IX-L'IDENTIFICATION
Version rue CB note
Séminaire du 28 février 1962
(->p224) (XI/1)
On peut trouver que
je m'occupe ici un peu beaucoup de ce qu'on appelle -
Dieu damne cette dénomination - des grand philosophes, c'est que peut-être pas eux seuls,
mais eux éminemment,
articulent ce qu'on peut bien appeler une recherche pathétique de ce qu'elle revienne
toujours, si on sait la considérer à travers tous ses détours, ses objets plus ou
moins sublimes, à ce noeud radical que j'essaie pour vous de desserrer à
savoir le désir ; c'est ce que j'espère à la rechercher si vous voulez bien me
suivre, rendre décisivement à sa propriété de point indépassable, indépassable
au sens même que j'entends quand je vous dis que chacun de ceux qu'on peut appeler
de ce nom de grand philosophe ne saurait être sur
Je me crois en droit de m'affronter, avec votre assistance, à
une telle tâche pour autant que le désir
c'est notre affaire comme psychanalystes. Je me crois aussi requis de m'y attacher
et de vous requérir de le faire avec moi parce ce n'est qu'à rectifier notre
visée sur le désir que nous pouvons maintenir la technique analytique dans sa
fonction première, le mot premier devant être
entendu au sens de d'abord apparu dans 1'histoire - il n'était pas douteux
au départ - une fonction de vérité. Bien sûr, c'est ce qui nous sollicite à
Rien n'est plus exact, rien n'est plus exigeant que le calcul de la conjoncture subjective quand on en a trouvé ce que je peux appeler, au sens propre du terme, sens où il est employé dans Kant, la raison pratique. J'aime mieux l'appeler ainsi que de dire le biais opératoire, pour la raison de ce qu'implique ce terme d'opératoire depuis quelque temps : une sorte d'évitement du fond. Rappelez-vous là-dessus ce que je vous ai enseigné il y a deux ans de cette Raison Pratique en tant qu'elle intéresse le désir. Sade est plus près que Kant, encore que Sade, presque fou, si on peut dire, de sa vision, ne se comprenne qu'à être à cette occasion rapporté à la mesure de Kant comme j'ai tenté de la faire.
Rappelez-vous
ce que je vous ai dit, de l'analogie frappante entre l'exigence totale
de la liberté de la
Donc,
pour ceux qui ne se souviennent pas bien dans quel sens Kant emploie ce
terme, pour qui cela pourrait faire contre-sens, j'essaierai de le traduire
en disant le protopathique, ou encore plus largement ce qu'il y a dans
l'expérience d'humain trop humain, de
limites liées au commode, au confort,
Donc
si loin d'elle commodité, confort,
concession, n'irez-vous pas me dire que sans doute pas compromis puisque
tout le temps nous en parlons. Mais les compromis qu'elle a à passer, cette
fonction du désir, sont d'un autre ordre que ceux liés par exemple à
l'existence d'une communauté fondée sur l'association vitale, puisque c'est
sous cette forme que le plus commodément nous avons à évoquer, à constater,
à expliquer la fonction du compromis. Vous savez bien qu'au point où nous
Pour repartir, comme je fais toujours, à quelque point de chaque discours que je vous adresse hebdomadairement , je vous rappelle que cet instinct de mort n'est pas un ver rongeur, un parasite, une blessure, même pas un principe de contrariété, quelque chose comme une sorte de Yin opposé au Yang, l'élément d'alternance. C'est pour Freud nettement articulé : un principe qui enveloppe tout le détour de la vie, laquelle vie, lequel détour ne trouvent leur sens qu'à le rejoindre. Pour dire le mot, ce n'est pas sans motif de scandale que certains s'en éloignent ; car nous voilà bien sans doute retournés, revenus, malgré tous les principes positivistes, c'est vrai, à la plus absurde extrapolation à proprement parler métaphysique et au mépris de toutes les règles acquises de la prudence. L'instinct de mort dans Freud nous est présenté comme ce qui pour nous, je pense en sa place, se situe des séquelles de ce que nous appellerons ici le signifiant de la vie, puisque ce que Freud nous en dit c'est que l'essence de la vie, réinscrite dans ce cadre de l'instinct de mort, n'est rien d'autre que le dessein, nécessité par la loi du plaisir, de réaliser, de répéter le même détour toujours pour revenir à l'inanimé.
