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ECRITURES
 
ECRITURES
1 (Lexique Lang),
2 (Biblio Hadrian),
3 (Aristocles),
4 (Langage),
 
évolution : LANGAGE-CHAMPS-COURANTS-LEXIQUE, ...
   
Aphorisme

comme figure de style, figure de rhétorique ou figure de discours (forme littéraire) :

« Proposition résumant à l'aide de mots peu nombreux, mais significatifs et faciles à mémoriser, l'essentiel d'une théorie, d'une doctrine, d'une question scientifique », canalblog,

L’aphorisme, en grec aphorismos, du verbe ἀφορίζειν (« définir, délimiter »), est une sentence énoncée en peu de mots — et par extension une phrase — qui résume un principe ou cherche à caractériser un mot, une situation sous un aspect singulier. Par certains aspects, il peut se présenter comme une figure de style lorsque son utilisation vise des effets rhétoriques.

L'aphorisme est un énoncé autosuffisant. Il peut être lu, compris, interprété sans faire appel à un autre texte. Un aphorisme est une pensée qui autorise et provoque d'autres pensées, qui fraye un sentier vers de nouvelles perceptions et conceptions. Même si sa formulation semble prendre une apparence définitive, il ne prétend pas tout dire ni dire le tout d'une chose.

L'aphorisme, bien que ressemblant aux autres formes déclamatoires comme le proverbe ou la maxime, ne doit cependant pas être confondu avec eux. En effet, l'aphorisme se fonde au contraire sur des propositions antithétiques, contrairement à la maxime qui met en scène le paradoxe. L'aphorisme est donc proche de figures de style tels la contradiction, la symétrie, le parallélisme ou encore l'antithèse. L'aphorisme est néanmoins formellement proche de la maxime : fondé sur la copule du verbe être, et sur la comparaison ou l’analogie.
source et suite sur wikipedia, pour figure de style, wikipedia,

- Aforismes d'Hippocrate,
- Triades celtiques,
- Les Mathèmes de Lacan, Jacques SIBONI, Edition LYSIMAQUE , son site,
Anthologie des Assertion transmissibles et de leurs relations aux Ecrits de Jacques LACAN,

   
     
Calligraphie chinoise, - en chinois shufa, = art de tracer, ou art de réaliser le tracé, de shu = écrire, et de fa = art de faire.
- au Japon, shodo, /shodao/ = voie de l'écriture, pour accéder à la sagesse !
- En Chine la calligraphie est un art majeur qui régit toutes les autres disciplines artistiques.
Les caractères chinois expriment la pensée et la beauté visuelle de cette pensée !
De 1700 à 1100 ans d'ancienneté pour l'écriture chinoise !
Origines supposées de l'écriture chinoise :
Les trigrammes ( bagua) divinatoires de Fu Xi. ( 8 signes géométriques inscrits dans un carré)
Les noeuds sur les cordelettes de Sheng Nong.
Les signes calligraphiques inspirés de la nature de Huang di.
   
  - Abécédaire de la Calligraphie chinoise, MEDIAVILLA Claude, Flammarion, 2002    
       
Codex

- Un codex (pluriel : codices) est un cahier formé de pages manuscrites reliées ensemble en forme de livre. Cet ancêtre du livre moderne a été inventé à Rome durant le IIe siècle av. J.-C. et s'est répandu à partir du Ier siècle, pour progressivement remplacer le rouleau de papyrus (le volumen) grâce à son faible encombrement, son coût modéré, sa maniabilité et la possibilité qu'il offre d'accéder directement à n'importe quelle partie du texte.

- À l'origine, le codex - au pluriel « codices »[1] - était un assemblage de tablettes de bois destinées à l'écriture, ce qui lui a donné son nom[2]. Au cours du IIe siècle av. J.-C., les Romains substituèrent aux planchettes de bois des feuilles de papyrus ou de parchemin, « matériau plus mince et plus souple qui se prêtait au pliage[3] » afin d'en faire un carnet de notes à usage personnel, ainsi que l'indique un témoignage.

