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l'écriture :

/-/l'inertie : pour apprécier l'inertie de l'écriture, posture galiléenne, Lacan suggère de faire un problème de mathématique, de le résoudre, puis de l'oublier, et ensuite de roncommencer plus tard, pour se rendre compte qui si le résultat est identique, la démarche peut être très différente et faire l'objet de raisonnements autres. ( cas de o puissance o = 1) . Cela montre aussi la surdétermination du résultat par des voies différentes.

-/la censure, : elle fait franchir le mur de la censure, du refoulement, de la rétention, / à ce qu'on ne peut pas dire
Autrefois il y avait des maisons d'éditions, des comités de lecture, ou une certaine réserve pour publier !
Aujourd'hui, les plus grandes facilités sont proposées pour dire, écrire, sur Internet, sur FaceBook,... s'il faut saluer les progrès de la démocratie, cela n'est-il pas sans danger lorsque la "toile" se tend ?! (tel journaliste tunisien risquant la prison pour des critiques contre son roi ?!) D'autant que les journalistes promus au rang de juge impartiaux, d'inquisiteurs, et d'intellectuels, abaissent le niveau d'une sage méfiance préventive !

-l'écrit est coupure dans l'exercice de la parole,

 

 
http://gaogoa.free.fr/HTML/JMV/textes/JMV-Sorbonne-050211-JR-PG-Psychanalyse%20et%20Topologie.pdf  

Transmisson et initiation,

Voilà pour la psychanalyse et cette inertie entre parole et écriture. 46.52 Lire "L'origine de la géométrie" (.pdf) de Husserl qui démontre la discontinuité entre Galilée et Euclide , est-ce une transmission, je tiens que non : il n'y a pas de filiation entre eux.
Lacan nous dit qu' après Cantor l'initiation c'est terminé , c'est la fin de l'apprentiss age par le sexuel , d'un savoir lié à un composant sexué . Fin des maîtres antiques et de l'initiation (bizutage, initiation) . 140 Dans le management on essaie de retrouver çà pour faire un truc animal. A la civilisation des Maître succède la civilisation des E nseignant. Et qui enseigne dans la psychanalyse ?, ce sont les analysants. Toutes les techniques sont liées à l'écriture . Lacan, lui, parle au regard de son public lors du séminaire, en supposant qu'il y a vait de l'analyste dans la salle. L ' Enseignant q uand il fait son cours il s'instruit , c'est le seul à le faire, auditeurs et élèves n'y entravent rien ! . Il s'agit d'arriver à une réforme de l'entendement . A l'opposée d' une réforme de la sensibilité de l' esthétique k antienne, j'oppose La réforme de l'e ntendement Lacan en parle dans «L a méprise du sujet supposé savoir » à Naples. Freud écrit et invente une pratique de la parole. Lacan parle, et rajoute des mathématiques du côté de l'écrit. 150 Parler et écrire c'es t différent mais le trait commun c'est la lisibilité . L e trait unaire , qui n'est pas le percept, lié à la sensibilité et à la perception, n'est pas encore une lettre , c'est un élément de lisibilité . Dans m on intuition ma sensibilité fournit des objets et ma sensibilité four nit ces objets mon ent endement. La perception - signe , verneinung zeichen consiste à d écouper , s éparer puis réunir, des portes, la synthèse se fait toute seule. D'où l'importance de " l'analyse ", c'est - à - dire de découper, de séparer, de distinguer. Et laisser dans l'exercice du langage les choses fonctionner dans une pulsation souple. L'intuition me fournit des lettres. Pour Lacan , l e graphe des trois ronds représente le sch éma eulérien conceptuel du syl logis me , m ais en introduisant des oppositions dessus - des sous cela produit di vers types de nœuds ou de chaînes , le 4 nœud borroméen introduit la modalité.