La
définition de l'instinct de vie dans Freud - il n'est pas vain d'y revenir,
de le réaccentuer
- n'est pas moins
étrange de ceci qu'il convient toujours de ressouligner (->p228)
(XI/5) qu'il est
réduit à l'Éros, à la
libido. Observez bien ce que
La
douleur n'est pas simplement, comme disent les techniciens , de sa nature
exquise ; elle est privilégiée, elle peut être fétiche. Ceci pour nous mener
à ce point que j'ai déjà, lors d'une récente conférence, non ici articulé
qu'il est , actuel dans notre propos de mettre en cause ce que veut dire 1'organisation
subjective que désigne le processus primaire,
(->p230) (XI/7) Je m'excuse
avec toute l'humilité
qu'on voudra, auprès de ceux qui des textes kantiens on une expérience
qui leur donne droit à quelque observation marginale quand je vais un peu vite
dans ma référence à l'essentiel de ce que l'exploration kantienne nous
apporte. Nous pouvons ici nous attarder à ces méandres peut-être par
certains points aux dépens de la rigueur, mais n'est-ce pas aussi
qu'à trop les suivre, nous perdions quelque chose de ce qu'ont de massif sur
certains points, ses reliefs, je parle de la critique kantienne et nommément
de celle dite de la Raison Pure.
Dès
lors, n'ai-je pas le droit de m'en tenir pour un instant à ceci qui, pour
quiconque simplement aura lu une ou deux fois avec une attention éclairée
ladite Critique
de la Raison Pure,
ceci d'ailleurs qui n'est contesté par aucun commentateur que les catégories
dites de la Raison Pure exigent assurément de fonctionner comme telles le
fondement de ce qui s'appelle intuition pure, laquelle se présente comme la
forme normative, je vais plus loin, obligatoire, de toutes les appréhensions
sensibles. Je dis de toutes quelles qu'elles soient. C'est en cela que cette
intuition qui s'ordonne en catégories de l'espace et du temps, se trouve désignée
par Kant comme exclue de ce qu'on peut appeler l'originalité de
l'expérience sensible, de la Sinnlichkeit, d'où seulement peut sortir, peut
surgir quelque affirmation que ce soit de réalité palpable, ces affirmations
de réalité n'en restant pas moins dans leur articulation soumises aux catégories
de la dite Raison Pure, sans lesquelles elles ne sauraient, non pas seulement être
énoncées, mais même pas être aperçues. Dés lors, tout se trouve sus
Le
schème kantien, on peu arriver à le réduire à la Beharrlichkeit, à la
permanence, à la tenue;
C'est
pour cela qu'il n'est point indifférent
de montrer où passe effectivement la frontière de ce qui est efficace dans
l'expérience malgré toutes les purifications théoriques et les rectifications
morales. Il est tout à fait clair en
Chacun sait, pour autant que l'esprit s'est en somme assez facilement ployé à l'imagination, à l'intuition pure d'un espace courbe par la métaphore de la sphère, que par deux points, il peut passer beaucoup plus d'une droite, et même une infinité de droites. Quand il nous donne dans ce tableau des nichts, des riens, comme exemple du "leere Gegenstand ohne Begriff" de l'objet vide sans concept, l'exemple suivant qui est assez énorme : l'illustration d'une figure rectiligne qui n'aurait que deux côtés, voilà quelque chose qui peut sembler peut-être à Kant - et sans doute pas à tout le monde à son époque - comme l'exemple même de l'objet inexistant et par-dessus le marché impensable ; mais le moindre usage je dirais même d'une expérience de géomètre tout à fait élémentaire, la recherche du tracé que décrit un point lié à une roulante, ce qu'on appelle une cycloïde de Pascal, vous montrera qu'une figure rectiligne, pour autant qu'elle met proprement en cause la permanence du contact de deux lignes ou de deux côtés est quelque chose qui est véritablement primordial , essentiel à toute espèce de compréhension géométrique, qu'il y a bel et bien là articulation conceptuelle et même objet tout à fait définissable.
