisme et le judaïsme1.
Condamné pour avoir refusé de participer au culte d'idoles il est exécuté par décapitation vers 165. Il est ainsi également connu comme Justin Martyr, ou encore comme le premier philosophe chrétien. Il est vénéré comme saint par les chrétiens et fêté le 1er juin. .......................................suite sur wikipedia, Dans l'introduction de son Dialogue, Justin ancre sa foi chrétienne dans une perspective platonicienne de la vérité, où le christianisme constitue l'aboutissement de la connaissance de l'être divin. Mais cette connaissance ne peut pas tenir d'une contemplation passive : elle se découvre dans la pratique de la « justice ». Dans son Apologie, Justin éclaire cette pratique liée à la foi en soulignant particulièrement cinq vertus propres au christianisme : l'amour des ennemis, la patience, la chasteté, le respect de la vérité, et le courage face à la mort. Le caractère indissoluble qui rattache l'expérience vécue de la Charité à la connaissance du divin constitue pour Justin la « marque » essentielle de sa religion. Selon lui, la morale et l'amour dont témoignent les chrétiens dans leur mode de vie est la preuve que ceux-ci détiennent la « vérité ». Leur doctrine serait l'accomplissement de la destinée philosophique, qui consiste pour Justin dans la « quête de Dieu ». Pour Justin, Platon représente le « pont spirituel » par lequel l'intelligence peut accéder à la vérité des prophètes de l'Ancien Testament. Il s'agit donc de voir en Dieu la plénitude de l'Être unique et suprême que la philosophie recherchait en termes de logos. Toute l'histoire de l'esprit, toute l'entreprise de sa quête trouverait ainsi sa finalité dans le Christ, Logos incarné définitivement pour éclairer la conscience de l'homme (cf. prologue de l'évangile johannique). Le Christ est lui-même la Raison divine, dont la création jaillit, et qui s'incarne pour enseigner la vérité aux hommes. Après l'avoir défini comme le « législateur nouveau », voilà comment Justin explique sa crucifixion : les vrais philosophes sont toujours persécutés. On voit donc dans quel étroit rapport à la vérité Justin insère la philosophie. Dans sa perspective, l'objet de quête du philosophe est la vérité une et suprême, et la mission du philosophe est de servir cette vérité. Ce service n'est pas sans impliquer une lutte avec le « monde » (au sens chrétien), puisque selon lui, le gouvernement romain persécute les chrétiens pour leur foi. Voilà comment Justin exhorte les Romains dans sa « mission » :
Justin consacre une grande partie de ses Apologies à réfuter les accusations portées contre les chrétiens23. Sa défense se place sur le plan doctrinal. « D'une part il souligne les points communs qui font de la philosophie et du christianisme des alliés dans la lutte de la raison et de la vérité contre le polythéisme traditionnel ; d'autre part il s'attache à prouver que la doctrine chrétienne est supérieure à toutes les philosophies profanes "
- Textes : - remacle : Dialogue de Saint Justin avec le juif Tryphon, Introduction & Deuxième apologie, |
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JUSTINIEN | - Justinien ou Justinien le Grand (latin : Imperator Caesar Flavius Petrus Justinianus Sabbatius Augustus, grec ancien : Φλάβιος Πέτρος Σαββάτιος Ἰουστινιανός), né vers 482 à Tauresium, près de Justiniana Prima en Illyrie, et mort le 15 novembre 565 à Constantinople, est un empereur romain d'OrientN 1 ayant régné de 527 jusqu'à sa mort. Il est l'une des principales figures de l'Antiquité tardive. Que ce soit sur le plan du régime législatif, de l'expansion des frontières de l'Empire ou de la politique religieuse, il a laissé une œuvre considérable. D'origine modeste, il parvient au faîte du pouvoir grâce à l'action de son oncle et empereur Justin Ier dont il est l'un des principaux conseillers avant de devenir son successeur. Si son arrivée au pouvoir n'est pas sans troubles, puisqu'il doit faire face à la sédition Nika, il impose progressivement son autorité sur un Empire qui, depuis sa fondation, est constamment sur la défensive face aux assauts de nombreux adversaires et tente de faire perdurer l'héritage de Rome, au travers du projet de la « renovatio imperii » (restauration de l'Empire). Justinien est souvent considéré comme le plus grand empereur de l'histoire de l'Empire byzantin ou encore comme le dernier grand empereur romain, avant que l'Empire romain d'Orient ne commence à se différencier de l'Empire romain dont il est le continuateur direct. Il est le dernier empereur à chercher à rétablir l'unité et l'universalité de l'Empire romain, ce qui l'amène à mener des guerres expansionnistes, principalement en Italie et en Afrique, tout en défendant victorieusement les frontières contre les Perses ou les Slaves. Au-delà de ses succès militaires, il entreprend une œuvre de codification législative de grande ampleur qui influence profondément l'évolution du droit en Europe pour les siècles à venir. Très pieux, il intervient fortement dans les affaires religieuses. Son ambition de reconstituer un Empire romain universel se confond avec sa volonté d'une foi chrétienne unique et universelle. De ce fait, il est très actif dans la lutte contre les dissidences religieuses, usant parfois de l'oppression et parfois du dialogue, notamment avec les monophysites, même si ses résultats en la matière sont contrastés. Oeuvre législative et administrative : Le Code de Justinien ne constitue que la première partie du Corpus juris civilis. Dès 530, dans sa constitution Deo Auctore, Justinien charge les plus grands juristes de l'Empire sous la direction du questeur Tribonien de travailler sur les ouvrages des nombreux juristes de l'Empire romain, toujours dans la perspective d'unifier la doctrine. En 533, le Digeste (ou Pandectes, « l'œuvre qui contient tout ») est publié, qui simplifie, adapte et rationalise le droit antique et surtout sa jurisprudence, laissée de côté par le Code de Justinien. L'objet de ce texte, particulièrement volumineux (432 sections pour 150 000 lignes) est notamment de servir aux étudiants de droit, afin qu'ils puissent « y puiser dans une eau pure » Toujours en 532, un véritable manuel de droit est aussi écrit. Ce sont les Institutes, à destination des étudiants dont la caractéristique principale est d'être beaucoup plus court. Il s'appuie surtout sur les travaux de jurisconsultes comme Gaius et Ulpien. Dans le même temps, les études de droit sont réformées et sont concentrées à Constantinople, Rome et Beyrouth, tandis que des écoles jugées de mauvaise qualité sont fermées, comme à Alexandrie. Les études durent cinq années et se basent sur les grands textes du Corpus juris civilis. Les Institutes et une partie du Digeste sont étudiés dès la première année, dont les étudiants sont désormais appelés « nouveaux Justiniens » (Iustiniani noviN 11) et le Code justinien lors de la dernière année. Son Code incorpore régulièrement de nouveaux textes, les novelles, pour l'adapter aux évolutions contemporaines. En outre, celles-ci sont désormais rédigées en grec et non plus en latin, comme l'a été le Corpus juris civilis, pour les rendre facilement compréhensibles aux citoyens de l'Empire byzantin, consacrant la prédominance du grec sur le latin comme langue impériale. ...... ....... Source et suite sur wikipedia, - voir item DIGESTE ou Pandectes |
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JUVENAL | (en latin Decimus Iunius Iuvenalis) est un poète satirique romain de la fin du Ier siècle et du début du IIe siècle. Il est l'auteur de seize œuvres poétiques rassemblées dans un livre unique et composées entre 90 et 127, les Satires. ....
Les satires complet (html)
HADRIEN |
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KALEVALA | - Le Kalevala, aventure cosmique finnoise, cycle épique de 22 800 vers rassemblés au dix-neuvième siècle par Elias Lönnrot, constitue un poème unique au monde, dont les héros sont puissants non par la violence, mais par la force de leur verbe et par leur connaissance de la nature. L'aventure cosmique que constitue le Kalevala rassemble la geste de quatre héros: le barde éternel, mage et enchanteur, Vaïnämöinen; le forgeron Ilmarinen, le marteleur éternel; le facétieux Lemminkäinen, préposé au bonheur des jeunes filles et à la rencontre du masculin et du féminin; et enfin Kullervo, enfant prodigieusement doué à sa naissance, puis adolescent abandonné et finissant à la dérive. Ils personnifient les aspirations des peuples finnois à la paix, au respect mutuel, au bien-être et au bonheur de vivre. Le récit tourne autour du Sampo et de son couvercle doré, objets magiques qui assurent prospérité et vie sans souci à toute la communauté, qui ne peuvent être confisqués au seul profit de quelques-uns. Deux traits frappent clans la société décrite par le Kalevala: une société non urbanisée et non hiérarchisée; un univers à la fois simple et grandiose où l'homme vit des relations fraternelles avec son environnement terrestre. Tous les héros sont des magiciens; leur magie est claire, positive; elle guérit, elle construit, elle redonne vie aux corps déchiquetés. - Le Kalevala (ce qui signifie Pays de Kaleva, l'accent se portant sur la première syllabe) est un kaléidoscope de récits allant des mythes, des légendes, à d'autres plus héroïques, épiques ou lyriques, et qui sont pour une part indépendants les uns des autres. Le personnage principal est le barde Väinämöinen, magicien qui joue du kantele, l'instrument à cordes finlandais. Il est le fils d'Ilmatar, la déesse de l'Air et la mère de l'Eau. Le Kalevala commence avec un récit de création, où le ciel, la Terre, le Soleil et la Lune naissent d'œufs de canard qui sont déposés sur le genou d'Ilmatar. Väinämöinen apparaît dès le premier chant. D'autres personnages importants dans l'épopée sont le forgeron Ilmarinen et le guerrier Lemminkäinen. Ilmarinen a fabriqué le sampo, un objet merveilleux, un moulin, pour Louhi, la maîtresse du pays ennemi de Pohjola (le pays du nord), qui en échange a promis sa fille. Peu après, le sampo est enlevé de Pohjola par les héros de Kalevala et se casse durant cet épisode. Le sampo apporte prospérité et bien-être, même après avoir été brisé. La bataille pour cet objet est un fil rouge de l'épopée. - Le Kalevala, épopée nationale, Texte image, Gallica, voir première runo page 1 : Le texte, le Kalevala ...en finnois !!!!!!!!
Conférence de Tiina Kaartama, chargée de cours de littérature finnoise à l’INALCO et metteuse en scène.
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KAMA SUTRA cet item propose |
-Le Kamasutra (du sanskrit कामसूत्र Kāmasūtra, composé de काम Kama, « le désir »1, et de सूत्र sutra, « l’aphorisme », soit littéralement « les aphorismes du désir ») est un recueil indien traitant des diverses activités de ce que recouvre l'expression « vie privée » aujourd'hui, écrit entre les VIe et VIIe siècles, attribué à Vâtsyâyana. Faisant partie du Kâmashâstra qui désigne les ouvrages indiens spécialisés dans les arts amoureux et les pratiques sexuelles, ce recueil destiné aux classes aisées ne contient des illustrations qu'à partir d'éditions du XVIe siècle, notamment pour celle de l'empereur moghol illettré Jalâluddin Muhammad Akbar2.
Traduit pour la première fois en anglais en 1876 par Richard Francis Burton, le livre ne devint légal au Royaume-Uni qu'en 1963. Il est principalement connu dans le monde pour ses 64 positions sexuelles, bien qu'elles ne constituent qu'un des sept livres de l'ouvrage (sept parties, trente-six chapitres et mille cinq cent onze shloka3). .... Le Kamasutra est ainsi mis en parallèle avec le tantrisme et le hatha yoga, où des pratiques sexuelles (avec rétention de la semence) peuvent être mises en œuvre. Car, bien que le Kamasutra ne soit pas un ouvrage intégralement tantrique, il y a bien en son sein des passages qui appartiennent parfaitement à la philosophie tantrique, comme dans la citation suivante :
— Kama-Sutra, Vâtsyâyana source et suite sur wikipedia, - Ci-dessous : dont images à caractère érotique. Autorisation parentale requise. - Visite du Harem, sur maharadjah, images érotiques, - L'érotisme dans la statuaire des temples de l'Inde, sur ganapati, images érotiques, dont Khajuraho, .... aussi sur berdo, - Kamasutra, homosexualité, davidjeanfelix, images érotiques, - Kamasutra et Homoérotisme, source x ?, images érotiques, |
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KASSIEN Jean Jean CASSIEN |
- Ioannis Kassianos / Ιωάννης Κασσιανός / Ioannes Cassianus, appelé Jean Cassien en français, né vers 360 en Scythie mineure (actuelle Dobrogée roumaine), et mort en 435 à Marseille1, est un moine et homme d'Église méditerranéen qui a marqué profondément les débuts de l’Église en Provence au Ve siècle. Il est le fondateur de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.
Il a laissé une œuvre doctrinale importante, dont les Institutions cénobitiques (De Institutis cœnobiorum et de octo principalium vitiorum remediis, écrit vers 420) et les Conférences (Conlationes ou Collationes), ouvrages consacrés à la vie monastique, qui ont profondément influencé le monachisme occidental du Ve siècle à nos jours, notamment en raison de leur reprise dans la règle de saint Benoît, mais aussi parce qu'ils s'appuyaient sur l'expérience que fit Cassien du grand monachisme oriental, celui des déserts de Palestine et d’Égypte. Cassien établit un pont entre le monachisme d'Orient et celui d'Occident. Il est considéré en Occident comme étant à l'origine du semi-pélagianisme, doctrine condamnée lors du concile d'Orange, en 529. L'Église orthodoxe le vénère comme saint et Père de l'Église, sous le nom de Cassien le Romain.
source et suite sur wikipedia, - Jean CASSIEN : Bio, Traité de l'incarnation, Conférences 0 à 11, Institutions cénobites 1 à 13.
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Entretien sur l'œuvre de Jean Cassien (v. 360 - v. 435), moine d'Orient, disciple d'Évagre et de Jean Chrysostome, installé ensuite en Occident dont il a profondément marqué le monachisme. Au cours de l'émission sont lus des extraits tirés d'œuvres de Jean Cassien, sur les thèmes de la pureté du cœur, du jeûne et de la prière. Textes : Conférences (Sources chrétiennes nos 42, 54 et 64) ; Institutions cénobitiques (Sources chrétiennes no 109). |
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KHORENE, MOÏSE de |
- Moïse de Khorène, Movsès Khorenatsi ou Movsēs Xorenac‘i (en arménien Մովսես Խորենացի ; né vers 410, mort vers 490) est selon la tradition et une partie des spécialistes un historien arménien du Ve siècle, ainsi qu'un poète, un hymnodiste et un grammairien ; d'autres spécialistes, se fondant sur son œuvre, estiment cependant qu'il aurait vécu à une époque plus tardive, entre le VIIe et le IXe siècles, de telle sorte que ses dates biographiques sont encore l'objet d'une controverse non tranchée.(wikipedia), Moïse de Khorène naquit dans la seconde moitié du quatrième siècle, à Khorni, appelé aussi Khoronk, bourg assez considérable du canton de Daron. C’est le nom de son lieu de naissance qui a fait désigner Moïse par le surnom de Khorénatzi, et quelquefois Daronetzi (de Daron), que les Arméniens emploient pour le distinguer de ses homonymes (remacle) Son œuvre principale, une Histoire de l'Arménie, se distingue des écrits des autres historiens arméniens contemporains ou antérieurs en ce qu'elle intègre les traditions orales de l'Arménie païenne et retrace l'histoire arménienne des origines jusqu'au Ve siècle. Elle a valu à Moïse le titre de « père de l'histoire arménienne » (patmahayr). (wikipedia) Moïse de Khorène appartient à la classe des disciples de saint Sahag et de Mesrob, et fait partie du cycle des seconds traducteurs. On sait qu’il travailla à la version des Livres-Saints, que les Arméniens entreprirent de donner d’après le texte grec de la Bible des Septante. Quelques critiques lui attribuent, non sans raison, la traduction de la Chronique d’Eusèbe et la Vie d’Alexandre du Pseudo-Callisthène, ainsi que d’autres écrits. (remacle) - Introduction remacle, - Livres I, II, III, remacle - |
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LAËRCE Diogène | voir Diogène LAËRCE | ||||||||||||||||||||||
LAO TSEU | - Lao Tseu ou Laozi ou Lao Zi (chinois : 老子 ; pinyin : Lǎozǐ ; Wade : Lao³ Tzu³), plus communément appelé en Chine Tàishàng lǎojūn (太上老君, Tàishàng lǎojūn, « Seigneur suprême Lao »), de son vrai1 nom Li Er (李耳, Lǐ ěr), aurait été un sage chinois et, selon la tradition2, un contemporain de Confucius (milieu du VIe siècle av. J.-C. – milieu du Ve siècle av. J.-C., fin de la période des Printemps et Automnes). Il est considéré a posteriori comme le père fondateur du taoïsme. Il serait né dans le pays de Chu du royaume des Zhou et serait parti pour une retraite spirituelle vers l’ouest de la Chine actuelle avec une destination inconnue2. Les informations historiques le concernant sont rares et incertaines et sa biographie se développe à partir de la dynastie Han, essentiellement à partir d’éléments surnaturels et religieux ; quelques chercheurs sceptiques estiment depuis la fin du XXe siècle qu'il s’agit d’un personnage fictif ou composite, et non proprement historique3,4.
Le Tao Tö King (Livre de la Voie et de la Vertu) que la tradition lui attribue est un texte majeur du taoïsme, considéré comme important par d'autres courants également. Lao Tseu est considéré par les taoïstes comme un dieu (太上老君, Tàishàng lǎojūn, « Seigneur suprême Lao ») et comme leur ancêtre commun.
Il est représenté comme un vieillard à la barbe blanche, parfois monté sur un buffle. - source et suite sur wikipedia, - Tao Te King, Stanislas JULIEN, wikisource, & .free, - Le Tao Te King, le livre de la Voie et de la Vertu, JJ-L. DUYVENDAK, Uqac,
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LEONIDAS d'Alexandrie | - Léonidas d'Alexandrie vivait dans le premier siècle de notre ère, près de trois siècles après Léonidas de Tarente. Il est bien loin d'avoir le mérite de son prédécesseur : c'est tout à fait un poète de la décadence. Le surnom de Julien, qui lui est quelquefois donné, a fait croire qu'il était de l'illustre famille Julia. Ses épigrammes viennent en aide à sa biographie ; il nous y apprend qu'il naquit dans le pays du Nil, Οὐράνιον μίμημα, IX, 355, qu'il se rendit à Rome qu'il y professa la grammaire, ἦν ὁπότε γραμμαῖσιν, IX, 344, qu'il vécut jusqu'aux règnes de Vespasien et de Titus, ῞Υδατα σοι Κοτίλεια, IX, 349. Ses épigrammes ont une étrange singularité : elles sont pour la plupart isopsèphes, ἰσόψηφα, c'est-à-dire que, chaque lettre étant prise pour un signe numéral, pour un chiffre, ψῆφος, ses distiques représentent des sommes semblables. Le savant Meineke, qui a vérifié le compte notamment de l'épigramme Λύκτιον ἰοδόκην, VI, 326, a trouvé 5982 pour somme de chaque distique. N'est-ce pas le cas de dire avec Martial : Turpe est difficiles habere nugas (1) ? N'est-ce pas une insigne profanation de la poésie ?
Les épigrammes des deux Léonidas ont été réunies et éditées par Meineke et forment une curieuse monographie. - source et suite remacle, - Ce poète qui était aussi un remarquable grammairien vécut à la cour de Néron et composa un recueil d'épigrammes, dédié à l'empereur, intitulé Les Grâces, et dont sont issues quelques épigrammes de l'Anthologie. Ce poète est surtout resté célèbre par sa virtuosité versificatrice et ses acrobaties syntaxiques qui, par ailleurs, n'ont rien ajouté au prestige de l'épigramme. source et suite ucl ac be, La Muse Garçonnière, Anthologie Palatine, Livre XII XII, 20 Zeus fit très bonne chère auprès des Ethiopiens ;
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Lipit-Ishtar | - Lipit-Ishtar ou Lipit-Ištar est le cinquième roi de la Ire dynastie d'Isin. Son règne est situé vers 1934-1924 av. J.-C1. Son prédécesseur est Išme-Dagan (vers 1953-1935) et son successeur est Ur-Ninurta (vers 1923-1896)1. C'est le premier roi d'Isin à devoir faire face à la concurrence de Larsa alors menée par le roi Gungunnum1. Ce dernier s'empare notamment d'Our en 1925 av. J.-C. Cet événement constitue une grave défaite pour Isin qui perd son accès au golfe Persique et les revenus liés au riche commerce du port d'Our1. Il est principalement connu grâce à des hymnes en sumérien écrits en son honneur, ainsi qu'en raison d'un texte de lois, le Code de Lipit-Ishtar, qui précède le Code de Hammurabi de près de 150 ans - Le Code de Lipit-Ishtar (ou les lois de Lipit-Ishtar) est un recueil législatif de la Mésopotamie ancienne, rédigées durant le règne de Lipit-Ishtar (vers 1934-1924 av. J.-C.), roi de la cité d'Isin qui dominait alors une grande partie du sud de la Mésopotamie. Ce texte a été rédigé en sumérien, langue littéraire de l'époque, bien qu'elle ne fût alors sans doute plus parlée. Il s'agit du deuxième plus ancien recueil législatif mésopotamien connu, après le Code d'Ur-Nammu, lui aussi rédigé en sumérien. Le recueil de lois de Lipit-Ishtar peut être qualifié de « Code » car il comporte un prologue et un épilogue encadrant les dispositions législatives, tout comme le Code d'Ur-Nammu et le Code de Hammurabi, son plus illustre successeur. Ce texte est connu par un peu plus d'une douzaine de fragments de tablettes scolaires, la plupart exhumés à Nippur, l'un des plus prestigieux centres intellectuels sumériens, et également une ville importante pour l'enseignement du droit ; d'autres exemplaires proviennent sans doute de Kish et de Sippar. Le prologue et l'épilogue font de ce texte une inscription à la gloire de Lipit-Ishtar, dont les mérites sont vantés. Le prologue explique comment le roi fut choisi par les grands dieux sumériens pour régner, comme le veut l'idéologie mésopotamienne, et comment il se vit assigner pour tâche de faire triompher la justice et l'harmonie sociale, après avoir rétabli la liberté des habitants des cités de Sumer et d'Akkad et l'ordre. L'épilogue commence par une louange renouvelée au sens de la justice du roi, illustré par les lois, et s'achève par des malédictions proférées contre ceux qui altéreraient l’œuvre du roi. On y apprend également que le texte était à l'origine inscrit sur une stèle, tout comme le Code de Hammurabi. Les « lois » connues actuellement sont un peu moins de 50, mais une grande partie du texte est sans doute perdue. Il ne s'agit pas de lois au sens moderne du terme, mais plutôt de décisions de justice rendues par le roi qui ont été mises par écrit et compilées pour ensuite servir d'exemple au cours de futures affaires. Elles traitent différents sujets, qui se retrouvent dans les autres recueils législatifs mésopotamiens : locations d'animaux, de champs ou de bateaux, affaires familiales (héritage, adoption, mariage), faux témoignage, esclaves fugitifs. |
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LONGUS | - Longus (appelé parfois également Longos) est un auteur grec qui a probablement vécu au IIe ou IIIe siècle de notre ère, connu pour son roman Daphnis et Chloé.
On ne sait pratiquement rien sur Longus. On présume qu'il est né à Lesbos et qu'il a vécu à l'époque d'Hadrien. On lui attribue le roman intitulé Daphnis et Chloé, parfois présenté sous le titre de « Pastorales de Longus ». Dans le bref prologue, l'auteur met en scène la conception de son roman en se montrant inspiré par un tableau vu à Lesbos, dans le bois sacré des Nymphes ; mais ce prologue fait tout autant partie de la fiction que l'intrigue du roman proprement dit, selon un procédé que l'on retrouve dans d'autres prologues de romans grecs (par exemple Leucippé et Clitophon d'Achille Tatius), et on ne peut pas en déduire avec certitude que Longus était lui-même originaire de Lesbos. source et suite sur wikipedia,
+ dossier .... le roman grec .... - Traité du sublime, sur remacle, pseudo LONGIN Il y a pour ainsi dire, cinq sources principales du sublime: mais ces cinq sources présupposent, comme pour fondement commun, une faculté de bien parler ; sans quoi tout le reste n'est rien. Cela pose, la première & la plus considérable est une certaine élévation d’esprit qui nous fait penser heureusement les choses : comme nous l’avons déjà montré dans nos commentaires sur Xénophon. La seconde consiste dans le pathétique: j'entends par pathétique, : ...suite sur remacle, Chap VI, HADRIEN |
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Luc Evangéliste | Luc l'évangéliste ou saint Luc, du grec ancien Λουκᾶς, Loukas (Lucas), est un personnage dont on sait peu de chose mais qui a rédigé une partie du Nouveau Testament. La tradition chrétienne le considère comme l'auteur de l'évangile qui porte son nom, ainsi que des Actes des Apôtres. Cette hypothèse est admise par le consensus historien. Le christianisme le présente à partir du IIe siècle comme un Syrien d'Antioche, médecin de profession et disciple de Paul. Si cette thèse est aujourd'hui rejetée par la majorité des historiens, il n'en reste pas moins que Luc défend Paul contre ses détracteurs, afin de prouver qu'il mérite aussi bien que Pierre le titre d'apôtre, et se fait un ardent propagateur de ses idées, spécialement en ce qui concerne la justification (ou le salut) par la foi. Patron des : suite sur wikipedia, - voir Fiche S (Sculpteur) Saint Luc, Lukas, sur gaogoa 1 & 2 (.pdf) + p7 Sur les Icônes |
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LUCAIN | - Lucain (en latin Marcus Annaeus Lucanus), né le 3 novembre 39 à Cordoue, en Hispanie ultérieure, et mort le 30 avril 65, est un poète latin dont la seule œuvre conservée, La Pharsale, est une épopée sur la guerre civile ayant opposé Jules César à Pompée entre 49 et 48 av. J.-C. Il se suicide à 25 ans, sur l'ordre de Néron. - Issu d’une famille équestre de lettrés: petit-fils de Sénèque le Rhéteur, fils d'Annaeus Mella et neveu de Sénèque le Jeune (le philosophe). Vers 40, la famille de Lucain va à Rome et il y reçoit une éducation digne de l'élite romaine. Il est notamment l'élève du philosophe stoïcien Lucius Annaeus Cornutus aux côtés du poète satirique Perse. Après des études supérieures à Athènes, il revient à Rome entre autres à la demande de l'empereur Néron. Grâce au crédit de son oncle et à son talent précoce, il gagne un temps les faveurs de Néron qui lui octroie à titre honorifique la questure puis l'augurat en 59. L'empereur lui donne aussi la palme lors des jeux néroniens de l’année 60 pour avoir présenté un poème d'éloge à son sujet. En 62 ou 63, il publie les trois premiers livres de son épopée le Bellum civile (« La Guerre civile »), que la tradition a pérennisé sous le titre de Pharsale. ........
- La Pharsale, Lucain, Garnier, 1865, Trad Marmontel, sur remacle, : Livre I, / Liv II, III, IV, V, VI, VII, VIII, IX & X Exposition du sujet, la guerre civile entre César et Pompée. - Reproches que le poète adresse aux Romains, à propos de cette fureur qui les arme les uns contre les autres, quand ils ont tant de raisons d'entreprendre d'autres guerres. - Il faut se consoler pourtant de ces malheurs, et s'en réjouir si les destins n'ont pas trouvé d'autre voie pour amener le règne de Néron. - Apothéose anticipée de Néron ; basse flatterie. - Énumération des causes particulières ou générales de la guerre civile.
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LUCIEN | Lucien de Samosate (en grec ancien Λουκιανὸς ὁ Σαμοσατεύς / Loukianòs ho Samosateús), né vers 120 et mort après 180, est un rhéteur et satirique de Commagène, en Anatolie, qui écrivait en grec, dans un style néo-attique. Lucien naquit à Samosate, capitale de la Commagène, province de Syrie. Ses parents le destinaient à la profession de sculpteur, mais il abandonna le maître à qui on l'avait confié, frère de sa mère, dès la première leçon. Il s'adonna tout entier à l'étude des belles-lettres, et il fut en état de tirer parti de ses talents. Jusqu'à l'âge de quarante ans, il se borna à plaider ou à donner des leçons de rhétorique, d'abord à Antioche, puis à Athènes. C'est alors qu'il commença à écrire pour le public et à voyager. Il vint en Italie et y fit un assez long séjour. Il passa de là dans les Gaules, puis en Asie Mineure. Enfin, il se fixa en Égypte, où l'empereur Marc Aurèle lui assigna d'importantes fonctions administratives et judiciaires. C'est à Alexandrie probablement qu'il mourut, dans les premières années du règne de Commode. Le corpus contient 85 opuscules. Néanmoins, on soupçonne plusieurs travaux apocryphes, la critique moderne et les savants sont plus ou moins divisés sur la certitude de certains travaux (les hypercritiques du XIXe siècle considéraient un tiers de l'œuvre comme pseudépigraphe). Les textes attribués à tort (certainement ou probablement) à Lucien sont l'Alcyon, les Amours, l'Âne ou Loukios, le Charidemus, le Cynique, les Longues Vies, l'Okypous, le Traité sur la danse, l'Éloge de Démosthène, Néron et Philopatris, le Soléciste. Un ouvrage important écrit en dialecte ionien, De Dea Syria (La Déesse syrienne), décrit ce qu'il a connu du culte d'Atargatis à l'époque romaine, dans la ville sacrée d'Hiérapolis de Syrie. Oeuvres complètes :
- Lucien de Samosate, ou plus généralement Lucien, est un auteur satiriste grec. Ses Voyages extraordinaires sont considérés comme les premiers textes de science-fiction car ils traitent, sur le mode humoristique, de rencontres au-delà du réel. Son style, fantaisiste, est unique dans la littérature grecque. - Lucien de Samosate sur remacle, Oeuvres complètes, le prince du gai savoir, Dialogues des morts, 27, source ugo.bratelli, : Antisthène. Allons, Diogène : ce sera un amusant spectacle de voir les uns pleurer, les autres supplier qu’on les lâche, quelques-uns descendre à grand-peine, quoique Mercure les pousse par le cou, puis se révolter, se coucher sur le dos, toutes résistances inutiles. Cratès. Et moi, j’achèverai de vous raconter, en route , ce que j’ai vu quand je suis descendu. Diogène. Raconte-nous cela, Cratès : il me semble que ton récit va nous donner à rire. 2. Cratès ..... HADRIEN |
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LUCRECE | (99-55 avant J.C.) Titus Lucretius Carus C’est essentiellement grâce à lui que nous connaissons l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité, l'épicurisme, car des ouvrages d’Épicure, qui fut beaucoup lu et célébré dans toute l’Antiquité tardive, il ne reste pratiquement rien, sauf trois lettres et quelques sentences. Il vit dans une époque troublée par les guerres civiles et les proscriptions (massacres de Marius, proscriptions de Sylla, révolte de Spartacus, conjuration de Catilina). De là, les pages sombres du De rerum natura sur la mort, le dégoût de la vie, la peste d’Athènes, de là aussi sa passion anti-religieuse qui s’en prend avec acharnement aux cultes et aux prêtres, passion que l’on ne retrouve pas dans les textes conservés d’Épicure, même si celui-ci critique la superstition et même la religion populaire. Il explique de façon matérielle les objets et le vivant, qui prennent forme via des combinaisons d'atomes. À l'année 96 ou 94 suivant les manuscrits, il est écrit : « Le poète Titus Lucretius naît. Rendu fou par un philtre d'amour, il rédigea dans ses moments de lucidité quelques livres que Cicéron corrigea par la suite. On raconte (mais ce point est loin d'être prouvé) qu'il se serait suicidé après avoir été rendu fou par un philtre d'amour, dans sa quarante-quatrième année. source sos philosophie. - Clinamen, philo5, - LUCRECE, De la Nature, Introduction de H.CLOUARD, sur ugo.bratelli, .pdf de 15,8 M° - LUCRECE, De la Nature, source et suite sur remacle, Livres 1 à 6, trad H-CLOUARD, Livre 1 : [1,80] Mais tu vas croire peut-être que je t'enseigne des doctrines impies, et qui sont un acheminement au crime; tandis que c'est la superstition, au contraire, qui jadis enfanta souvent des actions criminelles et sacrilèges. Pourquoi l'élite des chefs de la Grèce, la fleur des guerriers, souillèrent-ils en Aulide l'autel de Diane du sang d'Iphigénie! Quand le bandeau fatal, enveloppant la belle chevelure de la jeune fille, flotta le long de ses joues en deux parties égales; quand elle vit son père debout et triste devant l'autel, [1,90] et près de lui les ministres du sacrifice qui cachaient encore leur fer, et le peuple qui pleurait en la voyant; muette d'effroi, elle fléchit le genou, et se laissa aller à terre. Que lui servait alors, l'infortunée, d'être la première qui eût donné le nom de père au roi des Grecs? Elle fut enlevée par des hommes qui l'emportèrent toute tremblante à l'autel, non pour lui former un cortège solennel après un brillant hymen, mais afin qu'elle tombât chaste victime sous des mains impures, à l'âge des amours, et fût immolée pleurante par son propre père, [1,100] qui achetait ainsi l'heureux départ de sa flotte: tant la superstition a pu inspirer de barbarie aux hommes ! La superstition engendre la crainte, obstacle à la vérité [1,102-126] |
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LYCOPHRON | - Lycophron de Chalcis (en grec ancien Λυκόφρων ὁ Χαλκιδεύς / Lukóphrôn ho Khalkideús) est un poète grec du IVe siècle av. J.-C., né dans les années 320 av. J.-C. à Chalcis en Eubée.
Selon la Souda, il vécut en Égypte, à la cour de Ptolémée II. Il fit un grand nombre de tragédies et de poésies diverses. Il était considéré selon le canon alexandrin comme l'un des sept poètes de la Pléiade tragique et de la Pléiade poétique. Ses tragédies étaient fort appréciées, notamment par le philosophe Ménédème d'Érétrie1, bien que Lycophron l'ait ridiculisé dans sa pièce satyrique Ménédème, dont il nous reste cinq lignes. ....... Alexandra est une longue prédiction des malheurs réservés à la cité de Troie et aux Grecs venus l'assiéger après l'enlèvement d'Hélène par le frère de Cassandre (Pâris Alexandre), qui se dirige vers Sparte au moment où elle profère ses sinistres prophéties, comme l'explique le messager venu les rapporter à Priam et dont la récitation mot pour mot du « dit d'Alexandra » à son maître constitue le corps du poème. Cette « litanie rapportée » est écrite dans un style « oraculaire », énigmatique et difficile (vocabulaire, syntaxe, références mythologiques, énigmes, anagrammes, assonances, allitérations, allusions à d'autres artifices tels que les palindromes et à la tradition du boustrophédon…) par un Lycophron évidemment au fait de tous ces événements « alors à venir ».
- Alexandra, Bnf, en grec
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LYSIAS | - Lysias (en grec ancien Λυσίας), né en 458 ou en 440, mort vers 380, est l'un des dix orateurs attiques retenus par le Canon alexandrin. Né à Athènes la deuxième année de la quatre-vingtième olympiade selon le Pseudo-Plutarque3, c.-à-d. en 458, ou en 4404, Lysias est un métèque. Son père, qui s'appelle Céphale, est un marchand d'armes syracusain appelé à Athènes par Périclès pour y fonder une importante fabrique d'armes, laquelle employa plus de 120 esclaves assurant une coquette fortune à la famille5. Il apparaît en vieillard heureux dans les premières pages de la République de Platon. Lysias par la suite devint isotèle, c'est-à-dire étranger privilégié. Il est élevé avec les fils de la haute société athénienne puis à quinze ans part à Thourioi rejoindre la colonie nouvellement fondée en Grande-Grèce, où il étudie la rhétorique. Cependant l'échec en 412 de l'expédition athénienne en Sicile l'encourage à rentrer à Athènes. Il y exerce le métier de rhéteur et exploite avec son frère Polémarque la fabrique familiale de boucliers. Ils acquièrent ainsi une fortune qui leur attire des ennuis sous la dictature des Trente Tyrans, les oligarques étant en manque d'argent. Tous deux sont arrêtés (404) comme suspects : Lysias réussit à s'échapper à Mégare mais son frère est condamné à boire la ciguë. Il rend de grands services aux démocrates de Phylè en leur fournissant de l'argent (2000 drachmes), des boucliers (200), et environ 300 mercenaires (qu'il enrôle à ses frais), participant ainsi au rétablissement de la démocratie6. Pour le récompenser de ses services, une fois la démocratie restaurée, Thrasybule propose de lui accorder le droit de cité. La mesure est votée au peuple, mais la procédure normale n'ayant pas été respectée (le décret est porté devant l'assemblée sans passer par le Conseil), le décret est rapporté. Lysias restera isotèle. En 403, il intente un procès au meurtrier de son frère, Ératosthène, l'un des Trente Tyrans. Cette affaire met en relief son talent d'orateur, et dès lors il se fait logographe. L'essentiel des discours conservés semblent postérieurs à cette date. Le discours Contre Ératosthène (l'un des Trente, responsable de la mort de son frère), est le seul qu'il ait prononcé lui-même. Les autres ont été écrits pour des clients, à charge pour eux ensuite de le prononcer, à l'occasion de procès de plus ou moins grande importance : dans l'un d'eux, par exemple (Pour l'invalide), un vieillard plaide pour que l'État lui maintienne sa petite pension d'indigent. source et suite wikipedia, Les discours : LYSIAS, Table des matière remacle,
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Lysis de Tarente | Lysis de Tarente (mort v. 390 av. J.-C.) était un philosophe grec pythagoricien, qui échappa à la destruction de l'école pythagoricienne de Sicile et d'Italie du Sud avec son collègue Archippe de Tarente et Philolaos de Crotone, lors de la seconde révolution anti-pythagoricienne (autour de -450), 50 ans après la première révolution où Pythagore lui-même avait connu la mort selon certains doxographes[1]. Il trouva refuge à Thèbes auprès de Polymnis, le père d'Épaminondas, auquel il donna une éducation toute pythagoricienne, ce qui l'aida à se forger un esprit droit et bon stratège. Il mourut à Thèbes.
On lui attribue aussi cette parole, mise par d'autres dans la bouche de Pythagore, qu'il faut à tout prix et par tous les moyens écarter du corps la maladie, de l'âme l'ignorance, du ventre la luxure, de la cité la sédition, de la famille la discorde, et enfin de toutes choses l'excès. (V. Br.). Les vers d'or, source google, |
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MAGIE | - La magie est une pratique fondée sur la croyance en l'existence d'êtres, de pouvoirs et de forces occultes et surnaturels, permettant d'agir sur le monde matériel par le biais de rituels spécifiques.
Dans de nombreuses cultures, les moyens mis en œuvre par la magie en tant que science occulte s’opposent aux religions établies ainsi qu'à de nombreux raisonnements scientifiques. Les évolutions des connaissances scientifiques, qui donnent des explications aux phénomènes comme la foudre, les mouvements des planètes, ou les réactions chimiques, se sont progressivement opposées .à la croyance en la magie - Le mot « magie » désigne tantôt une technique (les arts magiques), tantôt des procédés, des opérations, tantôt une action, un effet, mais cela n'est pas si gênant. Par exemple, la magie de Merlin concerne soit l'art magique (art occulte : Merlin connaît et pratique des procédés occultes pour produire des effets merveilleux), soit des procédés magiques (techniques occultes : Merlin utilise des formules secrètes), soit des effets magiques (puissances mystérieuses : Merlin rend invisible). -
source et suite sur wikipedia, |
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MAGIE HELLENISTIQUE | - La magie hellénistique, selon la définition de Pline l'Ancien, se base sur trois écoles : la médecine, la religion et l'astrologie.