La linguistique et la topologie :

Lacan a lu la logique de Lvov - Varsovie 2 , dont le "Cercle 160 de Vienne " n'est qu' un enterrement. Popper , Hayek, c'est une catastrophe, le logico positivisme.
La linguistique : C'est Chomsky qui repris les grammaires chomskiennes chez Carnap et il a arrêté la linguistique. L'intérêt de Saussure pour le signe saussurien, est d 'en revenir au phonème découvert par Baudouin de Courtenay . Pour Meschonnic , le signe saussurien, est aussi un enterrement parce qu 'il en revient à la représentation (signifiant/signifié) .
Il faut revenir au phonème. Lire les Principes de phonologie de Troubetskoï : la phonétique n 'est pas la phonologie !! C'est pas le signal qui compte, c'est l'opposition entre deux signaux.
C'est pas la phonétique le son, le signifiant, c'est du côté des oreilles, la lettre c'est du côté scopique de l'écrit, du regard, du 170 braille, ce sont des systèmes d'oppositions. Ce sont non les ressemblances, mais les différences, les oppositions qui comptent.
De la différence se produit l'identité et l'identité ce n'est pas la ressemblance. L'identité, c'est problématique, la psychanalyse le montre, est le produit de la répétition : la répétition freudienne, c'est la différence, c'est le m ême mais qui n'est pas pareil ! C'est la même chose entre la langue et la parole écrite et la langue parlée. Le nœud est le même mais sous différentes présentations. Dans sa conférence 26 en 1916, Intro à la psychanalyse, Freud dit à Jung :" il y a deux libidos mais c'est peut-être la même " . Une différence dans le même , ça conduit à l'identité, c'est inimaginable : ça nécessite de changer de logique , et une réforme de l'entendement . 57.37 180 Lacan découvre la topologie chez les logiciens de Varsovie . Krivine considère que la topologie est la période archaïque de la théorie des modèles !. Lacan lit les mathématiciens dès 1930. La topologie est concernée par les filtrations, par les intersections, et les recouvrements. Tout ça commence par le cours de topologie générale de Revuz (cours de l'APM ) , c'est hyperbourbakiste.

 

Fantasme , Géométrie et mathématique,

Freud est différent de Lacan. Dans le séminaire "Encore " page 100, Lacan énonce : "les autres ils font ce qu'ils veulent avec la structure , pour moi Lacan : la structure c'est le principe d'inertie ".
Dans "Radiophonie" questions 4, Lacan reprend selon Koyré comment, à partir de Kepler (formule de la trajectoire des planètes) , puis, en passant par Galilée , et aboutissant enfin à Newton, qui produit la formule de la gravitation, c-a-d de l'influence, la formule du premier fantasme scientifique écrite .
Le fantasme est une formule écrite dont les symptômes sont des déclinaisons. La théorie du fantasme de Lacan diffère de celle de Freud (qui n'en a pas d'autre 30 que les fantaisies fétichistes ).
Le fantasme est une phrase déterminante dont dérivent les symptômes.
L'écrit plus la grammaire structurent le fantasme ( voir : Subversion de Sujet et Dialectique du Désir , ainsi que le séminaire 14 " La logique du fantasme ") . Le premier fantasme constitué c'est la formule de Newton.
Lacan analyse trois fonctions : écrit, parole, symptôme.
Newton écrit sa formule par analogie avec la diffusion de la chaleur d'une bougie sur une sphère.
Pour Newton, Dieu a jeté les planètes comme des dés : c'est un problème géométrique.
Seul Luminet parmi les astrophysiciens lit Cantor, théorie des ensembles et Poincaré , la géométrie .
C'est une affaire d'écriture et de géométrie. Lacan a une posture galiléenne et Freud c'est Kepler.
Freud, lecteur, nous apprend à lire les rêves, les symptômes, les rêves, les lapsus, les mots 40 d'esprit, il se trompe et se corrige .

 

 

Freud & Lacan

La psychanalyse freudienne est différente de la psychanalyse lacanienne, mais c'est la même. La langue parlée et la langue écrite sont deux inerties différent e s mais c'est la même langue . Travailler la compl étude à partir de Gödel et d 'Hintikka, ce serait absolument crucial pour l'épistémè cont emporaine : la psychanalyse n'est pas une science , c'est une pratique, qui transforme la notion que l'on se fait de l'épistémè à notre époque , c'est est la crise de civilisation de notre époque . Parler es t différent d'écrire. Lacan parle 27 ans , les textes sont non établis , mais il y a les "Ecrits" et "A utres écrits " . La m éthode freu dienne repose sur la comparaison de deux versions ( Champollion) : les "E crits " et les " séminaires " comme matériaux associatifs, sont à lire en double. L a corde dogmatique ce sont les écrits. Le dogmatisme c'est le silence. Les 70 mathématiques sont une pratique silencieuse (une philosophie silencieuse) . Il faut faire sa place au dogmatisme. Lacan devient Lacan quand il voit comme nt Kojève dédogmatise Hegel (parl er Hegel en français ). Le dogmatisme je l e place dans les mathématiqu es et ainsi, je peux parler et lire de manière plus souple . La parole c'est hyper souple , c'est l es embrouilles du vrai. Dans le s symptôme s comme dérivations fausses qui font souffrir le sujet. L e sujet , dans le ça parle, essaie de réaliser une formule écrite qui s'appelle le fantasme et qu'il n'arrive pas à écrire . On parle pour écrire, mais on rate la formule du fantasme en écrivant. C'est ça le symptôme