Aussi bien, même avec cette affirmation que rien n'est fécond sinon le
jugement synthétique, peut-il encore après tout l'effort de logicisation de la
mathématique, être (->p234) (XI/11)
considéré comme sujet à raison. La prétendue infécondité du jugement analytique à priori, à savoir de ce que nous
appellerons tout simplement l'usage purement combinatoire d'éléments extraits
de la position première d'un certain nombre de définitions, que cet usage
combinatoire ait en soi une fécondité propre, c'est ce que la critique la plus
récente, la plus
Qu'est-ce à dire
? Est-ce pour autant que cette intuition pure, telle que pour Kant aux
termes d'un progrès
critique concernant les formes exigibles de la science, que cette intuition pure
ne nous enseigne rien ?
Elle nous enseigne assurément de discerner sa cohérence
et aussi sa disjonction possible de l'exercice justement synthé
(->p235) (XI/12) La nôtre ici évidemment seule nous importe. Mais n'est-il pas plus significatif que d'anecdotes, d'accidents, voire exploits, au point précis où on peut faire remarquer la minceur du point de conjonction entre le fonctionnement catégoriel et l'expérience sensible dans Kant, le point d'étranglement, je puis dire, où peut être soulevée la question si l'existence d'un corps, bien sûr tout à fait exigible, en fait ne pourrait pas être mise en cause dans la perspective kantienne. Quant fait qu'elle soit exigée en droit, est-ce que quelque chose n'est point fait ?
Pour
vous présentifier cette question dans la situation de cet enfant perdu
qu'est le cosmonaute de notre époque
dans sa capsule au moment où il est dans l'état d' apesanteur, je ne m'apesantirai
pas sur cette remarque que la tolérance, semble-t-il, sans doute n'a
jamais été encore mise très longtemps à l'épreuve. Mais tout de même la tolérance
surprenante de l'organisme à l'état d'apesanteur est tout de même faite pour
nous faire poser une question, puisqu'après tout des rêveurs s'interrogent sur
1'origine de la vie - et parmi eux il y a ceux qui disent que ça s'est
mis tout d'un coup à fructifier sur notre globe, mais d'autres que ça a
dû venir
par un germe venu des espaces astraux. Je ne saurai vous dire à quel point
cette sorte
de spéculation m'indiffère. Tout de même, à partir du moment où un organisme,
qu'il soit humain, que ce soit celui d'un chat ou du moindre seigneur du règne
vivant, semble si bien dans l'état d'apesanteur, est-ce qu'il n'est pas
justement essentiel à la vie disons simplement qu'elle soit en quelque
sorte dans une position d'équipollence par rapport à tout effet
Qu'est-ce qu'il
lui en est advenu au Gagarine, ou
(->p238)
(XI/15) Voici donc ce corps devenu si je puis dire une sorte de mollusque,
mais arraché à son
implantation végétative.
Elle
est toujours là, cette fausse géométrie, aussi bête et aussi idiote,
parce qu'elle est effectivement produite
comme une sorte de reflet de l'activité combinante, mais reflet qui n'est pas
moins réfutable. Car comme l'expérience de la méditation des mathématiciens
l'a prouvé, sur ce sol, nous ne sommes pas moins arrachés à la pesanteur que
dans l'endroit là haut où nous suivons notre cosmonaute. En d'autres termes que
cette intuition prétendue pure est sortie de l'illusion de leurres attachés à
la
fonction combinatoire, elle-même tout à fait possible à dissiper même
si elle s'avère plus ou moins tenace, elle n'est, si je puis dire, que l'ombre
d'une ombre.