L'intérêt pour la magie à l'époque hellénistique est important. Les recherches sur le sujet situent les origines de la magie dans l’Égypte pharaonique où les premiers praticiens de la magie écrivirent les Physika, ouvrages présentant les règles de la magie et les vertus apportées par la nature. Ces connaissances se seraient donc étendues vers l'Orient jusqu'à finalement s'implanter dans le monde romain. source et suite sue wikipedia,- - ARTS DIVINATOIRES, GUERISSEURS, MEDICASTRES, CHAMAN, HERMES, |
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MANILIUS | - Marcus Manilius ou simplement Manilius, est un poète et astrologue latin d'origine berbère probablement né en Afrique du Nord qui, vers l'an 10 (dans les dernières années du règne de l'empereur Auguste), écrivit un poème didactique en cinq livres sur l'astronomie ancienne et l'astrologie, Les Astronomiques (Astronomica en latin), s'inspirant des Phénomènes du poète grec Aratos. Il est le premier écrivain de langue latine de Berbérie -
source et suite sur wikipedia,
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Marcus Ælius Aurelius Verus |
-Marc Aurèle (né le 26 avril 121 à Rome et mort le 17 mars 180, probablement à Vindobona) est un empereur romain, ainsi qu'un philosophe stoïcien qui dirige l'Empire romain à son apogée. Il accède au pouvoir le 8 mars 161 et règne jusqu'à sa mort qui correspond à la fin de la Pax Romana. Marcus Annius Verus (initialement Marcus Catilius Severus) prend, après son adoption par l'empereur Antonin le Pieux, le nom de Marcus Ælius Aurelius Verus. En tant qu'empereur, il se fait appeler Cæsar Marcus Aurelius Antoninus Augustus. En tant que philosophe stoïcien, il est notamment connu pour sa politique favorable aux écoles philosophiques, à l'éducation des femmes et pour avoir écrit Pensées pour moi-même. source wikipedia, Position dans le courant stoïcien, - Sur France Culture 9 émissions consacrées à Pensées pour moi-même, - Wikipedia, - MARC-AURÈLE : Table des Matières sur remacle, Introduction et Livres I à XII Livre I : Exemples que j’ai reçus de mon grand-père Verus : la bonté et la douceur, qui ne connaît point la colère. II Du père qui m’a donné la vie : la modestie et la virilité, du moins si je m’en rapporte à la réputation qu’il a laissée et au souvenir personnel qui m’en reste. III De ma mère : la piété et la générosité ; l’habitude de s’abstenir non pas seulement de faire le mal, mais même d’en concevoir jamais la pensée ; et aussi, la simplicité de vie, si loin du faste ordinaire des gens opulents. suite sur remacle, - Pensées pour moi-même, (format PDF avec "Image sur texte", 6 Mo), source ugo.bratelli, |
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MARCELIN Ammien | - Ammien Marcellin (en latin, Ammianus Marcellinus), né vers 330 à Antioche-sur-l'Oronte et mort vers 395 (au plus tard en 400) probablement à Rome, est l'un des plus importants historiens de l'Antiquité tardive avec Procope de Césarée. Quoique d'origine grecque, il a écrit en latin et a été le dernier grand historien de l'Antiquité à utiliser cette langue. C'est aussi l'un des derniers auteurs païens d'importance. Son œuvre principale, Res gestae, couvre la période de 96 à 378 ap. J.-C. Seule la partie correspondant aux années 353 à 378 a été conservée ; elle traite de la période où commencent les grandes invasions, qu'il vit comme militaire sous les empereurs Constance II et Julien. Partie la plus détaillée de l'œuvre, elle comprend dix-sept des trente et un livres des Res gestae originelles. Il s'efforce d'être objectif, bien que certaines de ses positions soient clairement exprimées. Il juge sévèrement le règne de Constance II, mais manifeste une grande admiration pour Julien. Son œuvre demeure une source essentielle pour comprendre le IVe siècle. - À la naissance d'Ammien, Constantin Ier règne depuis de nombreuses années déjà sur l'Empire romain réunifié. Le contrôle des frontières est, de façon globale, assuré et, dans les derniers mois de sa vie, Constantin Ier prépare une campagne contre l'Empire perse des Sassanides, le grand rival de Rome au Proche-Orient ; sa mort, le 22 mai 337, l'empêche de réaliser ce projet1. L'Empire romain passe au cours du règne de Constantin Ier par une période de profonde mutation sur le plan religieux. Le christianisme, réprimé jusqu'alors, s'affirme de plus en plus et devient religion d'État sous Théodose Ier en 3802. Le paganisme, terme recouvrant des croyances religieuses diverses allant du culte romain traditionnel aux différents courants du néoplatonisme, n'est plus pratiqué que par une minorité de gens de plus en plus réduite. L'Empire romain s'affirme de plus en plus comme chrétien, où l'empereur est considéré comme le vicaire de Dieu sur la terre. Le rapport du politique au religieux prend une signification nouvelle3. Des problèmes d'un genre nouveau surgissent avec la christianisation progressive de l'État et de la société. La doctrine chrétienne n'étant pas encore totalement fixée, de nombreux schismes et hérésies éclatent, ces dernières portant surtout sur la nature du Christ, comme l'hérésie arienne. Au début du IVe siècle, à Alexandrie, le prêtre Arius professe que le Fils n'est pas l'égal du Père. L'arianisme, constitué de différents courants, se répand rapidement dans l'Est de l'empire alors qu'il est sévèrement condamné à l'Ouest. Différentes questions se rattachant à cette nature, notamment celle « de la » ou « des » énergie(s) enflamment les théologiens et les différentes couches de la société. Constance II, seul empereur à partir de 353, doit tout au cours de son règne non seulement lutter contre le paganisme mais tenter de maintenir l'unité d'une Église confrontée au schisme donatien et à l'hérésie arienne.
livres XIV-XVI : La chute de Constantius Gallus. La nomination de Julien comme César en Gaule et ses premiers succès ;
- Histoire de Rome, Livres XIV à XXXI, sur ucl.ac.be,
- Fiche Ammien MARCELIN, sur remacle,
- Histoire de Rome, source wikisource,
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MARTIAL | Martial (en latin Marcus Valerius Martialis), né vers 40, au mois de mars, et mort vers 104 à Bilbilis, province de Saragosse, en Espagne, est un poète latin, connu pour ses Épigrammes, dans lesquelles il dépeint la société romaine de son temps. À l’époque de Martial, l’empereur Domitien intervenait énormément dans le quotidien des Romains : il avait décidé, par exemple, de faire organiser des combats de gladiateurs annuels à des fins stratégiques. Ainsi Martial évoque-t-il, dans son œuvre, souvent dans un registre épidictique, les décisions impériales mais aussi les proches de l’empereur, comme l’avocat Regulus, également ami du poète. Si Martial va jusqu’à dire que l’empereur est le seul « vrai Jupiter », il le flatte aussi indirectement à travers d’habiles critiques. Cependant, l’empereur ayant senti quelques pointes dans l’œuvre du poète, ce dernier ne s’est jamais vu accorder les privilèges qu’il demandait. Martial est l’auteur d’un recueil d’Épigrammes composé de plus de 1500 poèmes de taille variable, répartis en 15 livres : un livre sur les spectacles, 12 livres d’épigrammes et 2 livres de distiques (Xenia et Apophoreta) qu'il a publiés via des librairies entre 85 et 102. Toutefois, la chronologie des textes n’est pas respectée dans les éditions actuelles : le livre I, Liber spectaculorum, a bien été publié en premier mais les Xenia et Apophoreta (livres XIV et XV ou XIII et XIV selon les éditions) auraient été écrites dans la foulée du livre I. Au Moyen Âge, les Épigrammes ont été censurées; cependant, les moines copistes continuèrent à reproduire ces textes ce qui leur a permis d'atteindre la postérité. Epigrammes : .... Le corps de l'homme est aussi un sujet cher à Martial, qui pensait que notre corps exprime ce que l'on est vraiment : il s'agit alors d'évoquer, entre autres, des édentés, des borgnes, des chauves ainsi que des odeurs déplaisantes. Il dénonce, en outre, les subterfuges de certains pour changer leurs apparences. Lié à la thématique corporelle, le sexe trouve une place importante chez Martial qui critique indifféremment les hommes, les femmes, ainsi que les relations maître/esclave, souvent homosexuelles (terme et catégorie qui n'existaient pas à l'époque !). Ces épigrammes ont souvent une chute comique et sont destinées à faire passer des rumeurs, parfois infondées, la plupart du temps contre un concurrent qu'il apprécie peu. Martial ne théorise pas et n'est pas un grand penseur mais il suit une philosophie s'inspirant de l'épicurisme : « Jouir de la vie et la vivre pleinement ». Il dit dans certaines épigrammes : « Pour être aimé, il faut aimer ». Quant à lui, il mène une vie champêtre avec des plaisirs simples. Les Épigrammes de Martial abordent donc divers thèmes, dont nous n'avons mentionnés que les principaux, le plus souvent regroupés selon les livres et représentatifs de la société romaine contemporaine. Cependant leurs sujets sont traités avec ironie et légèreté pour plaire au lecteur, même si, dans le livre XII, rédigé après son retour en Espagne, le ton de Martial, touché par la solitude, laisse penser qu'il regrette Rome, source de son inspiration. - wikipedia, Martial, Oeuvres complètes, sur remacle, - Livre II : (12.) CONTRE POSTHUME. "Pourquoi donc tes baisers sont-ils parfumés d'ambre ? (62.) "Le fait que tu t'épiles la poitrine, les jambes, les bras ; le fait que ta verge tondue n'est entourée que de fins poils, tu le fais, Labienus - qui ne le sait pas ? - pour ta maîtresse. Mais quel est ton but, Labienus, quand tu t'épiles le cul ?" HADRIEN |
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MATERNUS Julius Firmicus |
- Julius Firmicus Maternus est un écrivain latin du IVe siècle apr. J.-C. né et ayant vécu à Syracuse (Sicile). - Il a compilé vers 330 apr. J.-C. un ouvrage en huit livres sur l'astrologie : la Mathesis (ou les Matheseos libri octo). Imprimé en 1501 par Alde Manuce, cet ouvrage a été réédité récemment en trois volumes par les Belles Lettres (voir bibliographie). Wilhelm Knappich a écrit1 que la Mathesis est « le seul traité latin d'astrologie qui ait été entièrement conservé ». Bien qu'étant assez confus - on peut même dire que les contradictions y pullulent - en raison de la multiplication des sources compilées (notamment Marcus Manilius, Claude Ptolémée, Dorothée de Sidon, d'anciens traités gréco-égyptiens faisant référence à Hermès Trismégiste ainsi que des sources chaldéennes), la Mathesis servit longtemps de base aux astrologues occidentaux2. Firmicus Maternus présente dans le livre III de la Mathesis le Thema Mundi3 et donne dans le livre VIII une signification à chaque monomère (indiquant un sens pour chaque degré de l'écliptique)4. Converti au christianisme, Julius Firmicus Maternus a rédigé vers 348 apr. J.-C. un Traité de la fausseté des religions profanes (De errore profanarum religionum), publié d'ordinaire avec Minucius Felix, et imprimé séparément par F. Munster, Copenhague, 1827. Ce dernier ouvrage a également été réédité par Les Belles Lettres sous le titre L'erreur des religions païennes (voir Bibliographie). En 1935, l'union astronomique internationale a donné le nom de Firmicus à un cratère lunaire. source et suite sur wikipedia,
- De l'erreur des religions profanes, source remacle, - Mathesis, source Bnf, en latin et divers liens pour ce texte, mais toujours du latin .... |
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MAXIME de Tyr CASSIUS MAXIMUS TYRIUS |
- Maxime de Tyr (en latin Cassius Maximus Tyrius, en grec ancien Mάξιμος Τύριος / Máximos Túrios) est un philosophe et rhéteur grec du IIe siècle, contemporain des derniers empereurs Antonins. - Textes : XII : Qu'est-ce que la Science ? (Tel est le sujet du Traité de Platon, intitulé, le Théaetète. ) recherchons ce que c'est, pour l'homme, que savoir, que connaître, qu'apprendre; et toutes autres expressions de ce genre, par lesquelles on place l'âme dans un état de contemplation. HADRIEN |
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Mazda, Mazdéisme |
-Ahura Mazda, Ahura Mazda (du vieux-perse ?? / Auramazdâ (« Seigneur de la Sagesse ») en persan اهورامزدا) est la divinité centrale de l'ancienne religion mazdéenne. Le zoroastrisme, du nom de Zoroastre/Zarathoustra, est, selon les auteurs, un autre nom pour mazdéisme[2], ou bien une réforme du mazdéisme. Le zoroastrisme est la forme monothéiste sous laquelle s'est répandue cette religion, qui possède encore des fidèles. |
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MEDECINE & PHARMACIE |
- - Histoire de la médecine : Dr Aly ABBARA, source aly-abbara, - Histoire de la folie, COLLÉE Michel, sur histoiredelafolie, - Médecine Antique, source cosmovisions, - Médecine, source wikipedia, - Histoire de la médecine, wikipedia, - Médecine en Grèce antique, wikipedia, - Médecine durant l'Antiquité romaine, wikipedia, - Médecine dans l'antiquité, les Ecoles médicales : Introduction, la secte dogmatique, la secte empirique, la doctrine d'Asclépiade de Pruse, la secte méthodique, la secte pneumatique, l'enseignement de Quintus, Marinus, et Numisianus ? source et suite & plus ...sur medecine ancienne, de Laurent GALOPIN, ++ - Les sectes médicales à Rome, TOUWAIDE.A, Persee, : Secte méthodique; de Sextii (Traité de Dioscoride); électique ou synthétique, (Galien, ); Quintus Serenus Dammonicus, (II/IVeme s), Marcellus de Bordeaux au IV eme siècle, prétendument empiriste; l'Ecole de Ravenne. |
![]() Musée archeologique Athènes, Asklepios, |
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MEDICASTRES GUERISSEURS |
- Un guérisseur, dit aussi médicastre, est une personne, généralement dépourvue de diplôme médical, qui prétend soigner, en dehors de l'exercice légal scientifique de la médecine, par des moyens empiriques ou magiques, en vertu de dons particuliers supposés ou à l'aide de recettes personnelles. Il désigne aussi un saint guérisseur qui fait partie, avec le saint thaumaturge, le saint protecteur et le saint propitiatoire, des saints populaires (en). Héritage parfois de survivances païennes, le culte populaire des saints guérisseurs se manifeste par le recours thérapeutique (guérison par la foi) à ces « thérapeutes spécialisés . - Au Moyen Âge en Europe, il n'existait pas de frontière définie entre médecins, guérisseurs, sorcières. Puis, peu à peu, la médecine s'est éloignée à la fois des croyances spirituelles et du charlatanisme2. Dans le monde occidental, les guérisseurs, héritiers de pratiques ancestrales des sociétés traditionnelles, peuvent être magnétiseur, radiesthésiste, rebouteux, exorciste… Dans les sociétés traditionnelles d'Asie, d'Afrique, d'Amérique, d'Océanie, considérés comme sorciers ou voyants, les guérisseurs sont généralement des chamans. Les guérisseurs des Philippines et du Brésil sont parfois appelés chirurgiens psychiques. En Suisse, il en existe différentes catégories, les coupe-feu, les faiseurs de secrets, selon les problèmes de santé. Les faiseurs de secrets sont également présent en Vallée d'Aoste, aussi bien que les rabeilleurs (équivalent de «rebouteux» en français valdôtain), qui pratiquent des massages pour les distorsions. En France, les guérisseurs ou rebouteux risquent d'être poursuivis par la justice pour exercice illégal de la médecine. - - |
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MELEAGRE de GADARA |
Méléagre de Gadara (en grec ancien Μελέαγρος / Meléagros) est un poète grec né vers 140 av. J.-C. à Gadara dans la Jordanie actuelle, et mort vers 60 av. J.-C. à Cos. La vie de Méléagre de Gadara est mal connue. Il semble avoir grandi à Tyr avant de partir pour Cos où il reçut le droit de cité. Vers 100 av. J.-C., il publia la Couronne (Στέφανος / Stéphanos), recueil de poésies légères : élégies, chansons, épigrammes. L'élégie qui sert d'introduction donne l'explication de ce titre : le recueil est une « couronne tressée de poètes », ὑμνοθετᾶν στέφανον / humnothetãn stéphanon, chacun étant représenté par une fleur, un fruit ou une plante.
Ainsi, la rose représentait Sappho, l’acanthe, Archiloque, et le myrte, Callimaque. La Couronne, elle aussi perdue, fut un modèle, en même temps que la source, de nombreuses autres anthologies semblables jusqu'à l'Anthologie palatine et l'Anthologie de Planude composées à l'époque médiévale et regroupées dans l'Anthologie grecque. C'est à partir de ces recueils que l'on peut imaginer à quoi ressemblait la Couronne de Méléagre source et suite sur wikipedia, - note de P. CLAES dur quelques passages de Méléagre de Gadara, persée, - La première Couronne : Méléagre, source bcs, Anthologie Palatine, - Précisions sur la notion d'Anthologies ... cosmovisions,
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MENANDRE | - Ménandre (en grec ancien Μένανδρος / Ménandros) est un auteur comique grec, disciple du philosophe Théophraste2. Considéré comme l'un des plus importants représentants de la Nouvelle Comédie, il travaille dans le dernier quart du IVe siècle av. J.-C.. Ménandre naît en 342/341 — la même année qu'Épicure — dans une famille aisée. Son père, Diopeithès (Διoπείθης), était originaire du dème de Céphisia et pourrait avoir été arbitre en 325/324 ; sa mère s'appelait Hégéstrate. Il vécut sous la protection de son condisciple Démétrios de Phalère2 qui gouverna Athènes de 317 à 307 et il connut huit triomphes aux concours comiques3. Il mourut de noyade accidentelle3, en 292/291 ou 291/290, dans le port du Pirée. -Dans l'Antiquité, Ménandre fut un véritable modèle culturel. Des documents archéologiques montrent un bon nombre d'affiches de ses comédies. Il était étudié dans les écoles, spécialement pour sa rhétorique et pour ses sentences morales, qu'on détachait de ses œuvres et dont on composa, en les mêlant à des vers tirés d'autres auteurs, un recueil gnomique à l'usage des classes4. Il devint un modèle de la comédie latine en influençant Plaute et Térence qui, en grande partie, imitèrent et adaptèrent ses intrigues. .... - MENANDRE, le Grincheux, Anthologie, source remacle, Liste des pièces, Les Papyrus, le Portrait de M... - voir aussi ARISTOPHANE, sur remacle, Anthologie comique, - MENANGRE sur arrettonchar, liens, vidéos, .... - MENANDRE, le Dyscolos, sur mediterranees, tout et plus ... |
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MENANDRE l'Historien | - Ménandre le Protecteur (c'est-à-dire « le garde du corps ») ou Ménandre le Byzantin (grec ancien : Μένανδρος Προτήκτωρ ou Προτέκτωρ), né à Constantinople, est un historien de langue grecque qui écrivait sous le règne de l'empereur d'Orient Maurice (582-602). - voir fr.qwe.wiki...une traduction tjrs savoureuse ..!!! sauce pub ! |
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MENCIUS MENG KE MENG TZEU |
- Mencius1,2, de son nom personnel Meng Ke3, ou Meng Tzeu, est un penseur chinois confucéen ayant vécu aux alentours de 380 av. J.-C.-289 av. J.-C.
Mencius aurait étudié auprès d'un disciple de Zi Si, petit-fils de Confucius. Se posant en défenseur des stricts enseignements du maître, il a combattu sans relâche les « hérésies extrémistes » des disciples de Mo Zi et de Yang Zhu4. Sillonnant la Chine chaotique des Royaumes combattants à la recherche d'un sage-roi capable de restaurer la paix, il a rencontré un grand nombre de princes de cette époque et leurs entretiens sont consignés dans le livre qui porte son nom, le Mencius, l'un des Quatre Livres formant, avec les Cinq Classiques, le corpus néo-confucianiste tel que défini par Zhu Xi, le grand réformateur des Song. Il est appelé 'Maeng-ja' en Corée, et 'Môshi' au Japon. - Les enseignements de Mencius, présentés sous forme de dialogues, sont réunis dans un ouvrage en sept livres dont chacun porte le titre du principal interlocuteur, prince ou disciple. L'ouvrage a été traduit plusieurs fois en français, notamment par Guillaume Pauthier (1862), Séraphin Couvreur (1895), André Lévy (2003). - La nature de l'homme, supposée bonne, n'a pas, pour autant, vocation à tendre vers l’amour universel tel que prôné par l’école moïste fondée par Mozi, que Mencius critique fortement. La bonté de l’homme est un facilitateur du confucianisme. A ce titre, son expression doit tenir compte respectueusement des hiérarchies de la société : elle ne doit pas transcender l’ordre social au nom d’un « amour pour tous », qui se caractériserait par une uniformité universelle[8]. - ARISOCLES-PLATON (-428,-347) a 48 ans à la naissance de MENCIUS (-380,-289) qui a 33 ans à la mort de PLATON ! verifiez le calcul ^*§.? - MENCIUS & LACAN, source LACANCHINE, |
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MESHA, stèle de | - La stèle de Mesha est une stèle de basalte découverte en 1868 et sur laquelle est gravée une inscription remontant à l'époque du roi moabite Mesha (IXe siècle av. J.-C.). Le texte de trente-quatre lignes (l'inscription la plus longue découverte jusqu'à présent pour cette époque de l'ancien Israël), est écrit en moabite. Datée de 850 av. J.-C. environ, elle relate les victoires de Mesha au cours de sa révolte contre le royaume d'Israël qu'il entreprit après la mort de son suzerain Achab.
Fondés sur l'étude de clichés pris à haute résolution, de récents travaux offrent une compréhension inédite du texte de la stèle royale. La stèle de Mésha est une pierre gravée datant de la seconde moitié du IXe siècle avant notre ère. Selon une nouvelle lecture du texte gravé sur la stèle de Mésha, le roi biblique Balak a sans doute été une figure historique importante. |
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METHODE d'OLYMPIE | - Méthode d'Olympe ou de Patare (en grec Μεθόδιος Όλύμπου) est un écrivain chrétien de langue grecque, mort sans doute en 311 ou 312, et qui aurait été évêque et martyr. L'hypothèse qu'il aurait été évêque de Patare provient du fait que son dialogue Sur la Résurrection se tient dans cette ville. Fêté le 20 juin, il est Père de l'Église.
Les traités suivants, qui sont plus courts, n'ont été conservés qu'en vieux-slave : Sur la vie et l'action raisonnable, qui est une exhortation à se contenter de son sort en cette vie et à espérer en l'au-delà ; Ne sont connus que par de courts fragments les textes suivants : Contre Porphyre, qui était une réfutation du Contre les chrétiens de Porphyre de Tyr ; D'autres textes de Méthode sont signalés par des auteurs anciens, entre autres un livre de Révélations. L'Apocalypse du pseudo-Méthode, l'un des textes les plus fameux de l'apocalyptique médiévale, lui a été faussement attribuée. source et suite sur wikipedia, - Vie de METHODE (de Patare) (après le chapitre XVIII) et de CONSTANTIN ( Cyrille) ur remacle, - METHODE d'Olympe, Traité du Libre arbitre, trad VAILLANT, - St METHODE Opera, et Platonizans, sur archive .org, grec et latin !, - Catholique Encylopedie, wikisource, - Traité sur les malheurs de la condition humaine, bibliothèque numérique, L'apocalypse en latin ! |
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MINUCIUS FELIX | - Marcus Minucius Félix est un écrivain du IIe ou du IIIe siècle, né païen, à Thiava en Numidie (actuelle Algérie). Il s'est établi à Rome et s'est converti au christianisme. Il est Père de l'Église. Il est mort en 250, à Rome - D'origine berbère3, il se convertit au christianisme à la fin de sa vie. Minucius Félix est classé parmi les Pères de l'Église. Il est l'auteur de l'Octavius, dialogue philosophique dans lequel il montre que la foi chrétienne peut se concilier avec la culture traditionnelle, notamment avec la philosophie : les grands philosophes ont été les précurseurs de la doctrine chrétienne et ont approché de la vérité sans y parvenir pleinement. Cet ouvrage ne mentionne pas le nom du Christ mais est indéniablement chrétien. C'est un texte de haute tenue littéraire et philosophique, mais peu original sur le plan dogmatique. Oeuvres : Octavius, source et suite sur wikipedia,
- I. Quand je pense à mon cher Octavius et qu'il me souvient de ces agréables moments que nous avons passés ensemble, je goûte tant de plaisir, qu'on dirait que je suis encore en ces temps heureux. Son image en disparaissant à mes yeux, ne s'est que plus profondément gravée dans mon cœur et s'est pour ainsi dire incorporée avec mes sens les plus intimes. Et certes, ce n'est pas sans raison qu'un si ....... ........ |
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MODESTUS Domitius | - ( floruit 358-377) était un homme politique de l' Empire romain . Arabe d'origine, Modestus était vient Orientis 358-362, succédant à Nébridius et de servir sous les empereurs Constantius II et Julian . En 359 , il a été le président d'une commission à Scythopolis , et dans ce bureau qu'il jugeait avec cruauté les accusés. Alors qu'il était à Antioche , nommé Julian Modestus comme URBI praefectus de Constantinople , un bureau qu'il a occupé 362-363. Sous l' empereur Valens , il était préfet prétorien de l'Est (369-377) et consul en 372. Au cours de son poste de préfet du prétoire , il a terminé la construction de la Cisterna Modestiaca (une citerne identifiée avec Sarrâdshchane), dont le bâtiment a été commencé par l'architecte Helpidius en 363, alors que Modestus était praefectus URBI . En 371 a été nommé président d'une commission qui devait juger certains officiers de haut qui avaient été accusés de pratiquer la magie, en particulier d'avoir consulté un devin pour connaître le nom du successeur de l'empereur Valens. Modestus a agi cruellement, torturer des innocents, extorquer ainsi des aveux. En dépit du fait qu'il était fortement liée aux officiers païens et avait été un païen sous l'empereur païen Julien, sous Valens il se convertit à l' arianisme , la religion de l'Empereur. Valens a envoyé Modestus pour rencontrer l'évêque de Nicée Basile de Césarée , servir de médiateur entre les deux opposés chrétiens religions, mais a refusé Basile. Modestus a ensuite été ordonnée par Valens d'utiliser la violence contre l'évêque, mais il ne l'a pas. Il est le destinataire de 37 lettres par Libanius . .... source et suite sur wikipedia, -lire wikipedia en anglais : Domitius MODESTUS, |
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MODESTUS Julius |
- - ![]() -notes sur le Précis de Modestus, book google, in Collection des auteurs Latins, avec la traduction en français, de M NISARD, collège de France, google book, - Lot 50 MODESTUS, (attribué à). De re militari. -- POMPONIUS LAETUS, Julius (ca. 1425-1497). De magistratibus. --De sacerdotiis. --De legibus. -- SUÉTONE (Caius Suetonius Tranquillus, fin du Ier-IIe siècle). De grammaticis. --De rhetoribus. Venise: Bartolomeo de Cremone et Bartolomeo de Carlo, 27 mai 1474, cité par Christie's, |
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MOÏSE de Khorène, | - voir KHORENE, Moïse de ↑ | ||||||||||||||||||||||
Moyen Orient | - voir Proche Orient, Moyen Orient, Extrême Orient ! - Pour un Proche Occident, un Moyen Occident et un Extrême Occident !!!!! - voir Moyen Orient, ci-dessous, |
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MYSTAGOGIE |
- La mystique ou le mysticisme est ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes1. Le terme relève principalement du domaine religieux, et sert à qualifier ou à désigner des expériences spirituelles de l'ordre du contact ou de la communication avec une réalité transcendante non discernable par le sens commun. « Mystique » vient de l'adjectif grec μυστικός (mustikos). C'est un mot de la même famille que le verbe μυέω (muéô) qui signifie « initier, enseigner », et que le nom μυστήριον (mustérion) qui a donné « mystère ». Bien qu'il remonte à l'Antiquité, le terme mystique n'est employé comme substantif (« la mystique ») que depuis le XVIIe siècle 2,3. Avant cela, il n'existe que comme adjectif : est mystique ce qui relève de la connaissance du mystère ou d'un mystère. La notion de mystique a été développée dans le christianisme en rapport avec une conception biblique et plus particulièrement paulinienne du mystère selon lequel ce dernier s'identifie avec la révélation de Dieu en Jésus-Christ. Avec le sens que l'adjectif mystique reçoit de cette conception du mystère, c'est le christianisme dans son ensemble qui peut être considéré comme mystique. source et suite sur wikipedia,
Selon certains, les " mystères" proviendraient de l'Inde mais, selon Diodore5, c'est Orphée, prêtre légendaire d'Apollon, qui introduisit en Grèce les mystères rapportés d'Égypte. Mais l'origine égyptienne des inventions (cf. le mythe platonicien de Thot inventant l'écriture) et le retour d'Asie du dieu ou du héros sont de véritables topoi culturels dans l'empire gréco-latin : ils sont généralement à lire comme des mythes, plutôt que comme des réalités factuelles. Quoi qu'il en soit, ces cultes se sont répandus dans tout l'Empire, tant en Orient qu'en Occident. En Gaule, les traces les plus connues de cultes à mystères se situent à Alésia et Bibracte (Autun). Les cultes à mystères se différencient des cultes traditionnels (cultes autochtones du ou des dieux de la cité) sur différents points : ils sont enseignés par des « initiés », ils ne concernent pas une ethnie ou une cité particulière. Ils ont un côté secret : pour se mettre à l’abri de tout dévoiement et profanation, ces cultes sont souvent accomplis à l'abri des regards (mais certains aspects sont publics, ainsi les processions d'Isis, très bien décrites par Apulée6). A l'instar des philosophies en vogue dans les premiers siècles de notre ère (en particulier le stoïcisme et le platonisme), ces religions s'articulent souvent sur des idées d'universalisme, de conversion des mœurs, de purification, de salvation, ainsi sur un discours concernant l'au-delà. L'initié doit montrer sa force morale, son courage, sa droiture et pratiquer les vertus.
mais on peut aussi mentionner les cultes suivants, qui peuvent comporter un aspect de culte à mystères :
- Mystique chrétienne : Le christianisme apparaît dans un contexte gréco-romain marqué par la présence de nombreux cultes à mystères dont la dimension initiatique trouve des échos dans l'initiation chrétienne par les sacrements (mystérion en grec) et dans la catéchèse « mystagogiques » des premiers temps du christianisme. Par ailleurs, la théologie des Pères de l'Église relève largement des options de la philosophie néoplatonicienne dans laquelle la connaissance de Dieu est apophatique. Le traité De la théologie mystique rédigé en grec au VIe siècle par le pseudo-Denys l'Aréopagite s'inscrit dans cette tradition. À partir du XIIe siècle, il a une influence considérable sur les auteurs latins. Au XVe siècle, des débats sur ce traité donnent lieu à une « théorie de La théologie mystique » notamment de la part de Jean de Gerson. Au XVIIe siècle Jean-Joseph Surin envisage la mystique comme une science, fournissant des considérations qui comptent parmi les premières sur ce qui s'appelle depuis « la mystique ». source et suite sur wikipedia,
Cosmogonie et récits cosmogoniquesLe point commun des RTA, outre le monothéisme, est l'existence d'un modèle cosmogonique en trois parties dans lequel le monde des Hommes est au milieu entre le ciel, appartenant à Dieu et où résident les déités mineures, et la Terre, y compris le monde souterrain, où résident les ancêtres et les esprits. Les frontières entre les mondes sont poreuses et les activités dans l'un rejaillissent sur l'autre[61]. La cosmologie africaine dépeint l'univers comme fluide et mouvant et utilisent la distinction entre le « visible », relatif aux activités des hommes, et l'« invisible » propre aux forces qui agissent dans notre monde humain[62], c'est le « système de relations » décrit par Griaule. ..................... Les autres moments typiques des cérémonies sont ceux rythmant la vie humaine, notamment les rites de nommage, lorsqu'on attribue un nom au nouveau-né192, les rites de passages (des rites pubertaires d'initiation essentiellement, souvent associés à des mutilations génitales féminines ou masculines193,note 27), les rites matrimoniaux et ceux liés aux funérailles et à l'ancestralisation197. Pour ce qui concerne les rites d'initiation, il existe fréquemment une partie « secrète » qui fait qu'ils se déroulent pour partie à l'écart de la communauté, dans la nature le plus souvent198. C'est un des rites les plus importants, qui marque l'entrée de l'individu dans la société des adultes et, parfois, l'entrée dans une confrérie ou société secrète d'initiés, et qui lui donne la permission de se marier199,198. Les pratiques d'initiation sont fréquentes, quoique pas systématiques, elles peuvent ne concerner qu'une partie de la population et rarement les femmesnote 28. La durée des initiations est très variable, d'une journée à plusieurs mois
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Mythographes du Vatican |
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On désigne sous le nom de Mythographes du Vatican (en latin, Mythographi Vaticani) trois auteurs anonymes médiévaux de manuel sur les mythologies grecque et romaine. Ils tirent leur nom du fait que leurs textes ont été découverts dans un manuscrit conservé à la Bibliothèque vaticane (Vatican Reg. lat. 1401) et publiés pour la première fois par le cardinal Angelo Mai, bibliothécaire du Vatican, en 1831.
source wikipedia,
Mythographes du Vatican, ebook, source books google, - Apports des Mythographes : exemple : Ulysse vs Palamède, sur mediterranees, |
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NERON | - Empereur du 13 octobre 54 au 11 juin 68, Né Lucius Domitius Ahenobarbus (en 37); Nero Claudius Caesar Augustus Germanicus (54) Néron (latin : Imperator Nero Claudius Caesar Augustus Germanicus), né Lucius Domitius Ahenobarbus le 15 décembre 37 à Antium et mort le 9 juin 681 à Rome. Il est le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie julio-claudienne ; il régna de 54 à 68 (apr. J.-C.). Il succède le 13 octobre 54 à son grand-oncle et père adoptif Claude. En 66, il ajoute le titre Imperator à son nom. Il est dépossédé de son pouvoir en 68 et se suicide assisté de son scribe Épaphrodite. Bien que Sénèque ait été son précepteur, on se souvient de lui comme d'un despote cruel, notamment pour avoir assassiné sa mère Agrippine en 59, et pour ses persécutions des chrétiens. Il est célèbre pour avoir bâti la Domus Aurea, après l'incendie de Rome de juillet 64, et pour être un prince poète, chanteur et musicien, un grand organisateur de célébrations sportives et artistiques (les Neronia)3. Il est aussi un homme d'une ambition démesurée, ayant lutté de toutes ses forces contre l'immense conjuration politique dressée contre lui4. Certains historiens débattent de la folie, réelle ou mise en scène, de Néron. source et suite sur wikipedia, - Ouvres poétiques : Poète, chanteur, musicien, acteur… Néron aimait se donner en spectacle et était persuadé d'être un artiste talentueux. Ses détracteurs, eux, lui reprochaient d'avoir négligé ses responsabilités d'homme d'Etat au profit des arts et des jeux. source Le Figaro, Néron fut-il un artiste ou un histrion ?
- Néron dans Suétone, Les ancêtres de Néron, sur remacle,
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Néron : machine à fantasmes !!
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NONNOS de Panopolis | - Nonnos de Panopolis (en grec ancien : Νόννος ὁ Πανοπολίτης / Nónnos ho Panopolítēs) est un poète grec né à Panopolis en Égypte, ayant vécu de la fin du IVe jusqu'au milieu du Ve siècle. - On sait très peu de choses sur la vie de Nonnos. La présence de son nom sur certains manuscrits ainsi qu’une référence dans l’épigramme 9.198 de l’Anthologie palatineN 1 indiquent qu’il serait né à Panopolis (aujourd’hui Akhmîm) en Haute-Égypte1. Enrico Livrea avait suggéré plus tôt que le poète pourrait être identifié comme étant l’évêque syrien d’Édesse portant le même nom2. Les spécialistes croient qu’il aurait vécu de la fin du IVe jusqu’au milieu du Ve siècle, se basant sur le fait qu’il semble familier avec la GigantomachieN 2 de Claudien (v. 370 – v. 408), mais avant qu’Agathias le Scholastique (v. 532 – v. 580) fasse allusion à lui dans son Histoire (4.23) comme à un « auteur récent » - Nonnos fait partie d'une vague d'auteurs égyptiens amateurs de poésie grecque, comme Tryphiodore, Musée ou Palladas. Il est l'auteur des Dionysiaques (Διονυσιακά / Dionusiaká), un recueil épique en deux groupes de 24 chants sur les légendes liées à Dionysos, probablement composé entre 450 et 470. Chaque chant débute par une invocation à la Muse et un prélude. L'ensemble est composé selon les lois de la rhétorique et entend rivaliser avec les textes homériques. Un manuscrit de ce texte, inédit alors, a été découvert au XVIe siècle à Tarente par Sambucus et publié peu de temps après par Christophe Plantin. Nonnos est également l'auteur d'une Paraphrase de l'Évangile selon Jean en hexamètres dactyliques, ouvrage qu'il aurait écrit après s'être converti au christianisme, ou bien, en ayant d'abord été chrétien, avant de se convertir au paganisme. source et suite sur wikipedia, . - NONNOS, les Dionysiaques ou Bacchus, Marcellus, source remacle, - Paraphrase de l'Évangile de Jean, 1861. source books google, |
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OCCULTISME | - L’occultisme (du latin occultus, « caché, secret ») désigne l'ensemble des arts et sciences occultes (alchimie, astrologie, magie, divination, médecine occulte) touchant aux secrets de la nature, à ce qui est non visible1. Ces pratiques sont considérées par la science comme des pseudo-sciences. L'expression « sciences occultes » remonterait au titre d'un livre d'Eusèbe de Salverte, en 1829 (Des sciences occultes)2. Le mot « occultisme » en français ferait son apparition en 18423. Dès 1884 l'occultiste Joséphin Péladan entend par « occultisme » : « l'ensemble des sciences occultes »4. En anglais, occultism date de 1881. - Étymologiquement, le mot « occultisme » vient du latin occultus (« caché, secret »)6, il se rapporte à la « connaissance de ce qui est caché ». Nigidius Figulus, selon Cicéron, voyait « les choses que la nature a cachées (quae natura occultavit)7 ». L'occultisme se réfère à des disciplines associées à des notions surnaturelles, secrètes, considéré par la science rationaliste et matérialiste comme construit à partir d'un biais de raisonnement et ainsi qualifiées de pseudo-sciences. L'occultisme s'intéresse aux connaissances occultes, parallèlement à la pratique des arts occultes. Le terme de science occulte est également utilisé de nos jours, par opposition à la science moderne décrivant principalement l'univers visible. - Pierre A. Riffard, qui distingue occultisme et ésotérisme :
- Jusqu'au XVIe siècle, la distinction entre magie, divination, sorcellerie, démonisme, etc. n'existe pas12. Il est dit d'Ostanès le Mage qu'il possède « tout l'art de l'astrologie, de l'astronomie, de la philosophie, des belles-lettres, celui du magisme, des mystères et des sacrifices et enfin celui du travail de l'or [l'alchimie] »13. Le Picatrix, traité de magie arabe écrit vers 1050, commence par définir la nigromancia comme ce qui se dit « de toutes les choses qui sont cachées à l'appréhension et dont la majorité des hommes ne comprennent pas comment elles se font ni de quelles causes elles proviennent » ; cette science est divisée en trois parties : la première [invocations, mots...], est pratique, là les « opérations se font de l'esprit sur l'esprit » ; la deuxième, qui est la fabrication des images (talismans), consiste à appliquer « un esprit dans un corps », par exemple un esprit planétaire dans un objet ; la troisième, enfin, l'alchimie, est l'application d'« un corps dans un corps »14. Voici la classification des arts et sciences occultes par Pierre A. Riffard15, d'après Helena Blavatsky et Papus : Arts occultes (volet opératif de l'occultisme) :
Sciences occultes (volet spéculatif de l'occultisme) :
source et suite sur wikipedia, voir - voir item OLYMPIODORE l'Alchimiste |
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OLYMPIODORE de Thèbe | - Olympiodore de Thèbes est un historien grec du Ve siècle, né vers 380 à Thèbes en Égypte, qui prit part à une ambassade envoyée en 412 par Honorius à Attila, selon Photios dans sa Bibliothèque,. Toujours d'après Photios, il aurait également été alchimiste1 mais on peut distinguer Olympiodore de Thèbes et Olympiodore l'Alchimiste - Il a écrit une Histoire de l'Empire romain de 407 à 425 en 22 livres, continuant l'œuvre d'Eunape. Cette histoire est perdue ; un résumé en est donné par Photios. Selon Moïse de Khorène, dans son Histoire de l'Arménie, Olympiodore s’exprima ainsi : « Je vous rapporterai les discours non écrits, parvenus par la tradition, discours que répètent encore aujourd’hui beaucoup de paysans. Il existe un livre relatif à Xisuthre et à ses enfants, livre qu’on ne voit plus nulle part, où l’ordre des faits se trouve ainsi fixé : « Après la navigation de Xisuthre en Arménie et son débarquement sur la terre ferme, un de ses fils, appelé Sim, ..." suite sur wikipedia, - Histoires, Olympiodopre de Thèbe, Bibliothèque de Photius, source remacle, " Lisez les Histoires d’Olympiodore en vingt-deux livres. Elles commencent par le septième consulat de l’empereur Honorius et le second de Théodose, et vont jusqu’à l’époque où Valentinien, fils de Placidia et Constantius, est proclamé empereur des Romains. L’auteur, un païen, était natif de Thèbes en Egypte, poète de profession selon ses propres dires. Son style est d'une clarté sans force et d'une vulgaire platitude, dégénérant parfois en une vulgarité de lieux communs ce qui fait que, selon lui-même, l’ouvrage ne mérite pas d’être considéré comme une Histoire. - |
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OLYMPIODORE l'Alchimiste | - Olympiodore l'Alchimiste ou Olympiodorus d'Alexandrie l'Alchimiste est un alchimiste alexandrin chrétien (fin du IVe siècle selon J. Letrouit ; milieu du VIe siècle selon D. Bain). - Fabricius et Marcellin Berthelot ont identifié cet Olympiodore (en grec ancien Ὀλυμπιόδωρος) alchimiste (ποιητής) avec l'Olympiodore historien, Olympiodore de Thèbes. Sans doute à tort. Paul Tannery, André-Jean Festugière, Garth Fowden, Luc Brisson et, avec hésitation Cristina Viano, l'identifient au philosophe néoplatonicien Olympiodore le Jeune (avant 505-après 565, scholarque de l'école néoplatonicienne d'Alexandrie en 541)2. En revanche, Jean Letrouit le situe à la fin du IVe s., il en fait donc un auteur à part3. Égyptomane, Olympiodore part chercher les inscriptions hiéroglyphiques dans les temples abandonnés sur les bords du Nil et dans les carrières situées à la lisière du désert occidental : pour lui, les inscriptions en question sont pleines de puissance et de sagesse, mais elles sont devenues un mystère impénétrable - Olympiodore figure dans la liste canonique (et inexacte) des premiers alchimistes, par exemple dans celle-ci, sur un manuscrit grec :
Source et suite sur wikipedia, - Histoire de l'Alchimie, source cosmovisions, - Les Alchimistes grecs, source remacle, - Histoire de l'Alchimie, science et magie, - Prolongements : |
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ONOSANDER | Onosandre (en grec Όνόσανδρος, en latin Onosander)1 est un écrivain grec, auteur d'un traité d'art militaire en trente-trois chapitres intitulé Stratêgikos (Στρατηγικός). Ier siècle ap J-C ? - Le Général en chef, source ugo.bratelli, |
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Oracles Chaldaïques, | - ?????????????????????????????????????????????????? - Les Oracles chaldaïques (Χαλδαϊκά λογία) ou Oracles chaldéens sont un recueil d'oracles de théurgie (magie supérieure), publié en grec vers 170 par Julien le Théurge, le premier à être nommé « théurge », et fils de Julien le Chaldéen. Il n'en reste que des fragments et des témoignages. Le terme "Chaldéen" et son synonyme plus ancien "chaldaïque", signifiant « relatif à la Chaldée » (l’ancienne Babylonie), une région de l’antique Proche-Orient, ont pris ici par extension un sens découlant du contenu du recueil, celui de magique, occulte. Le livre, comme les ouvrages prophétiques grecs, est écrit en hexamètres dactyliques. Il se présente comme un recueil de révélations oraculaires. Selon Psellos, le scénario serait le suivant : Julien père (Julien le Chaldéen) essaie d'amener son fils (Julien fils, Julien le Théurge) à atteindre l'âme de Platon, qu'il interroge. Selon une hypothèse plus audacieuse encore, venant de Henri Dominique Saffrey, il s'agirait de médiumnisme et de platonisme : les Oracles chaldaïques seraient une transposition du Timée de Platon, et les oracles seraient les réponses faites par l'âme de Platon à l'âme de Julien le Théurge conduit par son père Julien le Chaldéen2.
Le livre a été commenté par Porphyre de Tyr, Proclos, Psellos, Gémiste Pléthon3, Damascios, Michel Italiko source et suite sur wikipedia, . - Les oracles chaldéens, divers fichiers disponibles (en latin et grec agrémenté d'un peu d'allemand pour faciliter la compréhension !!!!!) , sur Notes du mont Royal, restons entre nous... pour avoir plus chaud ! - Les néoplatoniciens et les oracles Chaldaïques, H-D.SAFFREY,(.pdf) extrait ci-dessous
- Un livre sacré de l'Antiquité tardive : Les oracles chaldaïques, conférence de Helmut SENG, 2011, |
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ORIGENE | - Origène (en grec ancien Ὠριγένης / Ôrigénês) est le père de l'exégèse biblique. Théologien de la période patristique, il est né à Alexandrie v. 185 et mort à Tyr v. 253.
Il est aussi l'un des Pères de l'Église et le plus grand génie du christianisme antique avec saint Augustin selon la formule du cardinal Jean Daniélou. Cependant, contrairement à de nombreux Pères de l'Église, il n'a jamais été canonisé comme un saint par l'Église catholique. De manière plus générale, ses enseignements sur la pré-existence des âmes, la réconciliation finale de toutes les créatures, y compris peut-être même le diable (l'apokatastasis) et sa croyance possible que Dieu le Fils était subordonné à Dieu le Père ont été rejetés par l'orthodoxie chrétienne. source et suite sur wikipedia, Origène, docteur de l'Église, naquit à Alexandrie l'an 185 de Jésus-Christ, et fut surnommé Adamantius, à cause de son assiduité infatigable au travail. Son père, Léonide, l’éleva avec soin dans la religion chrétienne et dans les sciences, et lui apprit de bonne heure l'Écriture sainte Origène donna des preuves de la grandeur de son génie dès sa plus tendre jeunesse. Clément Alexandrin fut son maître. Son père ayant été dénoncé comme chrétien et détenu dans les prisons, il l'exhorta à souffrir le martyre plutôt que de renoncer au christianisme. - Contre Celse, - voir Gaogoa, sur le thème de la Lutte contre le Christianisme, Celse Vs Origène |
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ORPHISME | - Orphisme. - Comme les autres dotrines secrètes de l'Antiquité, l'orphisme se proposait de compléter les religions publiques, surtout en matière de morale sur la conception de la vie future. Il s'est constitué, au VIe siècle avant notre ère, par le mélange de tradition helléniques avec des traditions étrangères introduites par le culte phrygien ou thrace de Dionysos-Zagreus. Les orphiques avaient du monde une conception voisine du panthéisme; ils croyaient que l'univers avait été créé par l'Amour et le Temps, et que Zeus y représentait la force universelle. Leur enseignement consistait en dogmes, en préceptes, et en récits mythiques (Poèmes orphiques), dont le principal était l'histoire du coeur de Dionysos Zagreus. Ce coeur avait été sauvé par Pallos, quand les Titans avaient mis en pièces le jeune dieu; et, autour de ce coeur, s'était reconstituée toute la substance divine de Dionysos. Ce mythe symbolisait l'immortalité et la migration des âmes. Ce qui dominait toute la doctrine orphique, c'était la préoccupation de la vie future. On devait mener ici-bas une vie ascétique, la vie orphique, pour se préparer aux futures existences. Dès le commencement du Ve siècle avant notre ère, la doctrine orphique tendait à se confondre avec la doctrine presque identique des pythagoriciens et des mystères Eleusis (Les Mystères dans la Grèce antique). Plus tard, elle fut fort en honneur auprès des néo-platoniciens. La propagande de l'orphisme se fit surtout par les mystères, dont le rite principal était un banquet sacré où les initiés se partageaient la chair crue d'un taureau, en souvenir de la mort de Dionysos : c'est ce qu'on appelait l'omophagie. Les initiés pratiquaient d'ailleurs l'abstinence de la chair. Comme symbole de pureté, ils portaient des vêtements blancs et étaient ensevelis dans du lin. (NLI). - ORPHÉE, sur wikipedia, - C'est par la naissance qu'on est inséré dans les cadres de la religion civique grecque. On devient « orphique » par choix. La notion de religion prend donc un tout autre aspect, personnel plutôt que social. L'orphisme n'a jamais existé comme une communauté religieuse constituée au sein du monde grec ; il se présente à nous davantage comme une nébuleuse, par la dispersion temporelle et géographique des témoignages que nous possédons, le plus souvent littéraires, et il est difficile de se représenter le vrai visage historique du mouvement orphique, sinon comme un courant spirituel qui conteste de l'intérieur la religion des cités grecques et ses valeurs. Celui qui choisit le genre de vie « orphique » se met de lui-même en marge de la société. L'orphisme réutilise les mythes et les grandes figures religieuses grecques (avant tout Dionysos), pour contester l'ordre établi. Le premier auteur qui fait allusion à l'orphisme comme mouvement ayant un caractère religieux est Hérodote4. Dans le livre II des Histoires (ou L'Enquête), l'historien grec évoque les coutumes égyptiennes de l'époque. Il écrit : Leurs h.... .....n. - Orphicorum Fragmenta, Otto KERN, Berolini, archive, en latin ....et grec ! - Religions de la grèce antique, sur bookwiki, !?, - L'Argonautique, sur remacle, Poèmes théogoniques, voir Hésiode, - Lire Métempsychose sur gaogoa, ...