"caudex = bloc de bois en latin,

source et suite sur wikipedia,

   
       
Codicologie - La codicologie (du latin cōdex, génitif cōdicis, « codex, livre » ; et du grec -λογία, -logie) est l'étude des manuscrits reliés en codex en tant qu'objets matériels. Le codex s'apparente aux livres modernes, dont on peut feuilleter les pages. Il est apparu dans le monde occidental dans le courant du IIIe siècle apr. J.-C. Il a, lentement, supplanté les volumina devenus rotuli, qui demeurèrent longtemps le mode de présentation traditionnelle des écrits, c'est-à-dire sous forme de rouleau qu'on déployait pour pouvoir lire le texte.
- étudie le livre manuscrit comme objet matériel, c’est-à-dire comme support de texte, afin de mieux comprendre l'histoire du texte (ou des textes) qui est parvenu jusqu'à nous. C'est ainsi qu'elle passe en revue les techniques de fabrication et les divers accidents qui ont pu affecter ces ouvrages.
source et suite sur wikipedia,
   
       
Cunéiforme

- L’écriture cunéiforme est un système d'écriture complet mis au point en Basse Mésopotamie entre 3400 et 3300 av. J.-C., qui s'est par la suite répandu dans tout le Proche-Orient ancien, avant de disparaître dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Au départ pictographique et linéaire, la graphie de cette écriture a progressivement évolué vers des signes constitués de traits terminés en forme de « coins » ou « clous » (latin cuneus), auxquels elle doit son nom, « cunéiforme », qui lui a été donné aux XVIIIe et XIXe siècles. Cette écriture se pratique par incision à l'aide d'un calame sur des tablettes d'argile, ou sur une grande variété d'autres supports.

Les conditions d'élaboration de cette forme d'écriture, qui est la plus vieille connue avec les hiéroglyphes égyptiens, sont encore obscures. Quoi qu'il en soit, elle dispose vite de traits caractéristiques qu'elle ne perd jamais au cours de son histoire. Le système cunéiforme est constitué de plusieurs centaines de signes pouvant avoir plusieurs valeurs. Ils sont en général des signes phonétiques (phonogrammes), transcrivant uniquement un son, plus précisément une syllabe. Mais une autre catégorie importante de signes sont les logogrammes (souvent désignés comme des idéogrammes), qui représentent avant tout une chose et ne renvoient que secondairement à un son. D'autres types de signes complémentaires existent (signes numériques, compléments phonétiques et déterminatifs).

source et suite sur wikipedia,

   
       
Diplomatique - La diplomatique (du grec ancien δίπλωμα / díplôma, passeport, papier plié en deux) est une science auxiliaire de l'histoire qui étudie la structure, la classification, la valeur, la tradition et l'authenticité des documents officiels[1] (les « diplômes » au sens historique du terme[2]).    
       
Ecriture    
       
 

- Origine de l'écriture ... à venir

- L'Odyssée de l'écriture !!!!!
en 3 parties du 20 novembre 2020 j'usqu'au 19 janvier 2021 sur Arte.

   
  - Une écriture scientifique : le HANGUL , alphaB, 1, 2, (source wiki), et Histoire de la Corée 1, 2, Korée;    
  - CHAVANNE Edouard, La divination par l'écaille de tortue dans la haute antiquité chinoise, 1911, sur uqac, ou gallica,
                                         Article paru dans Le Journal Asiatique, 1911, Sér.10, T. 17, pp. 127-137
                                         Nombreuses oeuvres de CHAVANNE.E sur uquac,
 Sur ce même thème voir Chineancienne,
   
  - FEVRIER James Germain, Histoire de l'écriture, Payot, 15-10-1995,    
  - Theleme, Ecole des chartes, sciences et méthodes de l'histoire, facs-similes, transcriptions, ...    
  - lire item Ecriture, dans la Bibliothèque d'Hadrien    
Epigraphie