(->p239)
(XI/16) Mais bien sûr, pour pouvoir affirmer
cela, il faut avoir fondé le nombre lui-même ailleurs que dans cette
intuition. Au reste, à supposer que notre cosmonaute ne le conserve pas, cette
intuition euclidienne de l'espace, et celle beaucoup plus discutable encore du
temps qui lui est appendue dans Kant, à savoir quelque chose qui peut se
projeter sur une ligne, qu'est-ce que ça prouvera ? Ca prouvera simplement qu'il
est tout de même capable d'appuyer correctement sur les boutons sans recourir à leur
schématisme,
ça prouvera simplement que ce qui
est d'ores et déjà réfutable ici est réfuté là-haut dans l'intuition
elle-même, ce qui, vous me le direz, réduit peut-être un peu la portée
de la question que nous avons à lui poser.
Et
c'est bien pour cela qu'il y a d'autres questions plus importantes à lui
poser, qui sont justement les nôtres,
et particulièrement celle-ci : ce que devient dans l'état d'apesanteur
une pulsion sexuelle qui a l'habitude de se manifester en ayant l'air d'aller
contre, et si le fait qu'il soit entièrement collé à l'intérieur d'une
machine - j'entends au sens matériel du mot - qui incarne,
manifeste d'une façon si évidente le phantasme phallique, ne l'aliène pas
particulièrement à son rapport avec les fonctions d'apesanteur naturelle
au désir mâle. Voilà une autre question dans laquelle je crois que nous avons
tout à fait légitimement notre nez à mettre.
Pour
revenir sur le nombre, dont il peut vous étonner que
j'en fasse un élément si évidemment
détaché de
l'intuition pure, de l'expérience sensible je ne vais pas ici vous faire un séminaire
sur les "Foundations of arithmetica" titre
que
vous pouvez voir sur la face d'un dé, |
C'est assez fréquent, pour voir expérimentée cette faculté de discernement, à cet animal, dans telle situation constituée de buts atteindre, que vous lui donniez des formes diverses. Supposez qu'à côté de cette disposition, chose qui constitue une figure, vous n'attendrez en aucun cas et d'aucun animal qu'il réagisse de la même façon à la figure suivante, qui est pourtant aussi un cinq, ou à celle-ci qui ne l'est pas moins, à savoir la forme du pentagone (schéma) :
Si jamais un animal réagissait
de la même façon à ces trois figures, eh bien, vous seriez stupéfaits, et très
précisément pour la raison que vous seriez alors
absolument convaincus
que l'animal sait compter. Or, vous savez qu'il ne sait pas compter. Cela n'est
pas une preuve de l'origine non empirique de la fonction du nombre. Je vous le
répète
: ceci mérite une
Voilà ce qui me fait dire que ce que nous avons ici à articuler, c'est qu'à renverser, si je puis dire, la polarité de cette fonction de l'unité, à abandonner l'unité unifiante , l'Einheit, pour 1'unité distinctive, 1'Enxigkeit, je vous mène au point de poser la question de définir, d'articuler pas à pas, la solidarité du statut du sujet en tant que lié à ce trait unaire avec le fait que ce sujet est constitué dans sa structure où la pulsion sexuelle entre toutes les afférences du corps a sa fonction privilégiée. Sur le premier fait, la liaison du sujet à ce trait unaire, je vais mettre aujourd'hui le point final, considérant la voie suffisamment articulée en vous rappelant que ce fait si important dans notre expérience, mis en avant par Freud de ce qu'il appelle narcissisme des petites différences, c'est la même chose que ce que j'appelle la fonction du trait unaire ; car ce n'est rien d'autre que le fait que c'est à partir d'une petite différence -et dire petite différence cela ne veut rien dire d'autre que cette différence absolue dont je vous parle, cette différence détachée de toute comparaison possible - c'est à partir de cette petite différence, en tant qu'elle est la même chose que le grand I, l'Idéal du moi, que peut s'accommoder toute visée narcissique ; le sujet consti-(->p243) (XI/20)tué ou non comme porteur de ce trait unaire, c'est ce qui permet de faire aujourd'hui notre premier pas dans ce qui constituera l'objet de notre leçon suivante, à savoir la reprise des fonctions privation, frustration, castration.