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![]() Bas relief : adieux d'Orphée à Eurydice qu'Hermès s'apprête à ramener aux enfers Credit: Photo (C) RMN-Grand Palais / Hervé Lewandowski musée du Louvre |
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OTHODOXE | adjectif et substantif : etym : Empr. au lat. eccl. orthodoxus «qui a la vraie foi», du gr. ο ρ θ ο ́ δ ο ξ ο ς (de ο ̓ ρ θ ο ́ ς «droit, juste, sensé» et δ ο ́ ξ α «opinion, avis, croyance»)
1. Qui est conforme, qui obéit à la doctrine considérée comme vraie et enseignée officiellement par chacune des religions. Anton. hétérodoxe.
a) [Le subst. désigne une manifestation de l'esprit, une notion théol.] Croyance, dogme, foi, opinion orthodoxe. Les traductions [des Saintes-Écritures] faites par les protestants ne comptaient pas pour les catholiques, et demeuraient suspectes d'interprétation non orthodoxe (Sainte-Beuve,Port-Royal, t.2, 1842, p.355).Aux U.S.A., où le judaïsme est partagé entre trois tendances (orthodoxe, conservatrice, libérale) les différences entre elles s'amenuisent de plus en plus (Rabi,Anat. du judaïsme fr., Paris, éd. de Minuit, 1962, p.158):
1. Celui-ci [Claudel] va fonder et diriger une revue, paraît-il; revue thomiste et orthodoxe, où ne collaboreront que les plus purs représentants de la littérature catholique d'aujourd'hui. Gide,Journal, 1929, p.934.
b) [Le subst. désigne une pers.] Catholique orthodoxe; juif orthodoxe. Schleiermacher n'est pas (...) un théologien orthodoxe; mais il montre dans les dogmes religieux qu'il adopte de la force de croyance, et une grande vigueur de conception métaphysique (Staël,Allemagne, t.5, 1810, p.47).Monsieur, je ne veux pas juger l'église catholique, je suis très orthodoxe, je crois à ses oeuvres et à ses lois (Balzac,Méd. camp., 1833, p.236). 2. Qui appartient, qui est relatif aux Églises chrétiennes d'Orient (grecque et russe notamment) séparées de Rome depuis le onzième siècle. Église, prêtre, rite orthodoxe. Bavarois et catholique, il sera toujours pour les Grecs orthodoxes un étranger mal baptisé (About,Grèce, 1854, p.219). Elle appelait sa mère et se mettait à invoquer tous les saints du calendrier orthodoxe (Larbaud,Barnabooth, 1913, p.180). B.- ....
- La croix des croix ! sur gaogoa, l'Eglise Orthodoxe....... |
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OVIDE | en latin Publius Ovidius Naso, Poète latin (Sulmona, Abruzzes, 43 avant J.-C.-Tomes, aujourd'hui Constanţa, Roumanie, 17 ou 18 après J.-C.). Auteur favori de la société mondaine de Rome, il fut en 8 après J.-C., pour des raisons mystérieuses, exilé à Tomes. On lui doit des recueils de poésie érotique (les Amours, les Héroïdes, l'Art d'aimer, les Remèdes à l'amour, les Fards), puis deux œuvres de plus grande envergure (les Métamorphoses, les Fastes) et les poèmes de l'exil (les Tristes, les Pontiques). Ovide, en latin Publius Ovidius Naso, né en 43 av. J.-C. à Sulmone (en italien Sulmona) dans le centre de l'Italie et mort en 17 ou 18 ap. J.-C., en exil à Tomis (l'actuelle Constanţa en Roumanie), est un poète latin qui vécut durant la période qui vit la naissance de l'Empire romain. Ses œuvres les plus connues sont L'Art d'aimer et les Métamorphoses. Son surnom Naso lui vient de son nez proéminent. Il naît un an après l'assassinat de Jules César, est adolescent lorsque Auguste s'empare du pouvoir pour transformer la République en Empire, et meurt trois ans après la mort de ce premier empereur. source wikipedia, - Ovide, Oeuvre complète, sur remacle, Table des Matières, :
— Tristes, III, 5, 47-50. " Toi qui cherches l'objet d'un amour durable, apprends aussi à connaître les lieux les plus fréquentés par les belles." " Si pour te captiver, il faut une beauté naissante, dans la fleur de l'adolescence, une fille vraiment novice viendra s'offrir à tes yeux; si tu préfères une beauté un peu plus formée, mille jeunes femmes te plairont, et tu n'auras que l'embarras du choix. Mais peut-être un âge plus mûr, plus raisonnable, a pour toi plus d'attraits ? alors, crois-moi, la foule sera encore plus nombreuse. " |
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PALAIPHATOS | - Paléphatos ou en latin Palaephatus (en grec ancien Παλαίφατος / Palaíphatos) est un auteur grec du IVe ou IIIe siècle av. J.-C. source et suite sur wikipedia,
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PANETIOS | Panétios de Rhodes est un philosophe stoïcien (185 av. J.-C.-112 av. J.-C.). Son nom est parfois orthographié Panaïtios, Panétius voire Panaetius Rhodius (forme latine). Séleucus le grammairien, dans Livre de la Philosophie, mentionne qu'un Platon, de Rhodes également, fut disciple de Panétios. Il y a eu aussi un péripatéticien de ce nom, disciple d'Aristote. Panétios cherche à concilier le stoïcisme et le platonisme. Sur de nombreux points il rompt avec les dogmes stoïciens. « Il nie la conflagration universelle et croit à l'éternité d'un monde que la Providence rend parfait ». Il se défie de la mantique (la divination) et nie l'immortalité de l'âme. Il reconnaît en nous, à côté des impulsions de l'instinct premier, des tendances fondamentales où s'associent nature et raison. Il aboutit à un humanisme, il tend à une sérénité morale faite de calme, de mesure, d'harmonie. Chaque homme a plusieurs rôles (personae) à jouer, selon qu'il considère sa fonction d'homme en général ou des fonctions particulières dans la société. Cicéron écrira la phrase : « Tous les êtres humains, les meilleurs et les autres, méritent un certain respect ». Ainsi apparaît, à partir d'une théorie des rôles qui annonce la sociologie moderne, la première valorisation de la personne ). source wikipedia, - sur remacle, Panetiosa, |
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PANINI | (sanskrit devanagari: पाणिनि| ; IAST : Pāṇini) est un grammairien de l'Inde antique (probablement du IVe siècle av. J.-C.) né à Chalatura au Gandhara. Il est célèbre pour avoir formulé en 3 959 sutras, connues sous le nom d'Ashtadhyayi2, अष्टाध्यायी (Aṣṭādhyāyī) et également appelées Paniniya, les règles de morphologie, de syntaxe et de sémantique du sanskrit. L'Ashtadhyayi reste un ouvrage de référence sur la grammaire du sanskrit. La grammaire de Panini est fortement systématisée et technique. Les concepts de phonème, de morphème et de racine sont inhérents à son approche analytique. Panini utilisait vers 500 ans avant J.-C. des règles contextuelles qui ne seront connues et comprises par les linguistes occidentaux qu'au XIXe siècle5. Les règles définies par Panini décrivent parfaitement la morphologie du sanskrit, et sont considérées comme si claires que les informaticiens les ont mises en œuvre pour enseigner la compréhension du sanskrit aux ordinateurs6. Son traité, l'Ashtadhyayi, est générique et descriptif, utilise un métalangage et des méta-règles, des transformations et la récursivité, ainsi qu'un système élaboré d'abréviations. La forme de Backus-Naur, ou grammaire BNF, utilisée pour décrire les langages de programmation modernes, possède des similitudes importantes avec les règles de la grammaire de Panini7, qui peut être ainsi considéré comme un informaticien précurseur. |
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PANORMITA | - Antonio Beccadelli, dit en latin Antonius Panormita (c'est-à-dire « Le Palermitain »)1, né à Palerme en 1394, mort à Naples le 19 janvier 1471, est un humaniste italien. .... ....... source et suite sur wikipedia, |
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PARMENIDE | - Parménide d'Élée (en grec ancien : Παρμενίδης / Parmenídês) est un philosophe grec présocratique, pythagoricien, puis éléate, né à Élée à la fin du vie siècle av. J.-C. et mort au milieu du ve siècle av. J.-C.. Il est célèbre pour un poème en vers, De la nature, qui eut une influence notable sur la pensée de son époque. Ses découvertes intellectuelles, en particulier l'introduction de la logique dans la pensée hellénique, à côté de la philosophie milésienne de la nature et des théories arithmétiques de Pythagore, font de Parménide l'un des philosophes les plus considérables dans l'histoire de la philosophie grecque. Platon a consacré un dialogue qui porte son nom, le Parménide, pour traiter la question de l'Être, dont Parménide a inlassablement répété qu'il est, tandis que le Non-Être n'est pas. Il fut le premier à affirmer que la Terre est sphérique et située au centre de l'univers. Il divisait les choses en deux éléments : le feu et la terre ; il a également discuté les distances des astres entre eux et par rapport à la Terre. Selon Posidonios de Rhodes, il fut le premier à proposer la théorie des zones climatiques qui divise le globe terrestre en cinq zones, deux zones glacées donc inhabitables près des pôles, et une zone torride infranchissable à cheval sur l’Équateur, séparant les deux zones tempérées, les seules susceptibles d’être habitées :.... Parménide n'a pas inventé sa physique, et il déclare lui-même qu'il expose des opinions qui ne sont pas les siennes. Il paraît suivre sur certains points Anaximandre et Anaximène ; mais c'est au pythagorisme qu'il a fait les emprunts les plus nombreux. .... Platon rapporte un élément que Luc Brisson et Michel Narcy croient être une évocation du Poème de Parménide et son école de pensée dans le Théétète : immobile est pour le tout le mot Être. ARISTOCLES-PLATON : Parménide, source remacle,
DE LA VÉRITÉ Hé bien! je vais parler, et toi, écoute mes paroles: je te dirai quels sont les deux seuls procédés de recherche qu’il faut reconnaître. L’un consiste à montrer que l’être est, et que le non-être n’est pas : celui-ci est le chemin de la croyance; car la vérité l’accompagne. L’autre consiste.....
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PARTHENIOS | - Parthénios de Nicée (en grec ancien Παρθένιος / Parthénios) est un poète élégiaque grec du Ier siècle av. J.-C.1, considéré comme un précurseur du roman grec. source et suite sur wikipedia, - Aventures d'Amour, source remacle, Table,
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PAUL de Tarse | Paul de Tarse ou saint Paul ([pɔl]), portant aussi le nom juif de Saul ([sol], hébreu : שאול - Šā’ûl qui signifie « désiré » et qui se prononce [ʃaul] en hébreu) (né probablement à Tarse en Cilicie au début du Ier siècle et mort vers 67 - 68 à Rome), est un apôtre de Jésus-Christ, tout en ne faisant pas partie des « Douze ». Il est citoyen romain de naissance et juif pharisien. Au cours des années 40, Paul fonde plusieurs Églises dans le territoire de la Turquie actuelle, et effectue un deuxième voyage missionnaire en Asie Mineure et en Grèce. Dans les années 50 et 60, tout en poursuivant sa mission itinérante, il adresse un certain nombre de lettres à ces nouvelles Églises. Ces lettres, dites « épîtres pauliniennes », sont les documents les plus anciens du christianisme. Elles représentent l'un des fondements de la théologie chrétienne, en particulier dans le domaine de la christologie, mais aussi, d'un point de vue historique, une source majeure sur les origines du christianisme. suite sur wikipedia, ou wikiwand, (présentation léchée !) - voir aussi Saint Luc ( Fiche S = fiche Sculpteur) sur gaogoa
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PAUL d'Egine Al-kawabeli |
- Paul d'Égine, de son nom latin Paulus Ægineta, est un médecin grec du VIIe siècle, né dans l'île d'Égine. - Il fit ses études à Alexandrie et voyagea beaucoup (une épigramme reproduite dans de nombreux manuscrits le qualifie de « περιοδευτής », « médecin itinérant »). Il est le dernier médecin grec célèbre de l'Antiquité tardive, et son œuvre servit de référence dans les siècles suivants, tant dans l'Empire byzantin que dans le monde arabe (où son ouvrage principal fut traduit au IXe siècle par Hunayn ibn Ishaq). En Occident, il ne commença à être connu qu'à partir du XIe siècle d'après des sources arabes (Constantin l'Africain). Il fut surnommé « l'Accoucheur » (en arabe « Al-kawabeli »), car il s'était spécialisé en obstétrique. Il s'est également beaucoup intéressé aux aliments. Ses traités sur les Maladies des Femmes et le Régime des enfants ne nous sont pas parvenus. - D'après la Souda, il écrivit de nombreux traités médicaux, dont il n'est resté que les Epitomes iatrikes biblia hepta (Latin: De Re Medica Libri Septem), essentiellement une compilation en sept livres de textes de médecins antiques. Sa source principale est Oribase, dont il est surtout un abréviateur. Son livre sur la chirurgie témoigne d'une importante contribution personnelle, notamment le traitement des plaies de guerre (extraction des pointes de flèches et projectiles de frondes). On y trouve une technique des ligatures vasculaires, avant Ambroise Paré, et des opérations audacieuses pour l'époque (trachéotomie, trépanation, section de côte...). ......................... source et suite sur wikipedia,
- Chirurgie, PAUL d'EGINE, source gallica.bnf, grec et français, Intro R.BRIAU, ou googlebooks, |
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PAULUS | - Iulius Paulus ou Paul (160-230) fut un avocat et juriste romain au début du IIIe siècle.
Il fut avec un autre jurisconsulte, Ulpien, assesseur du préfet du prétoire Papinien. Il devient lui-même préfet du prétoire sous Sévère Alexandre, après une courte période de bannissement sous Élagabal. Son œuvre est plus considérable encore que celle d'Ulpien (86 écrits répartis en 319 livres) et est renommée en raison de son originalité et de la clarté de ses exposés. Il y traite non seulement du droit civil, mais aussi de procédure, de droit pénal et de droit public. En tant que professeur de droit, on lui doit deux livres d’Institutiones, six livres de Regulae (Règles) et un livre intitulé Liber singularis regularum (livre unique de « règles »). - Dans la Loi des citations (426), il est mis, avec Papinien, Gaïus, Modestin et Ulpien, au rang des cinq juristes dont les avis conservés étaient considérés comme décisifs. Ces cinq juristes sont également cités comme sources principales du Code de Théodose II et du Code de Justinien. source et suite sur wikipedia,
sur remacle, PAULUS, biographie, Potestas signifie en règle générale un pouvoir ou une sorte de faculté par laquelle nous faisons quelque chose. " Potestas, " dit Paulus, (Dig. 50 tit.16 s215)" a plusieurs significations : - sur bnf ....divers textes ...en ...latin ! préface en françois ! |
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PAUSANIAS d'Athènes | - Pausanias d'Athènes (en grec ancien Παυσανίας, actif autour de 420 av. J.-C.) était, dans la Grèce du Ve siècle av. J.-C., un Athénien du dème Kerameis, amant du poète Agathon. On sait très peu d'autres choses à son sujet. Pausanias est mentionné dans plusieurs textes grecs antiques. Il apparaît principalement dans deux dialogues de Platon, le Protagoras et Le Banquet. L'action du Protagoras de Platon se déroule en 432 av. J.-C.. Dans le Protagoras, Pausanias et Agathon sont installés côte à côte, près du lit du sophiste Prodicos de Céos. Agathon est alors un meirakion (classe d'âge désignant les jeunes hommes âgés d'entre 14 et 21 ans environ) et il est présenté comme étant le paidika (aimé) de Pausanias. On sait par ailleurs qu'Agathon s'attira les moqueries du dramaturge Aristophane qui le caricature dans sa comédie Les Thesmophories sous les traits d'un homme efféminé qui se travestit et pratique une homosexualité passive. Le dialogue de Platon où Pausanias apparaît le plus longuement est Le Banquet, dont l'action se déroule en 416 au moment d'une victoire d'Agathon à un concours dramatique organisé à l'occasion des Lénéennes. Pausanias fait partie des intervenants du dialogue, de même qu'Agathon. Au moment où se déroule le dialogue, Pausanias est âgé d'une cinquantaine d'années environ. Au cours du dialogue, Pausanias est le deuxième, après Phèdre, à prononcer un discours sur Éros (de 180c à 185c); il y distingue notamment deux Aphrodites, l'une commune et l'autre céleste (180d-181a). Au cours de son intervention, il évoque les amours dirigés tantôt vers les femmes et tantôt vers les hommes, qui relèvent de l'Aphrodite commune, et il fait plus particulièrement l'éloge de la pédérastie qu'il lie à l'Aphrodite céleste. Plus loin dans le dialogue, le dramaturge Aristophane, qui intervient également dans le dialogue, fait une allusion peut-être moqueuse aux deux hommes. Pausanias est cité plus brièvement dans un autre dialogue socratique, Le Banquet de Xénophon (en VIII, 32-34) : Socrate y critique l'éloge de la pédérastie grecque faite par Pausanias. Aux époques postérieures, Pausanias est cité dans Les Deipnosophistes d'Athénée (au livre V) et dans l’Histoire variée d'Élien (livre II). source et suite sur wikipedia, ou sur wikiwand, (présentation léchée !) - à propos de Pédératie voir sur gaogoa GreceII/Vases/Pederatie...02, 03 - voir Amour ... sur Gaogoa/Grece/Statuaire.. |
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PERICLES | " unique en tant qu'homme d'État athénien, Périclès l'était également à deux égards en tant qu'orateur, d'abord parce qu'il avait un ascendant personnel que nul n'avait eu avant lui et ensuite parce que sa pensée et sa force morale lui ont valu chez les Athéniens une réputation d'éloquence que personne n'avait atteint auparavant." Périclès, en grec ancien Περικλῆς / Periklễs, est un stratège, orateur et homme d'État athénien (Athènes vers 495 av. J.-C. - 429 av. J.-C.). Fils de l'homme politique Xanthippe et d’Agaristé, laquelle appartient à la puissante famille des Alcméonides, il est influent durant l'âge d'or de la cité, plus précisément entre les guerres médiques et la guerre du Péloponnèse, Périclès fait de la Ligue de Délos un empire athénien et mène ses compatriotes au cours des deux premières années de la guerre du Péloponnèse. Il a eu une influence si profonde sur la société athénienne que Thucydide, un historien contemporain, le qualifie de « premier citoyen de sa patrie » et que son époque est parfois appelée le « siècle de Périclès ». Les sources sur sa vie sont nombreuses, mais discordantes.
- L'héritage le plus visible de Périclès se trouve dans les œuvres littéraires et artistiques de l'âge d'or d'Athènes, dont la plupart survivent à ce jour. L'Acropole, bien qu'en ruines, est toujours un symbole de l'Athènes moderne. Paparrigopoulos écrit que ces chefs-d'œuvre sont « suffisants pour rendre immortel le nom de la Grèce dans notre monde[173] ». En politique, Victor Ehrenberg fait valoir qu'un élément de base de l'héritage de Périclès est l'impérialisme athénien, qui nie la véritable démocratie et la liberté aux gens, sauf d'un État dominant. - un humanisme athénien s'est illustré dans l'âge d'or. La liberté d'expression est considérée comme l'héritage durable découlant de cette période. Périclès est salué comme « l'idéal-type de l'homme d'État parfait dans la Grèce antique » et son oraison funèbre est aujourd'hui synonyme de la lutte pour la démocratie participative et la fierté civique - Le siècle de Périclès, wikiwand, ou herodote.net, |
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PERIANDRE de Corinthe |
Périandre, fils du tyran Cypsélos, fut le second, et l'un des plus remarquables, tyran de Corinthe. Successeur de son père en - 627, il aurait régné 40 ans. Il améliora les ports de Corinthe, encouragea les arts et le commerce, et construisit la première rampe sur l'isthme (appelée diolkos ou dromos) - rampe qui permit aux navires de passer du golfe de Corinthe au golfe Saronique et d'éviter de contourner tout le Péloponnèse. ... suites sur wikipedia, PERIANDRE, par Diogène LAERCE (wiki) (remacle) , source remacle, |
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PERSE | - Perse (en latin Aulus Persius Flaccus), né en 34 apr. J.-C. à Volterra en Étrurie et mort en 62, est un auteur latin du Ier siècle apr. J.-C. source wikipedia, Poète, Satire I : |
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PETRONE, en latin Caius Petronius Arbiter |
Écrivain latin (?-Cumes 66 après J.-C.). Identifié à ce sénateur épicurien surnommé l'« Arbitre des élégances » que Néron contraignit au suicide après la découverte de la conjuration de Pison, Pétrone est l'auteur présumé du Satiricon. Le Satyricon est un roman satirique écrit en latin et qui mêle vers et prose. Il est constitué par un récit-cadre (titré généralement les « Aventures d'Encolpe ») et trois récits enchâssés : L'Éphèbe de Pergame, La Matrone d'Éphèse et le Festin chez Trimalcion, autant d'intrigues à la vaste postérité littéraire. Le récit conte les aventures, dans une Rome décadente (avant la fin du Ier siècle) de deux jeunes homosexuels, Encolpe et Ascylte, ainsi que du jeune amant du premier, l'adolescent Giton. Après qu'Encolpe a été frappé d'impuissance par le dieu Priape, lui et ses amis errent de lieu en lieu, jusqu'en Grèce.
- Le Satiricone, le Satyricon, wikipedia, ou wikiwand, Sur remacle, Biographie, et Le Satiricon, Texte Louis LANGLE - Video, Rien ne veut rien dire, Une vie une oeuvre par Simone DOUEK et Annie FLAVEL, diffusée pour la première fois sur France Culture le 04.06.2000. FELLINI.F Satyricon, 1969, 1ere partie, Italien & sous-titres en portugesh .....
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PHANIAS d'Erèse |
-Phainias, en grec ancien Φαινίας, est un philosophe péripatéticien et botaniste du IVe siècle av. J.-C Oeuvres :
source & suite sur wikipedia, ou wikiwand, XII, 58 - |
![]() ![]() Le grand Dictionnaire Historique ou le mélange curieux de l'Histoire sacrée et profane, Par Mre Louïs MORERI, Prêtre, Docteur en Théologie, Venise, chez François Pitteri |
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PHERECYDE d'Athène |
- Phérécyde est un mythographe et logographe grec (vers 480 av. J.-C.). Historien, - Tous les grands traités de Phérécyde sont perdus, comme l'histoire de l'île de Léros, un essai sur Iphigénie et sur les festivals de Dionysos. Toutefois, ont été préservés de nombreux fragments de son ouvrage majeur, une Histoire mythologique en dix livres des dieux et des héros, écrite en dialecte ionien. Cet ouvrage fréquemment cité par les scholiastes et le Pseudo-Apollodore, a permis la préservation de nombreux fragments. Sa généalogie des dieux et des héros relatait une théogonie et une description des âges héroïques en Grèce, notamment du Ve siècle. Il modifia les légendes, dans le but, non de les rationaliser, mais plutôt dans celui de les adapter à la foi populaire. Phérécyde ne peut pas être considéré comme l'équivalent d'Hécatée de Milet, le mythographe tardif, car l'œuvre généalogique de ce dernier (les Généalogies) est plus sceptique et plus critique. - source et suite sur wikipedia,
- Cosmogonie orphique : |
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PHILON d'Alexandrie, dit PHILON le Juif |
- Philon d’Alexandrie (grec : Φίλων ὁ Ἀλεξανδρεύς, Philôn ho Alexandreus, latin : Philo Judaeus, « Philon le Juif », hébreu : פילון האלכסנדרוני, FYLôN HaLeKSaNDRôNY)1 est un philosophe juif helléniséqui est né à Alexandrie vers 20 av. J.-C., où il est mort vers 45 apr. J.-C. Contemporain des débuts de l’ère chrétienne, il vit à Alexandrie, qui est alors le grand centre intellectuel de la Méditerranée. La ville compte une forte communauté juive dont Philon est un des représentants auprès des autorités romaines. Son œuvre abondante est principalement apologétique, entendant démontrer la parfaite adéquation entre la foi juive et la philosophie hellène. Dans son œuvre, Philon interprète la Bible à travers la philosophie grecque principalement à l'aide de Platon et des stoïciens. Il en résultera dans les siècles qui suivront non pas une soumission de la théologie à la philosophie, mais au contraire de la philosophie aux Écritures. Si la pensée de Philon imprègne les Pères de l'Église, dont Origène, Ambroise de Milan et Augustin d'Hippone, son influence est faible sur la tradition juive, notamment sur la tradition rabbinique qui prendra naissance un ou deux siècles après sa mort. Cela tient pour partie au fait qu'il utilise la Septante (Bible traduite en grec) plutôt qu'une Bible en hébreu et pour partie au fait qu'il interprète la Torah de façon allégorique. Son œuvre donne aussi des indications sur des mouvements religieux aujourd'hui disparus comme les Thérapeutes d'Alexandrie. Philon est le premier à avoir pensé Dieu en architecte de l'univers, alors que chez Platon le démiurge est un artisan et que chez Aristote le monde est incréé. Dieu étant fortement transcendant, son œuvre accorde une grande importance à la Providence divine et à la grâce, reconnaissant que le monde appartient à Dieu et non aux hommes. Ainsi, si les êtres humains peuvent avoir une certaine parenté spirituelle avec Dieu, ils ne sont pas au même rang que lui. Croire l'inverse serait succomber au mal. Dieu agit au moyen des puissances divines : celle qui crée, celle qui ordonne, celle qui interdit, la compassion ou la miséricorde et enfin la puissance royale ou souveraine. Pour Philon, il existe deux sortes d'anges : ceux qui ont aidé Dieu à créer le monde et ceux qui assistent les hommes dans leur ascension vers Dieu. - Philon naît en 20 av. J.-C., dix ans après qu'Alexandrie est devenue une province romaine. Si ce changement de statut n'a guère eu d'effet sur le plan culturel, il introduit de profonds changements sociaux et politiques23. Les Grecs se voient accorder la possibilité de devenir citoyens romains, mais ils doivent rompre les liens avec leur cité d'origine. Les Juifs, que les Romains considèrent comme plus proches des Égyptiens que des Grecs, sont contraints de payer l'impôt de la laographica, obligation qu'ils jugent dégradante24. Plus généralement le statut qui à l'époque des Lagides leur permettait de former un politeuma, une communauté... jouissant de privilèges spécifiques, directement subordonnée au gouvernement plutôt qu'à la cité est remis en cause. Le titre d'ethnarque — chef de la communauté — est supprimé en l'an 10 ou 11 apr. J.-C., tandis que l'autorité du conseil des anciens est renforcée25. Par ailleurs, l'accès à l'administration et à l'armée devient plus difficile pour les Juifs car ces postes sont désormais réservés aux Romains26. Parallèlement, la tension entre les Juifs et les Égyptiens s'accroît26. - Les commentaires de Philon portent essentiellement sur les cinq livres de la Torah ou, comme il lit la Bible en grec, du Pentateuque : c'est-à-dire la Genèse, le Livre de l'Exode, le Deutéronome, le Lévitique et le Livre des Nombres. - Selon Photios Ier de Constantinople, Philon serait à l'origine de l'interprétation allégorique de la Bible adoptée par les chrétiens. Théodore de Mopsueste considère Philon comme le maître d'Origène pour l'interprétation allégorique. Toutefois, selon lui, le Père de l'Église va plus loin dans ce domaine que Philon, qui reste attaché malgré tout au sens du texte45. À l'époque hellénistique, les Juifs sont influencés et stimulés par l'exégèse que font les Grecs des textes d'Homère45. Or, ces textes grecs renvoient à des mythes et ne sont donc pas didactiques, alors que, pour lui, la Bible n'est pas un texte qui relève du mythe, mais constitue la parole de Dieu. .........
- PETIT.F : Philon d'Alexandrie, sur Persée |
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PRETRES PHILOSOPHES DRUIDES |
- - - EGYPTE GRECE, Ecoles, ROME CELTES/BRETONS, JUDAÏSME, CHRISTIANISME, Ecoles, Théologiens, MAZDAISME, |
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PHILOSTRATE ou de Lemnos ? à démêler ! en cours... |
- Sophiste grec, originaire de Lemnos (vers 165-vers 250 après J.-C.).
On connaît sous ce nom au moins deux auteurs des premiers siècles de notre ère. Après avoir étudié auprès d'Antipater de Hiérapolis, le premier, qu'on désigne généralement sous le nom de Philostrate l'Ancien, aurait exercé à Athènes le métier de rhéteur avant d'enseigner à Rome où il fit partie du cercle de lettrés, médecins, sophistes et rhétoriciens, que Julia Domna, épouse de l'empereur Septime Sévère, avait réunis autour d'elle. C'est à la demande celle-ci qu'il rédigea une Vie d'Apollonios de Tyane en huit livres. - - - Oeuvres , source remacle, |
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PHILOSTRATE le Jeune |
- Philostrate le Jeune est un écrivain grec de l'époque romaine (seconde moitié du IIIe siècle).
Il était le petit-fils par sa mère de Philostrate de Lemnos (né lui-même vers 190). Comme il le dit dans sa préface, il a imité le recueil des Tableaux (Εἰκόνες) de son grand-père, en ajoutant 17 descriptions de tableaux (réels ou fictifs, car il s'agit en fait de développements rhétoriques1). Le 17e texte est incomplet. C'est la seule œuvre qu'on conserve de lui. Elle est en général éditée à la suite des 64 Tableaux de son grand-père, et aussi avec les treize descriptions de statues de « Callistrate », un auteur dont on ne sait rien. |
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PHILOSTRATE ou l'Ancien ? à démêler |
- Philostrate (en grec ancien Φιλόστρατος / Philóstratos, en latin Lucius Flavius Philostratus), surnommé Philostrate de Lemnos, est un sophiste romain de langue grecque de la première moitié du IIIe siècle. Sa vie est très mal connue. Son père s'appelait Nervianus et il était neveu de Philostrate d'Athènes par sa mère. On sait par un passage de son oncle (Vies des sophistes, II, 30) qu'il fêta ses 24 ans sous le règne de Caracalla (211-217), ce qui le fait donc naître vers 190. Les Héroïques ont dû être écrits sous Sévère Alexandre (222-235). On l'appelle parfois « Philostrate l'Ancien » pour le distinguer de Philostrate le Jeune son petit-fils (bien qu'il ne soit pas le premier des Philostrate). & Les Héroïques (Ἡρωικά) ou Dialogue sur les héros (Ἡρωικός) : dialogue à Éléonte, au bord de l'Hellespont, entre un vigneron et un marchand phénicien de passage sur les héros de la guerre de Troie. source et suite sur wikipedia,
Vie des sophistes : |
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PHILOXENE de Mabboug |
- Son nom de naissance était Joseph. Aksnāyā ou aksnoyo signifie en principe (en syriaque) « étranger » ou « hôte » (du grec ξένος), mais il peut s'agir aussi d'une adaptation d'εὔξενος, « hospitalier » ; ce surnom a été ensuite hellénisé en Ξεναίας ou Φιλόξενος (cette dernière forme étant synonyme d'Εὔξενος, utilisée en grec comme anthroponyme, cf. Euxène de Phocée, fondateur de Marseille). Sa ville natale, Tahal, n'a pas été localisée ; elle se rencontre dans le Synodicon de l'Église de l'Orient comme siège épiscopal dans la province de Kirkouk (Karka de Beth Slok) entre le Ve et le Xe siècle. Elle se trouvait donc sur le territoire du royaume des Sassanides, d'ailleurs assez loin à l'est de la frontière. Pourtant, toute la carrière de Philoxène se déroule dans l'Empire romain d'Orient. .... La doctrine est en partie inspirée du Liber graduum. La vie chrétienne a deux formes : celle des « justes » (kéné), qui pratiquent les jeûnes, la prière et les aumônes, et celle des parfaits (gmiré), qui renoncent au mariage et à toute propriété. - Parmi les textes dogmatiques, il y a les 10 discours (memré) appelés en latin De Uno e Trinitate incorporato et passo (Sur Un de la Trinité qui s'est incarné et a subi la Passion), exposé de la doctrine monophysite dirigé contre un certain Habbibh, daté de 480 environ ; et les 3 traités De Trinitate et Incarnatione, datés des années 515-518. Il faut ajouter un ensemble de 30 textes, qui revêtent pour la plupart la forme de lettres, et qui sont en fait des discours, soit sur le dogme, soit sur la vie ascétique. D'autre part, on conserve de Philoxène des commentaires des Évangiles de Matthieu, de Luc et de Jean. - source et suite sur wikipedia, - Discours sur Archives.org, en anglais, et ? et ? syriaque , |
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PHOTIOS 1 er | - Photios ou Photius Ier de Constantinople (en grec Φώτιος / Phốtios ; en latin Photius), né vers 820, mort le 6 février 891 (ou 897), érudit et homme d'État byzantin, fut patriarche de Constantinople de décembre 858 à novembre 867, puis du 26 octobre 877 au 29 septembre 886. L’Église orthodoxe le compte au moins depuis la fin du Xe siècle parmi les saints et les Pères de l'Église : le Synaxaire de Constantinople mentionne sa fête à la date du 6 février. Les Latins l'ont longtemps décrit comme le principal responsable du schisme du IXe siècle (aussi appelé « schisme de Photius »1,2,3). Les travaux de l'historien et ecclésiastique catholique François Dvornik2 ont sur ce point rendu justice au patriarche, qui se réconcilia avec le pape Jean VIII. Son activité de savant fait également de lui une des personnalités les plus marquantes de l'époque byzantine. source et suite sue wikipedia, - Bibliothèque sur wikipedia, - Oeuvres ou Bibliothèques, ou Myriobiblos, de PHOTIOS, sur remacle, 280 codices d'auteurs antiques et chrétiens, - auteur d’un traité contre les Pauliciens ; - |
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PINDARE | Pindare, en grec ancien Πίνδαρος / Píndaros, né à Cynoscéphales, un bourg près de Thèbes (Béotie), en 518 av. J.-C., mort à Argos en 438 av. J.-C., est l'un des plus célèbres poètes lyriques grecs. Forte personnalité profondément attachée à la religion traditionnelle et à l'antique aristocratie dorienne qui prédominait à Thèbes, Pindare n'aimait pas Athènes dont l'esprit démocratique l'inquiétait : préférant les villes gouvernées par une aristocratie sachant instaurer l'Eunomie (le « bon ordre », du grec ancien εὐνομία)Note 1, il a consacré ses chants à célébrer ce vieil idéal. En digne héritier de la conception aristocratique et dorienne du concours athlétique, Pindare est le premier à faire de l'épinicie, hymne de triomphe, une sorte de poème dont la signification est à la fois religieuse et morale. Considéré dès l'Antiquité comme le maître incontesté et inimitable du lyrisme choral grec, synthèse de l'art poétique, musical et chorégraphique, il inaugure en outre dans ses Odes triomphales un art puissant aux rythmes savants où foisonnent des images somptueuses, art redécouvert par les Modernes seulement au XIXe siècle, et qui a inspiré les plus grands poètes. En évoquant « Pindare serein plein d'épiques rumeurs », Victor Hugo résumait les deux traits essentiels du poète grec, la majesté tranquille et presque religieuse qui a frappé ses admirateurs, et la vigueur s'épanchant dans les flots larges et sonores de ses images et de sa langue. - Pindare, dans les Olympiques remacle, - Pindare sur remacle,
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Première Ode Pythique, Pindare (522- 446 av. J. C.). Atrium Musicae de Madrid, Artistic direction by Gregorio Paniagua. Les Pythiques, tirées du nom des jeux pythiques, jeux qui se célébraient tous les quatre ans à Delphes en l'honneur d'Apollon, les Pythiques sont un recueil de poèmes du grec Pindare célébrant des vainqueurs de ces mêmes jeux.
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PITTACOS de Mytilène |
Pittacos (en grec ancien Πιττακός / Pittakós), né vers 650 à Mytilène, dans l'île de Lesbos, et mort vers 570 av. J.-C., est un homme d'État et général grec, sans doute de noble origine thrace. Il fut choisi comme aisymnète de la ville de Mytilène pour y restaurer l’ordre et renverser les ennemis de la cité qui avaient à leur tête Antiménide et le poète Alcée. La Souda lui consacre une notice. Des allusions dans des écrits d'auteurs anciens complètent ces maigres sources. Platon le cite et le réfute à plusieurs reprises dans le Protagoras, mentionnant notamment la critique que faisait Simonide de son grec. Aristote le considère comme un législateur soucieux de l’intérêt général. |
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PLATON ARISTOCLES |
Platon Aristoclès (en grec ancien Πλάτων / Plátôn [platɔːn], né en 428 av. J.-C. / 427 et mort en 348 av. J.-C. / 347 à Athènes, est un philosophe antique de la Grèce classique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée. Celle-ci explore la plupart des champs importants, c'est-à-dire la métaphysique et l'éthique, l'esthétique et la politique. Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, produit les premières formulations classiques des problèmes majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale2. Chaque dialogue de Platon est l'occasion d'interroger un sujet donné, par exemple le beau ou le courage. Il y développe une méthode qu'il appelle dialectique ou maïeutique. Il voua la majeure partie de son activité à la philosophie première, mais il se consacra aussi aux apparences et aborda l'Histoire Naturelle dans laquelle il voulut établir deux principes : l'un subissant, comme la matière, appelé récepteur universel ; l'autre agissant, comme une cause, qu'il rattache à la puissance du dieu et du Bien.
- sur Gaogoa : ARISTOCLES-PLATON 2.0 Oeuvres et analyses. (Toutes les traductions disponibles) - Platon raconte la résistance aux avances d'Alcibiade. in Le Banquet. Dans le discours de Pausanias, du Banquet, Platon distingue et théorise les deux sortes d'amour: - voir THEON de Smyrne : - sur gaogoa 18- Le Banquet, |
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PLAUTE | (254-184 avant J.C.) Plaute, en latin Titus Maccius Plautus, né vers 254 av. J.-C. à Sarsina dans l'ancienne Ombrie, maintenant située en Émilie-Romagne et mort en 184 av. J.-C. à Rome, est un auteur comique latin, le premier des grands écrivains de la littérature latine, d'autres comme Naevius ou Ennius n'ayant guère laissé qu'un nom et quelques fragments. Il s'est essentiellement inspiré d'auteurs grecs de la comédie nouvelle tels que Ménandre, Philémon et Diphile auxquels il a donné une saveur typiquement romaine. Il a également connu un grand succès de son vivant, et nombreux sont les écrivains romains qui l'ont loué. Il a influencé certains des grands de la littérature, entre autres : Shakespeare et Molière (l'Avare est ainsi en partie imité de l'Aulularia de Plaute). - sur remacle, Plaute, Table des matières, .... La Marmite : |
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PLETHON Gemiste | - Philosophe néoplatonicien, Georges Gémiste, dit Pléthon, en grec ancien Γεώργιος Γεμιστὸς Πλήθων (v. 1355 /1360 — 26 juin 1452), fut l'un des penseurs byzantins les plus originaux de son temps. Né entre 1355 et 1360, il fit d'abord ses études au sein de l'école platonicienne de Constantinople1, puis en milieu cosmopolite à Andrinople, où enseignaient Chrétiens, Juifs et Musulmans, avant de revenir enseigner à Constantinople, où ses cours sur Platon firent scandale et faillirent lui valoir d’être arrêté pour hérésie. Mais l'empereur Manuel II Paléologue, qui était son ami et son admirateur, préféra l’exiler à Mistra, devenu un important centre intellectuel dans le despotat de Morée. Pléthon y développa le concept d’une filiation entre les Byzantins et les Grecs de l'Antiquité et rédigea entre 1415 et 1418, à l'intention de l'empereur Manuel et de son fils le despote Théodore, un vaste plan de réformes politiques, économiques, sociales et militaires fondées sur les textes de Platon. Membre de la délégation byzantine à titre de délégué laïc au concile de Florence (1437-1439) alors qu'il était déjà octogénaire, il donna dans cette ville de nombreuses conférences qui firent revivre la pensée platonicienne en Europe de l’Ouest. Durant ce séjour, il rencontra Cosme de Médicis, qui fonda une nouvelle Académie platonicienne ; cette école entreprit, sous la direction de Marsile Ficin, la traduction des œuvres complètes de Platon, les Ennéades de Plotin et divers autres ouvrages néo-platoniciens. ... ." ... À la lumière de ses commentaires sur Théophraste, ses théories et propos ne sont pas considérés ou très peu estimés à cause de son manque de rigueur. Dans le De Differentiis ou En quoi Aristote se différencie de Platon, Pléthon compare les concepts de « dieu » chez Aristote et Platon, soutenant que chez Platon, Dieu possède la caractéristique d'un démiurge en tant que « créateur de toute substance intelligible et séparée et dès lors, de l’univers tout entier », alors qu’Aristote ne le considère que comme la force motrice de l’univers. Le dieu de Platon est également le principe et la cause finale de l’existence, alors que chez Aristote il n’est que la fin du mouvement et du changement. Pléthon raille Aristote.... Dans ses dernières années, Pléthon fit une compilation de ses croyances ésotériques dans un recueil intitulé Le Traité des lois, dont le titre est emprunté à Platon (en grec Νόμων συγγραφή, ou simplement Νόμοι), et qui ne fut découvert qu’après sa mort. Ce fut la princesse Théodora, épouse du despote Démétrios de Morée, qui en prit possession et, ne sachant que faire de ce manuscrit, l'envoya à Georges Scholarios, entre-temps élu patriarche de Constantinople sous le nom de Gennadios II. source et suite sur wikipedia,
Traité des Lois : |
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PLINE l'Ancien | Naturaliste et écrivain latin (Côme 23 après J.-C.-Stabies 79). Pline l'Ancien est l'auteur de la première grande encyclopédie scientifique connue. Cet ouvrage, qui constitue une source de renseignements infiniment précieuse sur les connaissances des Anciens, restera jusqu'au xve siècle l'essentiel du savoir de l'Occident chrétien tant en matière de zoologie et de botanique qu'en médecine et qu'en minéralogie. L'épisode le plus célèbre de la vie de Pline est celui de sa fin tragique, que son neveu, Pline le Jeune, a relatée dans une lettre écrite à Tacite peu après l'événement. Commandant de la flotte stationnée à Misène (Campanie) lorsque se produit l'éruption du Vésuve, le 24 août 79, Pline veut observer de près le phénomène et se fait conduire à Stabies, sur la rive sud-est de la baie de Naples. C'est là qu'il expire, le 25 août, asphyxié par les gaz qui s'échappent du volcan. Le surlendemain, on retrouvera son corps intact. - Histoire naturelle , Présentation source remacle, C'est en effet l'expérience personnelle qui manque à Pline. Une part notable de son livre est consacrée à la médecine, et certes il est impossible de trouver rien de plus mauvais que cette portion-là : n'étant guidé par aucune connaissance des choses, il a entassé sans choix et sans critique les recettes les plus extravagantes. Je ne dirai pas seulement qu'il n'a aucune notion scientifique sur la médecine (les notions scientifiques, à proprement parler, lui font défaut partout), mais je dirai qu'il a été aussi malheureux qu'il est possible dans les extraits qu'il a faits. Sa thérapeutique, si on peut se servir de ce mot pour une telle chose, est un ramassis d'absurdités et de superstitions. Mais : " Je n'ai pas à répéter, dit M. Egger, tout ce que l'on sait sur la vie politique et littéraire de Pline l'Ancien : il faut toutefois remarquer le bonheur qu'a eu cet écrivain de passer ses plus laborieuses années sous le règne d'un empereur ami des lettres, protecteur judicieux des recherches historiques, historien lui-même; car Vespasien avait écrit des mémoires que Josèphe cite plusieurs fois, et dont une grande partie doit se retrouver dans le récit de cet auteur sur les guerres de Judée. En outre, à cette époque, la famille des Césars venait de s'éteindre, et ainsi étaient rompues pour l'histoire toutes les traditions de la flatterie. Pline a donc pu lire et apprendre beaucoup; et comme historien il a pu traiter avec liberté au moins toute la dynastie des Jules. C'est un avantage que Sénèque n'a pas toujours, bien qu'on s'aperçoive peu de la gêne imposée à sa franchise de philosophe" . I. Notions préliminaires sur les limites et la situation de l'Europe en général. - II. De l'Espagne entière. - III. De la Bétique. - IV. De l'Espagne citérieure. - V. De la province Narbonnaise. - VI. De l'Italie. - VII. Neuvième région de l'Italie. - VIII. Septième région de l'Italie. - IX. Première région de l'Italie: le Tibre; Rome. - X. Troisième région de l'Italie. - XI. Soixante-quatre îles, et, parmi elles, les Baléares. ... Livres 4, 5, 6, ... 37, source remacle, Pline l’Ancien (en latin Gaius Plinius Secundus), né en 23 apr. J.-C. à Novum Comum (l'actuelle Côme) dans le nord de l'Italie (en Gaule Transpadane) et mort en 79, à Stabies (en latin : Stabia), près de Pompéi, lors de l'éruption du Vésuve, est un écrivain et naturaliste romain du Ier siècle, auteur d'une monumentale encyclopédie intitulée Histoire naturelle (vers 77). Il adopta son neveu, qui prit le nom de Gaius Plinius Caecilius Secundus, Pline le Jeune, en 79 apr. J.-C. L'Histoire naturelle (Historia Naturalis), qui compte trente-sept volumes, est le seul ouvrage de Pline l'Ancien qui soit parvenu jusqu'à nous. Ce document a longtemps été la référence en sciences et en techniques. souree wkipedia, wikiwand - Larousse, |
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PLINE le Jeune | en latin Caius Plinius Caecilius Secundus Écrivain latin (Côme 61 ou 62 après J.-C.-114). Ami de Tacite. Neveu de Pline l'Ancien, qui l'adopta, brillant orateur (Panégyrique de Trajan, 100). Il débuta au barreau, puis entra dans la carrière politique et devint successivement décemvir, tribun militaire, questeur (89), préteur (93). Il entra au Sénat, fut nommé préfet du Trésor puis légat impérial en Bithynie (111-112) sous Trajan, qui était son ami. Il mourut sans doute dans cette charge au début de 113.
voir aussi : Pline le Jeune est né en 61 ou 62 après J.-C. à Novum Comum (aujourd'hui Côme) en Cisalpine sous le nom Caius Caecilius (Cilo ?), adopté par son oncle maternel Pline l'Ancien sous le nom de Caius Plinius Caecilius Secundus, et mort entre fin 113 et 115 probablement dans la province de Bithynie et Pont. C'est un sénateur et célèbre avocat romain des règnes de Titus à Trajan, proche de ce dernier, consul suffect en 100 et gouverneur impérial de la province de Bithynie et Pont entre 111 et 113. À l'instar de son oncle, le naturaliste Pline l'Ancien, il est resté célèbre principalement en raison de son travail littéraire qui a partiellement survécu, notamment sa fameuse correspondance. Les Lettres de Pline sont un témoignage unique et important de la vie et de la pensée dans les cercles dirigeants de Rome sous les principats de Nerva et Trajan. S'ajoutent à cela certaines lettres décrivant des procès, donnant des informations sur certains personnages contemporains ou encore celles décrivant l'éruption du Vésuve. De plus, ses échanges avec l'empereur pendant sa légation en Pont-Bithynie sont une source historique de première main concernant les aspects de l'administration provinciale romaine. HADRIEN |
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PLOTIN, | - Plotin, en grec ancien : Πλωτῖνος, en latin Plotinus (205 - 270 apr. J.-C.), philosophe gréco-romain de l'Antiquité tardive, est le représentant principal du courant philosophique appelé « néoplatonisme » : à travers lui, la pensée grecque classique affronte désormais les mouvements gnostiques plus ou moins proches du christianisme et du manichéisme. Continuateur d’un Musonius Rufus, d’un Sénèque, d’un Épictète, Plotin est l’un des grands philosophes de l’époque impériale et un authentique sage de la Grèce. Il installe son école à Rome en 246, où Amélius fut son premier disciple. Sa relecture des dialogues de Platon fut une source d'inspiration importante pour la pensée chrétienne alors en pleine formation, notamment pour Augustin d'Hippone, et elle influença de manière profonde la philosophie occidentale. L'intégralité de ses écrits a été publiée par son disciple Porphyre de Tyr, qui les a réunis sous la forme d’Ennéades, en groupes de neuf traités. Plotin nous invite à réintégrer notre parenté ontologique avec le divin, au moyen d’une ascèse purificatrice. Par une intuition de l'Intellect embrasé d’amour, cette ascension spirituelle conduit l’âme, enfin unifiée, débarrassée de tout le superflu et de l’individualité qui la barricadait dans ses limites, à devenir lumière véritable et à voir l’éclat divin de la vertu et la tempérance siégeant sur un trône sacré. Ainsi comprise, cette purification, selon le mot de Jean Trouillard, délie l’âme, non pas pour l’immerger dans un abîme mystique où elle s’annule, mais pour rendre à son jeu sacré toute son ampleur et sa lucidité. La plupart de nos connaissances à son sujet viennent de la biographie que Porphyre consacra à son maître, source et suite sur wikipedia, wikiwand,
- Les Ennéades de PLOTIN, source remacle, trad BOUILLET - Les Ennéades, trad BOUILLET, wikisource, Qutrième Ennéades ....