L’épigraphie est l’étude des inscriptions réalisées sur des matières non putrescibles telles que la pierre (on parle alors d’« inscriptions lapidaires »), l’argile ou le métal1. Cette science a pour objectif de les dater, de les replacer dans leur contexte culturel, de les traduire et de déterminer les informations qui peuvent en être déduites.
L’épigraphie est un outil primordial de l’archéologie lorsqu’il s’agit de cultures lettrées. Cette science est particulièrement importante pour l’histoire de l’Antiquité, le corpus d’inscriptions gravées étant très important par rapport à ce que nous apportent les sources littéraires.
source wikipedia,

- Textes grecs : inscriptions, greekinscriptions,
- Textes latins, : ucl ac, Grand recueil, ...?

Papyri.info,
Luna manchester,

 
Epigramme À l’origine, une épigramme (du grec ancien ἐπίγραμμα / epígramma signifiant « inscription ») est une inscription, d’abord en prose, puis en vers, qu’on gravait sur les monuments, les statues, les tombeaux et les trophées, pour perpétuer le souvenir d’un héros ou d’un événement.
À partir du IVe siècle av. J.-C., l’épigramme devient une petite pièce de poésie sur un sujet quelconque, imitant par sa brièveté les inscriptions, offrant une pensée ingénieuse ou délicate exprimée avec grâce et précision.
Enfin, à partir du XVIe siècle, le genre se spécialise dans le mot d’esprit : l’épigramme renferme généralement une pointe grivoise ou assassine.
suite sur wikipedia,
voir Martial, Catulle, ....Carmina Priapea, Panormita : l'Hermaphrodite,
        Anthologie Palatine et grecque, Anthologie de Planude ou Byzantine,
        1500 Epigrammes de Martial,
   
       
Figures
de style
- sur gaogoa, Figures de style, voir Tropes,
- Figure de style, ou figure de rhétorique ou figure du discours...
- sur wikipedia, figure de style,
   
       

Hiéroglyphie
voir

Papyrologie

- Emploi d'une écriture mêlant les idéogrammes et les signes phonétiques.
- Le grec ancien ἱερογλύφος, hieroglýphos (« scribe sacré ») est dérivé de ἱερός, hierós (« sacré ») et γλύφω, glýphô (« graver »). Les hiéroglyphes eux-mêmes se disaient ἱερογλυφικὰ γράμματα, hieroglyphikà grámmata (« caractères sacrés »).
Ultérieurement, par un glissement de sens, le mot hiéroglyphe finit par désigner les caractères hiéroglyphiques eux-mêmes.
source wikitionary,
   
 

Les hiéroglyphes (du grec: gravures sacrées) constituent un type d’écriture figurative utilisé par plusieurs peuples :

 
  Hiéroglyphes-guillas,    
       
OGHAMIQUE
OGHAM
- L’ogham (écrit aussi oġam1 avec punctum delens ou ogam, prononcé « oh-am » en irlandais, « o-am » en gaélique écossais, et « oram » en vieil irlandais), ou écriture oghamique, est un alphabet antique utilisé principalement pour l'écriture de l'irlandais primitif (forme dite « orthodoxe », du IVe au VIe siècle), et plus tard pour le vieil irlandais (forme dite « scolastique » ou « scolaire », du VIe au IXe siècle).

On compte environ 400 inscriptions de forme orthodoxe sur des monuments en pierre en Irlande et en Grande-Bretagne. La majeure partie d'entre elles proviennent du sud de l'Irlande, principalement des comtés de Kerry, de Cork et de Waterford2.

En dehors de l'Irlande, c'est dans le Pembrokeshire du Pays de Galles qu'on en retrouve le plus3.