C'est à les reprendre d'abord que nous pourrons entrevoir où et comment se pose
la question du rapport du monde
Aussi
bien est-ce en raison de la diffículté de cette question que vous voyez encore,
dans Kant, traîner, si je
puis dire, bien au-delà donc de l'intuition pure, tous ces vieux restes
qui l'entravent de théologie, et sous le nom de conception cosmologique,
"In mundo non est casus", nous rappelle-t-il : rien de
casuel, d'occasionnel. "In mundo non est fato" : rien n'est d'une
fatalité qui serait au-delà d'une nécessité rationnelle ; "In
mundo non est fatum" : il n'y a point de saut ; "In mundo non est
hiatus", et le grand réfutateur des imprudences métaphysiques prend à
son compte ces quatre dénégations, dont je vous demande, si dans la
perspective qui est la nôtre, elles peuvent apparaître autre chose que le
statut même inversé de ce à quoi nous avons toujours affaire à des cas, au
sens propre du terme, à un fatum à proprement parler, puisque notre
Des quatre définition du rien, que donne Kant et que nous reprendrons la prochaine fois, c'est la seule qui se tient avec rigueur : il a là un rien. Observez que dans le tableau que je vous ai donné en trois termes, castration, frustration, privation, la contre-partie, l'agent possible, le sujet à proprement parler imaginaire d'où peut découler la privation, l' énonciation de la privation c'est le sujet de la toute puissance imaginaire, c'est-à-dire de l'image inversée de l'impuissance. Ens rationis : leere Begriff ohne Gegenstand, pur concept de la possibilité. Voici le cadre où se situe et apparaît l'ens privativum. Kant sans doute ne manque pas d'ironiser sur l'usage purement formel de la formule qui semble aller de soi : tout réel est possible. Qui dira le contraire ? Forcément. Et il fait le pas plus loin en nous faisant remarquer que : donc quelque réel est possible, mais que ça peut vouloir dire aussi que quelque possible n'est pas réel, qu'il y a du possible qui n'est pas réel ; non moins sans doute l'abus philosophique qui peut en être fait est ici par Kant énoncé. Ce qui nous importe, c'est de nous apercevoir que le possible dont il s'agit, (->p245) (XI/22) ce n'est que le possible du sujet. Seul le sujet peut être ce réel négativé d'un possible qui n'est pas réel. Le moins 1 constitutif de l'ens privativum, nous le voyons ainsi lié à la structure la plus primitive de notre expérience de l'inconscient, pour autant qu'elle est celle non pas de l'interdit, ni du dit que non, mais du non-dit, du point où le sujet n'est plus là pour dire s'il n'est plus maître de cette identification au 1, ou de cette absence soudaine du qui, vous le remarquez, ici trouve sa force et sa racine ; la possibilité du fatum, casus, saltus, hiatus est justement ce en quoi j'espère dès la prochaine séance vous montrer quelle autre forme d'érudition pure et même spatiale est spécialement intéressée à la fonction de la surface. Pour autant que je la crois capitale, primordiale, essentielle ; à toute articulation du sujet que nous pourrons formuler.
note: bien que relu, si vous découvrez des erreurs manifestes dans ce séminaire,
ou si vous souhaitez une précision sur le texte, je vous remercie par
avance de m'adresser un émail.
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commentaire
relu et corrigé en août 2002