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PLUTARQUE | (46-125) Plutarque (en grec ancien Πλούταρχος / Ploútarkhos), né à Chéronée en Béotie vers 46 et mort vers 125, est un philosophe, biographe, moraliste et penseur majeur de la Rome antique. Grec d'origine, il est considéré comme un médio-platoniste, il s'opposa dans certaines de ses Œuvres morales ou Moralia aux courants stoïcienet épicurien .. Traditionnellement partagée entre les Vies parallèles d'une part et les Moralia de l'autre, l'œuvre de Plutarque se signale tout d'abord par son abondance. Selon le catalogue de Lamprias, il serait l'auteur de 227 œuvres, mais la critique moderne estime que ce nombre pourrait s'élever à 260. Outre les Vies parallèles, nous en aurions conservé entre 75 et 80, mais le nombre exact reste incertain, certaines d'entre elles étant d'authenticité douteuse ... Les écrits de Plutarque eurent une énorme influence sur la littérature européenne, notamment française et anglaise. On a longuement débattu pour savoir si le biographe philosophe visait dans ses biographies à l'analyse des vertus plus qu'à l'acculturation gréco-romaine mais ses écrits, ses choix politiques et son comportement social montrent qu'il s'inscrit à la rencontre de deux mondes, dans la conscience que l'héritage hellène est lié à l'action de Rome Dans les Vies parallèles, l'objectif de Plutarque est à chaque fois de dégager un portrait moral plutôt que de rapporter les événements politiques de l'époque : il se considère lui-même plus comme un moraliste que comme un historien. Dans les dialogues De la face qui paraît sur la Lune et Sur les sanctuaires dont les oracles ont cessé des Œuvres morales, Plutarque expose une physique originale. L’observation de l’aspect irrégulier de la Lune le conduit à affirmer : La Lune est une terre céleste32 qui réfléchit les rayons du Soleil. Il abandonne la notion de différence entre monde sub-lunaire (imparfait) et monde supra-lunaire (parfait) d’Aristote. Tous les astres sont le centre d’un monde : Chacun des mondes a une terre et une mer33 et le mouvement des graves d’un monde va vers le centre de ce monde. Il écrit également : La lune n’est pas entraînée vers la Terre par son poids car ce poids est repoussé et détruit par la force de rotation Ses écrits révèlent également une bonne connaissance des différentes théories cosmologiques grecques. Dans la Vie de Numa, par exemple, Plutarque décrit le système cosmologique pythagoricien, sans doute attribuable à Philolaos de Crotone35, qui place au centre de l'Univers un feu éternel autour duquel gravite la Terre ; celui-ci est opposé au système géocentrique traditionnel36. Il évoque également le revirement de Platon qui, à la fin de sa vie, aurait adopté une cosmologie différente du système géocentrique décrit dans le Timée : jugeant que la Terre n'était pas digne d'occuper la première place, il aurait placé au centre de l'Univers un autre élément et n'aurait accordé à la Terre que la seconde place. Plutarque un passeur de l'Antiquité à l'époque moderne ; c'est aussi un monument de la littérature française en prose. L'intelligence n'est pas comparable à un vase qu'il faille remplir mais à un foyer qu'il faut allumer ; ce dont elle a besoin, c'est d'élan vers la recherche et de désir de la vérité. - wikipedia, ou wikiwand, -Table des Matières de Putarque, Oeuvres complètes, remacle, Vies des hommes illustres de Plutarque, Pierron, Un jour qu'on avait lu chez Sossius des vers sapphiques dans lesquels le poète Philoxène disait que le cyclope s'était guéri de son amour en écoutant les chants harmonieux des Muses, on demanda comment un autre poète avait pu dire : L'amour, pour la musique, est un maître savant; Quelqu'un répondit que l'amour est capable de tout entreprendre, qu'il aime les nouveautés, et que, suivant Platon, il n'est rien qu'il ne tente. Il fait d'un homme taciturne un grand parleur, d'un homme timide un complaisant officieux ; l'homme paresseux et négligent, il le rend industrieux et actif; et ce qui est plus étonnant encore, un homme avare et mesquin, s'il tombe dans les filets de l'amour, s'amollit comme le fer dans le feu : il devient libéral, sensible et tendre.
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POETES et MORALISTES GRECS | - Poètes élégiaques et moralistes de la Grèce, format PDF, (6,2 Mo), traduction BERGOUGNAN.E source ugo.bratelli, |
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POLEMON de LAODICEE |
- Marcus Antonius Polémon ou Antonius Polémon (en grec : Μάρκος Αντώνιος Πολέμων, v. 90-144), également appelé Polémon de Laodicée ou Polémon de Smyrne, était un sophiste, diplomate et homme politique du IIe siècle. ... Polémon serait mort de faim par privation volontaire dans le tombeau de ses ancêtres à Laodicée, souffrant de la goutte. Il se serait enfermé lui-même dans le tombeau pour mourir. source et suite sur wikipedia, - Pour le père de Cynégire, source remacle, Une loi d’Athènes veut que le père du guerrier qui s’est le plus distingué dans la bataille, prononce l’oraison funèbre des citoyens morts pour la patrie. — Après Marathon, le père de Cynégire et le père de Callimaque se disputent cet honneur devant les juges. — Polémon plaide alternativement pour l’un et pour l’autre, ou, pour être plus exact, les fait parler chacun à leur tour. Les faits sur lesquels les deux pères fondent respectivement leurs prétentions. Vie de POLEMON, in PHILOSTRATE, Vie des Sophistes, source remacle,
HADRIEN |
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POLLUX Julius | - Pollux (Julius), grammairien et sophiste célèbre du siècle de Marc-Aurèle, né vers la fin du règne d'Hadrien à Naucratisen Égypte(Philostr., Vitae Soph., Il; Suidas, art. Pollux). A l'école de son père; il apprit la grammaire et étudia la littérature; à Rome, sous Hadrien de Tyr, il s'occupa d'éloquence et de sophistique. Antipater de Tyr lut un de ses nombreux disciples. Marc-Aurète en fit un des maîtres de son fils Commode. Pollux eut beaucoup d'admirateurs, mais il fut critiqué par Athénodore et Lucien. Commode, devenu empereur, le choisit pour succéder à Hadrien de Tyr dans la chaire d'éloquence. Pollux mourut à Athènes à cinquante-huit ans.
- lire Julius POLLUX sur wikipedia, - Onomasticon, en grec, présentation en latin, sur archive.org, Toronto, |
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POLYBE | - Polybe, en grec ancien Πολύϐιος / Polúbios pouvant signifier « plein de vie » ou « à plusieurs vies » (208 av. J.-C. à Mégalopolis – 126 av. J.-C.), est un hipparque, homme d'État, théoricien politique et l'un des historiens grecs les plus connus de son époque. Sur le champ de bataille de Pydna, il est commandant de cavalerie, ce qui en tant qu'officier lui vaudra d'être envoyé comme otage à Rome à la suite de la défaite de Persée. Sur le plan politique, il joua un rôle important dans l'intégration de la Grèce centrale à la République romaine après la victoire romaine sur la ligue achéenne en 146 av. J.-C. Son œuvre d'historien retrace l'ascension de Rome, qu'il admire pour sa constitution mixte et son régime mêlant monarchie avec les consuls, oligarchie avec le Sénat, et démocratie avec les comices et les tribuns, notamment entre les années 264 et 146 av. J.-C., moment critique qui voit la cité italienne devenir puissance méditerranéenne dominante, puis véritable empire territorial. - La dernière partie de sa vie est ainsi consacrée à la rédaction de sa grande œuvre, les Histoires, en quarante livres où il mène de front l'histoire de Rome et celle des États contemporains tels les monarchies lagide, séleucide et attalide (pergaménienne). Seuls les cinq premiers livres de cette œuvre sont parvenus jusqu'à nous, mais on possède aussi des fragments assez considérables des autres, notamment le livre VI.
source wikipedia, - Table des matières, Histoire Générale, sur remacle, |
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POLYEN | - Polyen (en grec ancien Πολύαινος / Polýainos) est un orateur et écrivain militaire grec né en Macédoine, actif au milieu du IIe siècle ap. J.-C. source et suite sur wikipedia, - Ruses de guerre, source remacle, Livres I à VIII, L I : |
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PORPHYRE de Tyr |
- Porphyre de Tyr (234 – v.310) est un philosophe néoplatonicien, connu pour avoir été le disciple de Plotin, pour avoir édité les écrits de ce dernier (les Ennéades) et rédigé après la mort de son maître une Vie de Plotin (vers 301), que nous pouvons lire encore aujourd'hui. Il est aussi important à un autre titre : Il écrivit un traité Contre les chrétiens. Parmi ses disciples, il semble qu'il faille compter Jamblique. Dans le traité De regressu animae (Du retour de l'âme), il propose une tout autre théorie des rapports entre philosophie et religion : les religions ne s'adresseraient qu'à des dieux inférieurs ou à des démons ; la philosophie les transcenderait, parce qu'elle serait le culte du Dieu suprême, dont le philosophe est le prêtre. Dans le traité Philosophia ex oraculis haurienda (La philosophie à retirer des oracles), il explique la signification cachée des sacrifices aux dieux et aux daimonês, et théologique qu'il faut en retirer. Dans le traité Peri Agalmatôn (Sur les Images des dieux), il donne une interprétation de la signification des différents dieux de la mythologie, dans le sens des puissances cachées de la nature. source et suite sur wikipedia, - Introduction aux Catégories d'Aristote (source remacle) ou Isagogè, un manuel de référence pendant des siècles pour l'étude de la logique. Cette œuvre inclut la très influente classification hiérarchique du genre et de l'espèce à partir de la substance en général jusqu'aux individus, connue sous le nom d'« arbre de Porphyre », et une introduction mentionnant le problème des universaux. - sur le Traité de PORPHYRE : Contre les Chrétiens, état de la question par Franco BEATRICE, Kernos. - Comment PLOTIN détourna PORPHYRE du suicide, persée, Franz CUMONT, 1919-2018 Table ds Matières de PORPHYRE sur remacle, - L'antre des Nymphes, LIVRE PREMIER. Ayant été informé que vous condamniez ceux qui renonçaient à l'usage de la viande et que vous recommenciez à en manger, j’ai d'abord voulu en douter parce que votre sobriété m'est connue et que d'ailleurs je faisais réflexion au respect que je vous ai inspiré pour ces hommes religieux de l'antiquité qui ont été d'un sentiment contraire : mais cette nouvelle m'ayant été confirmée par plusieurs personnes, j'ai cru qu'il était plus convenable de convaincre votre esprit, que de vous faire une correction, quoiqu'à la vérité vote conduite m'y ait autorisé ; car pour me servir d'une expression, on ne peut pas dire que vous ayez abandonné le mauvais chemin pour entrer dans la bonne voie ni que votre nouveau genre de vie soit plus parfait que celui que vous avez abjuré, pour me servir des termes d'Empédocle : mais il m'a paru plus conforme à notre ancienne amitié de vous prouver clairement que vous êtes dans l'erreur depuis que vous avez changé de sentiment. Je pourrai par là être utile à ceux qui n'ont d'autre objet que celui de connaître la vérité. II. Il était fort sujet à la colique : cependant il ne voulut jamais prendre de remède, persuadé qu'il était indigne d'un homme grave, de se soulager par ce moyen. Il ne prit jamais de thériaque, parce que, disait-il, il ne voulait point se nourrir de la chair d'aucun animal familier. - sur gaogoa : Etudes "Aristoclidienne", Grand Mystère et Petit Mystère, |
Les paroles des protagonistes, des médecins célèbres (en bas à gauche, Averroes), ne sont pas enfermées dans des phylactères. Elles sortent de leur bouche fermée, selon la convention en vigueur. Mais comme les personnages se font face et que leurs visages sont au même niveau, l'un des blocs de texte du dialogue est calligraphié incliné, vers le haut ou vers le bas, pour que leurs paroles ne se mélangent pas. Les textes des paroles sont inscrits à l'endroit. Aussi, pour respecter la logique médiévale qui veut que le premier mot prononcé sorte directement de la bouche (ce qui impose d'inscrire le texte à l'envers pour une lecture classique de gauche à droite lorsque le discoureur est situé à droite de l'image), le premier mot de la phrase prononcée par le médecin en bas à droite est inscrit isolément sur la première ligne de texte, sans respecter l'alignement à gauche habituel. |
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POSIDONIOS | Posidonios d'Apamée (en grec ancien Ὁ Ποσειδώνιος ὀ Ἀπαμεύς), philosophe stoïcien grec, surnommé « l'athlète », fut aussi un savant, géographe et historien. L'unité du monde tient, non pas à deux facteurs comme chez Chrysippe (Dieu, la sympathie), mais trois : L'idée la plus importante et la plus célèbre de Posidonios est celle de sympathie cosmique. « L'univers est un corps unifié » fait de parties qui collaborent. Tout conspire, tout sympathise. « Le monde est un tout sympathique à lui-même. » « Dans le cas de corps unifiés, il existe une certaine sympathie, puisque, lorsque le doigt est coupé, le corps entier en est affecté. L'univers est donc lui aussi un corps unifié. » Selon Émile Bréhier, « le principe de sympathie est destiné à montrer soit l'action réciproque universelle de toutes choses, soit l'influence des causes éloignées et en apparence négligeables ». -Table des matières Posidonios d'Apamée ou de Rhodes, source remacle, - Histoires, /☘, - Posidonius et la passion de l'or chez les Gaulois, journal openedition, Pierre MONET, |
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PRIAPEA | - La Priapeia (ou Carmina Priapea ) est un recueil de quatre-vingts poèmes latins anonymes (dans certaines éditions quatre-vingt-quinze) à divers mètres sur des sujets relatifs au dieu phallique Priape . On pense qu'ils datent du 1er siècle après JC ou du début du 2ème siècle. [1] Une théorie traditionnelle sur leur origine est qu'ils sont une anthologie de poèmes écrits par divers auteurs sur le même sujet. Cependant, on a récemment fait valoir que les 80 poèmes sont en fait l'œuvre d'un seul auteur, présentant une sorte de biographie de Priape de sa jeunesse vigoureuse à son impuissance dans la vieillesse. - 80 épigrammes (longueur moyenne de 6 à 8 lignes) principalement écrits en hendécasyllables ou en couplets élégiaques , avec quelques-uns également en scazons . Beaucoup d'épigrammes sont écrits comme s'ils devaient être gravés sur les murs d'un sanctuaire [3] contenant une statue du dieu Priape qui se tenait au milieu des jardins en tant que protecteur des fruits qui y poussaient. Ces statues, généralement sculptées dans le bois, [4]étaient sous la forme d'un homme avec un phallus énorme, portant une faucille dans une main. Les statues, peintes en rouge pour signifier les prouesses sexuelles, ont également favorisé la fertilité des jardins. La plupart [5] des poèmes de la collection sont des monologues de Priape lui-même. - Corpus Priapeorum, blibliotheca augustana, en latin, 4 : - Tout ce que possède mon jardin (1) est à toi, [1. Une comparaison des postérieurs du garçon à un jardin.] 81 :
88- Femina si furtum faciet mihi uirue puerue, - La Priapée, extraits, L-E.MARTIN, |
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PRISCUS | - Priscus (ou : Priscus Panoniensis, Priscus Panita1), né à Panium (actuel village de Rumelifeneri, dans le district de Sarıyer à Istanbul), est un historien grec originaire de Thrace et un diplomate au service des empereurs d'Orient Théodose II (408-450) et Marcien (450-457). Dans son œuvre historique, il fournit des informations sur la cour d'Attila où il est présent lors d'une mission diplomatique en 449. Priscus est l'auteur d'un ouvrage d'histoire en huit livres (l'Histoire byzantine), probablement de l'avènement d'Attila à celui de Zénon (433-474). Seuls des fragments nous en sont parvenus, en grande partie préservés dans les Getica de Jordanès. La description d'Attila, de sa cour et de la réception des ambassadeurs romains est un aperçu précieux sur l'histoire de l'époque. Le style de Priscus est simple. Son impartialité et sa fidélité l'ont placé parmi les auteurs honorables de son temps. En 449, il accompagne Maximin, ambassadeur de Theodosius II à la cour d'Attila. Maximin et Priscus arrivent à la cour d’Attila à la fin de l’été 449. Leur relation de voyage situe l’ordu d’Attila à l’est de la Tisza, au nord du Temes et au sud du Körös, c'est-à-dire dans la région d'Arad, dans l'ouest de l'actuelle Roumanie. Ils découvrent une ville de tentes autour d’un promontoire où se dresse le palais royal construit en bois, entouré d’une haute palissade garnie de tours. Ils rencontrent Attila à plusieurs reprises, -Priscus, l'auteur de ces fragments, est un écrivain connu. Originaire de Panium en Thrace, et appelé, à cause de cette origine, tantôt Θράξ, tantôt Πανίτης, il est désigné par Suidas et par Evagrius sous les noms de rhéteur et de sophiste, sans doute par allusion à l'état qu'il exerçait. Il florissait au Ve siècle de notre ère, et Suidas le cite comme ayant vécu sous le règne de Théodose le Jeune. On croit qu'il était païen. Son histoire, dont les débris figurent dans la collection des historiens byzantins sous le double titre d'Histoire byzantine et d'Histoire gothique, paraît avoir embrassé les événements compris entre l'année 433, qui fut marquée par le début du règne d'Attila, et l'année 474, qui est la dix-septième année du règne de Léon et qui servit de point de départ au continuateur de Priscus, l'historien Malchus de Philadelphie. L'histoire de Priscus se composait de huit livres. Elle ne fut pas son seul ouvrage : il laissa, en outre, des lettres (ἐπιστολαί) et des compositions oratoires (μελέται) aujourd'hui perdues. Les fragments historiques de Priscus connus jusqu'à ce jour, soit par des citations d'auteurs, soit par des extraits textuels, ont été réunis en dernier lieu au nombre de quarante-trois par M. Charles Müller, et disposés par lui dans l'ordre chronologique.[1] Un seul de ces fragments est antérieur à l'an 442 : c'est celui qui ouvre la série. Les deux fragments nouveaux que nous publions aujourd'hui paraissent antérieurs à cette même date. Ces trois morceaux, voisins l'un de l'autre, faisaient sans doute partie du premier livre de l'Histoire de Priscus. Nous retrouvons ainsi quelques-unes des principales assises de ce monument littéraire, admiré par les contemporains de l'auteur et malheureusement détruit par les siècles. " .... Skotta vint nous dire, qu'Attila nous faisait appeler. Aussitôt nous prîmes le chemin de sa tente que nous trouvâmes environnée, d'une foule de Barbares, rangés en cercle autour d'elle. Nous entrâmes dans la tente et nous trouvâmes Attila, assis dans: un fauteuil de bois. Nous restâmes un peu en arrière ; Maximin, s'approcha seul, et lui remettant la lettre, il lui dit: que les Empereurs faisaient des vœux pour sa santé. Attila répondit : Je le crois, et je souhaite aux Romains tout le bien qu'ils me veulent. — Puis se tournant vers Bigilas, il lui dit : Bête impudente! pourquoi es-tu venue ici, toi qui dois savoir ce que nous pensons sur la paix, Anatolius et moi. Et de plus aucun ambassadeur ne devait se présenter chez moi avant que l'on eût rendu tous les transfuges. — Bigilas répondit qu'il n'y avait plus un seul transfuge Scythe dans tout l'Empire Romain. — Alors Attila se mit fort en colère, et dit les plus grosses injures à Bigilas, les accompagnant de cris épouvantables. Il jura même que, sans le respect qu'il portait à l'ambassade, il leferait mettre en croix et le ferait manger aux vautours. Après cela ...."- source remacle, , |
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PROBUS ou PROBA |
- Probus ou Proba, forme syriaque, sont conservés des commentaires en syriaque sur des parties de l'Organon aristotélicien, mais rien n'est connu de la personne même de cet auteur, sinon qu'il est désigné comme archiâtre (médecin d'un monarque ou d'une famille royale) et archidiacre d'Antioche, dans la souscription de son commentaire sur l'Isagogee dans les manuscrits de Berlin Sachau 226 et Mingana syr.606. ...on a souvent associé son nom à des auteurs qui travaillèrent à Edesse au V eme siècle, on a longtemps placé l'activité de Probus à cette même époque et lié son nom à la fameuse Ecole des Perses d'Edesse. " Il est sept points qu'il importe d'établir avant (l'examen de) tout ouvrage, comme nous l'avons appris dans le livre qui précède celui-ci : le but (de l'ouvrage), l'utilité, l'ordre, l'auteur, la raison du titre, la division en chapitres, le sujet auquel il se rapporte. — Le but. Le but de ce livre est de nous exposer la doctrine touchant le syllogisme en général. Il y a en effet trois sortes de syllogismes : (les syllogismes) apodictique, dialectique, sophistique. . . . Telle étant la division en chapitres, il nous faut savoir que l'ouvrage est intitulé Αναλυτικά,c'est-à-dire « réduction aux éléments ». L'on demande, étant donné que (l'auteur) divise son ouvrage en trois chapitres, pourquoi il passe outre au premier et a celui du milieu, pour emprunter le titre au troisième ? Nous répondons :..... " - Sur les espèces du Syllogisme : apodictique, dialectique, sophistique Syllogisme : raisonnement logique mettant en relation au moins trois propositions : deux ou plus d'entre elles, appelées « prémisses », conduisent à une « conclusion ». Aristote a été le premier à le formaliser dans son Organon. Ces propositions sont généralement exprimées avec uniquement des prédicats unaires et relèvent donc de la logique monadique du premier ordre. suite sur wikiwand,
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PROCLUS | - Proclus (Proclus de Lycie) ou Proclos, en grec ancien Πρόκλος / Próklos (né à Byzance le 7 ou 8 février 412 - et mort à Athènes le 17 avril 485), surnommé « le Diadoque » (διάδοχος, successeur), fut un philosophe néoplatonicien de l'école néoplatonicienne d'Athènes. La forme Proclus, très fréquemment utilisée en français, est la forme latinisée. Il nait dans une riche famille de Byzance, fils de Patricius et Marcella, deux Lyciens, probablement le 7 ou le 8 février 412. Il est éduqué à Xanthos, en Lycie. La déesse Athéna lui apparaît en songe, et il décide d'étudier la philosophie. À Alexandrie, il devient, en philosophie, le disciple d'Olympiodore l'Ancien, et, étudie les mathématiques, avec un certain Héron. Il refuse de se marier avec la fille d'Olympiodore l'Ancien, et il restera célibataire. À l'âge de vingt ans, il se rend à Athènes pour assister aux cours des philosophes platoniciens de l'école néoplatonicienne d'Athènes, chez Plutarque d'Athènes, dit aussi Plutarque le Jeune, fondateur et chef de cette école vers 400 ; il est condisciple de Hiéroclès d'Alexandrie ; ensuite il suit l'enseignement du successeur, Syrianos : logique, morale, politique, physique, enfin théologie. Il étudie Aristote, Platon, les écrits orphiques et les Oracles Chaldaïques. Il tient Plutarque d'Athènes pour son « grand-père », Syrianos pour son « père ». La fille de Plutarque d'Athènes, Asclépigénie, lui apprend les rites de la théurgie : conjurations, formules, rites magiques, instruments. À la mort de Plutarque d'Athènes (432), Syrianos devient le deuxième scolarque, recteur, de l'école néoplatonicienne d'Athènes. Proclos, à la mort de Syrianos (438), devient le troisième scolarque. Son effort pour contrer le christianisme dominant lui vaut une année d'exil, en Lydie. Les cinq dernières années de sa vie, Proclos souffre d'une maladie de langueur. Il meurt le 17 avril 485, âgé de 73 ans, à Athènes. Il fut enterré près du Lycabette, là même où repose le corps de son maître Syrianos. Les archéologues ont mis au jour la maison de Proclos - TABLE DES MATIERES , source remacle, |
« Moi, Proclus, Lycien de naissance, Syrianus ici / |
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PROCOPE | - Procope de Césarée (en latin : Procopius Caesarensis ; en grec : Προκόπιος ὁ Καισαρεύς), né vers 500 et mort vers 565, est un rhéteur (avocat) et historien byzantin dont l'œuvre est consacrée au règne de l'empereur Justinien. Secrétaire du général Bélisaire, il accompagna celui-ci dans ses campagnes jusqu'en 540, année où il revint à Constantinople pour se consacrer définitivement à l'écriture.
Ses principaux ouvrages sont Les Guerres de Justinien (comprenant « Les Guerres perses », « Les Guerres vandales » et « Les Guerres goths »), Sur les monuments et Histoire secrète de Justinien. Mais alors que Les Guerres de Justinien et surtout Sur les monuments vantent les mérites de Justinien, lui attribuant même la construction de monuments qui furent l'œuvre de son prédécesseur, Histoire secrète de Justinien trace un portrait peu flatteur de l'empereur, de Bélisaire et de leurs épouses respectives. Son choix d'écrire dans un grec attique classique, ainsi que son style vivant et alerte, le place dans la lignée des historiens classiques Hérodote, Thucydide, et Polybe. Procope est reconnu comme le principal historien du VIe siècle, et l'un des plus importants de l’Antiquité tardive. - HISTOIRE DE LA GUERRE CONTRE LES PERSES, - Histoire des Vandales (livres III et IV) des guerres de Justinien
- Histoire secrète de Justinien, Livre IX, |
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PRODICOS de CEOS |
- en grec ancien Πρόδικος / Prodikos) est un philosophe présocratique grec né entre 470 et 460 av. J.-C. et mort après 399 av. J.-C. - Prodicos est l'auteur d'un grand ouvrage intitulé Les Saisons (Ὦραι) dans lequel figurait, selon une scholie à Aristophane, un traité sur Héraclès et la vertu, que Xénophon évoque dans les Mémorables4. Les Saisons se composaient de deux parties :
Cet ouvrage semble avoir débuté par une description de la genèse de la civilisation, en parallèle avec une réflexion sur la nature et le divin selon une vision polythéiste (où les dieux interviennent auprès de l'humanité). Le récit était aussi une histoire naturelle de l'humanité et de ses réalisations. - Le redoublement de la passion c'est l'amour, le redoublement de l'amour c'est la folie. - source wikipedia, - PRO - DIELS : DOXOGRAPHIE, source remacle, |
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PRODROME THÉODORE |
-en grec Θεόδωρος Πρόδρομος, est un écrivain byzantin du XIIe siècle, surtout poète et rhéteur. Théodore Prodrome passe pour avoir excellé dans une discipline littéraire de l'époque qui s'appelait en grec « σχεδουργία », mot qui revient plusieurs fois dans les textes contemporains conservés, mais qu'on a du mal à définir. Il s'agit apparemment d'une technique particulière de composition, utilisée par exemple dans la rédaction d'un éloge, et dont Anne Comnène, par exemple, dit que c'était une technique difficile et rébarbative. Les œuvres nombreuses qui lui sont attribuées (163 textes sont généralement jugés authentiques) relèvent notamment du genre historico-biographique (entre autres des poèmes de circonstance, célébrant des événements, ou des éloges de personnes), de la théologie, de la philosophie, de la rhétorique, du roman, de l'hagiographie, etc. - Sa poésie historique et ses discours offrent souvent un grand intérêt documentaire sur l'époque, avec maints détails qui font défaut chez les historiens. En poésie, il est un des premiers auteurs byzantins à avoir composé en langue vulgaire. On a aussi de lui des dialogues satiriques en prose inspirés de Lucien de Samosate (Amarante ou les amours d'un vieillard, L'amitié en exil, Vente à l'encan de poètes et d'hommes politiques). Parmi ses œuvres célèbres, on peut relever :
On a également une série de poèmes attribués au Ptochoprodromos (le « mendiant Prodrome »), |
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PROPERCE | Properce, de son nom latin Sextus Propertius, est un poète latin né aux alentours de 47 av. J.-C. en Ombrie, sans doute à proximité de la ville actuelle d'Assise, et mort vers 16/15 av. J.-C. - wikipedia, - Elégies, source remacle, |
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PROROS | - Présocratique, - wikipedia, - DIELS : DOXOGRAPHIE : GREC |
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PROTAGORAS | - Protagoras (en grec ancien, Πρωταγόρας) est un penseur présocratique et professeur du ve siècle av. J.-C. (490 - vers 420 av. J.-C.). Considéré par Platon comme un sophiste, il est reconnu comme tel par la tradition antique et récente. Renommé de son vivant, Protagoras est resté célèbre pour son agnosticisme avoué et un certain relativisme : Des dieux, je ne sais ni s'ils sont ni s'ils ne sont pas et L'homme est la mesure de toutes choses. - C'est un professionnel du savoir. Ses cours sont payants et constituent pour lui une source de revenus et de popularité. On insiste usuellement sur trois éléments :
Ses idées sur la rhétorique et le droit ont amené le système adversaire, ou rhétorique, dans lequel on amène un étudiant à débattre pour les deux parties en guise d'entrainement en droit. Protagoras faisait un usage fréquent des antilogies : il affirmait qu'en cas d'incertitude, deux thèses s'opposaient nécessairement, et qu'il fallait s'efforcer de défendre et de renforcer la plus faible d'entre elles. Il était aussi intéressé par l'orthopia, l'usage correct des mots, un domaine favori de Prodicos. En tout, notre connaissance de l'abdéritain s'appuie sur une cinquantaine de fragments et témoignages. « L'homme est la mesure de toutes choses : de celles qui sont, du fait qu’elles sont ; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont pas. » Dans le Théétète de Platon, la doctrine de Protagoras est examinée dans la première tentative de définition de la science. C'est du point de vue de ce que perçoit l'homme que le bien et le mal, le vrai et le faux prennent leur définition. La vérité, la justice ou la morale sont relatives. L'énoncé peut aussi signifier que c'est l'homme qui crée les différences en ce qui concerne le langage, le savoir, la sensibilité ou les perceptions. - voir le Théétète de Platon, Protagoras est cité et/ou discuté: dans le Théétète, Socrate se livre à une réfutation de la doctrine de Protagoras Protagoras de Platon, y est mis en scène, Protagoras, 324 a-b; Platon fait dire au sophiste qu'il a trouvé un moyen d'exposer ses théories sans aucun risque. Si Protagoras a réellement été condamné, le texte platonicien prend une dimension comique et ironique qui n'est pas inhabituelle chez Platon. V.COUSIN, source remacle, ou palimpsestes, L'Euthydème, de Platon, Protagoras est cité et/ou discuté Hippias Majeur, de Platon, Protagoras est cité et/ou discuté Le Phèdre, de Platon, Protagoras est cité et/ou discuté Le Sophiste de Platon, Protagoras est cité et/ou discuté, E.CHAMBRY, source ugo-bratelli, le Ménon, de Platon, Protagoras est cité aux côtés de personnages dont l'un des points communs est de tous avoir fait l'objet d'une condamnation. Protagoras serait donc une exception dans cette liste, sauf à admettre qu'il ait été lui aussi condamné. le Cratyle, de Platon, Protagoras est cité et/ou discuté La Poétique d'Aristote, Bien que ce soit Socrate qui soit mis en scène dans Les Nuées, Aristophane s'inspire de plusieurs intellectuels célèbres de l'époque. - source wikipedia, -PRO - DIELS : DOXOGRAPHIE : GREC, source remacle, - Protagoras de Platon, analyse de B.BOURDON, philosophie marseille, - Pour les oeuvres de ARISTOCLES-PLATON voir gaogoa cadre ci-dessous |
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PRUDENCE | - Aurelius Prudentius Clemens, dit Prudence (né en 348 à Calagurris (auj. Calahorra), patrie également de Quintilien, dans le nord de l'Espagne - mort entre 405 et 410) est un poète lyrique latin qui mit sa poésie au service de la religion chrétienne. - Etude sur PRUDENCE, suivie de Cathemerinon, source remacle, - Les oeuvres de PRUDENCE, source unige, et ... la poésie chrétienne, ....origines, le culte des martyrs,... |
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PSELLOS Michel | Michel Psellos (en grec : Μιχαὴλ Ψελλός / Michaél Psellós) est un écrivain et philosophe byzantin, né en 1018 et mort en 1078. Les sources concernant la vie et la personnalité de Michel Psellos sont ses propres écrits. Le prénom Michel est son prénom monacal. Son prénom de naissance est Constantin. Son savoir est divers : philosophie, rhétorique, géométrie, théologie, médecine, histoire… Psellos se distingue également par son intérêt pour l’Antiquité, qui le conduit parfois à se dresser contre l’Église. En raison de ses conceptions néoplatoniciennes, il doit, en 1054, faire une profession de foi. il écrit sur tout et a une ambition encyclopédique. Mais ce sont surtout des notes de cours des élèves qui nous sont parvenues. La Chronographie est connue par un manuscrit unique, le Paris. gr. 1712, codex en parchemin du XIIe siècle qui contient aussi Léon le Diacre, Michel Attaleiatès et Jean Skylitzès. Il s'agit d'une chronique de l'histoire byzantine, très centrée sur les affaires du palais, allant de l'avènement de Basile II (976) à celui de Nicéphore Botaniatès (1078). oeuvres : - TABLEAU SOMMAIRE OU HYPOTYPOSE DES ANCIENS DOGMES CHALDEENS , source remacle, - Un livre sacré de l'Antiquité tardive : Les oracles chaldaïques, conférence de Helmut SENG, 2011, IV. Âme, homme, salut 29- L’homme en tant qu’être animé naît d’une sorte d’acte de création divine posé par le démiurge, qui tire l’âme humaine individuelle de l’âme du monde. OC 94 (sur l’âme et le corps humains) s’inspire largement de ce que Platon dit dans le Timée (30b5-6) sur l’âme du monde et l’univers : l’intellect est logé dans l’âme, l’âme dans les corps. OC 44 mentionne un élément supplémentaire, l’étincelle de l’âme, ψυχαῖος σπινθήρ. Selon l’exégèse néoplatonicienne, celle-ci représente en quelque sorte « l’un en nous ».
30-Le siège originel des âmes se situe dans la sphère des astres fixes, au-dessus des planètes. Cela correspond analogiquement à la place de l’Âme du monde au-dessus des astres. Les âmes individuelles sont localisées immédiatemment en dessous. La descente de l’âme est considérée sous des aspects contradictoires. D’un côté, elle est présentée comme un service temporaire ; plus souvent, on la représente comme une sorte de glissade ou de chute. 3. La descente de l’âme et son véhicule31- Lors de la descente, l’âme subit un changement caractéristique. En traversant les sphères, elle s’agrège des particules provenant de celles-ci, et elle les accumule autour d’elle comme une enveloppe : c’est ce que l’on nomme le « véhicule » de l’âme, ou le πνεῦμα. Ce « véhicule » n’est donc pas complètement immatériel, mais il n’est pas non plus constitué de matière terrestre. Il devient corporel seulement par l’absorption de celle-ci. 32- La descente à travers les sphères mène au trône de la Nécessité (Ananké), au règne de l’Εἱμαρμένη (le Destin) ou de la Nature, que Psellos oppose à la Providence : « Nous dépendons de la Providence quand nous agissons intellectivement ; du destin, quand nous agissons aussi corporellement » (op. phil. II 38 p. 143, 24-144, 1 O’M. ; cf. aussi Proclus, Th. Pl. V 24 p. 297, 32-35 P. = 87, 22-88, 1 S.-W.).