La grande majorité de ces inscriptions sont des textes très courts, composés principalement de noms de personnes.
La datation de cette écriture est tout aussi complexe. Sans doute apparaît-elle entre le IIIe et le Ve siècle,

Ce système se compose originellement de vingt lettres (fid en vieil irlandais - pluriel : feda, qui signifie « arbre »), formant quatre groupes (aicme en vieil irlandais - pluriel : aicmí) de 5 lettres, composées de 1 à 5 encoches d'un même type. Plus tardivement, un cinquième groupe de cinq lettres a été ajouté. On nomme ces lettres forfeda ou « lettres supplémentaires ». Elles servirent peu dans les écrits, car elles représentent des phonèmes manquants ou d'origine étrangère. Dans l'Auraicept na n-Èces, on trouve la définition suivante de l'ogham : « Ceci est leur nombre. Il y a cinq groupes d'ogham et chaque groupe est composé de cinq lettres, chacune ayant de une à cinq encoches et on les distingue par leur orientation. Les orientations sont : à droite de la ligne centrale, à gauche de la ligne centrale, de part et d'autre de la ligne centrale, à travers la ligne centrale et autour de la ligne centrale. L'Ogham est construit comme un arbre7. »

La plupart des textes gravés au moyen de l'ogham le sont en irlandais primitif et en vieil irlandais, mis à part quelques noms en langue picte, en vieux gallois, en vieux norrois et en latin.
source et suite sur wikipedia,

   
       
Paléographie

La paléographie (du grec ancien παλαιός / palaiόs (« ancien »), et γραφία / graphía (« écriture ») est l'étude des écritures manuscrites anciennes, indépendamment de la langue utilisée (grec ancien, latin classique, latin médiéval, occitan médiéval, ancien français, moyen français, français classique, anciens caractères chinois, arabe, notation musicale, etc.) . (Latine, Grecque, Hébraïque, arabe .., musicale..)
- elle vise à la lecture et à l'édition des textes. Trois difficultés principales existent en effet qui empêchent de lire les documents anciens : d'une part, la graphie d'une même écriture évolue à travers le temps. L'alphabet latin connaît plusieurs formes successives, telles que la minuscule caroline et l'écriture gothique. La paléographie sert donc à connaître la morphologie des lettres et à savoir déchiffrer les caractères qui constituent les textes de ces manuscrits. ....suite sur wikpedia,
- vise également, par l'étude des témoignages écrits, à reconstruire l'évolution des écritures dans le temps et à en connaître les causes et les développements. L'école française de paléographie, notamment avec Jean Mallon a mis à l'honneur le rôle primordial du ductus (ordre et sens du tracé de chaque partie de la lettre) dans l'évolution de l'écriture. La paléographie permet ainsi également de dater des traces et témoignages écrits et d'en situer la provenance géographique. La classification des écritures anciennes dans le domaine de l'alphabet latin a particulièrement été élaborée par l'école néerlandaise. La méthode de cette science consiste essentiellement en l'analyse des formes des lettres ou l'analyse des abréviations typiques.
- La paléographie vise enfin à étudier les systèmes de production de l'écriture, dans un contexte culturel et social.

source et suite sur wikipedia, + cours, + video, + exercices ....

 
  - Paléographie en ligne sur paleo... déchiffrer les documents ancien dans votre fautueil !    
       
Papyrologie La papyrologie (du grec: πάπυρος, « papyrus », et λόγος « logos ») est la branche des études classiques qui déchiffre les documents grecs et latins provenant de divers sites de l’Égypte et surtout en exploite les données. Elle apparaît ainsi comme l’étude d’une société de notables grecs ou hellénisés dans un milieu oriental bien spécifique, le monde égyptien tardif avec ses vieilles traditions sociales et religieuses. Certains dictionnaires et encyclopédies considèrent que la papyrologie relève de la paléographie ; cependant, les paléographes s'intéressent spécifiquement à l’écriture des documents, tandis que les papyrologues étudient leur contenu.
...
Ce n’est que dans la dernière décennie du XIXe siècle que la papyrologie s’est véritablement organisée comme discipline majeure des sciences de l’Antiquité gréco-romaine. Elle doit son nom au fait qu’à ce moment des quantités considérables de papyrus sont arrivées d’Égypte en Europe. Il a fallu d’abord les déchiffrer et les publier, mais en même temps la quantité et la qualité des données que l’on découvrait sur l’Égypte gréco-romaine a fait qu’on a entrevu la possibilité d’exploiter systématiquement toutes ces données en créant progressivement des instruments de travail, des méthodes d’évaluation critique des données et de premières synthèses. La papyrologie moderne était née.
source et suite sur wikipedia,
   