 

 

Chez Lacan vous avez le signifiant, le t rait unaire ( l' Einsiger zug ), et la lettre. Pour qu'il y ait lettre il faut qu'il y ait un groupe qui construise, qui invente un système d'écriture L' écriture s'inve nte, le savoir s'invente, il e s t du côt é de l' écrit ure . La vérit é se déclare, la parole elle est du côté de la vérité . Parler à un lien avec la vérité, et aussi un lien avec la posture, la parade sexuelle animale.

Le territoire est une extension de la libido , il faut tracer le bord pour les animaux : la libido animale n'a pas de porte , à l'intérieur elle est uniforme . Le langage introduit des portes. Nous , on 90 a des portes : vous pourrez ainsi lire dans le séminaire 2, "psychanalyse e t cybernétique " ou de la nature du langage où il parle de la porte . Textes, paroles, argent, permettent d'ouvrir des portes. Plus vous êtes riches plus vous avez des portes, si vous êtes pauvres , vous êtes sans portes: SDF . L es portes des riches vont jusqu'aux portes des coffres - forts. Une porte , ce doit être ouverte ou fermée . Faire fonctionner les portes , c'est ça la psychanalyse . Le langage , montrer et cacher c'est la pudeur, c e qu e ne comprend pas le paranoïaque. L es bons livres, on ne les reconnaît jamais à chaque lecture. En mathématiques aussi, la lecture ouvre à des significations multiples. I l y a une fixité , une constante dans l'écriture mathématiques : on aboutit toujours au même th éorème.

Lacan d écouvre la topologie chez les logiciens de Varsovie . Krivine considère que la topologie est la période archaïque de la théorie des modèles !. Lacan li t les mathématiciens dès 1930. La topologie e s t concern ée par les filtrations, par les intersections, et les recouvrements. Tout ça commence par le cours de topolo gie général e de Revuz (cours de l'APM ) , c'est hyperbourbakiste . La topologie présente trois chapitres. L e mot a été introduit par L isting en 1845 dans sa thèse et provient de ses travaux sur la symétrie miroir et la théorie des noeuds . Jean - Michel V. l a é crit une préfa ce à la thèse de Listing. Moi JMV, je suis géomètre, mais je respecte l 'algèbre. M ais je m 'oppose à la thèse de Church selon la 190 quelle toute fonction calcula ble est forc ément Turing - calcula ble. Il y a un lien entre la logique, la théorie des ensembles, et la topologie . La topologie générale c'est la topologie ensembliste de Fréchet. Qui donne des définitions, comme la continuité, l'arithmétisation de la limite avec le epsilon, ? ? ? Les espaces topologiques sont un champ soumis à la continuité, à l 'analyse par la théorie des ensem bles, par des filtres, à l'arithméti sation de la limite jusqu'à la fonction inverse. Ceci supprime les infini ment petits de Leibniz et de Newton

Jean - Miche l a une divergence avec M me Claude Imbert : la logique moderne n'est pas le prolongement de la logique grecque. Il y a une de coup ure entre les deux. La logique stoicienne à partir de Platon, mais même Lukzievitch qui écrit en écriture polonaise un énoncé catégorique d'Aristote, ça s'écrit comme ça : non (p implique q) implique et réciproque (p ET non q) . On me dit nominalisme ! Je prends la lettre au sérieux ! C'est un matérialisme. Une invariance. Mon hypothèse : l'écriture des nombre par une logique de position est à la racine du logocentrisme occidental, beaucoup plus que l'alphabétisme selon Derrida. 210 5 La psychose est un refus , un rejet, une destruction de la lecture trop souple, de la lisibilité , le parano ïaque ( Schreber, Hitler, Truman ) , ne veut qu e du code , il déteste l'alphabet hébreux car il n'y a pas de voyelle. Les japonais lisent de façon inouïe en permanence, de deux manières o n - y omi et kun - y omi . Des sœurs Papin à Muss Burger, le crime paranoïaque préoccupe les intellectuels d'avant guerre. Le crime paranoïaque est devenu crime de masse, avec Auschwitz et Hiroshima. Lisez Thomas Mann qui compare Freud avec Nietzsche en 1930. L'écriture nous condui