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PSEUDO-LONGIN | -Pseudo-Longin (en grec ancien Λογγίνος / Loggínos) est le nom donné par les modernes à un écrivain grec anonyme du IIe ou IIIe siècle, auteur du Traité du sublime, (en grec ancien, Περὶ ὕψους / Perí hypsous), ouvrage qui a longtemps été attribué à Longin. - Le traité est dédié à Posthumius Terentianus,..., Il constitue un recueil d'exemples littéraires, de plus de 50 auteurs répartis sur plus de mille ans. Ce traité, dont n'ont été retrouvés que les trois quarts environ, est l'un des plus importants traités antiques de critique littéraire, avec la Poétique d'Aristote. Contre la rhétorique cicéronienne, il rejette la conception purement technique de l’atticisme qui proposait des recettes stylistiques, réduisant ainsi au « style sublime » la notion de sublime. Celle-ci est pour l'auteur du traité « l'écho d'une grande âme », la substance de grandes idées conçues par un esprit créateur, et non leurs formules figées et imitables. - Parmi les moyens de parvenir au sublime, le premier critère proposé est l’élévation de la pensée et des sentiments, assortie d’effets pathétiques et d’expressions de l’enthousiasme ; les images doivent être vives et d’une grande force de suggestion13. Les tropes et figures de style à privilégier sont l’asyndète (absence de liaison), l’anacoluthe (rupture de construction), l’hyperbate (distorsion du phrasé avec l’ordre logique), l’épanaphore (répétition augmentative) et l’amplification (effet d’accumulation). En revanche, l’hyperbole et l’apostrophe devront rester discrètes. Le plus grand soin devra être apporté à la composition, pour assurer l’unité d’ensemble13. L’auteur du Traité du Sublime cite, à titre d’exemple, un poème d’amour de Sappho14, dans lequel il admire l’ordre successif de présentation des tourments et des troubles physiques de l’amour :
— Traité du Sublime, X, 2-3 (traduction de Henri Lebègue) source et suite sur wikipedia, - Oeuvres diverses avec le Traité du Sublime ou du Merveilleux dans le Discours, source remacle, - Traité du sublime, LONGIN, reprise de remacle, mercure uclac hodoi, |
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PTOLÉMÉE | Claude Ptolémée (en grec ancien Κλαύδιος Πτολεμαῖος Claúdios Ptolemaîos, en latin Claudius Ptolemaeus), communément appelé Ptolémée (Ptolémaïs de Thébaïde (Haute-Égypte), né vers 100 - mort vers 168 à Canope, est un astronome et astrologue grec qui vécut à Alexandrie (Égypte). Il est également l’un des précurseurs de la géographie. Sa vie est mal connue. Son cognomen Ptolemæus semble indiquer des origines gréco-égyptiennes, et son nomen Claudius une citoyenneté romaine. Son prænomen est inconnu. Ptolémée est l’auteur de plusieurs traités scientifiques, dont deux ont exercé une grande influence sur les sciences occidentales et orientales. L’un est le traité d’astronomie, aujourd’hui connu sous le nom d’Almageste (arabisation de Ἡ Μεγάλη Σύνταξις,ʿē Megálē Súntaxis, La Grande Composition, puis Ὴ μεγίστη,ʿē megístē, La Très Grande, al-Mijisti, mais dont le titre original en grec était Μαθηματική σύνταξις, Mathēmatikḗ súntaxis, Composition mathématique). L’autre est la Géographie, qui est une synthèse des connaissances géographiques du monde gréco-romain. Sa Géographie est une autre œuvre majeure. Il s’agit d’une compilation des connaissances géographiques à l’époque de l’empire romain sous le règne d’Hadrien (125), couvrant la totalité du monde connu ou écoumène. Comme pour le modèle du système solaire dans l’Almageste, Ptolémée unifie dans un grand ensemble toutes les informations dont il dispose. L’Almageste est le seul ouvrage antique complet sur l’astronomie qui nous soit parvenu. Les astronomes babyloniens, qui avaient consigné soigneusement, pendant des siècles, de précieuses observations (positions des astres, datations des éclipses…), avaient élaboré des techniques de calcul pour la prévision de phénomènes astronomiques. Les astronomes grecs, tels qu’Eudoxe de Cnide et surtout Hipparque, avaient intégré ces observations et les leurs dans des modèles géométriques (théorie des épicycles) pour calculer les mouvements de certains corps célestes. Dans son traité, Ptolémée reprend ces différents modèles astronomiques et les perfectionne, notamment en ajoutant la notion d’équant . Le Tetrabiblos est un ouvrage sur l'astrologie écrit en grec par Ptolémée, qui fut traduit du grec en arabe, puis de l'arabe en latin. Quand Ptolémée (à travers ses traducteurs) parle de maisons, il ne se réfère pas aux maisons astrologiques dans le sens admis aujourd'hui. Son système de division en maisons n'est autre que celui de la division en signes zodiacaux. Quand il parle de maisons des planètes, il entend par là les signes dont ces planètes ont la maîtrise : Le Tetrabiblos est une encyclopédie compilant le savoir antique de l'étude de l'astrologie vue par les Greco-Romains. C'est un ouvrage qui fait référence en matière d'astrologie
- source wikipedia, ou wikiwand, - - MAT - DE LA COMPOSITION MATHÉMATIQUE DE CLAUDE PTOLÉMÉE (LIVRE I) - GAL - TOUS LES TEXTES DE PTOLÉMÉE PARLANT DES GAULOIS, source remacle, HADRIEN |
Epicyle de Ptolémée, source pg-astron.fr,¨Ph.GARCELON voir l’Almageste de C.Ptolémée
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PYTHAGORE | Pythagore (en grec ancien Πυθαγόρας / Pythagóras) est un réformateur religieux et philosophe présocratique qui serait né aux environs de 580 av. J.-C. à Samos, une île de la mer Égée au sud-est de la ville d'Athènes ; on établit sa mort vers 495 av. J.-C., à l'âge de 85 ans. Il aurait été également mathématicien et scientifique selon une tradition tardive. Le nom de Pythagore (étymologiquement, Pyth-agoras : « celui qui a été annoncé par la Pythie »), découle de l'annonce de sa naissance faite à son père lors d'un voyage à Delphes. "La fameuse déclaration « Les choses sont nombre » signifie à la fois : a) c'est le nombre qui constitue la structure intelligible des choses (ce principe fonde en raison la physique mathématique) ; b) les éléments fondamentaux des mathématiques sont les éléments des choses (ce principe affirme la possibilité de définir une structure de l'esprit qui est une structure des choses et que constituent les notions de fini et d'infini, d'un et de multiple, etc.). Pythagore donne des nombres une représentation géométrique. Arithmétique et géométrie sont sœurs. Les démonstrations arithmétiques s'appuient sur des figures et cette méthode porte le nom d'arithmétique géométrique...." La vie énigmatique de Pythagore permet difficilement d'éclaircir l'histoire de ce réformateur religieux, mathématicien, philosophe et thaumaturge. Il n’a jamais rien écrit, et les soixante et onze lignes des Vers d’Or qu'on lui attribue sont apocryphes et sont le signe de l'immense développement de la légende formée autour de son nom. Le néopythagorisme est néanmoins empreint d'une mystique des nombres, déjà présente dans la pensée de Pythagore. Hérodote le mentionne comme « l'un des plus grands esprits de la Grèce, le sage Pythagore ». Il conserve un grand prestige ; Hegel disait qu'il était " le premier maître universel ". Pythagore est un athlète. Selon une tradition, Pythagore participe aux Jeux olympiques à l'âge de 17 ans. Ce serait la 57e olympiade (-552) ou la 48e (-588) selon Ératosthène. Il remporte toutes les compétitions de pugilat (sport de l'Antiquité comparable à la boxe). Deuxième initiation, en « Syrie » ou « Phénicie ». Il rencontre les descendants du prophète et naturaliste Mochus (en). Il fréquente des hiérophantes. Il se fait initier à Tyr et à Byblos et ailleurs. Il revient à Samos, une première fois, suivre les enseignements d'Hermodamas de Samos, un lettré en matière homérique . Troisième initiation. Dès Hécatée d'Abdère, les historiens soutiennent que Pythagore part en Égypte vers 547 av. J.-C., vers Memphis et Diospolis (Thèbes d'Égypte), pour plusieurs années. Dans cette ville se trouve le sanctuaire de Zeus Ammon. Il est reçu par les prêtres, sous Amasis, pharaon de 568 à 526 av. J.-C. et connu de Polycrate de Samos. Il apprend la langue à Memphis dans un centre d'interprétariat fondé par Psammétique Ier (pharaon en 663 av. J.-C.). Il étudie la géométrie, l'astronomie des Égyptiens. Il est initié aux Mystères de Diospolis et à la doctrine de la résurrection d'Osiris ; selon Plutarque, les prêtres lui auraient appliqué sur la cuisse le disque ailé d'Atoum-Râ, en feuille d'or, ce qui lui valut le surnom de Pythagore « chrysomère, à la cuisse d'or » Quatrième initiation. Certaines traditions ajoutent qu'il est expulsé comme esclave ou prisonnier d'Égypte à Babylone, par Cambyse II, roi de Perse venu conquérir l'Égypte en 525 av. J.-C.29. Il serait alors allé « chez les Chaldéens et les Mages ». Cet épisode est beaucoup moins attesté que le voyage en Égypte, et les dates posent problème, surtout quand Antiphon prétend que Pythagore est resté 22 ans en Égypte (de 547 à 525 av. J.-C. ?) et 12 ans à Babylone (de 525 à 513 av. J.-C. ?). Il est impossible qu'il ait rencontré Zoroastre — comme le voudrait Porphyre de Tyr — car le prophète iranien enseignait vers 594 av. J.-C. environ. Plutarque dans son explication Sur la création du monde selon le Timée de Platon lui donne également pour maître Zaratas d'Assyrie, en qui certains auteurs voient en fait une déformation du prénom de Zoroastre. Cinquième initiation : Pythagore se rend en Crète, dans l'antre de l'Ida, haut lieu ésotérique, sous la conduite, dit-on, d'Épiménide de Crète, et des initiés du Dactyle (magicien), Morgès31,32. Cinquième initiation : il va en Thrace, pour rencontrer les orphiques. Sixième initiation : il rencontre « Thémistocléa, la prêtresse de Delphes » L'école pythagoricienne de Crotone devint par la suite une hétairie (en grec ancien, ἑταιρεία = confrérie) politique de courant aristocratique. Il s'agit d'une fraternité philosophique, religieuse et scientifique, proche de l'orphisme. On dirait aujourd'hui un Ordre, au sens où la Franc-maçonnerie ou la Rose-Croix sont des Ordres. La communauté s'échelonne sur quatre degrés initiatiques et hiérarchiques, comme dans de nombreuses organisations initiatiques. Les femmes et les étrangers sont admis. Les profanes (en grec ancien βέβηλοι, bébêloi) sont « les gens du dehors » (oi exô, οἱ ἒξω), les gens du commun, auxquels rien n'est révélé. hiérachie : Postulants, Néophytes, Acousmaticiens, Mathématiciens ou Esotériques ou Sindonite (habillés de lin).... suite sur wikipedia, De nombreuses règles, pour ne pas dire tabous, s'imposent à celui qui adopte « la vie pythagorique » (βίος πυθαγορικός). - règles diététiques (du pur végétarisme au « végétarisme » sélectif) : interdiction de manger du rouget, le cœur, le cerveau, la moelle, les fèves, les œufs… bref tout ce qui symbolise la vie. La consommation de la chair des animaux sacrifiés semble autorisée par certains pythagoriciens, sans doute par concession à la religion officielle. -source et suite sur wikipedia, - L'Ecole pythagoricienne, sur histophilo, : L'école pythagoricienne était ainsi une confrérie tant religieuse que scientifique. Le calcul pythagoricien est avant tout une symbolique numérique. Chaque nombre est associé à une figure, d'où la restriction à l'étude des nombres entiers positifs :
suite sur histophilo, Pythagore par Diogène Laërte, remacle, Les vers d'or, source google,
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QUINTILEN | - Quintilien (en latin Marcus Fabius Quintilianus) est un rhéteur et pédagogue latin du Ier siècle apr. J.-C. Il est l'auteur d'un important manuel de rhétorique, l'Institution oratoire, dont l'influence sur l'art oratoire se prolongea pendant des siècles. Quintilien fut le premier orateur qui monta ainsi dans une chaire officielle de rhétorique. Il renonça au barreau et se consacra tout entier à son enseignement. Il professa pendant vingt ans; de très nombreux élèves, entre autres Pline le Jeune et le futur empereur Hadrien, suivirent ses leçons; Domitien lui confia le soin d'instruire les enfants de sa soeur Domitilla, et lui conféra peut-être les insignes consulaires, Quintilien avait écrit un livre sur les causes de la décadence de l'éloquence (De causis corruptae eloquentiae). L'ouvrage capital de Quintilien, c'est l'Institution oratoire (lnstitutio oratoria, ou mieux d'après les manuscrits, Institutiones oratoriae, les Institutions oratoires). Quintilien mit deux ans à écrire ce livre, que l'on peut considérer comme le résumé du cours de rhétorique qu'il professa pendant vingt ans.
source et suite sur cosmovisions - QUINTILIEN, De l'institution oratoire, sur remacle,
- Consulter Le LANGAGE sur gaogoa, 1, 2, HADRIEN |
Je veux donc que l'orateur soit tel, qu'il mérite véritablement le nom de sage : parfait, non seulement dans ses moeurs (car cela, dans mon opinion même, ne suffit pas, quoique certaines personnes pensent le contraire), mais encore dans toutes les sciences et dans tous les genres d'éloquence ; tel enfin qu'il ne s'en est peut-être jamais rencontré. Toutefois, je n'en ferai pas moins tous mes efforts pour le conduire à la perfection, à l'exemple de la plupart des anciens, qui, tout en reconnaissant que le vrai sage était encore à trouver, n'ont pas laissé de donner des préceptes sur la sagesse. Car certainement l'éloquence parfaite est quelque chose de réel, et la nature de l'esprit humain n'empêche pas qu'on ne puisse y atteindre. Que si l'on n'est pas assez heureux pour cela, toujours est-il qu'en aspirant au sommet, on s'élèvera plus haut que ceux qui, désespérant d'avance du succès, s'arrêteront dès le premier pas. C'est pourquoi on me pardonnera de descendre à des détails inférieurs, mais nécessaires à l'oeuvre que je me suis proposée. Ainsi, mon premier livre contiendra tout ce qui précède les fonctions du rhéteur. Dans le second, je traiterai des premiers éléments de la rhétorique, et des questions qui ont pour objet la nature même de la rhétorique. Je consacrerai les cinq livres suivants à l'invention et à la disposition, les quatre autres à l'élocution, y compris la mémoire et la prononciation. Enfin, dans un dernier livre, qui regardera la personne même de l'orateur, j'expliquerai, autant que ma faiblesse me le permettra, quelles doivent être ses moeurs, ce qu'il doit observer dans les causes qu'il entreprend, qu'il étudie, qu'il plaide ; quel genre d'éloquence il y doit employer, quel doit être le terme de ses travaux oratoires, et à quelles études il doit se livrer dans sa retraite. J'accommoderai aussi ma manière d'écrire à la nature des choses qui se présenteront. Ainsi, je ne me bornerai pas à donner à mes lecteurs la connaissance de ces principes, qui seuls, selon quelques-uns, composent l'art dont il est question, ni à leur expliquer la rhétorique comme on enseigne le droit ; mais j'écrirai de telle sorte, que la lecture de mon ouvrage puisse nourrir leur faconde et fortifier leur éloquence.. in Introduction |
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QUINTUS de SMYRNE |
-Quintus de Smyrne (en grec ancien : Κόϊντος Σμυρναῖος / Kóïntos Smurnaĩos ; en latin : Quintus Smyrnæus) est un écrivain grec du IIIe ou ive siècle. Son nom est parfois orthographié Cointos, Quintos ou Kointos. Il prétend être originaire de Smyrne, une ville d'Asie mineure (actuelle Izmir en Turquie) qui est l'une des prétendantes au titre de lieu de naissance d'Homère. Il décrit également dans son œuvre (XII, 306-313) comment il commence à écrire alors qu'il fait paître ses moutons dans les montagnes (les contreforts du Sipyle), « à l'âge où ses joues se couvrent de duvet ». Néanmoins, les deux indications paraissent douteuses : dans le premier cas, il s'agit de se mettre sous le patronage d'Homère, tandis que le second paraît directement copié du prologue de la Théogonie d'Hésiode. En effet, l'œuvre de Quintus témoigne d'une culture livresque étendue, et en particulier d'une grande familiarité avec Homère, Hésiode et Apollonios de Rhodes, ce qui rend peu plausible l'image du jeune pâtre. Il est l'auteur d'un poème en 14 chants intitulé, selon une scholie de l'Iliade, Τὰ μετὰ τὸν Ὅμηρον / Tà metà tòn Homêron ou Τὰ μεθ᾽ Ὅμηρον / Tà meth’ Homêron, c'est-à-dire la Suite d'Homère, parfois appelée Posthomériques. Il s'agit de reprendre l'Iliade là où l'aède l'a laissée, après la mort d'Hector, et de poursuivre le récit jusqu'au sac de la ville.
" Ils se rappellent sans cesse l'horrible carnage qu'il fit de leurs troupes, lorsqu'il se montra pour la première fois sur les bords de l'Hellespont; ils croient voir encore et les guerriers massacrés sur les rives du Scamandre, et les fuyards égorgés jusque sous les remparts d'Ilion; ils croient voir Hector lui-même expirer sous les coups d'Achille. L'image récente de tant de désastres les tient ... " |
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RAMAYANA | - Le Râmâyana (en sanskrit : रामायण (Rāmāyaṇa)1), c'est-à-dire « la Geste de Rāma », est la plus courte des deux épopées mythologiques de langue sanskrite composées entre le IIIe siècle av. J.-C. et le IIIe siècle de notre ère. Constitué de sept chapitres et de 24 000 couplets (48 000 vers), le Râmâyana est, comme le Mahabharata, l'un des textes fondamentaux de l'hindouisme et de la mythologie hindoue2. Le poème est traditionnellement attribué à l'ermite légendaire Vâlmîki (surnommé « Adi kavi », le « Premier poète »)3, qui apparaît comme personnage dans les premiers et derniers chapitres, lesquels sont considérés comme des compositions un peu plus récentes que les autres. Le Râmâyana commence bien avant la naissance de Rāma par la plainte de la Terre dévastée qui, sous la forme d'une vache (Prithvi), s'adresse à Vishnou et le met en face de sa responsabilité. Le Râmâyana raconte la naissance et l'éducation du prince Rāma qui est le septième avatar du dieu Vishnou, la conquête de Sītā et son union avec elle. L'œuvre raconte également l'exil de Rāma et Sītā dans la forêt de Dandaka, l'enlèvement de Sītā, sa délivrance et le retour de Rāma sur le trône. Quand il est écarté du trône de son père Dasharatha (dont il est l'héritier légitime), Rāma s'exile d'Ayodhya, accompagné par Sītā et son frère Lakshmana. Puis Sītā est enlevée par le démon Ravana et emprisonnée à Lanka (qu'on identifie généralement à l'île de Sri Lanka, mais que certains auteurs comme Louis Frédéric placent plutôt sur l'une des sept îles - peut-être l'Heptanesia de Ptolémée - qui sont à l'origine de la ville de Bombay). Après une longue et pénible recherche, Rāma la délivre avec l'aide d'Hanumān, général de l'armée des singes. Ravana est tué par Rāma qui récupère ensuite son trône et gouverne son royaume avec une grande sagesse. Le Râmâyana comprend sept livres :
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NamaRamayana by M.S.SUBBULASKSHMI |
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RÊVES
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- à venir...en cours -SONGE ou RÊVE ? voir SONGE & VISION .... Le rêve, les rêves : Les clefs des songes comme lexique interprétatif depuis 2020 av JC. Rêve du Sphinx de Thutmosis pour désensabler le Sphinx ! voir Stèle du rêve, source wikipedia, - HIPPOCRATE, Du Régime, Livre quatrième ou DES SONGES, source remacle, - Rêve et divination, eduscol, - Divination, oracles, ... - ASCLEPIOS : incubation..... voir Epidaure, le site, les soins, sur gaogoa/Cabotage/Epidaure/..soins
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DEMON INCUBE ♂ SUCCUBE ♀ DIABOLUS |
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DRUIDE MEDICASTRE |
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RUFIN d'Aquilée | -Rufin d'Aquilée (vers 345 à Concordia Sagittaria, Italie - vers 411 à Messine en Italie), dénomination devenue usuelle pour Tyrannius Rufinus (ou plutôt Turranius Rufinus), est un ascète chrétien, écrivain religieux et traducteur du grec au latin, historien ecclésiastique et admirateur de l'œuvre d'Origène. Rufin naît à Julia Concordia, près d'Aquilée, de parents chrétiens. Il fait des études à Rome pendant plusieurs années (360-368) et y rencontre saint Jérôme. Vers 370, il intègre à Aquilée une communauté religieuse. En 372, il part pour Alexandrie où il suit l'enseignement de l'origéniste Didyme l'Aveugle. Il va aussi à la rencontre des ascètes du désert de Nitrie, notamment Macaire. Il se lie avec Mélanie l'Ancienne, venue aussi en Orient en quête de spiritualité chrétienne, et vers 378, il la suit à Jérusalem.
Il a écrit lui-même une suite à l'Histoire ecclésiastique d'Eusèbe de Césarée : il en a fusionné les livres 9 et 10
- J'étais naguère passionné pour les garçons. je suis maintenant passionné pour les femmes ; maintenant le crotale me tient lieu de disque. Au lieu de la peau sans fard, sans artifice des garçons, ce qui me plaît c'est le gypse, le fard, la céruse, une fraîcheur, un éclat d'emprunt. [De quoi s'étonner désormais ?] Les dauphins vont jucher dans les bois d'Érymanthe ; les flots écumants de la mer vont servir de gîte aux cerfs rapides. - Je me suis armé contre l'Amour d'une cuirasse, la raison. Il ne me vaincra pas si nous combattons seul à seul : mortel, je lutterai contre un immortel. Mais si Bacchus vient à son aide, que puis-je seul contre deux ? source remacle, |
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Rhétorique à Herennius | - La Rhétorique à Hérennius, en latin Rhetorica ad Herennium, d’un auteur anonyme du Ier siècle avant l’ère chrétienne, dispute au De inventione de Cicéron le rang du plus ancien manuel de rhétorique latine connu. Il sert toujours de livre de référence pour qui étudie l’art oratoire.
Ce fut un ouvrage incontournable pour les étudiants et les lettrés du Moyen Âge et de la Renaissance. De pair avec le De inventione, il servait à l’enseignement de la rhétorique et sa popularité est clairement attestée par le grand nombre de manuscrits (plus d’une centaine) qui nous sont parvenus et par les nombreuses traductions de l’original latin en langues vernaculaires. L’ouvrage s’intéresse aux applications pratiques de la rhétorique et en étudie des exemples. C’est également le texte le plus ancien connu qui traite de la rhétorique d’une façon aussi structurée et rigoureuse. Le passage qui examine l’elocutio, c’est-à-dire le style, est la plus ancienne étude systématique du style latin, émaillée d’un grand nombre d’exemples empruntés à l’actualité de son époque. Le traité reflète l’émergence d’un style nouveau qui devait s’épanouir dans le siècle qui suivit sa rédaction, provoquant une véritable révolution dans les lettres et l’art oratoire romains. C’est également dans ce traité que l’on trouve pour la première fois exposée la méthode mnémotechnique des loci ou topoi, qui est à l’origine d’un nouveau genre, l’art de mémoire (Ars memoriae). (voir ci-dessous) Le manuscrit original ayant disparu, et avec lui le nom de l’auteur, celui-ci est resté inconnu malgré les efforts des spécialistes. Quintilien semble l'attribuer à Quintus Cornificius. La paternité du texte est attribuée à Cicéron par Jérôme de Stridon1. Cette attribution est longtemps admise en raison des analogies avec le De inventione de Cicéron. Dans les manuscrits médiévaux, la Rhetorica ad Herennium figure après ce livre, ce qui lui a valu le surnom de Rhetorica secunda2 au XIIe siècle, ou de Rhetorica nova de la part des éditeurs qui pensaient que Cicéron avait souhaité reprendre et corriger le De Inventione, texte de jeunesse qu'il critique dans le De Oratore1. Dès le XVe siècle, des spécialistes (Lorenzo Valla, Raphael Regius en 1491) contestent cette attribution qui dès lors donne lieu à de nombreux débats. En 1835, le texte figure encore dans l’édition française des Œuvres complètes de Cicéron publiée chez Panckoucke dans une traduction de M. Delcasso. Ce dernier signale la polémique et les attributions selon lui fantaisistes qui ont été proposées3 et tranche en faveur de Cicéron en s'appuyant sur des autorités telles que Jérôme3. Pour lui il s’agit d’une œuvre de jeunesse, que Cicéron aurait corrigée et remaniée pour composer le De Inventione, ce qui explique à la fois les similitudes et les différences entre les deux textes. À sa suite, Charles Nisard dans sa préface de 1869 soutient l'attribution à Cicéron, notamment en raison des sympathies exprimées pour les tribuns populares, position politique qu'il attribue au jeune Cicéron. ... source et suite sur wikipedia,
- Rhétorique à Herennium, Herennius, , source mediterrannees, Table des Matières, Trad H.BORNECQUE, - Rhétorique à Hérennius, trad THIBAUT, source wikisource, - Rhétorique à Hérennius, dans CICERON , bnf, - Rhétorique à Hérennius, par Guy ACHARD, persee,
- L'art de la mémoire, de YATES Francis, 1975, Gallimard, .pdf, |
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RUFUS d'Ephèse | - Rufus d'Éphèse est un médecin grec né aux environs de +80 à Éphèse et mort vers +150, qui vivait donc probablement du temps de Trajan (vers 110). Galien aurait beaucoup emprunté à ce clinicien remarquable et auteur prolifique, mais dont l'œuvre est en grande partie perdue, Sa vie est très mal connue et les données contradictoires. Selon la Souda, Il aurait vécu sous le règne de Trajan vers l'an 100 ou 112, d'autres le situent vers 50, mais il y aurait confusion avec d'autres Rufus1. D'après son nom, Rufus serait né à Éphèse en Asie mineure (Turquie actuelle). Il vécut un temps en Égypte, probablement pour étudier la médecine à Alexandrie. Ses remarques médicales sur l'état général d'un pays et ses maladies spécifiques comme le ver de Guinée (dracunculose), sur ses patients et sur ce qu'il a vu, se rapportent toutes au sud de l'Asie Mineure. Il n'aurait jamais été à Rome. .... Au xixe siècle, Philippe Pinel et Esquirol mentionnent encore les textes de Rufus sur la mélancolie
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RUFUS Musonius | - Gaius Musonius Rufus est un philosophe stoïcien romain du Ier siècle apr. J.-C. Il enseigna la philosophie à Rome sous le règne de Néron, en conséquence de quoi, il fut exilé en 65 apr. J.-C., pour ne revenir à Rome que sous le règne de Galba. Il fut autorisé à y rester alors que Vespasien avait banni tous les autres philosophes de la ville en 71 apr. J.-C., mais fut finalement banni à son tour, ne revenant qu'après la mort de l'empereur. Une collection d'extraits de ses conférences nous est parvenue. Il est également connu pour être le maître d'Épictète. - Sa philosophie, qui est à bien des égards identique à celle de son élève Épictète, est marquée par sa tendance pratique forte. Pour lui, la philosophie, dont il voulait que chacun la cultive, n'est pas une simple question de mots, d'enseignement ou d'école, mais une quête que tout le monde peut (et devrait), par ses propres réflexions et pratiques, poursuivre pour soi-même
- Ses discours supposés selon Souda, Les titres des 21 discours qui nous sont parvenus sont les suivants :
source et suite sur wikipedia, |
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SABOKT SEVERE | - Sévère Sabokt de Nisibe, évêque de Qenšerin, était célèbre, selon Bar Hebræus, au temps du patriarche Jean (631-649). Il prit part, avec le patriarche jacobite Théodore, à une controverse publique contre les Maronites durant le mois de haziran de l’an 659. Il se distingua dans les études philosophiques, mathématiques et ecclésiastiques, nous dit encore Bar Hebræus. Nous pouvons ajouter qu’il posséda la langue grecque, car certains fragments philosophiques qui nous restent de lui sont des commentaires sur les ouvrages d’Aristote et des explications des termes grecs plus difficiles à comprendre. - Abbé du couvent de Kennesherin, au sud d'Alep (Syrie) puis évêque de Nusaybin (Syrie). -Il comprend deux parties : 1° Définition et description de l’astrolabe plan; 2° Règles pour s’en servir. Ces règles sont au nombre de vingt-cinq, mais il en manque deux (20 et 21) dans le manuscrit de Berlin, car, nous dit le scribe, il manquait là un feuillet dans le manuscrit qu’il transcrivait. source remacle, - voir wikiwand, - Fabriquer son propre astrolabe, sur gaogoa, |
source gaogoa |
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SACCA AMMONIUS | - Ammonios Saccas (en grec ancien Ἀμμώνιος Σακκάς) (IIIe siècle) est un philosophe grec d'Alexandrie, souvent considéré, en tant que maître de Plotin de 232 à 2421, comme le fondateur de l'école néoplatonicienne de Rome. ... Après une longue période d'études et de méditation, Ammonios Saccas ouvrit une école de philosophie à Alexandrie. Ses principaux élèves furent Herennius, Origène le Platonicien (et peut être aussi le fameux chrétien Origène v. 185-v. 254), Longin et Plotin. Plotin suivit son enseignement plus de 10 ans, de 232 à 242, à Alexandrie. - PLOTIN, Les Ennéades Le néoplatonicien Némésius, évêque d’Émèse à la fin du ve siècle, reproduit, dans son traité De la Nature de l’homme, deux démonstrations, l’une sur l’Immatérialité de l’âme, qu’il attribue à la fois à Numenius et à Ammonius, l’autre sur l’union de l’âme avec le corps, qu’il rapporte exclusivement à Ammonius. Immatérialité de l’âme.Il suffira d’opposer les raisons d’Ammonius, maître de Plotin, et celles de Numenius le Pythagoricien, à tous ceux qui prétendent que l’âme est matérielle. Or, voici ces raisons: « Les corps, n’ayant en eux rien d’immuable, sont naturellement sujets au changement, à la dissolution, et à des divisions infinies; il leur faut nécessairement un principe qui les contienne, qui en lie et en affermisse les parties : c’est ce principe d’unité que nous appelons âme.Mais si l’âme aussi est matérielle, quelque subtile que soit la matière qui la compose, qui pourra la contenir elle-même, puisque nous venons de voir que toute matière a besoin d’un principe qui la contienne? Il en sera de même à l’infini jusqu’à ce qu’enfin nous arrivions à une substance immatérielle. (Némésius, De la Nature de l’homme,ch. II; p. 29 de la trad. de M. Thibault.) suite sur remacle, |
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SALLUSTRE | Salluste ou Gaius Sallustius Crispus, né en -86 à Amiternum, cité fondée par les Sabins, et décédé en -35 ou -34, est un homme politique et historien romain. Ami de César, il est chargé de mener la flotte romaine en Illyrie. Salluste est alors exclu du Sénat romain pour immoralité en -50. Il est battu par les pompéiens (-49). Salluste est l'auteur de trois grands ouvrages, dont seulement deux nous sont parvenus entièrement.
L'œuvre de Salluste marque un progrès par rapport à ses prédécesseurs, les annalistes, tant pour la force narrative que pour la méthode historique : il s'efforce d'expliquer les causes des événements politiques et les motivations des acteurs de l'histoire. Il a certes ses faiblesses : la chronologie et la géographie sont imprécises et souvent fautives ; il n'est pas impartial : il prend parti pour les populares aux dépens des nobiles. Il est cependant capable de reconnaître les mérites de ses adversaires et les défauts de ses amis. Ses personnages sont peints avec force, tout particulièrement Jugurtha et Catilina, Marius et Sylla. - source et suite sur wikipedia, - Oeuvre complète, sur remacle, ci dessous Table des Matières : I - VIE DE SALLUSTE, ici, LA CONJURATION DE CATILINA - Je vais donc traiter de la Conjuration de Catilina, brièvement, et aussi exactement que possible : il y a là un forfait que j'estime mémorable entre tous, en raison de la nouveauté du crime commis et du péril couru par l'Etat. Je ferai, en quelques mots, connaître le caractère du personnage, avant de commencer mon récit. ; Ce complot a été réalisé par Catilina pour la prise du pouvoir de Rome ; il est dénoncé par Cicéron en 63 av. J.-C.. source wikipedia, LA GUERRE CONTRE JUGURTHA - Je vais raconter la guerre que soutint le peuple romain contre Jugurtha, roi des Numides, d'abord parce que la lutte fut sévère et dure, que la victoire fut longtemps incertaine, et puis parce qu'alors, pour la première fois, se marqua une résistance à la tyrannie de la noblesse. FRAGMENTS DΕ LΑ GRANDE ΗΙSΤΟΙRΕ DE SALLUSTE , INVECTIVE DE SALLUSTE CONTRE CICÉRON ET RÉPONSE DE CICÉRON A SALLUSTE LETTRES DE C. C. SALLUSTE À C. CÉSAR.
sur ugo.bratelli, :
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SAPPHO | (630-580 avant J.C.) Sappho (en grec ancien Σαπφώ)1,2, est une poétesse grecque de l'Antiquité qui a vécu aux VIIe siècle et VIe siècle av. J.-C., à Mytilène sur l'île de Lesbos. Très célèbre durant l'Antiquité, son œuvre poétique ne subsiste plus qu'à l'état de fragments (Papyri d'Oxyrhynque no 7, notamment). Elle est connue pour avoir exprimé dans ses écrits son attirance pour les jeunes filles d’où le terme saphisme pour désigner l’homosexualité féminine tandis que le terme lesbienne est dérivé de Lesbos, l’île où elle a vécu. - source et suite sur wikipedia, - VIE - Vie - Vie : V ... L'homme qui n'est que beau, l'est seulement pendant qu'on le regarde, mais l'homme sage et bon est toujours beau. Pour moi, j'aime une vie molle et voluptueuse ; mais cet amour pour les plaisirs présents ne m'empêche pas de faire des actions brillantes et honnêtes.
Ses chants étaient beaucoup plus doux que le son de la lyre, et elle était bien plus précieuse que l'or le plus pur... Amour, ministre charmant de Vénus... Ces colombes timides sentaient leur courage se refroidir ; elles laissaient tomber languissamment leurs ailes fatiguées... Saluez de ma part la fille de Polyanacte...
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Scholies | - On appelle scholies des notes (marginales ou interlinéaires) rédigées, dans l'antiquité ou au moyen âge, par un lecteur ou par un grammairien. Elles expliquent ou discutent un mot ou un passage du texte d'un auteur ancien. Généralement cette note reprend le mot ou le passage en question (appelé le lemme); puis viennent les observations du scholiaste. L'intérêt de ces scholies, en général anonymes et fort difficiles à dater, est très variable. Certaines sont négligeables, d'autres fort instructives. Il n'est pas rare en effet que le scholiaste tire ses observations de commentaires anciens qui ont aujourd'hui disparu. Les scholies d'Hésiode et de Sophocle, par exemple, doivent beaucoup aux commentaires de Didyme Chalcentère (1er siècle av. J.-C.). source et suite sur bcs - APOLLONIUS de RHODE, - ARATUS, - ARISTOPHANE, gallica en grec, - DEMOSTHENE, - ESCHYLE, - EURIPIDE, - HESIODE, (Les Travaux et les Jours), (Théogonie) - HOMERE, Iliade, Odyssée, - HORACE, Porphyrion, Pseudo Acron, - JUVENAL, - LYCOPHRON, Alexandra, - PERSE, - PINDARE, - THUCYDIDE, - VIRGILE, Commentaires de Servius, entre autres, Scholies de Berne, - |
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SCYLAX de CARTANDRE | - Scylax de Caryanda ou Scylax de Caryande est un navigateur grec originaire de Carie qui vécut au VIe siècle av. J.-C. - suite sur wikipedia, - Remacle : SCYLAX, Table des Matières, EN décrivant l’Europe, je commencerai par celles des colonnes d’Hercule qui sont dans cette partie du monde ; et je décrirai l’espace qui les sépare de celles qui sont en Libye jusqu’aux grands Ethiopiens. Ces colonnes sont éloignées les unes des autres d’un jour de navigation. Au delà de celles des colonnes d’Hercule qui sont en Europe, les Carthaginois possèdent beaucoup de ports, de Comptoirs, d’arsenaux et de mers. Les premiers peuples de l’Europe qui se présentent sont les Ibères, nation indigène, dont le territoire est baigné par le fleuve Ibère. Là, sont deux îles, qui portent le nom de Gadès. Dans l’une d’elles est une ville éloignée d’un jour de chemin des colonnes d’Hercule. |
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SEBEOS
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PSEUDO SEBEOS |
- Sébéos (en arménien Սեբեոս ; VIIe siècle) est un religieux arménien, l'évêque des Bagratides ayant assisté au quatrième concile de Dvin en 645. Selon la tradition arménienne, Sébéos (ou un proche désigné comme Pseudo Sébéos 3) est l'auteur d'un important ouvrage historique, datant de 6604, connu sous le titre d'Histoire d'Héraclius, source et suite sur wikipedia,
CHAPITRE XXX.Chute des Sassanides après une domination de 542 ans. — Apparition de Mahomet. — Invasion des enfants d’Ismaël dans le pays des Arméniens. — Mort d’Héraclius et avènement au trône de Constantin. Je parlerai du descendant d’Abraham, non du fils libre, mais de celui qui naquit de l’esclave et en qui se réalisa véritablement cette parole de Dieu : « Sa main [sera] contre tous, et la main de tous [sera] contre lui. » A cette époque, des Juifs des douze tribus vinrent et se rassemblèrent dans la ville des Edesséniens. Lorsqu’ils virent que l’armée perse s’était retirée et avait laissé la ville en paix, ils fermèrent les portes, s’y fortifièrent et n’y laissèrent pas entrer les troupes du royaume romain. L’empereur grec Héraclius donna alors l’ordre de l’assiéger. [Les Juifs] reconnaissant qu’ils ne pouvaient pas résister dans la lutte, firent des propositions de paix à [l’empereur], ouvrirent les portes de la ville et vinrent se présenter devant lui. CHAPITRE XXXI.Des Juifs et de leurs mauvais desseins. Je dirai encore les desseins des Juifs insurgés qui, ayant rencontré un certain temps l’assistance des Hagarachs, conçurent le dessein de réédifier le temple de Salomon; ayant découvert l’endroit qui s’appelle Saint des Saints, ils y construisirent avec les fondations et le bâtiment un lieu de prières pour eux-mêmes. Les Ismaélites, jaloux d’eux, les repoussèrent de cet endroit et appelèrent ce lieu leur [maison] de prières. [Les Juifs] construisirent dans un autre endroit, près du temple, un autre lieu de prières pour eux-mêmes; et se proposant un mauvais dessein, ils voulurent remplir Jérusalem d’un bout à l’autre de sang et y détruire tous les chrétiens. Or, l’un d’entre les grands d’Ismaël allait se prosterner au lieu de prières qui leur était réservé. Trois d’entre les principaux Juifs vinrent au devant de lui; ils avaient tué deux porcs et les avaient portés et posés dans le lieu de prières, et avaient versé le sang sur les murs et sur le parquet de la maison.... .............
PSEUDO SEBEOS, source remacle, Histoire d'Arménie, Si cela peut t'être agréable, ô lecteur, je vais maintenant, en répétant [ce qui a été déjà dit], te faire connaître [la suite des rois] en suivant l'ordre généalogique, de père en fils, d'après Moïse de Khoren et Etienne de Taron, historiens dignes de foi et véridiques. Après la mort d'Alexandre, Arsak le Brave devint roi à Bahl Sahastan,[14] dans la terre des Kouschans. Il vécut 130 ans et en régna 57. Son fils Artasir lui succéda et régna 31 ans. Après Artasir, son fils Arsak, qui fut surnommé le Grand, régna 52 ans. Celui-ci fit roi du pays d'Arménie son frère Valarsak, et ainsi s'opéra la séparation des deux maisons royales de Perse et d'Arménie. Arsak le Brave, souche des deux familles de rois, les Pahlaviens et les Arsakunis, régna en roi valeureux 57 ans.Voici ceux de ses fils qui, après la séparation, régnèrent sur la Perse : ....
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SEMPAD | - Smbat ou Sempad le Connétable (en arménien Սմբատ Սպարապետ, Smbat Sparapet, ou Սմբատ Գունդստաբլ, Smbat Gundstabl ; vers 1208-6 mars 1276) est un noble arménien de la maison héthoumide, frère aîné du roi Héthoum Ier d'Arménie.
Smbat ou Sempad (selon la graphie de l'Arménie occidentale) est une figure importante du royaume arménien de Cilicie ; à la fois diplomate, juriste et chef militaire, il porte le titre de « connétable » ou « sparapet », c'est-à-dire commandant en chef des forces armées arméniennes. Il est également un auteur et un traducteur particulièrement connu pour avoir traduit et établi des recueils de lois et avoir composé un important récit d'histoire de la Cilicie arménienne, source et suite sur wikipedia, - -assises d'antioche - Chacun des trois grands fiefs qui, avec le Règne proprement dit ou Domaine royal, constituaient l'ensemble du royaume de Jérusalem, était régi par l'esprit général des principes féodaux mis en écrit au temps même de Godefroy de Bouillon en une charte unique que l'on nomma les Lettres du Sépulcre, du lieu vénéré où elle fut scellée et on peut dire ensevelie. Mais la part de souveraineté laissée à chaque grand feudataire l'autorisait à modifier cette législation supérieure, de concert avec ses vassaux et ses sujets latins, suivant les besoins, les intérêts et les conditions diverses des pays où ils s'établirent. Tel fut certainement le droit absolu pour le comté d'Edesse, pour la principauté d'Antioche et pour le comté de Tripoli. En fait, il est peu vraisemblable qu'Edesse, sitôt enlevé aux Chrétiens, ait eu le temps de constituer un corps de doctrine ou un ensemble d'usages particuliers. Il est encore plus douteux que quelque chose de ces assises spéciales, pouvant déroger à la loi de Jérusalem, ait été mis en écrit. source et suite sur remacle, |
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SENEQUE | Sénèque (en latin Lucius Annaeus Seneca), né à Corduba, dans le sud de l'Espagne, entre l'an 4 av. J.-C. et l'an 1 apr. J.-C., mort le 12 avril 65 apr. J.-C., est un philosophe de l'école stoïcienne, un dramaturge et un homme d'État romain du Ier siècle. Il est parfois nommé Sénèque le Philosophe, Sénèque le Tragique ou Sénèque le Jeune pour le distinguer de son père, Sénèque l'Ancien. Conseiller à la cour impériale sous Caligula, exilé à l'avènement de Claude puis rappelé comme précepteur de Néron, Sénèque joue un rôle important de conseiller auprès de ce dernier avant d'être discrédité et acculé au suicide. Ses traités philosophiques comme De la colère, De la vie heureuse ou De la brièveté de la vie, et surtout ses Lettres à Lucilius exposent ses conceptions philosophiques stoïciennes. Pour lui :
Ses tragédies constituent l'un des meilleurs exemples du théâtre tragique latin avec des œuvres qui nourriront le théâtre classique français du XVIIe siècle comme Médée, Œdipe ou Phèdre. source et suite sur wikipedia, Philosophe stoïcien, dramaturge et homme d’état. - Sénèque, Table des matières, sur remacle,
La vie heureuse : VIII. Enfin, tout comme les bons, les méchants ont leur volupté. L'homme flétri ne jouit pas moins de sa honte que l'honnête homme de sa belle conduite. C'est pourquoi les anciens nous prescrivent d'adopter la meilleure, non la plus agréable vie, afin que la volonté, droite et bonne, ait le plaisir non pour guide, mais pour compagnon. La nature en effet est le guide qu'il faut suivre ; c'est elle qu'observe, elle que consulte la raison. C'est donc une même chose que vivre heureux et vivre selon la nature. Or voici en quoi cela consiste : à jouir de nos facultés physiques et de ce qui est fait, pour elles, en usufruitier vigilant mais sans peur, comme de choses prêtées pour un jour et fugitives, à ne pas subir leur servitude, ni nous laisser posséder par ce qui ne vient point de nous, à mettre les aises du corps et les avantages fortuits au rang que tiennent dans les camps les auxiliaires et les troupes légèrement armées. Que tout cela serve et ne commande point; à ce titre seulement l'âme en tirera profit. Que l'homme de cœur soit incorruptible aux choses du dehors, invincible, admirateur seulement de son être, ayant foi dans son âme, préparé à l'une et à l'autre fortune, artisan de sa vie. Que l'assurance chez lui n'aille pas sans la science, ni la science sans la fermeté; que ses résolutions tiennent une fois prises, et que dans, ses décrets il ne se glisse pas de rature.
- Sénèque sur Bibliotheca Classica Selecta & bcs - "La passivité sexuelle est une crime pour l'homme libre , une obligation pour l'esclave, un service pour l'affranchi" selon Sénèque. |
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SENEQUE l'Ancien, le Rhéteur |
Sénèque l'Ancien ou Sénèque le Rhéteur (en latin Lucius Annaeus Seneca1, v. 54 av. J.-C. - v. 39) est un rhéteur aisé de rang équestre originaire de Corduba en Bétique, installé à Rome au Ier siècle av. J.-C. Il est l'auteur d'une compilation sur les déclamations titrées Sentences, divisions et couleurs des orateurs et des rhéteurs. Marié à Helvia, il eut pour fils Gallion et Sénèque dit « le Jeune » ; par un autre de ses enfants, Mela, il est grand-père de l'écrivain Lucain. .... Sénèque l'Ancien est également l'auteur d'un traité sur l'histoire de Rome, les Historiae ab initio bellorum civilium, dont il ne reste que des fragments. ..... source et suite sur wikipedia,
Popillius, assassin de Cicéron (VII, 2), source ugo.bratelli, |
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SERVIUS | - Maurus Servius Honoratus, dit Servius, était un grammairien païen (L’éducation chrétienne du quatrième et du cinquième siècle ne produisait pas de grammairiens !.) de la fin du IVe siècle, réputé parmi ses contemporains comme l'homme le plus instruit de sa génération en Italie ; il est l'auteur d'un livre de commentaires sur Virgile, In tria Virgilii Opera Expositio, qui fut le premier manuscrit imprimé à Florence, par Bernardo Cennini, en 1471. - Commentaires en latin, sur gallica, |
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SEVERE | Septime Sévère (Lucius Septimius Severus Pertinax), né le 11 avril 146 à Leptis Magna (actuelle Libye) et mort le 4 février 211 à Eboracum (aujourd'hui York, en Angleterre) est un empereur romain, qui régna de 193 à 211. Avec lui accédèrent au pouvoir des provinciaux d'ascendance non romaine et la dynastie des Sévères dont il est la figure éponyme. Avec Macrin, il est l'un des deux empereurs nés dans la province d'Afrique. Il naît le 11 avril 1461 à Leptis Magna, une ville située en Tripolitaine sur la côte de la Libye actuelle. Du côté de sa mère, Fulvia Pia, il descend d'immigrés romains (les Fulvii) mariés probablement à des personnes d'origine libyenne3,4. Par son père, Publius Septimius Geta, il descend d'une famille d'origine libyenne, et de culture berbère-punique5,6,7,8, ayant obtenu la citoyenneté depuis le Ier siècle. Les deux côtés de sa famille se composent de notables. Ainsi, son grand-père paternel est préfet de Leptis avant d'en être le premier duumvir lorsque la cité devient colonie romaine sous Trajan. ..... Il accède au consulat en 190 puis obtient l'année suivante le poste de légat d'Auguste propréteur de Pannonie supérieure, avec le soutien d'Æmilius Lætus, le préfet de la garde prétorienne, lui conférant ainsi le commandement de trois légions pour défendre la frontière. C'est son premier grand commandement militaire. En Bretagne, une menace plus sérieuse pèse sur la légitimité de Septime. Clodius Albinus, légat de Bretagne, également d'origine africaine, réclame une part du pouvoir. Il dispose de trois légions aguerries par ses combats face aux Écossais. Septime se concilie habilement Clodius Albinus en lui accordant le titre de César et le consulat pour l'année 194. En 195, après une campagne contre les Parthes, Septime Sévère fait proclamer Clodius Albinus ennemi public. Celui-ci traverse la Manche en 196 avec ses légions (40 000 hommes). La bataille décisive a lieu en février 197 à proximité de Lugdunum (Lyon). Septimius et ses légions sont victorieux. Clodius s'enfuit et se donne la mort. Septime Sévère fait déshabiller la dépouille et la fait piétiner par son cheval ; la tête tranchée est envoyée à Rome, le corps est jeté dans le Rhône. La famille de Clodius n'est d'abord pas inquiétée, mais sa veuve et ses fils sont ultérieurement assassinés. 29 sénateurs qui avaient soutenu Clodius Albinus sont éliminés. Environ 5 000 personnes en dehors de Lyon sont ensuite assassinées. C'est après que débuta le sac de Lyon. - Vie de Septime Sévère, sur remacle, |
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SEXTUS EMPIRICUS | voir EMPIRICUS SEXTUS ci-dessus | ↑ | |||||||||||||||||||||
SHINTOÏSME | - Le shinto (神道, shintō?, litt. « la voie des dieux » ou « la voie du divin ») ou shintoïsme (/ʃin.to.ism/) est un ensemble de croyances datant de l'histoire ancienne du Japon, parfois reconnues comme religion. Elle mélange des éléments polythéistes et animistes. Il s'agit de la plus ancienne religion connue du Japon ; elle est particulièrement liée à sa mythologie. Le terme « shintō », lecture sino-japonaise, ou kami no michi, est apparu pour différencier cette vieille religion du bouddhisme « importé » [Comment ?] de Chine au Japon au VIe siècle. ... Les origines du shintoïsme sont méconnues. Elles semblent dater de la fin de la période Jōmon,( couvre la période qui va, approximativement, de 13 000 jusqu'à, environ, 400 avant l'ère commune) avec le koshintō. Depuis des temps immémoriaux, les Japonais ont adoré les kami — les esprits qui habitent ou représentent un lieu particulier, ou incarnent des forces naturelles comme le vent, les rivières et les montagnes. Chaque fois qu'un nouveau village était fondé, un sanctuaire était érigé pour les esprits de cet endroit pour les honorer et assurer leur protection. On croyait que les kami pouvaient être trouvés partout, qu'aucun lieu au Japon n'était en dehors de leur pouvoir. Le shintoïsme englobe donc les doctrines, les institutions, les rituels et la vie communautaire fondée sur le culte des kami1. L’introduction de l’écriture au Ve siècle et du bouddhisme au VIe siècle a eu une influence profonde sur le développement d’un système unifié de croyances shinto. .... L'origine de l'Homme dans ce contexte cosmogonique n'est pas clairement établie. Mais la famille impériale base sa légitimité charismatique (au sens de Max Weber) sur son origine déclarée comme divine (le premier empereur, Jinmu, serait le petit-fils de Ninigi-no-Mikoto, que la déesse Amaterasu a envoyé sur Terre par les kami pour fonder la nation japonaise). Le respect des ancêtres et les sentiments de communion avec les forces de l'univers et les générations passées sont les bases spirituelles du shinto. Innombrables, les kami sont partout, se cachant sous les formes les plus diverses, aux endroits les plus inattendus. Il convient donc de se montrer à leur égard d’une prudence extrême, d’autant que les plus petits sont parfois les plus susceptibles. Leur caractère est ambigu, comme la nature elle-même. Tous, y compris les meilleurs d’entre eux et les plus grands, possèdent un « esprit de violence », arami-tama (荒御魂?), qu’il faut se concilier ou neutraliser par des rites appropriés. Certains sont même dangereux dans leur principe, tels les « dieux des épidémies » ou les « dieux des insectes », prédateurs du riz. Tous peuvent vous frapper d’un tatari (祟り?). source et suite sur wikipedia, - Origine (chrétienne !!) du kandji de kami, source kotoba, |
Kami, source Pinterest, & vivre le japon,
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SIDOINE APOLLINARE | - Sidoine Apollinaire (latin : Caius Sollius Apollinaris Sidonius) est un homme politique, évêque et écrivain gallo-romain, né à Lyon en 430 et mort à Clermont en 4861.