       
Pétroglyphe Un pétroglyphe est un dessin symbolique gravé sur de la pierre (surface rocheuse à l'état naturel) et fait donc partie de l'art rupestre. Le terme provient des mots en grec ancien πέτρος, pétros (« pierre ») et γλυφή, gluphḗ (« gravure »).

Les pétroglyphes sont généralement associés aux peuples préhistoriques néolithiques et furent la forme dominante des symboles de pré-écriture utilisés pour la communication de 10 000 av. J.-C. jusqu'à 5 000 av. J.-C. Les techniques de gravures sont principalement l'incision, le frottement ou la pulvérisation à l'aide de pierres.

La gravure préhistorique utilise plusieurs techniques qui creusent la surface d'un matériau dur (os, ivoire, roche dont la couche patinée sombre est attaquée pour faire apparaître son intérieur plus clair) :
par piquetage, par incision, par raclage, ....précisions sur wikipedia,

Les pétroglyphes furent progressivement remplacés par des systèmes d'écriture plus avancés utilisant des pictogrammes et des idéogrammes.
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source et suite sue wikipedia,

   
       
Philologie

La philologie, du grec ancien φιλολογία, phĭlŏlŏgĭa (« amour des mots, des lettres, de la littérature »), consiste en l'étude d'une langue et de sa littérature à partir de documents écrits. C'est une combinaison de critique littéraire, historique et linguistique. Elle vise à rétablir le contenu original de textes connus par plusieurs sources, c’est-à-dire à sélectionner le texte le plus authentique possible, à partir de manuscrits, d'éditions imprimées ou d'autres sources disponibles (citations par d’autres auteurs, voire graffiti anciens), en comparant les versions conservées de ces textes, ou à rétablir le meilleur texte en corrigeant les sources existantes.
source et suite sur wikipedia,

- Paul MAAS, Les dessous de la littérature grecque. Paléographie, histoire et critique des textes. Textes choisis, présentés et traduits par Laurent Calvié, Avec la collaboration de Michel Patillon, Toulouse, Anacharsis, coll. « Essais — Philologie » 2020, 254 p., 125 x 200 cm, 22€,
rassemble en effet toutes les études d’ensemble — inédites en notre langue — que le grand philologue allemand Paul Maas (1880-1964) a consacrées, entre 1924 et 1956, à la paléographie, à l’histoire des textes grecs et à la critique textuelle, dont la plus célèbre (la Critique des textes de 1927) a connu trois rééditions (19502, 19573 et 19604) et sept traductions dans six langues différentes : en italien (1952, 19582, 19723 et 20034), en anglais (1958, 19632, 19673 et 19724), en grec moderne (1975 et 19842), en polonais (1994), en russe (2011), en espagnol (2012) et de nouveau en italien (2017).
Billet de Laurent CALVIÉ sur hypotheses,