 

La théorie des ensembles

Cantor écrit et dit des choses avec le théorie des ensembles, jamais dites et indiquées avant, c'est une théorie de la construction du mathème la théorie des ensembles , de sa fabrique, que va a méliorer Zermelo, et Frankel, à cause de la théorie , ? l'aporie ? de Russel, on voit que les axiomes sont tous des producteurs d'ensembles, à part l'axiome de l' extensionalité et l'axiome de l'infini, l'axiome de l'infini : il en existe un, pour Alm os, le vide comme premier ensemble, il faut qu'il y ait un ensemble et les autres axiomes disent comment en fabriquer d'autres, c'est ce que j'ai étudié dans la théorie des abréviations, la manière de fabriquer une lettre, la théorie des ensembles est la théorie des mathèmes classiques, ça permet de reconstruire une foule de 400 mathèmes intuitifs de nos classiques, pas de raison que ce soit une hégémonie, pour Hilbert c'était incroyable de voir l'effet que produisait la théorie des ensembles, pour Lacan avec Cantor on est en arrière de ??? 01.47.00 , dans une construction qui est entièrement enseignable, c'est plus une initiation, parler d'ensemble vide, c'est une lettre, Cantor il produit ça , et il dit comment construire ce mathème , on peut le construire avec le tau de Hilbert, , à la manière de Bourbaki, mais on peut le construire autrement j'ai montré pour les formules de la sexuation, j'ai défini pour les mathèmes de Lacan, qui sont ces deux nouveaux quanteurs, , , c'est pas des négations de quanteurs, ce sont des qu anteurs en eux même, vous trouverez ça sur ma page, ça s'appelle Lecture des formules de la sexuation. Les informaticiens qui ont appris à écrire à la manière de Peirce le calcul des propositions, ils ont mis à circuler dans le monde entier cette 410 lettre l à, @, pour Peirce c'est la négation de a, et il fait une logique du rien et du rond, le mettre dans un cartouche, dans une case vide, c'est rien, et dans l'autre un rond, et Peirce montre que ce sont deux caractères, que la case vide est un caractère, je p résente ça dans ma pa ge comme des petites géométries. Ca ne veut pas dire que la mathématique s'arrête avec Cantor, pourquoi la métaphysique s'achève comme le dit Kojève avec Hegel, et que l'ontologie devient cybernétique, et pourquoi les mathématiques av ec Cantor ne s'achèvent pas ?. On est là dans une période d'achèvement, la musique classique s'achève avec Schoenberg, la peinture s'achève avec Kandinsky, nous sommes dans une époque d'achèvement mais ce n'est pas du tout désolant ! Achever c'est pas liqu ider, ça veut dire accompli, ce sont des systèmes d'inventions, d'écritures, qui s'accomplissent, après Joyce, Duras a fait des romans très joyciens, même Robbe - Grillet, le 420 nouveau roman, ils n'ont pas inventés une nouvelle littérature, comme ça a été le c as avec

 

http://www.etudier.com/dissertations/Noam-Chomsky-Grammaire-Formelle/296184.html

La grammaire chomskienne a pour la particularité d'être à la fois générative et transformationnelle. L'histoire de la grammaire générative peut être divisée en deux grandes périodes : première va de 1957 (premier ouvrage de ChomskyStructures syntaxiques) à la fin des années 70 (théorie des traces) ; la seconde concerne les développements récents du modèle chomskienne, que l'on peut regrouper autour de la théorie du « gouvernementet du liage ». La première période a rassemblé nombre de linguistes attirés par l'objectif d'un traitement formel et automatisable de la langue.
GRAMMAIRE FORMELLE :

NOAM CHOMSKY

Table des matières
I. La théorie standard chomskienne 2

II. Structure syntaxiques (1957) : les trois types de grammaires 3

III. Aspects de la théoriesyntaxique (1965) : la théorie standard 5

IV. La théorie standard étendue et la théorie des traces 6

V. Développements récents de la théorie chomskienne 6

La théorie standard chomskienneLa grammaire générative est associée au nom du linguiste américain Noam Chomsky. La grammaire chomskienne a pour la particularité d'être à la fois générative et transformationnelle. Le modèlechomskienne a connu instantanément de nombreuses versions successives. L'histoire de la grammaire générative peut être divisée en deux grandes périodes : première va de 1957 (premier ouvrage de ChomskyStructures syntaxiques) à la fin des années 70 (théorie des traces) ; la seconde concerne les développements récents du modèle chomskienne, que l'on peut regrouper autour de la théorie du « gouvernementet du liage ». La première période a rassemblé nombre de linguistes attirés par l'objectif d'un traitement formel et automatisable de la langue.