Préfet de Rome en 468, évêque d'Auvergne en 471, devenu un saint de l'Église catholique romaine, il est fêté le 21 août2. Il est également connu pour son œuvre littéraire (Lettres et Poèmes). En épousant Papianilla, la fille du sénateur Avitus, en 452, le jeune poète s'apparente à l’une des familles les plus influentes de Gaule : celle des Avits6 et s'offre une ouverture vers Clermont puisque cette cité appartient à une famille arverne. - Favorisé par la conjoncture politique et l’appui de la faction wisigothique, Avitus, désormais beau-père de Sidoine Apollinaire, devenu empereur en 456, fait de son gendre son panégyriste officiel7. La fortune ne favorise cependant pas durablement le poète gallo-romain, puisque son champion Avitus est vaincu à Plaisance par les forces conjuguées de Majorien et du gotho-suève Ricimer. Nouvel empereur en 457, Majorien se montre pourtant clément envers Sidoine et choisit de profiter d’une plume aussi recherchée. ....... la suite des péripétie de Sidoine sur wikipedia, - Ses poèmes et ses lettres demeurent une des principales sources romaines du Ve siècle et un témoignage unique pour l’historien s’intéressant aux derniers temps de la poésie latine classique. L’œuvre de Sidoine explicite également les changements d’un monde en mutation, ni tout à fait romain, ni tout à fait médiéval. Son témoignage est donc multiple : à la fois littéraire, social, philosophique et politique. - Les Carmina (Poèmes) regroupent 24 poèmes, tous écrits avant 469 (Sidoine ne pouvant pas, selon l’éthique ecclésiastique, continuer de s’adonner à la poésie profane après son ordination épiscopale. Au nombre de ceux-ci figurent les célèbres panégyriques d’Avitus, de Majorien et d’Anthémius (sur le modèle du Panégyrique de Trajan), ainsi qu’une multitude d’autres poèmes, souvent plus courts, dédiés à des personnalités régionales. Vers 470, Sidoine Apollinaire écrit un poème à son ami Fauste, abbé de Lérins, ce qui permet d’identifier le site de Saint-Maurin (La Palud-sur-Verdon, Alpes-de-Haute-Provence) - Les Epistulæ (Lettres) sont pour Sidoine un moyen de rester en rapport avec les belles lettres entre 469 et 482. Destinées à la publication, celles-ci sont donc loin de ressembler à la correspondance « courante ». Sur le modèle de celle de Symmaque, la correspondance de Sidoine réunit ses textes les plus fameux, censés attester la virtuosité littéraire de son auteur et la sincérité de son engagement politique. La plupart des lettres sont adressées à des personnalités issues de l’aristocratie gallo-romaine. - Oeuvres de Sidonius Apollinaris sur remacle, " Rome, malgré l'insulte d'Alaric, est apparue aux premiers regards de Sidoine avec un tel rayonnement de puissance et de majesté que, pendant longtemps, il semblera ne pas s'apercevoir du mal secret qui ronge l'Empire : l'abaissement des caractères et l'énervement des âmes, produits communs du despotisme et de la longue jouissance du pouvoir, de la richesse et de tous les avantages sociaux. Jusqu'au dernier moment, il se refusera à croire que ces magnifiques cités, ces villas opulentes, ces écoles de beau langage, toute cette belle organisation réglée par de si sages lois, en un mot que cette puissance romaine, encore célébrée en beaux vers par Claudien (4), soit destinée à périr, sous les coups de barbares couverts de peaux. À sa haine, et surtout à son mépris des barbares, on le prendrait pour un descendant des Scipion et des Fabius." Sidoine, Intro ... - Sidoine Apollinaire sur cosmovisions, D'ailleurs, comme les poèmes, la correspondance de Sidoine Apollinaire est très utile à l'histoire du Ve siècle. Les poèmes de Sidoine, au nombre de vingt-quatre (hexamètres, distiques élégiaqueset hendécasyllabes), sont peu intéressants pour le sujet et en général encombrés d'un fatras d'érudition mythologique. Beaucoup d'entre eux sont, on l'a vu, des pièces officielles, panégyriques ou épithalames. Teuffel a vu en lui la personnification de la littérature gallo-romaine. Il semble qu'Ausone mérite ce titre bien plus que l'évêque de Clermont, qui est sans doute utile pour l'histoire du Ve siècle, mais absolument sans valeur comme poète ou comme prosateur. (H. de La Ville de Mirmont). |
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SIMEON SETH | - voir ci-dessous : Syméon Seth est un médecin, astrologue et traducteur byzantin du XIe siècle |
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SIMOCATTE (THÉOPHYLACTE), | - Theophylact Simocatta (grec byzantin: Θεοφύλακτος Σιμοκάτ (τ) ης Theophylaktos Simokat (t) es; latin: Theophylactus Simocattus) [1] était un historiographe byzantin du début du XVIIe siècle, se classant sans doute comme le dernier historien de l'Antiquité tardive d'Héraclius (vers 630) au sujet de feu l'empereur Maurice (582–602) Simocatta est surtout connu comme l'auteur d'une histoire en huit livres, du règne de l'empereur Maurice (582–602), période pour laquelle il est la meilleure et la plus ancienne autorité. Cependant, son travail est de moindre envergure que celui de Procope et son style de classicisme conscient est pompeux, mais il est une source importante d'informations concernant les Slaves du septième siècle, les Avars et les Perses, et la fin tragique de l'empereur. [ 3] Il mentionne la guerre d'Héraclius contre les Perses (610–28), mais pas celle contre les Arabes (début 634), il est donc probable qu'il écrivait vers 630. Parmi ses sources, il a utilisé l'histoire de Jean d'Epiphanie. Edward Gibbon a écrit: Son manque de jugement le rend diffus en bagatelles et concis dans les faits les plus intéressants Nicolaus Copernicus a traduit des vers grecs de Theophylact en prose latine et a fait publier sa traduction, dédiée à son oncle Lucas Watzenrode à Cracovie en 1509 par Johann Haller. C'était le seul livre que Copernic ait jamais sorti pour son propre compte [5]. Simocatta est également l'auteur de Physical Problems, un ouvrage sur l'histoire naturelle [6] et d'un recueil de 85 essais sous forme épistolaire [7]. En ce qui concerne l'Extrême-Orient, Simocatta a écrit une représentation généralement exacte de la réunification de la Chine par l'empereur Wen (r. 581-604 AD) de la dynastie Sui, avec la conquête de la dynastie Chen rivale dans le sud de la Chine, plaçant correctement ces événements dans la période de règne du souverain byzantin Maurice. [8] Simocatta a également fourni des informations superficielles sur la géographie de la Chine ainsi que ses coutumes et sa culture, jugeant son peuple "idolâtre" mais sage en matière de gouvernance. [8] Il a également raconté comment le souverain a été nommé Taisson, dont le sens était "Fils de Dieu", peut-être dérivé du chinois Tianzi (Fils du ciel, un titre de l'empereur de Chine) ou même le nom du souverain contemporain empereur Taizong de Soie. - 1. Maladie de Tibère. 2. Sa harangue. 3. Proclamation de Maurice son successeur. 1. Lorsqu'une bile noire eut accru de telle sorte la maladie de Tibère qu'il fut prêt de quitter cette demeure mortelle , en payant le tribut que tous les hommes doivent à la nature, Maurice fut revêtu de la pourpre, proclamé Empereur, & élevé sur le trône. Tibère se fit porter à l'entrée du Palais, proche de l'appartement où sont les lits, & ayant mandé Jean, qui conduisait alors l'Eglise de Constantinople & son Clergé, ayant aussi assemblé ses gardes, les principaux de la Cour, & les plus apparents du peuple, au lieu de parler lui-même il commanda à Jean, très-habile dans les Lois Romaines, & très-éloquent, & qui avait accoutumé de prêter aux pensées du Prince des paroles dignes de la Majesté de l'Empire, d'expliquer sa volonté. Les Romains l'appellent Questeur en leur langue. Etant donc présent à l'installation de son successeur, & sa fille Constantine qu'il avait donnée à Maurice pour être la compagne de sa vie, & de sa fortune, étant aussi présente, il parla de cette sorte, par une bouche empruntée. source et suite sur wikipedia, -SIMOCATTE.Th, Table, |
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SIMONIDE D'AMORGOS | - Sémonide ou Simonide d'Amorgos (en grec ancien Σημωνίδης Ἀμοργῖνος / Simōnidēs Amorginos) est avec Hipponax et Archiloque de Paros l'un des trois grands poètes iambiques grecs. Ses dates d'activité ne sont pas connues avec certitude ; on le place généralement au VIIe siècle av. J.-C.
- Fils d'un dénommé Crinos, il est natif de Samos. Il organise la colonisation de l'île d'Amorgos, dans les Cyclades, où il fonde trois cités, Minoa, Égialée et Arcésiné, lui-même s'établissant à Minoa. L'histoire n'est pas nécessairement véridique, car elle rappelle étrangement la biographie d'Archiloque, censé avoir pris part à la fondation de Thasos, colonie de Paros. En outre, seule Minoa est de fondation samienne, Égialée et Arcésiné ayant été fondées par Naxos. L'histoire pourrait avoir été inventée pour réconcilier deux traditions, l'une faisant de Samos la patrie de Sémonide, l'autre citant Amorgos. La date de son floruit (apogée) n'est pas connue avec certitude. Les chronographes citent plusieurs dates : la 20e olympiade (700-697 av. J.-C.) selon Clément d'Alexandrie, la première année de la 29e olympiade (664 av. J.-C.) selon Jérôme de Stridon dans sa Chronique, la 23e olympiade (688-685 av. J.-C.) selon Cyrille d'Alexandrie. La Souda le place 490 ans après la guerre de Troie, soit au viie siècle av. J.-C. Sur les femmes qui constitue la première œuvre misogyne de la littérature occidentale. Sémonide y définit la femme selon dix races, créées par dieu, dont huit se rapportent à des animaux (le chien, l'âne, le porc, le renard, la belette, le singe, la jument, l'abeille) et deux à des éléments (la mer et la terre). La femme-abeille est le seul type de femme que le poète approuve. L'abeille s'apparente déjà chez Hésiode à l'homme, opposée au bourdon caractérisant la femme. Toutes les autres races de femmes présentent de nombreuses défaillances ; la femme-terre incarne la bêtise, la femme-chienne l'indécence, la femme-mer l'hypocrisie, la femme-porc la saleté, la femme-singe la disgrâce la plus extrême, formant à elles toutes une peinture de la femme. La femme-terre est décrite ainsi : - source wikipedia, wikimedia, -FEM - SUR LES FEMMES source et suite sur remacle, |
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SIMOS, | - ??? - Les grecs vers 600 avant J.-C., accostent au sud de la Gaule. Justin, ( et Plutarque) un auteur romain raconte la légende de la création de Massalia : « Les commandants de la flotte furent Simos et Protis. Ils vont ainsi trouver le roi des Ségobriges, appelé Nannus, sur les territoires duquel ils projetaient de fonder une ville. Il se trouva que ce jour-là le roi était occupé aux préparatifs des noces de sa fille Gyptis, qu'il se préparait à donner en mariage à un gendre choisi pendant le banquet, selon la coutume nationale. Et ainsi, alors que les prétendants avaient été invités aux noces, les hôtes grecs sont aussi conviés au festin. Ensuite, alors que la jeune fille, à son arrivée, était priée par son père d'offrir de l'eau à celui qu'elle choisissait pour époux, elle se tourna vers les Grecs sans tenir compte de tous les prétendants et offrit de l'eau à Protis qui, d'hôte devenu gendre, reçut de son beau-père un emplacement pour fonder la ville. » (D'après Justin, abrégé des Histoires philippiques, 3e siècle après J.-C.) - Histoire de Marseille, sur cosmovisions, |
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SIMPLICIUS de Cilicie |
- Simplicius ou Simplice, en grec Simplicios de Cilicie (Σιμπλίκιος ὁ Κίλιξ) est un philosophe néoplatonicien grec du VI eme siècle, et un commentateur d'Aristote appartenant à l'école néoplatonicienne d'Athènes. -..... Néoplatonicien, Simplicios utilise « le système théologique de Proclos et de Damascios » (Pierre Hadot). Il interprète le titre d'Andronicos donné à Aristote, « Métaphysique », de façon platonicienne .. - Oeuvres : - Commentaire sur le Manuel d'Épictète. Tome I : Chapitres I à XXIX
source et suite sur remacle |
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SIUN TSEU XUN ZI |
- Xun Zi ou Siun Tseu (chinois : 荀子 ; pinyin : Xún Zǐ ; Wade : Hsün Tzu ; EFEO : Siun-tseu) est un penseur chinois confucianiste, originaire du royaume de Zhao et ayant vécu tout à la fin de la période des Royaumes combattants, au IIIe siècle av. J.-C. ( ou au Veme ???) Membre de l'Académie Jixia, grand foyer culturel et point de ralliement des grands penseurs de l'époque, puis haut magistrat du royaume méridional de Chu, Xun Zi élabore une pensée réaliste, tournée vers l'action et « rationaliste ». Il est le penseur de référence de la branche dite « réaliste » du confucianisme, la branche opposée étant celle de Mencius. Il la défend vigoureusement, face aux écoles de pensées concurrentes, dans un livre du même nom, le Xunzi (荀子), divisé en 32 chapitres portant chacun sur un thème précis, et qui fut le premier écrit chinois à proposer un discours construit et argumenté. Il eut notamment pour élèves les penseurs légistes Han Fei Zi et Li Si. - La doctrine morale repose sur un postulat simple : les hommes sont mauvais. Les hommes sont faits du bois d'un arbre tordu, ils inclinent constamment vers les mauvais penchants. Dans l'inné se trouvent l'égoïsme, la jalousie, la paresse, la licence ainsi que la violence. Si on laisse les hommes à leur propre nature, il s'ensuivra le chaos et l'injustice pour la société. En cela, Xunzi s'oppose frontalement à Mencius qui pense, lui, que l'homme est bon à l'état naturel. Pour Xunzi : "La nature de l'homme est mauvaise; ce qui est bon en elle est fabriqué" (Xunzi,23). Il en résulte que l'éducation joue un rôle essentiel dans la pensée de Xunzi. - Le Xunzi (荀子) est le premier vrai texte à caractère argumentatif de l'histoire chinoise. Il se démarque des Entretiens de Confucius ou du Mengzi par l'absence d'un dialogue entre maître et disciples. Sa structure en trente-deux chapitres, compilés par Liuxiang (77-6 av J.C), est déterminée par le seul enchaînement des idées. source et suite sur Wikipedia,
- Les classiques chinois, Uqac, |
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SOCRATE | Socrate (en grec ancien : Σωκράτης / Sōkrátēs [sɔːkratɛːs] est un philosophe grec du Ve siècle av. J.-C. (né vers -470/469, mort en -399). Il est connu comme l’un des créateurs de la philosophie morale. Socrate n’a laissé aucun écrit, sa pensée et sa réputation se sont transmises par des témoignages indirects. L'article décline : C'est à la fin du xixe siècle qu'est faite une découverte majeure : celle du caractère fictionnel des dialogues socratiques (logoi sokratikoi). Les dialogues socratiques sont en effet un genre littéraire, ainsi que l'atteste Aristote. La mise en scène et le contenu de ces dialogues font une large place à l'invention et ils ne visent pas à être un témoignage exact de la pensée de Socrate. Il y avait donc probablement autant de portraits de Socrate, figure littéraire, que de disciples se réclamant de lui. Aussi pour Louis-André Dorion, il faut donc envisager que la question socratique, consistant à vouloir accorder entre eux des témoignages discordants, est dépassée. Il s'agit davantage d'étudier, dans une perspective philosophique, les variations sur un même thème socratique au travers des différents témoignages on sait que sa femme Xantippe mit plus d'une fois sa patience à l'épreuve : il mérita enfin d'être proclamé par l'oracle de Delphes le plus sage des humains. Ce philosophe disait avoir un génie particulier qui le dirigeait dans sa conduite : on ne sait si c'était là une ruse employée pour donner plus de poids à ses conseils, ou si ce n'était pas plutôt une illusion qui lui faisait prendre pour une inspiration divine les aperçus rapides et sûrs de sa conscience ou de sa haute raison. il combattit les Sophistes qui discouraient sur toutes choses et prétendaient ne rien ignorer. Il créa la science de la morale, distingua les différentes sortes de vertus (prudence, tempérance, force, justice), et recommanda la pratique du bien comme le plus sûr moyen d'arriver au bonheur. Il employait dans ses entretiens une méthode d'interrogation connue sous le nom d'ironie socratique, qui lui servait à instruire ses disciples en leur faisant découvrir par eux-mêmes des vérités qui étaient cachées dans leur intelligence : il se disait en cela l'accoucheur des esprits. Du reste, il ne tenait pas d'école proprement dite et ne recevait, aucun salaire. Socrate compta parmi ses disciples Xénophon, qui se borna à reproduire fidèlement ses doctrines; Platon, qui créa un système entier de philosophie; Antisthène, père des Cyniques; Aristippe, qui prêcha une morale relâchée; Phédon, Euclide, Criton et une foule d'autres. Les premiers philosophes avaient voulu connaître tout l'univers. Socrate est plus modeste, il veut que l'humain se tourne d'abord vers lui-même et qu'il apprenne à se connaître. « Connais-toi toi-même », disaient déjà les Sept sages (on attribue la formule à Chilon), telle est aussi la première maxime de Socrate. La vérité est en nous, il suffit de la découvrir. Les sophistes tranchaient toutes les questions; « Tout ce que je sais, dit Socrate, c'est que je ne sais rien. » Mais connaître son ignorance, c'est être capable de discerner le vrai du faux. Le « connais-toi toi-même » donne naissance à une double méthode : l'une qui nous délivre de l'erreur, et l'autre qui nous apprend à trouvera la vérité. L'une est l'ironie, (feindre l'ignorance), l'autre est la maïeutique. Grâce à l'ambiguïté du langage, à la confusion des mots, les Sophistes avaient la prétention de montrer que tout est à la fois possible, et impossible, que tout est vrai et que rien n'est vrai. Socrate n'accepte les termes qu'après examen. Il exige que son adversaire les entende lui-même. Il lui oppose des exemples qui restent en dehors d'une définition hâtive, ou bien il feint de se livrer et finit par faire tomber son interlocuteur dans l'absurdité et par lui faire avouer qu'il est dans l'erreur et qu'il ne sait pas. C'est la méthode d'ironie. Mais l'âme est ainsi préparée, à connaître la vérité. Il s'agit de l'accoucher de la vérité dont elle est grosse, car la science ne se donne pas. Le maître ne la transmet pas à son disciple; il ne peut que l'aider à la découvrir en lui-même. « Le métier que je fais, dit Socrate dans le Théétète de Platon, est le même que celui des sages-femmes, à cela près que j'aide à la délivrance des hommes et non des femmes, et que je soigne non les corps, mais les âmes en mal d'enfant. »C'est la maïeutique. L'induction est le premier procédé logique dont se sert Socrate; c'est lui qui, au dire d'Aristote, en est l'inventeur. Tantôt il accumule les exemples et il remonte du particulier au général en dégageant ce qu'ils ont de commun; tantôt il raisonne par analogie; tantôt il fait de véritables inductions et conclut, de l'ajustement parfait des moyens aux fins dans la nature; à l'existence d'une intelligence créatrice. L'induction donne le genre, la division, donne les espèces. Avec le genre et les espèces, on établit la définition qui répond à la réalité et peut servir de principe à la déduction, d'où l'on tire des conséquences certaines. ... .... source, compléments et suites sur cosmovision, - Tous sur Socrate sur mediterranee.net, voir ARISTOCLES PLATON : Apologie de SOCRATE. Socrate promeut la chasteté entre Hommes et Garçons. |
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SOCRATE ou de Constantinople |
- Socrate le Scolastique ou Socrate de Constantinople (Constantinople, c. 380 - 450) était un historiographe chrétien de langue grecque. Il est, avec Eusèbe de Césarée, Sozomène, Théodoret de Cyr et Évagre le Scholastique, l’un des grands historiens de l’Antiquité chrétienne. Son Histoire ecclésiastique, qui a été publiée probablement vers 439/440, entend être une histoire du christianisme sous tous ses aspects plutôt que de l’Église au sens strict. Cette vision large s’explique sans doute parce qu'il appartenait au groupe des novatiens et était donc en marge de l’Église « officielle » ; de là son intérêt et sa tolérance vis-à-vis de tous les groupes et mouvements se situant dans la mouvance chrétienne. Elle s’explique aussi par le souci qu’a Socrate d’intéresser un très large public. L’Histoire Ecclésiastique de Socrate entend poursuivre celle d'Eusèbe de Césarée : elle commence donc avec le règne de Constantin Ier (306-337) pour s'achever en 438, sous Théodose II. Elle couvre la même période que l'Histoire Ecclésiastique de Sozomène et celle de Théodoret de Cyr. |
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SOLON | Solon (en grec ancien Σόλων), né à Athènes vers 640 av. J.-C. et mort sur l'île de Chypre vers 558 av. J.-C., est un homme d'État, législateur et poète athénien. Souvent considéré comme ayant instauré la démocratie à Athènes, il a tout d'abord été représentant de l'aristocratie. Il fait partie des Sept Sages de la Grèce. Solon a joué un rôle politique important, étant à l'origine d'une série de réformes qui accrurent considérablement le rôle de la classe populaire dans la politique athénienne. - wikipedia, Solon par Diogène Laërce, ugo bratelli, - Solon sur remacle, V : XVII : - Démocratie Athénienne, source wikiwand, |
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SOPHOCLE | (496-406 avant J.C.) Son théâtre rompt avec la trilogie « liée » et approfondit les aspects psychologiques des personnages. Ses pièces mettent en scène des héros, souvent solitaires et même rejetés (Ajax, Antigone, Œdipe, Électre) et confrontés à des problèmes moraux desquels naît la situation tragique. - Dossier Sophocle, sur remacle, Sophocle courtisait les jeunes garçons. |
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SOPHRONIUS le Sophiste |
- Sophrone de Jérusalem (ou en grec Σωφρόνιος / Sophronios), dit Sophrone le Sophiste, est né à Damas vers 550 et était le patriarche de Jérusalem de 634 jusqu'à sa mort le 11 mars 638 à Jérusalem (ou 6399 à Alexandrie, les historiens sont partagés). Avant d'être consacré patriarche, il était un moine et un théologien, ardent défenseur de l'orthodoxie telle qu'elle avait été définie au concile de Chalcédoine lors de la controverse dogmatique sur la nature essentielle de Jésus et de ses actes délibérés. Peu de temps avant sa mort, il avait obtenu du calife Omar qu'il rentre dans la cité sainte en pèlerin et non en conquérant. .... Sophrone a laissé de nombreux textes liturgiques, des homélies des textes théologiques, hagiographiques et poétiques. Il est fêté le 11 mars chez les catholiques comme chez les orthodoxes - La prise de Jérusalem par les Perses de Chosroès II, le 2? mai 614, a été racontée par les historiens byzantins avec un laconisme désespérant. Il semble que les paroles leur lassent défaut pour décrire la grandeur de cette catastrophe qui désola tout l'Orient.On ne connaissait ni les circonstances de la chute de la Ville Sainte, ni les détails de sa ruine. Cette douloureuse lacune avait été en partie comblée par la publication de certains passages de la chronique de l'évêque arménien Sébéos, cités dans la Chronologie arménienne de M. Dulaurien et dont a su tirer un excellent parti M. Ludovic Drapeyron, dans sa remarquable thèse de Doctorat ès-lettres intitulée : L'empereur Heraclius et l'Empire byzantin au VIIe siècle. Mais l'exagération manifeste, le manque de critique et de sincérité, l'amour de la fable inhérent aux annalistes arméniens, et surtout l'invraisemblance frappante de certains détails nous mettaient en garde contre ce texte nouvellement produit et que certains auteurs croyaient même pouvoir traiter avec une sévérité assez dédaigneuse. On attendait un document de source plus autorisée, à la fois plus grave et plus complet, car, dans les fragments de l'arménien Sébéos, les lacunes sont aussi considérables que le récit est suspect. Ce document était tout indiqué, on en connaissait l'existence, on en citait même la première ligne. C'était l'Elégie ou Ode anacréontique par laquelle le patriarche de Jérusalem, saint Sophronius, dont le nom semble résumer toutes les gloires et les vertus de l'Église grecque unie, avait déploré la ruine de la Ville Sainte par les Perses, en 614. Mais cette Élégie si importante et par sa date contemporaine de la catastrophe et par sa provenance, puisqu'elle émanait d'un personnage si considérable, cette Élégie était perdue : le grand évêque semblait avoir emporté dans sa tombe le cri de désespoir que lui avait arraché le sac de la Ville Sainte... - source wikipedia, ou wikiwand, - JER- - LA PRISE DE JÉRUSALEM PAR LES PERSES , ? source remacle, |
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SOUDA | La Souda (du grec ancien : Σοῦδα / Soũda) ou Suidas (Σουίδας / Souídas) est une encyclopédie grecque de la fin du Xe siècle. C'est un ouvrage de référence, en particulier pour les citations, très souvent utilisé dans les travaux portant sur l'Antiquité. Le nom de l'ouvrage, la date de sa rédaction, l'identité de son ou de ses auteurs ont posé de délicats problèmes aux chercheurs. La Souda est à la fois un dictionnaire qui explicite les formes grammaticales complexes et donne les définitions de mots rares en grec ancien. C'est aussi une encyclopédie commentant des personnes, des lieux ou des institutions. Les sources qu'elle utilise sont souvent bibliques ou antiques et elle ne fournit que peu de renseignements sur l'époque byzantine. Ignoré au Moyen Âge, l'ouvrage a été produit dans l'empire byzantin. Il a été publié pour la première fois en Europe en 1499, à Milan, sous le nom de Lexicon græcum1. Cet ouvrage considérable, d'un million et demi de mots, comprend 31 342 entrées portant sur des données historiques, biographiques et lexicographiques2. Les entrées sont classées selon un système à la fois alphabétique et phonétique : les diphtongues sont classées après les voyelles simples. Ainsi αι / ai est classé après ε epsilon. Et ω oméga vient après ο omicron, ce qui ne correspond pas au classement alphabétique grec classique. C'est une compilation de compilations, qui utilise des biographies, bibliographies et autres renseignements sur des écrivains païens et chrétiens, dont la plupart ont disparu : les scholies sur Aristophane, Sophocle et Thucydide ont beaucoup servi. Les notices biographiques proviennent souvent, de l'aveu de l'auteur, de l'Onomatologion ou du Pinax d'Hésychius de Milet (VIe siècle). Parmi les autres sources abondamment utilisées figurent les Excerpta de Constantin Porphyrogénète, la Chronique de Georges le Moine, les biographies de Diogène Laërce, les travaux d'Athénée et de Philostrate. Si toutefois Souidas (supposé compilateur) a bien existé, on considère qu’il est un lexicographe grec de la fin du IXe siècle. Cet érudit aurait rédigé une première mouture qui aurait été modifiée et augmentée par les copistes successifs. Pour d'autres7, il s'agit d'une compilation effectuée par un collectif de savants, corrigée et augmentée par les copistes qui se sont succédé jusqu'à sa première impression. la suite sur wikipedia,
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SORANOS d'Ephèse |
- Soranos ou Soranus (grec : Σωρανός ὁ Ἑφέσιος) est un médecin grec du début du IIe siècle apr. J.-C., chef de file de l’école méthodique. - Il démontre que le fœtus est propulsé, non pas par ses efforts propres, mais par des contractions de l'utérus, et invente la version podalique qui consiste à saisir l'enfant par les pieds pour le retourner avant de l'extraire. Tout comme Galien, il déconseille les rapports sexuels pendant l'allaitement, estimant qu'ils corrompent le lait, voire qu'ils le tarissent - C’est dans son Traité des maladies des femmes que les écrits les plus précis de l’Antiquité sur la grossesse, l’accouchement et l’allaitement se trouvent. Soranos définit la puériculture comme l'art de décider « quels sont les nouveau-nés qui méritent qu'on les élève », René Etienne. source wikipedia, de Suda nous savons qu'il a travaillé avant Alexandrie et plus tard dans Rome début deuxième siècle. Il était le principal représentant de l'école médical de méthodique. Son oeuvre de gynécologie, intitulé Gynaecia et traduit en latin par Muscio en VIe siècle, Il a été le principal texte de référence sur cette branche de la médecine tout au long de la Moyen âge jusqu'à la publication du Rose Garden de Eucario Rodione en 1513. De son œuvre la plus importante (Sur les maladies aiguës et chroniques) Seuls les fragments restent en grec et une traduction latine Ve siècle travailler Celio Aureliano. Ils sont également connus parties des traités fractures et bandages. On croit que La vie de Hippocrate fait partie du travail Biographies des médecins que Suda Il attribue à Sorano, qui est généralement considéré comme l'un des rares sources fiables, avec Stephanus de Byzance, pour les biographies des médecins.
HADRIEN |
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SOZOMENE | - Sozomène (400-vers 450), de son nom entier Salaminios Hermias Sozomenos, est un rhéteur et historien chrétien de langue grecque, né à Bethéléa (aujourd'hui Bêt Laḥiyê dans la Bande de Gaza) en Palestine (Histoire ecclésiastique, V 15). Il étudia la rhétorique et le droit (sans doute à Beyrouth) et exerçait à Constantinople la profession de juriste ou d'avocat.
Il composa, entre les années 440 et 450, une Histoire ecclésiastique allant de 323 à 425, à la suite de celle d'Eusèbe de Césarée. Il est, avec Eusèbe de Césarée, Socrate le Scolastique, Théodoret de Cyr et Évagre le Scholastique, l’un des grands historiens de l’Antiquité chrétienne.
1. De la Nation des Juifs. |
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SPARTIANUS Aelius | - - voir AUGUSTE l'Histoire, ci-dessus, - Histoire Auguste, aelius Spartianus, sur mediterranéee.com, de A.Vignas, HADRIAN |
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SPEUSIPPE | - Neveu de Platon, scholarque de l'Académie de Platon, Speusippe (407 à 339 av. J.-C.) est un platonicien, mais convaincu de la nécessité de reconstruire la philosophie de Platon. Il a critiqué l'hédonisme et a été lui-même réfuté par Aristote parce qu’il abandonnait la notion de forme et la relation au monde sensible. Il a remplacé la théorie des nombres idéaux du dernier Platon par les entités mathématiques elles-mêmes, en tant que pure réalité, ce qui fit dire à Aristote : Les mathématiques sont devenues aujourd’hui la philosophie. Il prit la suite de Platon en tant que premier scholarque ou recteur de l'Académie de 348/7N 1 à 339 av. J.-C. Xénocrate lui a succédé comme troisième scholarque de l'Académie. Speusippe est un platonicien pythagorisant, encore que, contre le pythagorisme, il sépare les nombres et les choses sensibles. Il admet pour chaque genre d’être (οὐσία / ousia) des principes particuliers, un pour les nombres, un pour les grandeurs, un autre pour l’âme, etc., mais sans aucune liaison entre eux. En effet, en dépit de leur nature de principe suprême, les nombres pourraient totalement disparaître sans pour autant affecter l’existence des grandeurs, qui suivent les nombres, et à leur tour les grandeurs pourraient manquer sans pour autant altérer l’existence de la conscience ou celle du monde étendu matériellement6 : cette doctrine des principes selon Speusippe est jugée anarchique et sans structure par Aristote. Speusippe abandonne les Idées de Platon, à la place il met les nombres mathématiques et les entités mathématiques, déduits de deux principes, l'Un et le Multiple (alors que Xénocrate assimile les Idées aux Nombres). Speusippe fait correspondre Un, Deux, Trois et Quatre respectivement à point, ligne, plan, solide ; il est le premier à faire correspondre point et Un7 comme Xénocrate ligne et deux, dyade. Les êtres intelligibles (en grec, νοητά / noêta) deviennent des entités mathématiques. Pour Platon, le principe formel des grandeurs est la ligne insécable, pour Speusippe c'est le point, et pour Xénocrate les nombres mêmes. À la différence de Platon encore, il n'identifie pas l'Un avec le Bien, pour éviter de dire que la Multiplicité est le Mal8. Selon Stobée, Speusippe a défini l'âme comme la forme de ce qui est étendu selon toutes les dimensions. Speusippe est un platonicien pythagorisant, qui s'appuie surtout sur l'enseignement oral de Platon ; pour lui :
- source et suite sur wikipedia, - Speusippe, "Dix est parfait et c'est à juste titre et conformément à la nature que les Hellènes se sont, sans préméditation aucune, rencontrés avec tous les hommes de tous les pays, pour compter suivant ce nombre; aussi possède-t-il plusieurs propriétés qui conviennent à une telle perfection. ....." |
source wikipedia, |
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STACE | - P. Papinius Statius, poète latin, né à Naples l'an 61 de J?C., m. en 96, avait pour père un homme qui lui-même était distingué comme poète et comme orateur et qui fut précepteur de Domitien. Il remporta plusieurs couronnes aux fêtes lustrales de Naples et dans d'autres solennités, jouit d'une immense réputation de son vivant, fit de ses poésies des lectures publiques qui furent très suivies et reçut les bienfaits de Domitien, qu'en revanche il a trop loué. On a de lui : l'Achilléide, autre poème épique, qu'il n'a conduit que jusqu'au milieu du IIe chant, LIVRE I. Le magnanime Achille, ce héros à qui le maître du tonnerre craignit de donner la vie, de peur de le voir un jour lui ravir le trône du ciel, muse, c'est à toi de le chanter. Ses exploits ont été illustrés par la lyre de Méonie ; mais le champ est vaste encore. Parcourir toute sa vie, l'arracher de sa retraite de Scyros, au bruit de la trompette d'Ulysse, telle est mon entreprise : laissons là Hector traîné dans la poussière : c'est loin de Troie que je veux montrer le jeune héros.
et 5 livres de poésies diverses ou Silves (c.-à-d. Mélanges) : la plupart se composent de petites pièces adressées à ses amis pour célébrer leur habitation, leurs travaux ou leur fortune. On trouve dans Stace une facilité, une abondance extraordinaires, mais aussi beaucoup d'exagération. -STACE sur wikipedia, - Silves, Mélanges, Tome I, Livres I et III, Lesbelleslettres, Table des matières, |
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STESICHORE | - Stésichore (en grec Στησίχορος / Stêsíkhoros, littéralement « qui présente le chœur ») était un poète lyrique grec originaire d’Himère en Sicile, dont la période d'activité s'étend de 570 à 540 av. J.-C. environ. Il a donné à l'instrument lyrique une ampleur, une richesse et une puissance inconnues avant lui, sans toutefois s'élever au-dessus du génie de Pindare, aux dires de Quintilien. Car ses innovations techniques sont de première importance : son lyrisme aborde les grands sujets, son style s'élève et s'affermit, son dialecte, savamment épuré, se rapproche de la noblesse épique, et surtout son rythme prend une ampleur et une variété nouvelles9. Il inventa nombre de rythmes et de mélodies, notamment l'ode à trois mouvements (forme rythmique où les strophes se succèdent à des rythmes différents). Les mètres qu'il utilise sont riches en dactyles, comme dans l'épopée homérique. Il a laissé 28 livres d’Hymnes contenant des légendes d'amour et de mort qui servirent de sujets aux auteurs tragiques. Ses poèmes étaient très longs, la Géryonide par exemple, excédait 1800 vers (Pindare dépassait rarement les 100 vers). Quintilien lui reproche une abondance excessive, un peu diffuse et molle1. Il semble que Stésichore tirait son inspiration soit des cycles épiques comme le Cycle troyen ou le Cycle thébain, soit directement d'Homère, en accentuant leur dimension morale et religieuse. |
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STRABON | Strabon (grec ancien : Στράϐων / Strábôn, « qui louche », en latin Strabo), Strabon ne nous a laissé que très peu d’informations sur sa vie. Il est issu d’une famille illustre d’Amasée, famille qui a eu un rôle important dans la vie politique du royaume2. Strabon a suivi pendant sa jeunesse de nombreux enseignements3. Tyrannion4, Aristodème5 et Xénarque6 sont les maîtres qu'il cite, tous grecs, grammairiens ou philosophes. Bien qu’aucun d’entre eux ne soit stoïcien, Strabon subit l'influence de cette pensée, comme il l'évoque lui-même au livre II de sa Géographie7. Il s'installa à Rome probablement juste avant la mort de César8, De l’œuvre historique de Strabon, seuls quelques fragments nous restent, et les historiens ne sont pas d’accord quant à la composition de cette œuvre :
Seize des fragments conservés décrivent des événements survenus entre 107 et 37 av. J.-C. Strabon aurait composé une histoire universelle depuis 146 av. J.-C., date à laquelle Polybe a arrêté son propre ouvrage Histoires. Strabon lui-même a confirmé que son travail commence à la fin de l'œuvre de Polybe17 et que l'ouvrage comprenait quatre livres d'introduction, dont le contenu - non précisé - était peut-être un résumé d'événements antérieurs. Il semble avoir arrêté son ouvrage en 37 av. J.-C., soit huit ans avant le retour d'Octave à Rome et la fin des guerres civiles (époque de la chute de la République romaine). Dans son travail, il a sans doute utilisé non seulement Polybe mais également d'autres sources comme Timagène, Asinius Pollion ou encore Posidonios La Géographie de Strabon est divisée comme suit :
-source et suite sur wikipedia, - Géographie de Strabon, source remacle, : - Géographie de Strabon, source Gallica, - compilateur de Guides des aires de repos des voies appiennes du monde gréco-romain.!?
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STRATON de Sardes |
Straton de Sardes (en grec ancien Στράτων / Strátôn) est un écrivain grec du IIe siècle, auteur et compilateur d'épigrammes pédérastiques. Originaire de la cité de Sardes, en Lydie, il aurait vécu sous le règne de l'empereur Hadrien. Si sa vie est mal connue, il est célèbre pour avoir composé une anthologie d'épigrammes intitulée Μοῦσα παιδική / Moũsa paidikế, « la Muse garçonnière » : le recueil comprenait des textes d'inspiration pédérastique d'Alcée de Mytilène, Callimaque de Cyrène, Méléagre de Gadara ou encore Dioscoride, ainsi que de Straton lui-même. Nous en conservons 258 épigrammes, intégrées au IXe siècle par Constantin Céphalas dans le livre XII de l'Anthologie grecque. source et suite sur wikipedia,
voir Anthologie palatine, ou Anthologie grecque, sur Gaogoa L'Eros céleste : - Straton, Le sexe des garçons
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![]() Hyacinthe discobole |
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SUETONE | (70-140) Suétone (en latin Caius Suetonius Tranquillus) est un haut fonctionnaire romain, membre de l'ordre équestre, auteur de nombreux ouvrages dont les Vies des douze Césars qui rassemblent les biographies de Jules César à Domitien. Il a vécu à la fin du Ier et au début du IIe siècle. La vie des douze Césars En tant que secrétaire d'Hadrien, Suétone avait accès aux archives impériales, ce qui lui permettait de consulter les sources contemporaines telles que les procès-verbaux des séances du Sénat, les senatus-consultes, des lettres et des testaments d'empereurs. La part des archives dans l'œuvre de Suétone est néanmoins discutée, et jugée moins importante par Andrew Wallace-Hadrill et par Luc de Coninck. Cependant, Suétone porte peu d'intérêt à l'histoire et à l'administration de l'Empire ; il ne s'intéresse qu'aux actes et à la personnalité des premiers Césars, et plus particulièrement à leurs vices et à leurs travers, ce qui a valu à Suétone, selon le jugement d'Alexis Pierron, la réputation de colporteur d'histoires d'antichambre, de rumeurs dont l'authenticité est souvent douteuse. Selon une formule fameuse d'Alexis Pierron, Suétone avait écouté aux portes et souvent mal entendu ce que l'on disait1. Néanmoins, sa Vie des douze Césars présente un grand intérêt pour l'historien de l'Antiquité, car elle nous donne sur le premier siècle de l'empire des renseignements précieux, qui ne se rencontrent point ailleurs. des hommes illustres :
suite sur wikipedia, OEuvres complètes de Suétone traduites en français, sur remacle, - Vie des 12 Césars, vie de Jules César, ucl.ac.be, HADRIAN |
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SULPICIA I | Sulpicia est la seule Romaine connue dont la poésie nous est parvenue. Elle vécut à l’époque d’Auguste, et est peut-être fille de Servius Sulpicius Rufus, orateur et poète, ami de Cicéron, mais cette parenté relève de l'hypothèse. L'attribution de ses poésies est discutée : ses vers furent préservés dans les manuscrits avec ceux de Tibulle et d'Ausone, et furent longtemps attribués à Tibulle. Ils consistent en six poèmes élégiaques adressés à son amant Cerinthus. Cerinthus était probablement un pseudonyme (si tant est que Sulpicia fasse référence à un personnage réel), comme en ont utilisé Ovide ou Catulle. On a longtemps pensé que Cerinthus faisait référence au Cornutus que Tibulle mentionne dans deux de ses Élégies. Satire (contre Domitien), Et voilà que celui qui gouverne aujourd’hui dans Rome, un tyran qu’ont vieilli les excès, et qui s’affaisse sous son propre poids, bannit tous les arts et ... |
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SUN TZU |
- Sun Tzu ou Sun Tse ou Sun Zi ou encore Souen Tseu (chinois : 孫子, pinyin : sūn zǐ, Wade-Giles : sun1 tzu3, prononcé /suən.ts̩/, signifie « maître Sun »), de son vrai nom Sun Wu (孫武, Sūn Wǔ, sun1 wu3, wǔ signifiant « militaire », « martial »), est un général chinois du VIe siècle av. J.-C. (544–496 av. J.-C.). Il est surtout célèbre en tant qu'auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus ancien connu : L'Art de la guerre. L'idée principale de son œuvre est que l’objectif de la guerre est de contraindre l’ennemi à abandonner la lutte, y compris sans combat, grâce à la ruse, l'espionnage, une grande mobilité et l'adaptation à la stratégie de l'adversaire. Tous ces moyens doivent ainsi être employés afin de s'assurer une victoire au moindre coût (humain, matériel). Les idées de L'Art de la guerre ont été reprises et adaptées par différents auteurs pour la stratégie et notamment la stratégie d'entreprise. Dans un sens plus large, L'Art de la guerre peut être interprété comme une méthode de résolution des conflits. source et suite sur wikipedia, - L'art de la guerre, uqac, |
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SYMEON SETH SIMEON SETH |
Syméon Seth est un médecin, astrologue et traducteur byzantin du XIe siècle. L'en-tête des manuscrits de son Traité de diététique indique peut-être qu'il était originaire d'Antioche1, et lui attribue le titre de magistros (en général porté par des hauts fonctionnaires)2. Il fut auparavant vestis, puis prôtovestarchis3. Dans son Traité de physique, il précise qu'il assista à l'éclipse de soleil de 1058 depuis l'Égypte4 (peut-être comme membre de l'ambassade que l'empereur Michel VI envoya au calife Al-Mustansir Billah5). Ses ouvrages scientifiques sont dédiés à l'empereur Michel VII Doukas (1071-1078), et sa traduction de l'arabe en grec du Khalila wa-Dimna à Alexis Ier Comnène (1081-1118). Voici ce qu'écrit Anne Comnène dans son Alexiade (VI, 7), après le récit de la mort de Robert Guiscard (1085) : « Un certain astrologue (μαθηματικός) nommé Seth, qui se vantait fort de ses connaissances astrologiques, avait prédit sous forme d'oracle la mort de Robert après sa traversée en Illyrie, et avait consigné sa prédiction sur un papier, qu'il remit scellé à des familiers de l'empereur, en leur recommandant de le garder quelque temps. Puis, quand Robert fut mort, ils ouvrirent le document sur son invitation. L'oracle était ainsi formulé : "Un grand ennemi d'Occident, qui a causé bien des troubles, mourra subitement". Tout le monde admira la science de cet homme, qui était en effet parvenu à la maîtrise la plus haute de cette discipline. [...] Il n'y avait certes pas pénurie d'astrologues en ce temps-là : c'était au contraire le moment où florissait le Seth dont j'ai parlé, et le fameux Égyptien d'Alexandrie s'employait avec zèle à révéler les mystères de l'astrologie. Ses oeuvres : - - Le projet Siméon Seth, sur abm hypotheses, oeuvres : un Traité de physique en cinq livres (sur la terre, les quatre éléments, le ciel, la matière et l'âme, et la cause finale), d'inspiration aristotélicienne9 ; Quant à la traduction en grec du Khalila wa-Dimna, version arabe du Pañchatantra, elle est intitulée Stéphanitès et Ichnilatès12. Syméon Seth a aussi fait des traductions d'ouvrages scientifiques, notamment médicaux, de l'arabe au grec : la version grecque du traité de Rhazès sur la variole est peut-être de lui . source wikpedia, - Le projet Siméon SETH, abm hypothèses, - Textes ... en latin et grec ! Pinakes, mais inaccessibles ...!