  Au début du XVIIIe siècle, le philosophe allemand Leibniz avait suggéré que l'égyptien, les langues européennes et asiatiques avaient peut-être un ancêtre commun. Même si ce postulat s'est révélé par la suite partiellement faux, il n'en a pas moins donné son impulsion initiale à la philologie comparée (ou linguistique comparée).  
  Vers la fin du XVIIIe siècle, un érudit britannique du nom de sir William Jones observa que le sanskrit présentait des similitudes avec le grec et le latin, et il avança l'idée que ces trois langues avaient peut-être une origine commune.    
  Au début du XIXe siècle, les linguistes allèrent beaucoup plus loin dans cette hypothèse. Le philologue allemand Jacob Grimm et le danois Rasmus Christian Rask remarquèrent que, lorsque les phonèmes d'une langue correspondaient selon un schéma régulier à des phonèmes qui occupaient une place similaire dans des mots d'une autre langue apparentés sur le plan du sens, Par exemple, les phonèmes initiaux du latin pater (« père ») et ped- « pied » correspondent de façon régulière aux mots anglais father et foot. Voir aussi Grimm, loi de.    
néogrammairien, À la fin du XIXe siècle, les correspondances des sons avaient été largement étudiées. Un groupe de spécialistes des langues européennes, connu sous le nom de néogrammairiens, avança l'idée que non seulement les correspondances de sons entre des langues apparentées étaient régulières, mais que les exceptions à ces règles phonétiques provenaient uniquement d'emprunts à une autre langue    
  On désigne du nom de méthode comparative la méthode qui consiste à comparer des mots apparentés de différentes langues pour découvrir l'existence de changements réguliers de sons. Cette méthode a permis de dégager des familles de langues, c'est-à-dire des groupes de langues apparentées. On a ainsi pu énoncer le principe d'une famille indo-européenne composée de nombreux sous-groupes ou branches.    
  les études sur les dialectes ont permis de dégager en Allemagne un grand nombre de dialectes correspondant aux régions historiques. On citera notamment le dialecte du nord (Plattdeutsch), le souabe (Schwäbisch), le dialecte parlé dans le Palatinat (Tsälzisch), celui parlé dans la région de Cologne (Kölsch), le bavarois (Bayerisch). L'allemand parlé en Suisse alémanique et celui utilisé en Autriche sont également des variétés dialectales.    
       
Sémiotique

- La sémiotique est l'étude des signes et de leur signification. En français, ce terme est souvent synonyme de sémiologie

- Sémiotique sur wikipedia,

- Un signe linguistique désigne une unité d'expression du langage. Il est l'objet d'étude de différentes branches de la linguistique :

- l'intérêt des philosophes grecs pour le langage.

Le premier, Héraclite d'Éphèse distingue la pensée (γὸδος), l'énoncé (ἒπος) et la réalité (ἒργον)[10], la liaison entre ces trois éléments étant réalisée par le logos, principe divin, unique[11]. Démocrite, au IVe siècle av. J.-C. s'oppose à l'origine divine du langage. Pour lui, le langage est purement conventionnel[12].

Au IVe siècle av. J.-C., dans le Cratyle, Platon expose les deux thèses opposées sur la nature des mots : pour Hermogène, partisan de l’arbitraire du signe, il n'y a entre ce qui sera plus tard nommé signifiant et signifié qu'un lien abstrait et extrinsèque, établi par convention, tandis que pour Cratyle, partisan de la motivation, les mots sont une peinture des choses, ils ressemblent à ce qu'ils signifient, ce sont des symboles.

source et suite wikipedia,

 

- sur gaogoa, /Platon-Aritocles/Thématiques/Langage ...

   
       
Sentences

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- Maxime énonçant de manière concise, une évidence, une vérité chargée d'expérience ou de sagesse et renfermant parfois une moralité.
- Décision rendue sur une question litigieuse par l'autorité compétente.
- Opinion, avis solennellement formulé, faisant autorité et auquel on se range.

source et suite sur cnrtl,
   
       
Théorie
de la littérature

La théorie de la littérature est l'étude savante de la littérature en tant que phénomène culturel. Il s'agit d'une discipline qui relève à la fois de la linguistique et de l'esthétique. La théorie du langage littéraire est parfois désignée sous le terme de poétique.