Chomsky cherche à bâtir une théorie des structureslinguistiques, qu'il appelle grammaire, et dont la pièce principale est constituée par la syntaxe. Les phénomènes syntaxiques appartiennent, selon lui, à un niveau spécifique et autonome, distinctd'une part de la morphologie et de la phonologie, et d'autre part de la sémantique (une phrase bien formée syntaxiquement mais dépourvue de signification). Le but de la grammaire est de rendre compte de toutes les phrases grammaticales et d'elles seules. La grammaire a la forme d'un mécanisme génératif : les faits de syntaxe pourraient être décrits à l'aide d'un axiome et d'un système de règles. Les structures syntaxiques sont conçues comme ne se réduisant pas à un corpus fini, car à partir d'un ensemble fini de règles et de symboles il est possible de générer une infinité de phrases.

 
La linguistique cognitive
Édité par Catherine Fuchs

L'ouvrage présente les problématiques théoriques, les recherches actuelles et les acquis de la linguistique cognitive. La première partie est consacrée à un panorama des principaux courants contemporains, qui se réclament de deux grands paradigmes théoriques : le paradigme classique du cognitivisme (appelé paradigme computo-représentationnel symbolique), qui a été adopté par les “grammaires formelles”, et notamment par la grammaire chomskienne et un paradigme alternatif encore en émergence (parfois appelé paradigmeconstructiviste), représenté principalement par les “grammaires cognitives”, mais auquel se rattachent également certains tenants de la linguistique fonctionnaliste, ainsi que des approches typologiques et diachroniques des langues. La seconde partie est consacrée aux interactions entre la linguistique cognitive et d'autres disciplines des sciences cognitives abordant le langage non plus à partir de l'étude spécifique de la structure et du fonctionnement des langues, mais en tant que faculté supérieure de l'espèce humaine mise en œuvre par des sujets, donnant lieu à l'activation de certaines zones du cerveau, et susceptible d'être simulée sur ordinateur. Signe incontestable de jeunesse, ce foisonnement des approches témoigne de la vigueur de la réflexion dans un domaine complexe - celui des liens entre la diversité des langues et la faculté de langage, et de leur inscription dans l'architecture et le fonctionnement de l'esprit et du cerveau - où nombre de questions demeurent encore sans réponse, voire même informulées.
 
Carnap ( la philosophie est une activité linguistique, proposant une analyse syntaxique des langages, pouvant discriminer entre science et non-science. Commença alors avec Quine, qui dans les deux dogmes de l'empirisme critique le positivisme logique, un débat riche et divers sur leurs positions épistémologiques respectives, dont un des points d'achoppement reste l'acceptation d'une division des énoncés scientifiques entre énoncés analytiques a priori et énoncés synthétiques a posteriori . Carnap souscrivant à cette vue, Quine non )
 
nous n’avons pas encore de linguistique, puisque le signe linguistique de Saussure est insuffisante! Meschonnic, il dit que c’est un abîme ! Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas cet aspect dynamique, Meschonnic, il va ajouter la question qu’il dit politique du Rythme !? 01.23.10, et à mon avis c’est encore insuffisant, il n’a pas renouvelé la science Politique pour autant, alors que c’est de ça dont il est question, c’est de voir comment tenir compte des conséquences de la Parole et de l’Écrit, on fait plus facilement une censure de l’Écrit, on peut censurer le journal, que de la parole, la parole c’est incorrigible, et tant mieux, moi je considère que l’Écrit permet de corriger l’objet, d’améliorer la construction que l’on fait de cet objet, pour s’orienter dans un exercice qui lui est absolument incorrigible, qui s’appelle la Parole incontrôlable, et c’est très bien comme ça, donc la psychanalyse elle n’est pas normative, pour le sujet, elle s’interroge sur la construction d’un objet, mais d’un objet que Lacan appelle d’une lettre  justement pour bien indiquer qu’il s’agit là de l’Écrit,