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SYNESIUS de Cyrène |
- Synésios de Cyrène, en grec ancien Συνέσιος, v. 370 - v. 414, est un évêque de Ptolémaïs (Cyrénaïque), épistolier, philosophe grec néoplatonicien, de l'école néoplatonicienne d'Alexandrie. né vers 370 à Cyrène dans la Pentapole (dans le nord de la Libye actuelle) de riches parents grecs qui prétendaient être des descendants des rois de Sparte. Il est éduqué à Alexandrie avec son frère Euoptios et y suit notamment les enseignements sur la philosophie et la science (astronomie et mathématiques) d'Hypatie. Il est possible que Synésios de Cyrène et Synésios l'Alchimiste soient une seule et même personne, par exemple Synésios quand il était jeune. Le Synésios alchimiste faisait partie des commentateurs alchimistes, avec Olympiodore l'Alchimiste (peut-être identique à Olympiodore le Jeune, scolarque de l'école néoplatonicienne d'Alexandrie en 541), Étienne d'Alexandrie (actif vers 620). On trouve son livre De l'œuvre des philosophes dans W. Salmon, Bibliothèque des philosophes chimiques, 1672, t. II ; son Dialogue sur Démocrite dans le Catalogue des Anciens Alchimistes grecs (CAG), t. II p. 56-69. Certains historiens situent Synésios l'Alchimiste vers 380. source et suite et de nombreuses traductions et liens utiles...sur wikipedia,
A PAEONIUS SUR LE DON D’UN ASTROLABE. : L’ÉGYPTIEN ou DE LA PROVIDENCE. - argument - préface - livre I - livre II HYMNE I. - HYMNE II. - HYMNE III. - HYMNE IV. - HYMNE V. - HYMNE VI. - HYMNE VII. - HYMNE VIII. - HYMNE IX. - HYMNE X. - LISTE ALPHABETIQUE DES PERSONNAGES AUXQUELS SONT ADRESSEES LES LETTRES DE SYNESIUS. TABLEAU CHRONOLOGIQUE DE LA VIE ET DES ŒUVRES DE SYNESIUS. source et suite sur remacle, |
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T'AECHAK Académie de |
- Cinq récits fondateurs pour les peuples altaïques de l'Eurasie
- Chronologie de la Chine, source tokomaamagazine, en cours ... - voir item Yi-King,
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TACITE | - Tacite (en latin Publius Cornelius Tacitus) est un historien et sénateur romain né en 58 et mort vers 120 ap. J.-C. C. Cornelius Tacitus, est le plus célèbre des historiens latins. La biographie de Tacite est peu et mal connue. Pendant longtemps, on ne savait même pas quel était son prénom. Une inscription grecque, trouvée en Asie, l'a finalement révélé. Tacite s'appelait Publius Cornelius Tacitus. On ne sait pas exactement en quelle année ni où il naquit. D'après Nipperdey, Tacite naquit en 54 ap., J.-C.; d'après Urlichs et Teuffel, en 55 ou 56. Quant au lieu de sa naissance, on a cru que c'était la ville italienne d'Interamna (auj. Terni), en Ombrie. Mais cette opinion repose uniquement sur la prétention qu'avait l'empereur Tacite de descendre de Tacite l'historien. Comme Tacite l'empereur était originaire d'Interamna, on a voulu en conclure, sans raison aucune, que l'historien était né dans la même ville. En réalité, on ignore totalement où il naquit. Les ouvrages de Tacite. Tacite avait l'intention d'écrire également l'histoire des règnes de Nerva et de Trajan (Historiae, I, 1); il n'eut probablement pas le temps de mettre ce projet à exécution. Il se proposait aussi de raconter l'histoire d'Auguste (Annal., III, 24). Nous ignorons d'autre part s'il publia ses discours. Pline le Jeune fait le plus grand éloge de son éloquence : il cite en particulier l'oraison funèbre de Verginius Rufus et le réquisitoire contre Marius Priscus. Pour caractériser cette dernière harangue, il emploie le mot grec semnôs. Nous pouvons en conclure que l'éloquence de Tacite était plutôt grave, imposante et majestueuse qu'enjouée et souriante. Le Dialogue des Orateurs, la Vie d'Agricole, la Germanie nous sont parvenus au complet. Il n'en est pas de même, malheureusement, pour les deux oeuvres capitales de Tacite : les Histoires et les Annales.
- Oeuvres complètes de TACITE : Les Anales, Les Histoires, Livre I à Livre XVI, source remacle, - BCS & BCS TRA : TouT TACITE sur UCL : Introduction du chap I, du texte à l'hypertexte, François/Latina 3. La situation de la Bretagne était alors agitée et inquiétante comme jamais : on massacrait des vétérans, on incendiait les colonies, on contrariait les déplacements de nos troupes. Notre armée se battit pour survivre. Par la suite, elle n'eut plus qu'à conforter sa victoire. 4. Toutes ces actions étaient menées et décidées par un autre qu'Agricola et c'est à son chef qu'on attribua l'ensemble des opérations et que revint la gloire d'avoir reconquis la province. Toutefois, le jeune homme en retira savoir-faire et expérience. Il brûlait d'en faire plus. Il désirait atteindre la gloire par les armes. Etrange projet pour une époque qui n'avait que mépris pour les hommes d'exception et qui considérait qu'une grande renommée n'entraînait pas moins de risques qu'une mauvaise réputation. 7. Cette discipline, cette sévérité tendaient à ce que, dans son état inné de pureté et d'intégrité qu'aucune perversion n'avait déformé, chaque enfant s'appropriât immédiatement et de tout son coeur tous les comportements dignes d'un homme libre, quelle que fût son inclination : métier des armes, connaissance du droit, étude de l'art oratoire. Il ne devait suivre que cette seule voie, s'en pénétrer complètement.
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TANTRISME | Le tantrisme, terme inventé au XIXe siècle en Occident et dérivé du mot tantra1 (sanskrit IAST ; devanāgarī : तन्त्र ; « règle, traité »)2, désigne un ensemble de textes, de doctrines, de rituels et de méthodes initiatiques qui ont pénétré de façon diffuse la plupart des branches de l'hindouisme3 (y compris le jaïnisme4). Sa définition exacte et son origine historique restent un sujet de discussion parmi les spécialistes5. Il s'exprime à travers des pratiques yogiques et des rites, se basant sur des textes ou tantras révélés, selon la légende, par Shiva Lui-même6 spécialement pour l'homme déchu du dernier âge (kali yuga), selon la cosmologie de l'hindouisme. À partir du VIe siècle, on rencontre des cultes tantriques dans les écoles shivaïtes ou shaktistes, dans le bouddhisme mahâyâna (pratiqué principalement en Chine, Corée, Japon et Viêt Nam) et dans le bouddhisme vajrayāna (bouddhisme adamantin ou bouddhisme de diamant, aussi nommé bouddhisme tantrique) pratiqué principalement au Tibet, en Mongolie et au Japon7. La littérature tantrique se compose de textes qui ont des noms divers comme tantra, saṃhitā, āgama et même certains sūtra. .... Tantra est un terme appliqué à un système métaphysique pratique originaire de la région himalayo-indienne. Dans ce système on considère comme base de l'univers deux principes symbolisés par le couple masculin et féminin. Le tantra traditionnel est une « voie de transformation intégrale de l'être humain », qui passe par le corps et les cinq sens. Les tantra sont des textes qui se veulent être la continuation des véda. Les véda sont des formules de liturgie et de rituel qui apparaissent en Inde entre 1500-1000 av. J.-C. et qui remontent à une tradition peut-être plus lointaine. Elles ne furent pas transcrites avant le VIIIe siècle av. J.-C.. De ces textes liturgiques et de rituels sont issus de nombreux commentaires. À la suite du védisme qui place le désir (kāma) à l’origine de la Création, le brahmanisme développe au contraire une « idéologie de la rétention ». Le tantrisme apparaît en réaction pour restaurer le kāma en tant que voie de libération (moksha). les techniques sexuelles de l’Orient : le tantra hindou, l’alchimie sexuelle taoïste. Le mot Tantra signifie «tissé ensemble» en sanskrit. Dans l’Inde hindouiste, le tantrisme désigne les écoles de yoga traitant de l’union sexuelle de l’homme et la femme. Par extension, il embrasse toutes les pratiques sexuelles de nature spirituelle qu’on rencontre en Asie. Car toutes ces pratiques concourent au même but : l’éveil. Par la voie du Tantra, l’être est en harmonie avec son corps, capable de contrôler chaque aspect de celui-ci. L’homme peut ainsi accomplir des prouesses sexuelles remarquables, atteindre l’orgasme sans éjaculer, et recommencer autant de fois que nécessaire. Les experts peuvent donner à leurs partenaires féminines des orgasmes multiples sur une base régulière .... Textes : Le canon tibétain contient environ 500 tantras, que complètent plus de 2000 commentaires. Ils font l'objet d’une classification en quatre catégories qui suit plus ou moins leur ordre d’apparition :
source et suite sur wikipedia, |
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ETIENNE AÇOGH'IG DE DARON |
- voir ETIENNE AÇOGH'IG DE DARON - Source réputée fiable, Stépanos est principalement connu pour son Histoire universelle, commandée par le Catholicos Sargis Ier et divisée en trois livres : le premier débute par la Création et s'étend jusqu'à la fin du IIIe siècle, le deuxième couvre la période commençant par le règne de Tiridate IV et s'achevant par l'accès à la royauté d'Achot Ier en 8843, et le troisième poursuit jusqu'en 1004, au cours du règne de Gagik Ier4. Ce dernier livre, dont les 75 dernières années constituent un apport original de Stépanos, est un « document incomparable » sur le Xe siècle arménien et byzantin |
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TATIEN le SYRIEN | - Tatien le Syrien est un écrivain chrétien du IIe siècle, né en Assyrie (Mésopotamie) vers 120 et mort vers 173.
Hérétique pour les églises grecques et latines, il est tout de même l'auteur d'une apologie qui lui vaut d'être considéré comme un Père de l'Église. Il est aussi l'auteur du Diatessaron, la première concordance des Évangiles, qui connut en Syrie et bien au-delà une fortune extraordinaire. Ce qu'on appelle encratisme dans les premiers siècles, c'est la tendance ascétique extrémiste de certaines sectes qui interdisent à leurs membres toute relation sexuelle ainsi que toute consommation de viande et de boissons enivrantes. Mais le concept est difficile à cerner : car les encratites que l'on dénonce sont toujours présentés, en outre, comme des déviants dogmatiques, le plus souvent « gnostiques », mais pas exclusivement. Leur ascétisme est condamnable parce qu'il est la conséquence de théories erronées. - « Moi, Tatien, philosophe barbare, je suis né au pays des Assyriens, j'ai été formé d'abord dans vos doctrines et ensuite dans celles que j'entreprends maintenant de proclamer »1... Plus haut, il avait déjà raconté sa quête d'une religion qui lui convienne : « ... j'ai été admis aux mystères ; j'ai examiné toutes sortes de rites religieux accomplis par des efféminés et des androgynes ; j'ai trouvé chez les Romains le Jupiter latin faisant ses délices de sang humain... ; ailleurs d'autres démons fomentant des éruptions de méchanceté... ». C'est à la lecture de l'Ancien Testament – certains écrits barbares trop vieux pour être comparés avec les écrits des Grecs et trop divins pour être comparés à leurs erreurs – qu'il découvre enfin dans l'enthousiasme la vérité tant recherchée.
- Le Discours aux Grecs : On peut distinguer une première partie qui serait un exposé de la foi chrétienne, constamment entrecoupé d'invectives contre les philosophes. Tatien y traite successivement de Dieu, de la relation entre le Logos et le Père, de la création du monde, de la création de l'homme, de la résurrection et du jugement dernier.
voir l'item Bibles .... |
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TERENCE | (190-159 avant J.C.) Térence composa six pièces, que nous possédons toutes intégralement. Il fit considérablement évoluer la comédie latine : il incarne la génération influencée par l'hellénisme cher au « cercle des Scipions », qui dans cette période acclimatait le goût grec à Rome. Son modèle principal est Ménandre, ce qui lui aurait valu de la part de César l'appellation admirative de « demi-Ménandre » (dimidiatus Menander). Térence écrivit essentiellement pour un public de lettrés, comme le montrent ses prologues et les titres grecs de ses pièces. Voici les grandes caractéristiques de sa dramaturgie: Vers célèbres : Quot homines, tot sententiae : « Autant d'hommes, autant d'opinions ». (Phormion, v. 454).
- remacle, Table des matières TERENCE, En apprenant ce qui se trame, Simon hâte le mariage de Pamphile et Glycère pour voir l'attitude de son fils. L'esclave de Pamphile, Dave, lui a assuré qu'il ne s'agit que d'un stratagème, même si Simon envisage sérieusement le mariage. Chrémès apprend que la jeune fille Glycère est enceinte. On finit bientôt par apprendre que Glycère est la seconde fille de Chrémès, du vrai nom de Pasibula, élevée en bas âge par un tuteur. Philomène peut donc s'unir à Charinus, l'homme qu'elle aime, le meilleur ami de Pamphile, et Glycère peut épouser Pamphile.
Chéréa, le frère de Phédria, aperçoit dans la rue la jeune fille et s'en éprend aussitôt. Parménon, esclave de Phédria et de Chéréa, déguise Chéréa en eunuque et l'offre en lieu et place de l'eunuque rabougri acheté par Phédria. Chargé par Thaïs de garder la virgo, le faux eunuque la viole pendant son sommeil. Le cas de Chéréa est grave, car la virgo est en fait de condition libre. Thaïs vient en effet de retrouver le frère de cette dernière, Chrémès, et espère s'en faire un ami en la lui rendant et ainsi obtenir sa protection. À la fin de la pièce, Chéréa épouse la virgo pour rétablir la situation de la femme libre violée ; Phédria obtient de pouvoir fréquenter Thaïs autant qu'il le veut ; les jeunes gens et la courtisane s'entendent avec Gnathon pour tromper Thrason et vivre à ses crochets. Le père des deux jeunes gens va prendre également Thaïs sous sa protection ; elle n'aura donc plus besoin du soldat Thrason Térence s'inspire ici de deux pièces de Ménandre : non seulement la comédie homonyme L'Eunuque, mais aussi Le Flatteur (Colax, du grec ancien Κόλαξ / Kólax), auquel il emprunte les deux personnages de Thrason et de Gnathon. L'Eunuque est l'une des pièces de Térence qui eurent le plus de succès auprès du public. N.B. : Jean de La Fontaine adorait cette pièce, qu'il adapta en 1655. Après une absence prolongée à l'étranger, Pamphile revient chez lui et trouve la maison vide : son épouse, Philomène, est partie. Le père de Philomène attribue le départ de sa fille à l'attitude de sa belle-mère Sostrata, la mère de Pamphile, et le beau-père de Philomène attribue le départ de sa belle-fille à l'attitude de la mère de Philomène, Myrrhine. En réalité, Philomène avait été violée avant son mariage par un inconnu ivre et si elle s'est retirée, c'est pour accoucher. Seule sa mère Myrrhine était au courant. Pamphile apprend la nouvelle de la grossesse de son épouse et décide de la rejeter sans la revoir. Mais Myrrhine reconnaît, au doigt de la courtisane Bacchis, un anneau que l'inconnu qui avait violé sa fille lui avait donné avant de partir. Cet inconnu, c'est Pamphile qui était saoul et avait abusé de Philomène : il peut donc pardonner à son épouse.
De retour, Clinia se cache chez Chrémès, le voisin de Ménédème et père d'Antiphila. Cette dernière est particulièrement riche. L'esclave Syrus persuade Ménédème de recevoir Bacchis, une courtisane qu'aime en secret Clitiphon, le fils de Chrémès. Ménédème accepte cette courtisane chez lui, alors qu'il avait refusé la présence d'Antiphila aux côtés de Clinia. Clitiphon parvient à soutirer à son père Chrémès 10 mines pour acheter la courtisane. Chrémès apprend qu'il s'est fait berner : son fils ne lui a pas dit qu'il aimait une courtisane et encore moins qu'il voulait l'acheter. Chrémès a été plus exploité que Ménédème, son voisin, qui n'a fait qu'héberger la courtisane chez lui. Ménédème finit par accepter que son fils Clinia épouse Antiphila. Clitiphon, après avoir rompu avec Bacchis, épouse une fille du voisinage.
L'épouse de Lemnos arrive à Athènes et meurt. La jeune orpheline est chargée des funérailles de sa mère. Antiphon s'éprend d'elle et décide de l'épouser. Démiphon, de retour, apprend la nouvelle et s'emporte : il donne trente mines à un parasite, Phormion, pour qu'il défasse le mariage d'Antiphon et prenne la chanteuse pour épouse. Les trente mines vont servir, en fin de compte, à acheter l'esclave dont Phédria s'était amouraché, et Phormion ne prendra pas la jeune fille pour épouse car Chrémès et Démiphon vont découvrir par sa nourrice que la jeune femme est en réalité Phanium, la fille de Chrémès qui vient de Lemnos. N.B. : La pièce inspira en grande partie à Molière ses Fourberies de Scapin. Les Adelphes : Rapprochée aujourd’hui de la « pièce à thèse », elle est consacrée au problème de l'éducation. Celle-ci doit-elle être :
NB : la pièce inspira à Molière son École des maris. source et suite sur wikipedia,
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TERTULLIEN | Tertullien est né et a vécu à Carthage, dans une période déterminante pour l'histoire de la civilisation occidentale, à l'articulation exacte de deux mentalités qui s'affrontent encore, mais dont il devait être le premier à tenter la synthèse. Né païen, d'éducation et de formation païennes, cultivé, curieux, inquiet de tempérament, il occupe une place particulièrement importante dans l'histoire du christianisme, mais aussi dans celle des lettres latines. Il est sans conteste le premier en date des grands moralistes et des grands théologiens d'Occident. Du fait des circonstances plus que par goût personnel, il fut amené à écrire une œuvre qui est presque entièrement polémique, caractère qui lui confère une certaine raideur, n'en facilite pas l'accès et, surtout, tend à donner de l'homme une image déformée. D'autre part, à une époque où, pour diverses raisons, la littérature latine paraît sur son déclin, il assure brillamment le relais, en lui communiquant une inspiration nouvelle. Ce converti, attiré sur le plan de l'éthique par l'ascétisme de l'hérésie montaniste, n'a jamais négligé l'esthétique, par souci d'efficacité autant que par attachement réfléchi aux valeurs anciennes. Quintus Septimius Florens Tertullianus, dit Tertullien, né entre 150 et 160 à Carthage (actuelle Tunisie) et décédé vers 220 dans la même ville, est un écrivain de langue latine issu d'une famille berbère1,2 romanisée et païenne. Il se convertit au christianisme à la fin du IIe siècle et devient le plus éminent théologien de Carthage. Auteur prolifique, catéchète, son influence fut grande dans l'Occident chrétien. En effet, il est le premier auteur latin à utiliser le terme de Trinité, dont il développe une théologie précise. Il est ainsi considéré comme le plus grand théologien chrétien de son temps. C’est également un polémiste qui lutte activement contre les cultes païens et contre le gnosticisme de Marcion. Sa figure est toutefois controversée, car il rejoint le mouvement hérétique montaniste à la fin de sa vie. Il est, ainsi, avec Origène, un des auteurs à être étudié avec les Pères de l'Église sans en être un à proprement parler, car il n'a pas été canonisé par l’Église catholique.
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THALES de MILET |
Thalès de Milet, appelé communément Thalès (en grec ancien : Θαλῆς ὁ Μιλήσιος / Thalễs ho Milếsios), est un philosophe et savant grec né à Milet vers -625 et mort vers -547 dans cette même ville. C'est l'un des Sept sages de la Grèce antique et le fondateur présumé de l'école milésienne. Philosophe de la nature, il passe pour avoir effectué un séjour en Égypte, où il aurait été initié aux sciences égyptienne et babylonienne. il étudia l'astronomie, Thalès fonda l'École ionienne où il enseigna principalement cette science (l'Astronomie).On lui attribue de nombreux exploits, comme le calcul de la hauteur de la grande pyramide ou la prédiction d'une éclipse, ainsi que le théorème de Thalès. Il fut l'auteur de nombreuses recherches mathématiques, notamment en géométrie. Personnage légendaire, qui semble n'avoir rien écrit, sa méthode d'analyse du réel en fait l'une des figures majeures du raisonnement scientifique. Il sut s'écarter des discours explicatifs délivrés par la mythologie pour privilégier une approche caractérisée par l'observation et la démonstration. Le théorème de Thalès est un théorème de géométrie qui affirme que, dans un plan, à partir d'un triangle, une droite parallèle à l'un des côtés définit avec les droites des deux autres côtés un nouveau triangle, semblable au premier.
- wikipedia, - Thalès de Millet Diogène Laërce, ugo bratelli,
suite sur Chronomath, |
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THEAGENE | - Théagène de Rhégion, en grec ancien Θεαγένης ὁ Ῥηγῖνος, était un érudit grec du VIe siècle av. J.-C.originaire de la ville de Rhêgion (actuelle Reggio de Calabre). - Théagène est connu pour avoir été l'un des premiers à recourir à l'allégorie pour commenter les poèmes d'Homère et les défendre contre les attaques qu'ils essuyaient de la part de critiques rationalistes, qui leur reprochaient leurs épisodes mythologiques invraisemblables ou immoraux - Théagène semble avoir proposé une exégèse allégorique, physique - le combat des dieux devient un combat entre les éléments - et morale des poèmes d'Homère, .... - ".... il en va de même de tous les éléments dont l'univers est composé : il y a entre eux une opposition fondamentale ; ils comportent une fois pour toutes la corruption au niveau des êtres particuliers, mais dans leurs ensembles ils subsistent éternellement. Ce sont de tels combats qu'Homère aurait institué, donnant au feu le nom d'Apollon, d'Hélios, d'Héphaïstos, à l'eau celui de Poséidon et de Scamandre, à la Lune celui d'Artémis, à l'air celui d'Héra." source et suite sur wikipedia, - THE - doxographie de diels (grec), source et suite sur remacle, |
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THEOCRITE | Théocrite de Syracuse (en grec ancien Θεόκριτος / Theókritos), né vers 310, mort vers 250 av. J.-C., est un poète grec, auteur de mimes (imitations comiques du langage ou des gestes), d'idylles pastorales et de contes épiques. Il était considéré comme l'un des sept poètes de la Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.) Théocrite a été imité par Virgile ; en France, il a été l'un des maîtres des poètes Parnassiens, en particulier de Leconte de Lisle qui a traduit plusieurs de ses idylles et s'est inspiré de lui dans ses Poèmes antiques. Théocrite est considéré comme le créateur de la poésie bucolique grecque. Son œuvre nous est parvenue essentiellement par des manuscrits. En sont conservés :
Jean-Marie Pelt signale dans une de ses conférences que Théocrite eut l'intuition de la sexualité des plantes, mais que son propos passa inaperçu au milieu de quelques autres inexacts du même auteur. - wikipedia, - Il célèbre l'union de l'Eros celeste et de l'Eros vulgaire,
- THE - Vie et IDYLLES
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THEODORE d'ASINÈ | -Théodore d'Asinè, en grec ancien Θεόδωρος Ἀσιναῖος, était un philosophe néo-platonicien dont les travaux datent du IVe siècle. - Théodore d'Asinè fut un disciple de Porphyre, et l'un des plus éminents néoplatoniciens de son temps. Proclus le mentionne à plusieurs reprises dans ses commentaires sur Platon, souvent de manière élogieuse. Il a écrit un ouvrage sur l'âme, maintenant perdu. Il est cité par Némésios dans son Natura hominis De. - source et suite sur wikipedia, -doxographie de diels en grec. (bilingue) source remacle, |
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THEODORET | - Théodoret de Cyr (° vers 393 - † vers 460) est un évêque, théologien et historiographe chrétien de langue grecque. Du point de vue théologique, il se rattache à l'École d'Antioche. Il est, avec Eusèbe de Césarée, Sozomène, Socrate le Scolastique et Évagre le Scholastique, l’un des principaux historiens ecclésiastiques de l’Antiquité tardive. - À partir de 430, il fut impliqué dans la querelle du nestorianisme. Au début, conjointement avec le patriarche Jean d'Antioche, il pria Nestorius de ne pas rejeter l'appellation Theotokos (« Mère de Dieu ») donnée à la Vierge Marie comme hérétique, mais au Concile d'Éphèse (juin-juillet 431), où Nestorius fut condamné et déposé avant l'arrivée de la délégation antiochienne, il participa avec Jean d'Antioche à la riposte qui consista à jeter l'anathème contre saint Cyrille d'Alexandrie, instigateur du concile, et à proclamer sa déposition. Mais Cyrille ayant imposé ses vues avec le soutien de l'empereur, Théodoret devint ensuite un ardent opposant aux décrets du concile, niant jusqu'à la fin de sa vie que Nestorius ait jamais affirmé l'existence de deux personnes en Jésus-Christ. En 433, le Symbole d'Union permit la réconciliation officielle des patriarches d'Antioche et d'Alexandrie, mais Théodoret, qui aurait participé à sa rédaction, refusa d'y souscrire, exigeant le retrait de la condamnation de Nestorius. - Oeuvre importante, ... voir wikipedia, source et suite sur wikipedia, - EGL - histoire de l'église, source remacle, |
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THEOGNIS | -Théognis de Mégare, en grec ancien Θέογνις est un poète gnomique élégiaque grec du VIe siècle av. J.-C., actif vers 540 av. J.-C., longtemps considéré à tort comme un moraliste. Plus de la moitié des poèmes élégiaques conservés avant la période hellénistique sont contenus dans les 1400 vers attribués à Théognis. Poète didactique avec qui l'élégie prend un ton politique et moral, Théognis a pour interlocuteur le jeune noble Cyrnos, fils de Polypas, auquel il dévoile ses préceptes politiques et moraux.
Aristote rapporte comme un proverbe que Théognis soutenait que l'on peut retirer quelque entraînement à la vertu de la vie en compagnie des hommes dans ses vers : Des gens de bien viennent les bonnes manières.
- Poètes Elegiaques, Bratelli, Gerhard, - L'age des amours, Genre et réciprocité érotique en Grèce archaïque, Boehringer & Caciagli, 2015 ou ici, |
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THEON de Smyrne | - Théon de Smyrne, dit aussi Théon l'Ancien, est un maître d'école platonicien du IIe siècle ; il aurait vécu sous le règne de l’empereur Hadrien, de 70 env. à 135 env. avec deux repères chronologiques : Théon cite Thrasylle qui vivait sous Tibère, et Ptolémée (90-168) lui attribue des observations des planètes Mercure et Vénus réalisées de 129 à 132. HADRIEN |
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THEOPHANE le confesseur |
- Théophane le Confesseur (en grec : Θεοφάνης ὁ Ὁμολογητής / Theophánês ho Homologêtếs ; né en 759 (selon la biographie rédigée par Méthode) à Constantinople et mort en 817 ou 818 à Samothrace) est un aristocrate byzantin, moine, théologien et chroniqueur, surtout connu comme l’auteur d’une importante Chronographie. Considéré comme saint tant par l’Église catholique que par l’Église orthodoxe, on le vénère le 12 mars, jour probable de sa mort, dans la première et le 25 mars (calendrier julien) dans la seconde.
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THEOPHILE d'Antioche | - Théophile fut, au IIe siècle, le septième évêque de l'Église d'Antioche.
Il est connu par quelques notices anciennes, ainsi que par le seul de ses traités — une apologie — qui a été préservé : le Traité à Autolycus. De tous les apologètes du IIe siècle dont les textes ont été conservés (Aristide, Justin le Philosophe, Tatien, Athénagore), Théophile est un des seuls à avoir été évêque avec Méliton de Sardes. source et suite sur wikipedia, - L I, Le dieu chrétien; L II, Supériorité des auteurs sacrés sur les profanes; L III, Antériorité des Livres sacrés sur les auteurs profanes : à Autolyque, sur remacle, Un « ami » païen nommé Autolycus lui ayant vanté la gloire des dieux et de leurs statues, et lui reprochant vigoureusement de se dire chrétien, Théophile répond par un trois livres successifs. Son objectif est de démontrer que la foi des chrétiens en un Dieu invisible, irreprésentable, n'est pas une innovation déraisonnable, mais s'appuie au contraire sur une sagesse de la plus haute antiquité, ayant sa source en Dieu même. Aussi va-t-il s'employer à présenter ce Dieu créateur de l'univers, sage législateur de l'humanité en se fondant sur des écrits qui ne sont ni récents, ni légendaires (III. 1 ; cf. III. 16). source wikipedia, - Commentaire de la parabole de l'économe infidèle, sur remacle, |
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THEOPHRASTE | Théophraste (en grec ancien Θεόφραστος / Théophrastos) est un philosophe de la Grèce antique né vers -371 à Eresós1 (Lesbos) et mort vers -288 à Athènes. Élève d’Aristote, il fut le premier scholarque du Lycée, de -322 à sa mort ; botaniste et naturaliste, polygraphe ou encore alchimiste. Selon Théophraste, l’ambition légitime du savant est de parvenir, malgré les obstacles et les difficultés, à énoncer les causes de ce qu’il constate et analyse, à quoi il ne parvient qu’en manifestant à l'égard des théories générales une attitude critique qui le conduit à accumuler les observations, recourir à l’analogie et construire de nouvelles hypothèses, si c’est pertinent ; l’aporie dans l’utilisation d’une théorie impose la recherche. Il faut exhorter les hommes à acquérir plutôt de la science qu'à compter sur les richesses. Fils du foulon Mélantas, de Lesbos, il naquit le 5 de Hécatombeion dans la CIIe Olympiade et se nommait Tyrtamos de son véritable nom ; c’est Aristote qui le surnomma « Théophrastos », « divin parleur ». Diogène Laërce affirme que Théophraste a été disciple de Platon. Selon l’historien de la philosophie et philologue Werner Jaeger, il est possible mais peu vraisemblable qu'il ait suivi les cours de Platon à Athènes ; il est plus probable qu’il ait rejoint Aristote et d’autres membres de l’Académie depuis Lesbos à Assos, où ce dernier s’était installé auprès d’Hermias en -347. L’école péripatéticienne, comme association légale reconnue par la cité, a été fondée non par Aristote qui était métèque, mais par Théophraste à qui il légua ses biens dans un testament que l’on possède encore. L’école devient alors une association cultuelle. Après la bataille de Chéronée, Théophraste revient à Athènes ; Aristote y a déjà ouvert son école au Lycée et Théophraste y suit les cours de son ancien condisciple, à qui il succède en -322 lorsqu’Aristote part pour Chalcis. En -317, le philosophe Démétrios de Phalère gouverne Athènes et concède à Théophraste, dont il fut l’élève, le droit de posséder des biens immobiliers, bien qu’il soit métèque comme son prédécesseur. Théophraste achète un jardin où il organise l’école aristotélicienne sur le modèle de celle de Platon, fondation qui a pour but la concrétisation de la vie contemplative et spéculative : outre un sanctuaire des Muses, le jardin comprend un grand portique avec des cartes géographiques en pierreet plusieurs salles de cours. En -307, Athènes est prise par Démétrios Poliorcète pendant près de trois ans, et la chute de Démétrios de Phalère entraîne la persécution des philosophes : les écoles de philosophie sont visées par une loi d’un certain Sophocle de Sounion interdisant aux philosophes de tenir école sans le consentement du peuple et de la Boulè, sous peine de mort. la suite sur wikipedia, - THE -les caractères (Site ucl) source et suite sur remacle,
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THEOPISTE | - ? Theopistus [qui a confiance en Dieu, en grec, martyr à Rome, honoré le 1er novembre - - Théopiste nous raconte à sa manière les préliminaires du concile de Chalcédoine, la mort de Théodose le jeune et l'avènement de Marcien (392-457) puis la convocation du concile, le départ de Dioscore pour Constantinople, son arrivée, la première visite à l'empereur, les intrigues qui précédèrent la réunion du concile, la première session, les causes de la déposition de Dioscore, les efforts de celui-ci pour ramener certains évêques qui l'abandonnaient, en particulier Juvénal de Jérusalem, et Léontios d'Ascalon, ensuite son exil, sa vie, ses miracles et ses souffrances à Gangres où il reçut la visite de Paphnutios, supérieur des moines de Pacôme, et enfin sa mort le 4septembre (454). - DIO - Histoire de DIOSCORE (traduit du syriaque). source remacle, Dioscore, hérésiarque monophysite, patriarche d'Alexandrie» succéda à S. Cyrille en 444, fut déposé au concile de Chalcédoine en 451, et mourut le 4 septembre 454. C'était l'époque des controverses autour du mystère de l'Incarnation. |
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THEOPOMPE | - (en grec ancien Θεόπομπος / Theópompos), né à Chios en 403 av. J.-C.1 ou en 378 av. J.-C.2 est un historien, homme politique et orateur grec 3. Il est mort vers 320 av. J.-C
La guerre vient d'être portée dans l’Hellespont, où déjà la bataille de Cynossèma a été livrée. A Athènes, où le gouvernement est aux mains de Théramène et de ses amis, on a repris courage à la nouvelle de cette victoire. Les Etats d'Occident n'ont pas encore été inquiétés par Carthage, et laissent leurs vaisseaux en Orient. Livre I. Départ des forces navales, jusque là postées en Eubée, pour l’Hellespont (Diod. XIII, 41); bataille d'Abydos ; Alcibiade chez Tissapherne ; pénurie de la flotte athénienne; Théramène dans les îles et en Macédoine (Diod. XIII, 47, 49) source et suite sur remacle, |
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THORA | voir TORAH ci-dessous | ||||||||||||||||||||||
THUCYDIDE | Thucydide (en grec ancien Θουκυδίδης / Thoukudídès) est un homme politique, stratège et historien athénien, né vers 465 av. J.-C dans le dème d'Halimunte (Attique), mort, peut-être assassiné, entre 400 et 395 av. J.-C. Il est l’auteur de La Guerre du Péloponnèse, récit d'un conflit athéno-spartiate qui se déroula entre 431 av. J.-C. et 404 av. J.-C. Thucydide est le fils d'un eupatride (aristocrate) athénien nommé Oloros. Sa famille est probablement apparentée à celle de Cimon. Elle bénéficie également d'une fortune considérable. Le père de Thucydide possédait des mines d'or en Thrace et des forêts sur le mont Pangée. On estime sa date de naissance à 460 av. J.-C., grâce à un commentaire de Pamphila. Selon Lucien de Samosate et la Souda, Thucydide enfant assista à une lecture faite par Hérodote de son œuvre, lors des Jeux olympiques : sans doute cette tradition représente-t-elle une manière symbolique de rendre hommage à son prédécesseur — celui que l'on surnomme le « père de l'Histoire ». Cependant, ainsi que l'a remarqué l'historien Alexis Pierron en 1881, « Thucydide n'admirait que médiocrement le livre d'Hérodote. Il reproche même assez rudement au vieil historien d'avoir eu en vue le plaisir du lecteur plus que son utilité, et d'avoir sacrifié trop souvent à l'amour du merveilleux. Durant ses trente premières années, Thucydide a dû se préparer aux charges gouvernementales qui allaient lui incomber, mais sa vie se situe entre deux moments extrêmes de l'histoire d'Athènes : entre la splendeur des années triomphantes du milieu du Ve siècle av. J.-C. et le dernier quart du siècle, où la cité sort exsangue et humiliée de l'occupation spartiate. ...... lire la suite sur wikipedia,
L’œuvre comprend huit livres :
- cosmovisions, Il commença par l'Éthiopie, au-dessus de l'Égypte, descendit dans l'Égypte et dans la Libye, gagna plusieurs provinces des États du roi, et soudain fondit sur Athènes. Ses premières victimes furent des habitants du Pirée. Ils allaient jusqu'à dire que les Péloponnésiens avaient sans doute empoisonné les puits, car il n'existait pas encore de fontaines dans ce quartier. Le mal se répandit ensuite dans la ville haute, et ce fut alors qu'il exerça de plus grands ravages. .... " suite sur comovisions, - PEL - Guerre du Péloponnèse (traduction française)
- La guerre du Péloponnèse, tome 1 , format PDF, (17 Mo), traduction VOILQUIN.J,
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TIBULLE | Tibulle (en latin Albius Tibullus), né vers 54 ou 50 av. J.-C. et mort en 19-18 av. J.-C., est un poète romain élégiaque. Avec Virgile et Horace, c'est un des inventeurs de la poésie champêtre. Il naît vers 50 av. J.-C. dans une famille équestre (riches chevaliers) campagnarde et aisée, mais dont la fortune avait été sérieusement écornée par les redistributions de terres aux vétérans en 41 av. J.-C., mesure qui toucha également Virgile, Horace et Properce. La propriété familiale se situait sur le territoire de Pedum, entre Tibur et Préneste. On suppose qu’il perdit son père dès sa plus jeune enfance et qu’il fut élevé entre sa mère et sa sœur. Tibulle était l'un des poètes les plus distingués du siècle d'Auguste. Marcus Valerius Messalla Corvinus fut son protecteur constant et fit de lui un des favoris de son cercle. Tibulle prit part aux deux expéditions militaires menées par Messalla en Gaule et en Orient. Son amitié avec Horace est attestée par ... suite sur wikipedia, une lecture attentive de Tibulle montre un autre aspect de sa personnalité. Il peut être aussi violent, blasphémateur, grossier et vulgaire. sur wikidia, - Élégies , Latin +Français (format PDF avec "Image sur texte", 5 Mo), sur ugo.bratelli, - Tibulle, L' Amour (Petit traité sur ..) ! présentation traduction, remacle, - Elégies & Poésies & +, sur remacle, Tibulle a chanté trois maîtresses. La plus connue, celle peut-être qui lui a inspiré ses plus belles élégies, est la célèbre Délie, dont le véritable nom était Plautie, suivant les uns, Plancie, Planie ou Fulvie, suivant les autres. Elle était affranchie, comme l'indiquent deux vers, dont quelques traducteurs français n'ont pas saisi le sens. (Voyez liv. I, élégie VI ; Sit modo casta doce, etc.) Que j'aime alors, au bruit de l'orage en furie, A presser sur mon cœur ma maîtresse chérie ! Que j'aime à prolonger mon tranquille sommeil, Si, mollement couché, j'entends, à mon réveil, La pluie en murmurant tomber sur le feuillage ! ..... suite sur remacle, à propos de Tibulle et d'Horace, M.RENARD, Persée, |
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TIMEE de LOCRE |
- Timée de Locres serait un philosophe pythagoricien originaire de la cité de Locri Epizefiri en Calabre, qui aurait vécu au Ve siècle av. J.-C.. -La seule source de renseignements sur sa vie est Platon dans son Timée :
Il est aussi un interlocuteur du dialogue de Platon sur l'Atlantide, le Critias Cicéron rapporte qu'il était un intime de Platon : .... - Le Pseudo-Timée de Locres date, selon M. Baltes4 du Ier siècle av. J.-C., il appartenait au cercle d'Eudore d'Alexandrie, dont l'acmé se situe en 25 av. J.-C. Par contre, H. Thesleffle situe au IIIe – IIe siècle av. J.-C., en Italie méridionale.On lui doit un Traité de l'Âme du monde et de la Nature6, dont il reste des fragments, édités par H. Thesleff dans The Pythagorean Texts of the Hellenistic Period7. Le traité, qui réinterprète le dialogue de Platon Timée à la lumière de l'ancienne Académie platonicienne (Speusippe, Xénocrate) et d'Aristote, admet deux Causes : l'Esprit (Noûs) et la Nécessité (Anangkê). Il établit l'analogie entre qualités physiques et vertus morales :
Ce traité se distingue du traité Sur la nature de l'univers du Pseudo-Ocellos, lui aussi pythagoricien et pseudépigraphe. source et suite sur wikipedia, |
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TITE-LIVE | (59-17 avant J.C.) Historien spécialiste d'histoire romaine. L’œuvre principale de Tite-Live, intitulée Ab Urbe condita libri (en français : Histoire de Rome depuis sa fondation), était à l’origine un recueil de 144 livres(sur 150 prévus) qui lui valut une célébrité immédiate. Cependant, seuls 35 livres sont parvenus jusqu’à nous. Les livres relatant l’histoire de Rome pendant les années 292 av. J.-C. à 218 av. J.-C. (74 ans) , et ceux couvrant la période allant de 166 av. J.-C. à 6 av. J.-C., ont disparu. Ils ne nous sont connus que par des fragments et des abrégés (appelés periochae), sortes de tables des matières plus ou moins détaillées, à distinguer d'éventuels résumés ou epitomae (qui ont dû exister mais dont les periochae ne semblent pas issues). Histoire de Rome depuis sa fondation est écrite à partir de 31 av. J.-C. et est paru progressivement, en fascicules peu avant ou en 29 av. J.-C. Auguste se servira de ces livres pour renforcer son pouvoir. Tite-Live connut de son vivant un succès qui dépassait les limites de l'Italie, comme l'atteste l'anecdote de Pline le Jeune sur un habitant de Gadès (Cadix) qui entreprit de venir à Rome pour le voir. suite sur wikipedia, - TITE-LIVE, Ab Urbe Condita, Histoire romaine, SPQR, Tout de l'oeuvre connue de Tite-Live, sur remacle, Aurai-je lieu de m'applaudir de ce que j'ai voulu faire, si j'entreprends d'écrire l'histoire du peuple romain depuis son origine ? Je l'ignore; et si je le savais, je n'oserais le dire, (2) surtout quand je considère combien les faits sont loin de nous, combien ils sont connus, grâce à cette foule d'écrivains sans cesse renaissants, qui se flattent, ou de les présenter avec plus de certitude, ou d'effacer, par la supériorité de leur style, l'âpre simplicité de nos premiers historiens. (3) Quoi qu'il en soit, j'aurai du moins le plaisir d'avoir aidé, pour ma part, à perpétuer la mémoire des grandes choses accomplies par le premier peuple de la terre; et si parmi tant d'écrivains mon nom se trouve perdu, l'éclat et la grandeur de ceux qui m'auront éclipsé serviront à me consoler. C'est d'ailleurs un ouvrage immense que celui qui, embrassant une période de plus de sept cents années, et prenant pour point de départ les plus faibles commencements de Rome, la suit dans ses progrès jusqu'à cette dernière époque où elle commence à plier sous le faix de sa propre grandeur : je crains encore que les origines de Rome et les temps les plus voisins de sa naissance n'offrent que peu d'attraits à la plupart des lecteurs, impatients d'arriver à ces derniers temps, où cette puissance, dès longtemps souveraine, tourne ses forces contre elle-même ... Préface, Bio-Biblio-gaphies, + Table d'analyses ....sur remacle, : Tite-Live ne pouvait songer à consulter des archives ou des documents originaux, en effet en l’an -390 Rome avait été saccagée par les Gaulois et la plupart des documents remontant avant cette période avaient disparu. En ce qui concerne la période suivante la difficulté provenait du fait que les archives publiques étaient largement dispersées (ce n’est qu’en l’an –78 qu’elles seront rassemblées) et que les archives privées, que détenaient les grandes familles, pouvaient être soupçonnées de partialité, d’ailleurs même les documents officiels n’étaient pas exempts de tout reproche à ce niveau. - Histoire romaine, D.NISARD, sur wikisource, Livres I à CXLII - Histoire romaine, sources diverses, sur ucl.ac.be, Livres I à XLV - PERIOCHAE ou Histoire romaine, sur wikisource,
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TORAH | - La Torah ou Thora (en hébreu תּוֹרָה, « instruction » ; en grec ancien Νόμος — Nomos —, « Loi ») est, selon la tradition du judaïsme, l'enseignement divin transmis par Dieu à Moïse (תּוֹרַת־מֹשֶׁה – Tōraṯ Mōshe) sur le mont Sinaï et retransmis au travers de ses cinq livres (hébreu : חמשה חומשי תורה – Ḥamishā Ḥoumshē Tōrā) ainsi que l'ensemble des enseignements qui en découlent.