Par souci de clarté, l'article présente ce qui relève de la littérature en général (genres, figures de style, comparatisme) et de l'analyse littéraire pour ce qui concerne les techniques d'étude des œuvres individuelles. Une théorie de la littérature ne peut se construire que sur l'étude d'un corpus d'œuvres. Réciproquement, l'analyse littéraire, pour être pertinente, doit s'appuyer sur une réflexion théorique sur le statut et la fonction de la littérature.
source cet suite sur wilipedia,

   
       
Traduction - La traduction (dans son acception principale de traduction interlinguale) est le fait de faire passer un texte rédigé dans une langue (« langue source », ou « langue de départ ») dans une autre langue (« langue cible », ou « langue d'arrivée »). Elle met en relation au moins deux langues et deux cultures, et parfois deux époques.

Une traduction (translation en ancien français1) représente toujours un texte original (ou « texte source », ou « texte de départ ») ; en cela, elle comporte un certain degré d'équivalence, bien que le concept d'équivalence stricte entre les langues soit désormais dépassé en traductologie. Le concept de traduction repose depuis longtemps sur des dichotomies telles que « fidélité » versus « liberté », « fidélité à la lettre » versus « fidélité à l'esprit », « traduction sourcière » versus « traduction cibliste », etc.

La traduction tient compte d'un certain nombre de paramètres (contexte, grammaire, etc.), afin de se rendre compréhensible pour des personnes n'ayant pas de connaissance de la langue source et n'ayant pas la même culture ou ne disposant pas du même bagage de connaissances2. Traduire suppose de maîtriser la langue source mais aussi la langue cible (ou destinataire), qui est généralement la langue maternelle du traducteur.

source et suite sur wikipedia,

   
       
Transcription

La transcription est l'opération qui consiste à substituer à chaque phonème (on parle alors de transcription phonologique) ou à chaque son (transcription phonétique) d'une langue un graphème ou un groupe de graphèmes d'un système d'écriture. Elle dépend donc de la langue cible, un unique phonème pouvant correspondre à différents graphèmes suivant la langue considérée.

source et suite sur wikipedia,

   
       
Translittération

La translittération est l'opération qui consiste à substituer à chaque graphème d'un système d'écriture un graphème ou un groupe de graphèmes d'un autre système, indépendamment de la prononciation. Elle dépend donc du système d'écriture cible, mais pas de la langue source.

source et suite sur wikipedia,

   
       
Tropes Un trope (substantif masculin), du grec τρόπος, trópos (« tour »), est une figure de style ou figure de rhétorique destinée à embellir un texte ou à le rendre plus vivant, et qui consiste à employer un mot ou une expression dans un sens détourné de son sens propre (exemple : voiles pour « vaisseaux »).
Ornement du texte, au sens figuré !
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  à l’origine, un trope désignait toutes les façons de « tourner » le sens du mot « afin de lui faire signifier ce qu’il ne signifie point dans le sens propre » (César Chesneau DumarsaisTraités des tropes, 1730). Historiquement, le terme désigne une insertion à la fois musicale (tropes mélogènes), et textuelle (tropes logogènes, du Propre ou de l'Ordinaire de l'Office liturgique) dans des textes médiévaux liturgiques, que l’on retrouve à travers les drames religieux ou les séquences. Il s’agit alors d’un ornement du plain-chant (du « chant grégorien ») au moyen d’additions, de substitutions ou d’interpolations de textes musicaux ou poétiques, mécanisme que l’on retrouve dans le sens stylistique du terme ;    
  Les expressions qui en résultaient se sont figées en des formules fixes qui n'ont cessé de se multiplier avec le développement de la langue française. Le terme en vient ensuite à désigner le type de figure de style portant sur le sens des mots : « Les Tropes sont certains sens plus ou moins différents du sens primitif, qu'offrent, dans l'expression de la pensée, les mots appliqués à de nouvelles idées » (Pierre FontanierLes Figures du discours) ;    
  - Métaphore, Métonymie, Synecdote, Ironie,    
  - Figure du discours, Figure de style, Figures de rhétorique, sur gaogoa,
- Fontanier, ....
   
Volumina