Elle est composée de cinq livres désignés en hébreu par un des premiers mots du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Berēshīṯ : Au Commencement), l'Exode (Shemōṯ : Noms), le Lévitique (Wayyiqrā : Et il appela), les Nombres (Bamiḏbar : Dans le désert) et le Deutéronome (Devarim : Paroles). Le christianisme appelle Pentateuque les livres traditionnellement attribués à Moïse, terme d'origine grecque Πεντάτευχος qui signifie « Les cinq livres ». Il les reconnaît comme faisant intégralement partie des Écritures canoniques (« Ancien Testament »), bien qu'il en ait partiellement abandonné les préceptes rituels et qu'il ne reconnaisse pas d'autorité aux enseignements rabbiniques. Le christianisme soutient en effet que le message du Christ diffusé par le Nouveau Testament conduit à l'accomplissement de la Torah (Matthieu 5, 17-20), désormais objet d'une observance intériorisée et d'une interprétation allégorique, comme l'attestent les écrits de Paul de Tarse dès le milieu du Ier siècle (Première épître aux Corinthiens). La Torah est aussi reconnue par l'islam, selon lequel elle aurait cependant été falsifiée. source et suite sur wikipedia, Apparaissant près de 7 000 fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère en hébreu : היה (HYH, « être »). Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le IIIe siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane. - Kabbale, ses mystères; par LEVY Eliphas, /Arbre d'or edition ebook & pour les chants religieux "juifs" de toute beauté consulter et écouter les chants proposés sur Gaogoa : - Lire item DEMETRIOS de Phalère ... Il fut, selon la lettre d'Aristée, à l'initiative de la Septante auprès de Ptolémée II. |
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Moyen Orient | Pour essayer de comprendre (est-ce possible !?), de démêler et de former Le Noeud " Moyen Oriental" !!? Passer d'une CHAINE(S) à Un CHAINOEUD, à peine noué !
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Pêle-Mêle | |||||||||||||||||||||||
-Histoire du judaïsme à l'époque héllénistique et romaine, Katell BERTHELOT 2015 - Les écrits de Qumrân dans le monde juif du1er siècle de notre ère; bnf, - Sykes-Picot, wiki, - L'Empire Ottoman, Anne-Lucie CHAIGNE-OUDIN, lesclefsdumoyenorient, - sur l'étoile de David, wiki, - sur les couleurs Panarabes, wiki, - sur le drapeau de la Palestine, , wiki, - voir Rusticitas, sur Gaogoa.... - Voir Bibliographie Islam .. sur Gaogoa |
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Ruines : De l'an 117 à 138, l'Empereur HADRIEN édifiait à Tibur, la Villa "Hadriana" & dans le même temps de 132 à 135, écrasait la révolte " juive " menée par Bar KOKHBA opposée à la construction d'un Temple dédié à JUPITER Capitolin sur les ruines du Temple d'HERODE (2eme Temple) lui même déruit en 70 par TITUS. (Le premier Temple fut détruit par NABUCHODONOSOR II (1, 2) en 587 av J-C). Jérusalem fut alors rasée (après 135) pour l'édification d'une nouvelle ville romaine Colonia Ælia Capitolina. Seuls vestiges du Temple d'HERODE : Le Mur des Lamentations, ?, un réseau de souterrains et deux inscriptions, celle de Soreg et celle de "l'emplacement de la trompette". |
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TRIADES CELTIQUES |
- Triades indo-européennes, wikipedia,
- Les traditions celtiques, Robert AMBELAIN, doctrine initiatique de l'Occident, édition dangles, Bayard, 1977.
au sujet des aphorismes : voir Items : DRUIDE, MABINOGION, TRIADES CELTIQUES, APHORISMES, BIBLIOGRAPHIE, |
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TRYPHIODORE | - Tryphiodore ou Triphiodore (en grec ancien Τρυφιόδωρος / Tryphiódôros) est un poète épique et grammairien égyptien du IVe siècle, écrivant en grec ancien.
La prise de Troie est non seulement un des thèmes les plus répandus, mais aussi les plus anciens de la littérature grecque, puisqu’il est vraisemblablement antérieur à Homère. Si l’histoire relatée dans La Prise d’Ilion est célèbre, il n’en va pas de même pour son auteur. Outre La Prise d’Ilion, il composa également La Paraphrase des comparaisons homériques et Hippodamie. Il est l'auteur d'une Prise d’Ilion (Ἰλίου Ἅλωσις / Ilíou Halôsis), longue de 691 hexamètres dactyliques1, inspirée des épopées du Cycle troyen, contant le stratagème du cheval de Troie et le sac de la ville. Il écrit aussi une Odyssée lipogrammatique qui, selon Émile Littré « n'avait pas d'a dans le premier chant, point de b dans le second, et ainsi des autres »2,3. Avec Nonnos de Panopolis, Musée ou encore Palladas, il fait partie d'un courant de lettrés égyptiens, férus de poésie grecque — le philosophe Eunapios de Sardes, dans ses Vies des philosophies et des sophistes, parle même d'« engouement insensé ». source et suite sur remacle, |
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TROGUE-POMPEE | - historien latin du Ier siècle av. J.-C. Trogue-Pompée (Pompeius Trogus) était d'origine gauloise. Son grand-père avait été fait citoyen romain par Pompée; son père avait été secrétaire de César. Lui-même vécut sans doute à Rome; il mourut probablement sous le règne d'Auguste. On ne sait rien de lui, sinon qu'il avait composé un grand ouvrage historique en 44 livres, sous le titre de : Liber Historiarum Philippicarum. Le sujet essentiel de cet ouvrage était l'histoire de la monarchie macédonienne; l'auteur en étudiait les origines, les progrès, l'apogée, la décadence et la ruine.
En outre, il avait rattaché à cette histoire l'histoire de tous les Etats et de toutes les nations qui avaient été en rapport avec la Macédoine. Aussi les Historiae Philippicae étaient-elles en fait une véritable histoire universelle. Cet ouvrage est aujourd'hui perdu.
- Abrégé des Histoires Phillipiques de Trogue Pompée, Arnaud-Lindet, forumromanum, - Traduction de l'histoire universelle de Trogues Pompée, par Justin, sur remacle, - Mithridate par Justin de l'Abréé de Trogue-Pompée, et pages suivantes.....
source et suite sur wikipedia, |
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TYRTEE | - Tyrtée (en grec ancien Τυρταῖος / Tyrtaĩos) est le poète officiel de Sparte au VIIe siècle av. J.-C.et l'auteur d'une forme poétique nouvelle que l'on appelle l'élégie ancienne ; il s'agit de chants guerriers à portée éducative, connus sous le nom d’Exhortations, et inégalement conservés.
source remacle, |
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U | |||||||||||||||||||||||
Ur-Nammu | Le Code d'Ur-Nammu est la plus ancienne tablette contenant un code juridique qui nous soit parvenue. Elle fut rédigée en sumérien vers 2100-2050 av. J.-C., à l'époque de la troisième dynastie d'Ur. Bien que le préambule attribue directement les lois au souverain Ur-Nammu de la cité d'Ur (2112-2095 av. J.-C.), certains historiens estiment qu'ils pourrait s'agir de l'œuvre de son fils Shulgi. Le premier exemplaire du code fut découvert en deux fragments à Nippur, puis fut traduit par Samuel Kramer en 1952. L'état partiellement détruit de l'exemplaire ne permit de lire que le prologue ainsi que seulement cinq lois1. Des tablettes furent ensuite trouvées à Ur puis traduites en 1965 permettant la reconstitution de près de 40 des 57 lois que comprend le texte2. Un autre exemplaire découvert à Sippar contient de légères variantes. Les lois sont exprimées sous la forme casuistique : si (un crime est commis), alors (un châtiment est appliqué). Il s'agit là d'un modèle qui sera par la suite imité dans les codes suivants. Pour l'un des plus anciens codes juridiques connus, l'avancée est remarquable. Il institue, par exemple, une forme de compensation financière en cas d'atteinte physique, que l'on peut opposer à la loi du Talion (« œil pour œil, dent pour dent ») principe de base du droit babylonien. Les actes de meurtre, vol, adultère et viol restent cependant punis de la peine capitale. Le code révèle ainsi un aperçu de l'ordre social en place au cours de la « Renaissance sumérienne ». En dehors du lu-gal ("le grand homme" ou le roi), les membres de la société étaient divisés en deux grandes catégories sociales : les "lu" ou hommes libres, et les esclaves (arad au masculin, geme au féminin). Le fils d'un lu était appelé dumu-nita jusqu'à son mariage où il devenait un "jeune homme" (gurus). Une femme (munus) passait du statut de fille (dumu-mi) à celui d'épouse (dam). Si elle venait à perdre son mari, une veuve (nu-ma-su) pouvait se remarier. Contenu :
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V, | |||||||||||||||||||||||
VAKHTANG V | -Vakhtang V (né en 1618 - mort en septembre 1676 à Khoskaro ; en géorgien ვახტანგ V), aussi connu comme Chah Navaz Khan (en persan : شاه نواز خان) est un monarque du royaume géorgien de Karthli, un prince de Moukhran sous les noms de Vakhtang II et Bakhouta Beg, et un homme politique de la Perse séfévide de la dynastie des Bagration de Moukhran. Il est le premier roi de Karthli représentant la branche cadette des Bagrations de Moukhran, une lignée qui dirige Tbilissi jusqu'en 1746. Il est également l'ancêtre paternel de monarques de Kakhétie et d'Iméréthie et de nombreux princes russo-géorgiens, dont Piotr Ivanovitch Bagration. Allié du gouvernement pro-persan de Tbilissi, il est nommé héritier par le roi sans enfant Rostom Khan en 1653 et doit se convertir à l'islam avant de devenir administrateur du royaume de Karthli. Durant ses cinq ans de régence, il tente en vain de s'allier avec la puissante noblesse géorgienne, qui n'est unie que par Rostom. Cette noblesse se rebelle dès son accession au trône en 1659. Il règne comme un monarque du royaume chrétien de Karthli, mais n'est reconnu sur la scène internationale que comme un wali de la Perse séfévide. ....source et suite sur wikipedia, - VAKHTANG V, roi de Géorgie (ou plutôt du K'harthel, qui en est la principale partie), de la race des Bagratides, était fils du roi Livon ou Léon, et petit-fils de Vakhtang IV. Il régna, l'an 1703, après son oncle Kaï Khosrou, fils et successeur de George XII, par le choix de son suzerain, le roi de Perse, Chah Houcein ; mais ayant refusé d'embrasser l'islamisme, il fut remplacé, en 1711, par son frère Iesseï. Après la confusion des langues, Nebrod (2642 ans avant J. C. était sur le trône de Babylone, et les hommes se dispersaient partout. Alors Thargamos s’expatria avec sa famille et alla habiter le pays situé entre les monts d’Ararat et de Masisi. Sa postérité fut grande et innombrable, car il avait beaucoup de femmes, de fils et de filles, qui lui avaient donné des petits-fils et des arrières petits-fils. Il y vécut pendant six cents ans; mais ses descendants, qui n’avaient plus de place entre les monts Ararat et Masisi, s’étendirent dans toute la contrée voisine.Les limites de leurs habitations étaient celles-ci : A l’orient, ils avaient la mer de Gourgan, qu’on appelle à présent la mer de Gilan (Caspienne); à l’ouest, la mer du Pontos, nommée actuellement la mer Noire; au sud les montagnes de Orethi, dans le pays des Kurth (Kurdes), vers Midià (la Médie); au nord, le mont K’avk’as, appelé par les Persans Yal-bouz source remacle, |
Dato Kenchiashvili, "Taoba" - Arxotis Casavit (Tbilisi Concert Hall 2018)
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VALERE Maxime | Valère Maxime ou Valerius Maximus est un historien et moraliste romain du Ier siècle apr. J.-C., contemporain de l'empereur romain Tibère. Né sans doute à la fin du ~ Ier siècle, Valère Maxime sert en Asie sous les ordres de Sextus Pompée, puis est consul en 14, l'année où meurt Auguste. Bien vu à la cour de Tibère, il se consacre à l'étude de l'histoire romaine sous l'angle moral et il compose un recueil Des faits et des paroles mémorables (Factorum dictorum que memorabilium, libri IX) dédié à l'empereur. Cet ouvrage de compilation rapporte de petits faits de l'histoire, des curiosités de la civilisation romaine et des événements oubliés qu'on ne retrouve nulle part ailleurs. Critiquant le vice, louant la vertu, Valère Maxime trace, à partir d'exemples pittoresques, un portrait psychologique et moral du Romain, parfois savoureux. Cependant, son absence de sens critique incite à considérer avec prudence les nombreuses anecdotes, toujours passionnantes, de son œuvre, qui n'en reste pas moins une source précieuse.
VALERE.M :
- Oeuvres complètes de Valère MAXIME : sur remacle, Livre I : De la religion, .... |
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VARRON | en latin Marcus Terentius Varro Écrivain latin Issu d'une famille noble sabine. Lieutenant de Pompée, il se réconcilie avec César qui le charge d'organiser la première bibliothèque publique de Rome. De son œuvre abondante, touchant à la grammaire, à l'histoire, au droit, à la technique et à la philosophie, il ne reste que des fragments des Satires Ménippées, d'un traité de grammaire (De lingua latina), les trois livres d'un manuel d'agriculture (Rerum rusticarum libri III) et un ouvrage sur l'archéologie (Des antiquités). Il est l'auteur de près de 600 volumes, mais seule une cinquantaine nous est parvenue en plusieurs fragments, alors que la seule œuvre complète est le De re rustica. Cette œuvre est considérée comme une importante contribution au développement des encyclopédies, en raison de l'idée très claire que Varron se faisait de l'organisation du savoir. Ainsi, les Disciplinarum consacraient chaque livre à un sujet distinct, en l'occurrence les sept arts libéraux. Sentences, Macrobe, Agronomes, sur remacle, Sentences : VII. 23. Ce sophiste habile à discuter sur les mots, c’est le chien qui pour toute proie cherche à saisir le vent. 24. Celui qui n’écoute que pour répéter, n’égalera jamais son maître. 25. Science empruntée est un fondement mal assuré. 26. Le plus grand obstacle à nos progrès dans la science, c’est la défiance de nous-mêmes. 27. Savoir à demi, c’est ne pas savoir. |
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VARTAN | - Vardan Areveltsi (en arménien Վարդան Արևելցի ; ca. 1200-1271), également Vardan Gandzaketsi (Vardan de Gandzak), Aghvanits Vardan (Vardan d'Aghbanie), Vardan Kiliketsi (Vardan de Cilicie), Vardan Mets (Vardan le Grand), Vardan Patmich (Vardan l'Historien), Vardan Vardapet, ou Vardan l'Oriental, est un historien, géographe, philosophe et traducteur arménien du XIIIe siècle.
Il est connu pour avoir fondé plusieurs écoles et monastères, pour sa riche contribution à la littérature arménienne, et pour son Histoire universelle, une des premières tentatives par un historien arménien de rédiger une histoire mondiale - Vartan est, sans contredit, l'un des écrivains les plus savants qu'ait produits la littérature arménienne, l'un de ceux dont l'érudition s'est exercée sur un plus grand nombre de sujets. Tour à tour théologien et commentateur de l'Écriture sainte ou poète sacré, il se recommande surtout à nous par la composition historique à laquelle il a attaché son nom; c'est un abrégé de l'Histoire universelle, commençant à la création du monde, et finissant à l'année 718 de l'ère arménienne, ou 1269 de Jésus-Christ. - L’auteur qui m’a fourni le fragment suivant est l’un des plus savants qu’ait produits la littérature arménienne, l’un de ceux dont l’érudition s’est exercée sur le plus grand nombre de sujets. Tour à tour théologien et commentateur de l’Écriture sainte, fabuliste et poète sacré, il se recommande surtout à nous par la composition historique à laquelle il a attaché son nom. C’est un abrégé de l’histoire universelle, commençant à la création du monde, et finissant à l’année 718 de l’ère arménienne, ou 1269 de J. C. Les sources auxquelles Vartan a puisé n’y sont point indiquées nominativement; mais, en examinant de près le caractère de sa narration, on peut conjecturer qu’il a dû mettre à contribution d’abord les historiens syriens, et quelquefois, mais plus rarement, les byzantins, parmi lesquels... - source et suite wikipedia, - HIS - EXTRAIT DE L'HISTOIRE UNIVERSELLE - Vers cette époque (612 de l'ère arméniennes: 11 février 1163 — 12 février 1164), le siège patriarcal d'Arménie fut transféré dans une foule de lieux différents: à Garmir-vank', à Schough'r, à Dzovk’; enfin il fut fixé à Hrom-Gla. Cette forteresse avait été ainsi nommée, dit-on, d'un moine romain (grec) qui résidait dans ce lieu. Les musulmans la lui enlevèrent, et le prince Kogh-Vasil la conquit sur ces derniers : ensuite elle fut prise par les Francs, [Josselin le Jeune,] seigneur de Hrom-Gla, étant allé à la chasse, tomba dans une embuscade et fut fait prisonnier par les musulmans, qui le traînèrent à Alep, où il mourut. Sa femme, qui résidait à Hrom-Gla, envoya à Dzovk', et, ayant fait venir le patriarche arménien, lui remit la forteresse, en lui disant: « J'ai laissé un fils de l'autre côté de la mer (en Europe), chez mes parents; je m'en retourne, et s'il est encore en vie, je te l'enverrai, et, comme un fidèle dépositaire, tu lui remettras la place; s'il ne vient pas, il vaut mieux... source remacle, |
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Vers Dorés | - voir Pythagore, - voir Hiéroclès d'Alexandrie dit Hiéroclès le Pythagoricien ou Hierocles Platonicus, I Révère les dieux immortels. C’est ton premier devoir. Honore-les comme il est ordonné par la loi. .....
Vers d'Or, philiki, Les vers d'or, source google,
Lysis de Tarente serait l'auteur des Vers dorés, souce wikiwand, voir item ci dessus |
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VELLEIUS PATERCULUS | - Velleius Paterculus (v. 19 av. J.-C. – v. 31 ap. J.-C.) est un historien romain. Son prénom serait Marcus selon Priscien1, un grammairien du VIe siècle, ou Publius selon une conjecture de Rhenanus, ou Caius selon le début de l'édition princeps. - Velleius Paterculus fit ses premières armes comme tribun militaire en Thrace et en Macédoine. Il passa ensuite, toujours comme tribun, dans l'armée de Caïus Cesar (fils d'Agrippa et petit-fils d'Auguste) avec laquelle il fit campagne contre les Parthes en Arménie4. En 4 ap. J.-C., il succèda à son père comme préfet d'une aile de cavalerie dans l'armée de Tibère5 et prit part avec lui pendant neuf ans aux guerres de Pannonie, de Dalmatie et de Germanie. Oeuvres : - Histoire romaine sur remacle, Livre I, Livre II,
- sur ucl ac, Présentation des textes, par HANNICK J-M, vie, oeuvre, bibliographie, Textes choisis... |
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VICTOR Aurelius | - à préciser, clarifier .... - voir archive ouverte, Le principat d'Hadrien ???? de Alberto GIUDICE, .pdf |
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VIRGILE | Virgile, en latin Publius Vergilius Maro (né vers le 15 octobre 70 av. J.-C. à Andes, dans l'actuelle Lombardie et mort le 21 septembre 19 av. J.-C. à Brindes dans le Sud), est un poète latin contemporain de la fin de la République romaine et du début du règne de l'empereur Auguste. Son œuvre, notamment ses trois grands ouvrages qui représentent chacun un modèle dans leur style (L'Énéide en style noble, Les Bucoliques en style bas (ou humble) et Les Géorgiques en style moyen), est considérée comme une quintessence de la langue et de la littérature latine, ayant servi de référence et même d'idéal esthétique pour des générations de lettrés européens, en particulier chez les défenseurs du classicisme. -wikipedia, - voir 2 eme Bucoliques, Virgile : - Enéide, Livre IX Légende de Nisus et Euryale, les exploits de deux guerriers, un homme et un éphèbe dont l'amour soutient l'héroïsme. les thèmes valorisés : source Fernandez.D, L'Amour qui ose dire son nom, Stock; p 36 à 43
Traduction de l'oeuvre de VIRGILE, source remacle, |
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VITRUVE | Marcus Vitruvius Pollio, connu sous le nom de Vitruve, est un architecte romain qui vécut au Ier siècle av. J.-C. (on situe sa naissance aux alentours de 90 av. J.-C. et sa mort vers 15 av. J.-C.1). Son prénom Marcus et son surnom (cognomen) Pollio sont eux-mêmes incertains. C'est de son traité, De architectura, que nous vient l’essentiel des connaissances sur les techniques de construction de l'Antiquité classique. Après avoir été soldat en Gaule, en Espagne et en Grèce, constructeur de machines de guerre2, Vitruve devient architecte à Rome. Il nous dit de lui-même qu’il n’est pas grand, et se plaint des affres de l’âge3. Sa prose, à la fois technique et imagée, comporte essentiellement des phrases brèves, et son vocabulaire paraît avoir été celui des artisans. Le seul bâtiment, cependant, que nous savons être attribué à Vitruve est une basilique achevée en 19 av. J.-C.. Elle a été construite à Fanum Fortunae, aujourd’hui la ville moderne de Fano. La basilique de Fano a disparu totalement, si bien que son site même est encore incertain malgré plusieurs tentatives de localisation.
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VOPISCUS Flavius | "vivait sous Constantin, IV, III eme siècle ?; son père et son grand-père étaient amis de Dioclétien. Ils furent témoins de l'entrevue du futur empereur avec la druidesse qui prédit le meurtre d'Aper. Il a écrit les vies d'Aurélien, de Tacite, de Florianus, de Probus, de Firmus, de Saturninus, de Proculus, de Bonasus, de Carrus, de Numerianus et de Carin. Il s'était proposé en outre de raconter la vie d'Apollonius de Tyane. Textes sur le site de ugo.bratelli, : Vie d'Aurélien :
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XENOPHANE | - Xénophane, en grec ancien Ξενοφάνης (né vers 570 av. J.-C. à Colophon en Ionie, mort vers 475 av. J.-C.) est un philosophe pré-socratique, poète et scientifique grec. Exilé de Colophon tombé sous la domination perse, il semble avoir émigré en Sicile et s'être réfugié d'abord à Zancle et à Catane, avant de se rendre à Élée dont il fonde probablement l'école éponyme. Les données attestées ne permettent pas de déterminer s'il mourut à Élée, ou s'il retourna finalement à Colophon.
Il s’oppose fortement à l’anthropomorphisme et s’applique à démontrer l’unicité divine. Ses concepts philosophiques se retrouvent également chez Parménide dont il fut le maître ou l’élève, cette dernière hypothèse étant favorisée par les spécialistes. Seuls quelques fragments de ses poèmes ont subsisté ; ils ont été recueillis par Hermann Diels dans son ouvrage de référence Die Fragmente der Vorsokratiker (1903)
- la plupart des ouvrages qu'il aurait écrits ont été malheureusement perdus. On doit se contenter de quelques textes pour toute base d'études afin d'approcher Xénophane, dont l’irremplaçable traité d'Aristote intitulé De Mélissos, de Xénophane, et de Gorgias, qui se révèle être en la matière l'ouvrage le plus complet, le plus important et sans doute même le seul en mesure d’exposer clairement l'ensemble des doctrines de Xénophane, - On sait par Diogène LaërceNote 3 que Xénophane combattit avec vigueur les doctrines des physiciens ioniens, en particulier les systèmes d'Épiménide et de Thalès, ainsi que le système de Pythagore8. Il a attaqué les idéaux culturels à la mode qui se répandaient à travers l'enseignement des œuvres d'Homère et d'Hésiode : c'est la raison pour laquelle il prit Homère pour cible privilégiée de ses attaques car « tous, dès l'origine, ont appris d'Homère », écrit-il9. Il s'est ainsi efforcé de créer une culture nouvelle. « Et pourtant, il ne l'a pas servi [sa patrie] comme je l’ai fait ; car notre sagesse est préférable à la force des hommes et à celle des chevaux ! C'est donc là une mauvaise coutume : il n’est pas juste de préférer la force à la sagesse. Car même si une cité compte parmi ses citoyens un bon boxeur ou un vainqueur à la lutte ou au pentathle, elle ne connaîtra pas pour cela un ordre meilleur (εὐνομίη) ; et une victoire à Olympie ne procure à la cité qu’une mince joie, car elle ne lui remplit pas ses greniers33. » - voir Histophilo, |
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XENOPHILE de Chalcis | -Xénophile (en grec ancien Ξενόφιλος) de Chalcis est un philosophe pythagoricien et musicien grec du IVe siècle av. J.-C. -Maître d’Aristoxène1,2, auquel il enseigna la théorie de la musique, et disciple de Philolaos, il est l’un des derniers pythagoriciens3. Il serait mort à l’âge de 105 ans à Athènes4, sans jamais avoir souffert des maux de la vieillesse. source wikipedia, - doxographie de diels (grec), source remacle, |
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XENOPHON | -Xénophon (en grec ancien Ξενοφῶν / Xenophōn) est un philosophe et chef militaire de la Grèce antique né à Erchia près d'Athènes vers 4302,N 1 av. J.-C. et mort vers 355 av. J.-C. Outre l’Anabase et la Cyropédie, il a écrit une suite à l’Histoire de la guerre du Péloponnèse de Thucydide intitulée Les Helléniques. Bien que citoyen d'Athènes, Xénophon est néanmoins l'ami de Sparte. Aristocrate, partisan de l'oligarchie, et proche du roi Agésilas II, il combat notamment en Perse au service de Sparte3. Xénophon, sans le savoir, ouvre la voie aux futures conquêtes d’Alexandre le Grand : dans l’Anabase, outre une description détaillée de son trajet en Asie, il montre qu'un corps expéditionnaire de soldats grecs peut traverser l’Empire perse invaincu. La campagne d'Agésilas en Asie Mineure confirme d'ailleurs la fragilité de l'Empire Perse. On peut distinguer chez Xénophon quatre thèmes récurrents :
- wikipedia, - TABLE DES MATIERES : ŒUVRES COMPLÈTES DE XÉNOPHON, TRADUCTION NOUVELLE AVEC UNE INTRODUCTION ET DES NOTES PAR EUGÈNE TALBOT, source remacle, "La défense de Socrate, Histoire grecque... préférer les traductions de de Luc BRISSON lorsqu'elles existent, à celle du sinistre homophobe CHAMBRY-P (voir les diverses traductions de ARISTOCLES-PLATON sur Gaogoa, ou passer par Platonisme et néo-Platonisme cadre ci-desous, et cliquer sur l'image haut droit).
- Xénophon, La république des Athéniens,
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XUTHUS | - Xouthos (en grec ancien Ξοῦθος / Xoûthos, en latin Xuthus) est un philosophe du IVe siècle av. J.-C., disciple de Pythagore d’après Simplicios de Cilicie, maître de Démocrite, Archytas de Tarente, Xénophile de Chalcis en Thrace ; Phanton de Phlionte, Échécrate, Dioclès de Phlionte et Polymnastos de Phlionte.
Voir Ecole Pythagoricienne, histophilo,
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ZACHARIAS le Scholastique | - Zacharie le Rhéteur, appelé également Zacharie le Scholastique et Zacharie de Mytilène, est un évêque et écrivain religieux de langue grecque ayant vécu à la fin du Ve et au début du VIe siècle. Né à Maïouma, le port de Gaza, vers 465, il fit des études de rhétorique à Alexandrie vers 485. C'est là qu'il se lia d'amitié avec son contemporain Sévère de Sozopolis. Il étudia ensuite le droit en sa compagnie à Beyrouth (Berytus) vers 487-490. Appartenant à une famille chrétienne et très pieux, il initia au christianisme le futur patriarche d'Antioche, qui était à l'origine païen, et mena avec lui une vie austère parmi des ascètes monophysites de la région de Gaza. Mais des problèmes familiaux l'amenèrent à quitter la Palestine pour Constantinople, où il exerça les fonctions d'avocat (scholastikos). L'œuvre la plus originale de Zacharie est sa biographie de son ami Sévère, conservée elle aussi seulement en syriaque. Écrite juste après l'avènement de ce dernier au patriarcat d'Antioche (512), elle vise à défendre l'évêque contre les attaques dont il faisait l'objet (on lui reprochait notamment d'avoir été dans sa jeunesse un païen convaincu). La Vie de Sévère constitue un document important sur la vie des étudiants dans les villes universitaires d'Alexandrie et de Beyrouth à la fin du Ve siècle, en particulier sur les conflits entre chrétiens et païens. En grec, nous sont parvenus un dialogue intitulé Ammonius (sur la création du monde) et deux écrits contre le manichéisme. source wikipedia, |
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Zarathoustra Zarathushtra ou Zarathoustra |
- Zoroastre, Zarathushtra ou Zarathoustra (en persan : زرتشت ; en avestique : Zaraϑuštra ; en grec : Ζωροάστρης, en kurde Zerdest) est un « prophète », fondateur du zoroastrisme. - voir Zoroastrisme ci-dessous |
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ZENOB de KLAG | - Il était Syrien, originaire de Klag, ville dont la position géographique n'est pas bien connue, mais qui devait être située dans le voisinage de la frontière d'Egypte, et disciple de saint Grégoire l'Illuminateur, qui le sacra plus tard évêque et abbé du monastère des Neuf-Sources, dont, suivant le témoignage de Jean Mamigonien, son trente-cinquième successeur, il conserva le gouvernement pendant vingt ans. Quoiqu'il ne le dise pas formellement, il résulte de l'ensemble de son livre qu'il dut vivre avec son maître dans une assez grande intimité, en remplissant auprès de lui des fonctions fort semblables à celles de secrétaire, car nous le voyons constamment à ses côtés. Il ne nous reste rien autre chose de Zénob que son Histoire de Daron, district de la province de Douroupéran, sur les limites de l'Arménie et du monde syriaque, et berceau primitif du christianisme arménien. Cette histoire, qu'il écrivit par ordre et sous la dictée de saint Grégoire, source remacle, - Le Haut Moyen Age de l'Arménie, globalarmenianheritage, |
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ZENOBIOS | - Zénobios1 (actif au IIe siècle) est un sophiste grec qui enseignait la rhétorique à Rome sous l'empereur Hadrien (règne de 117 à 138). Il reste connu comme l'auteur d'une précieuse compilation de proverbes grecs antiques, ses Proverbes (lat. Zenobii proverbia, grec Zênobiou Epitomê). - Zènobios, contemporain d'Hadrien, rédigea un résumé en trois livres des proverbes de Didyme Chalcentère et de Lucillus de Tarrha . - « Nous ramons tous sur le même bateau. » Citation de Zénobios - La Grèce en proverbes - IIe s ????????????????????????????????? Corpus paraemiographorum graecorum, I, 38. sur Internet archive, Corpus paraemiographorum graecorum, Leutsch & Schneidewin, latin/grec - Epitome proverbium Lucil.Tarrhoei et Didymi Alexandrini secundum ordinem alphabeticum traecè, Florence, Philippe de Zunta, 1487 - L'horoscope d'Hadrien ?
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ZENODOTE d'Ephèse | - Zénodote, en grec ancien Ζηνόδοτος / Zênódotos (330–260 av. J.-C.) est un grammairien alexandrin. Bibliothécaire de la Bibliothèque d'Alexandrie, , écrivain, poète, épigrammatiste, précepteur des enfants de Ptolémée, éditeur - Né à Éphèse, il est le premier bibliothécaire de la bibliothèque d'Alexandrie. Ptolémée II Philadelphe a recours à ses services, ainsi qu'à ceux d'Alexandre l'Étolien et Lycophron de Chalcis pour mettre au point des éditions critiques des grands poètes grecs. Alors que ses collègues prennent en charge respectivement les tragédies et les comédies, Zénodote s'attaque à l'œuvre d'Homère. Il publie une Recension1 ainsi qu'un Glossaire2 de l’Iliade et de l’Odyssée, et rejette les Hymnes homériques comme étant postérieurs. ....Il expurge certains vers, en marque d'autres comme étant des interpolations et en corrige certains considérés comme fautifs. .... On dit des vers biffés par Zénodote et son disciple Aristarque de Samothrace qu'ils sont « athétisés », littéralement « refusés ». - Zénodote est le pionnier d'une nouvelle façon d'étudier les classiques grecs. Ses disciples Aristarque de Samothrace et Aristophane de Byzance complètent ensuite son œuvre. Malgré cela, ils font ensuite l'objet d'un certain mépris de la part des écrivains postérieurs. Lucien de Samosate, écrivain du IIe siècle, raconte ainsi voir Homère en songe dans son ouvrage Histoires vraies3 et lui demander :
— (trad. de Marcel Caster) - - On lui doit aussi un glossaire (Γλῶσσαι Ὁμηρικαί), où il explique des vocables épiques, dans l’ordre alphabétique. - Zénodote sur remacle, Anthologie Palatine, - La bibliothèque d’Alexandrie avait recueilli de nombreuses copies du texte homérique provenant de régions variées, dont Athènes. On suppose que Zénodote a choisi une version de référence qu’il aurait corrigée par des emprunts à d’autres manuscrits. Les philologues modernes pensent que le texte de référence est l’édition établie sous Pisistrate. On a longtemps pensé que la division en vingt-quatre chants datait de cette époque, mais il semblerait qu’elle soit plus ancienne. C’est ce que tendent à montrer l’étude des transitions d’un chant à l’autre, qui présentent une grande cohérence, ainsi que le témoignage de deux des plus anciens papyrus d’Homère. L’un de ces papyrus, conservé à la Sorbonne, paraît confirmer, par un signe dans la marge, l’antériorité de cette division. voir Démétrios de Phalère. |
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ZENON de Cytium ou de Kition |
Zénon, fondateur du stoïcisme, né à Citium en Chypre vers l'an 360 av. J.-C. ?, était fils d'un riche marchand, et se livra d'abord lui-même au commerce ; mais il y renonça après avoir éprouvé une perte considérable. Entrant par hasard chez un libraire d'Athènes, il y rencontra les Mémoires de Xénophon sur Socrate, et conçut dès lors un goût si vif pour la philosophie qu'il voulut s'y livrer tout entier. Il entendit le cynique Cratès, le mégarique Stilpon, les académiciens Xénocrate et Polémon, puis se fit un système propre, et, vers l'âge de 40 ans (300 av. J.-C), ouvrit une école sous un célèbre portique d'Athènes, le Pécile : c'est de là que cette école est nommée le Portique ou Ecole stoïcienne (du grec stoa, portique). L'éclat de ses leçons, l'élévation de sa morale, et plus encore les beaux exemples qu'il offrait dans sa conduite attirèrent auprès de lui de nombreux disciples : on comptait parmi ses auditeurs Antigone Gonatas, roi de Macédoine. Il mourut dans une extrême vieillesse, entouré de la vénération universelle, vers 263 av. J.-C. Zénon s'était surtout proposé de rétablir dans toute leur autorité la vertu, ébranlée par les Epicuriens, et la vérité, attaquée par les Sceptiques. Il divise la science en 3 parties : Logique, Physiologie (science de la nature) et Morale ; mais chez lui, les deux premières ne font guère que préparer à la troisième. Dans la Logique, il s'attache surtout à déterminer le criterium de la vérité : il le place dans les perceptions des sens approuvées par la raison, et proclame que toutes nos idées ont leur première source dans les sens : Nihil est in intellectu quin prius fuerit in sensu. - histoire et spiritualité, Presque tout ce que nous savons sur la vie de Zénon provient de Diogène Laërce (DL), qui consacra au fondateur de l'école du Portique la première partie du septième livre de ses Vies et doctrines des philosophes illustres, rédigées au début du IIIe siècle de notre ère, et souvent fondées sur des documents de première main ; Diogène Laërce s'appuie entre autres sur une biographie (perdue) composée par Antigone de Caryste, lequel a très vraisemblablement fréquenté le philosophe dans sa jeunesse. source et suite sur wikipedia, |
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ZENON d'Elée | Zénon d'Élée (en grec ancien Ζήνων / Zếnôn), né vers 490 et mort vers 430 av. J.-C., est un philosophe grec présocratique. Surnommé « le Palamède d'Élée », selon une interprétation de Diogène Laërce qui identifie un palamède, c'est-à-dire un habile dialecticien, dont parle Platon dans le Phèdre, avec Zénon. Il serait le principal disciple de Parménide, qui fut aussi son amant : Platon, dans le dialogue du Parménide, rapporte non sans complaisance, une rumeur ambiguë selon laquelle Zénon aurait été l'amant de son maître. À l'âge de 40 ans environ, il est probable qu'il accompagna son maître lors d'un voyage à Athènes, ville où il enseigna quelques années. Périclès et Callias auraient été de ses élèves. Diogène Laërce raconte qu'il serait mort torturé pour avoir pris part à une conspiration contre un tyran d'Élée. Toujours selon Diogène Laërce, Aristote attribue à Zénon d'être l'inventeur de la dialectique (méthode de raisonnement qui cherche à établir la vérité en défendant successivement des thèses opposées) ; l'œuvre de Zénon a été consacrée à argumenter contre les contradicteurs de son maître. Son œuvre n'est connue que par les citations qu'en ont faites les auteurs anciens, en particulier Aristote. On croit souvent que ces paradoxes ne visent qu'à prouver que le mouvement n'existe pas. Il faut en fait les replacer dans une perspective beaucoup plus large, celle de la pensée éléate de l'« infini » ou de l'« illimité ». Les paradoxes de Zénon sont présentés et commentés dans la Physique d'Aristote (VI,IX). Un mobile pour aller de A en C doit d'abord arriver en B, qui se trouve entre A et C. Mais avant d'arriver en B, il doit d'abord arriver en B' situé entre A et B, et ainsi de suite... In fine, le mobile ne pourra donc pas arriver en C au bout d'un temps fini. Si Achille situé en O poursuit une tortue qui se trouve en A. Le temps qu'il arrive en A, la tortue sera en B. Achille devra donc ensuite aller en B. Mais alors la tortue sera en C, et ainsi de suite. Achille pourra se rapprocher sans cesse de la tortue, mais il ne pourra jamais la rattraper. Une flèche qui vole est en fait immobile. En effet, à chaque instant, elle est dans un espace égal à elle-même. Elle est donc à chaque instant au repos. Si on décompose le mouvement en une suite d'instants, elle ne peut donc pas se mouvoir, puisqu'elle est constamment au repos.
Un train (succession de masses égales) croise sur un stade un train qui va en sens inverse et un train immobile. Dans le même temps où il parcourt deux wagons du train immobile, il croise quatre wagons du train allant en sens contraire. Donc le train a parcouru dans le même temps deux distances différentes. On peut aussi dire que la moitié d'une durée est égale à cette durée puisqu'il faut le même temps pour parcourir deux wagons que pour en parcourir quatre.
Si un boisseau de mil fait du bruit en tombant sur le sol, de même un seul grain devrait faire du bruit, et même un dix-millième de grain, mais ce n'est pas le cas. source et suite sur wikipedia, ou wikiwand, - Zénon sur chronomath, - |
![]() Le philosophe grec Zénon d'Eléa montrant à ses disciples les portes de la vérité et du mensonge. by Carducci Fresque du 16th de El Escorial, Madrid, |
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ZONORAS ZONARAS |
- Jean Zonaras (né vers 1074, mort après 1159) est un haut fonctionnaire, théologien et historien byzantin du XIIe siècle. Après une brillante carrière dans la fonction publique et à la suite semble-t-il d’une tragédie familiale, il se retira au monastère de Sainte-Glykéria où il rédigea son Épitomé historion, un abrégé de l’histoire du monde d’Adam à Alexis Ier. Fervent chrétien, partageant les valeurs de l’aristocratie civile, il fut l’un des principaux historiens qui, avec Anne Comnène, Nicéphore Bryenne et Jean Cinnamus, devaient redonner un nouveau souffle à ce genre littéraire au XIIe siècle.
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Zoroastrisme Zarathoustra |
- Zoroastre, Zarathushtra ou Zarathoustra (en persan : زرتشت ; en avestique : Zaraϑuštra ; en grec : Ζωροάστρης, en kurde Zerdest) est un « prophète », fondateur du zoroastrisme. La réforme religieuse de Zoroastre ou Zarathoustra a pour principal effet d'orienter la religion mazdéenne vers le monothéisme au bénéfice du dieu Ahura Mazdâ (pehlevi : Ohrmazd), entouré d'un certain nombre d'entités. Ahura Mazda est seul responsable de l'ordonnancement du chaos initial, le créateur du ciel et de la Terre. Chaque être humain est doté d'une âme éternelle et de libre arbitre. Après la mort, les âmes encourent un jugement et vont au ciel ou au purgatoire. Les textes religieux du zoroastrisme sont contenus dans l'Avesta, qui comporte deux parties : les Gathas, poèmes attribués à Zoroastre, et les Yasna qui constituent les textes liturgiques en tant que tels. Il eut une série de visions, dans lesquelles il vit Ahura Mazda (en persan : اهورامزدا), divinité suprême, et commença alors une prédication passionnée, prêchant : L'ancienne religion perse était soutenue essentiellement par les familles aristocratiques guerrières. Or les arguments de justice et de conscience personnelle heurtèrent profondément les coutumes et les mentalités de ces mêmes vieilles familles. Non seulement ses idées ne plurent pas, mais surtout elles remettaient en cause le pouvoir établi. Pourchassé par le peuple, il dut s'enfuir pour sauver sa vie. source et suite Zoroastre, sur wikiwand, |
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ZOSIME | - Zosime est un historien grec ayant vécu à la fin du Ve siècle et au début du VIe siècle, auteur de l'Histoire nouvelle consacrée aux derniers siècles de l'Empire romain d'Occident. C'est une source historique particulière, Zosime étant un païen antichrétien avec des convictions plus prononcés que les historiens contemporains. - Les indications concernant Zosime ne proviennent que de son œuvre et des informations limitées du codex de Photios. - En dépit de ses partis pris, le travail de Zosime reste un témoignage incomparable sur la fin de l'Antiquité romaine, qui complète précieusement l'histoire d'Ammien Marcellin, lui aussi païen et d'origine grecque. Mais Zosime se révèle unique car le paganisme y est beaucoup plus affirmé, et virulent envers le christianisme, quand Ammien et l'auteur anonyme du De viris illustribus urbis Romae se révèlent réservés et que l'auteur de l'Histoire Auguste est plus dans l'humour (parodie de la correspondance de Saint-Jérôme) - Vu le caractère anti-chrétien global, la diffusion de l'écrit de Zosime fut limité. Les témoignages antérieurs, antiques et modernes sont pour la plupart hostiles contre Zosime16, tel Bossuet, le traitant comme « L'ennemi le plus déclaré du christianisme et des chrétiens » - on suppose que Zosime illustre la chute de l'Empire par les ravages des Goths, poussés par les Huns, et par l'occupation de l'ancienne capitale, Rome, par les Barbares. Tout au long de son récit, Zosime estime que la dégradation de la situation est due à deux causes principales :
Ces conclusions sont influencées par les convictions de Zosime, sans doute l'un des derniers auteurs païens. Son texte révèle par ailleurs qu'il n'hésitait pas à accorder foi aux prodiges, aux oracles, aux causes surnaturelles, bien que ce point de vue fût habituel chez de nombreux auteurs de la fin de l'Antiquité.
Structure de l'Histoire ;
La fin du monde : Bien que la conclusion de son ouvrage nous manque, on suppose que Zosime illustre la chute de l'Empire par les ravages des Goths, poussés par les Huns, et par l'occupation de l'ancienne capitale, Rome, par les Barbares. Tout au long de son récit, Zosime estime que la dégradation de la situation est due à deux causes principales :
Ces conclusions sont influencées par les convictions de Zosime, sans doute l'un des derniers auteurs païens. Son texte révèle par ailleurs qu'il n'hésitait pas à accorder foi aux prodiges, aux oracles, aux causes surnaturelles, bien que ce point de vue fût habituel chez de nombreux auteurs de la fin de l'Antiquité. -
source et suite sur wikipedia, |
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