Incorporels  1    bibliographie                                                             
I2 2
la libido est un organe irréel (E847), incorporels ..
 
ajout : Aristoclès-Platon et l'incorporel,
 
BREHIER, CHATELET, DELEUZE, LACAN, Wikipedia, VAPPEREAU,
La fonction (les mathématiques),
l'application (la topologie : en fait la théorie des ensembles) * ,
l'analyse ( la logique ),
trois incorporel(le)s topologicomathématiques (pour Lacan), voir aussi ci-dessous,

s'ajoutent aux

Lekton, incorporels logico-sémantiques (le signifié ou l'exprimable ou dicible : Ce signifié qui est dévoilé dans le langage par la pensée est donc incorporel, alors que l'émission vocale et ce qui porte le nom sont corporels. Dans la mesure où le dicible est un état de chose pensé, il définit la sphère du vrai et faux : l'état de chose signifié et dicible est vrai ou faux.; )

et aux

Vide, Temps, Lieu. Incorporels physiques.

Trois nouveaux inorporel(le)s que Lacan cite dans Radiophonie
, (Lacan, 1970, Autres écrits, Seuil, p408-409. Question II , ou Scilicet 2/3 p60,
05-06-1970, elp,   staferla,
)

cités ci-dessus : La fonction, l'application, l'analyse,

Est incorporel ce que l'étranger ne peut comprendre. Ce que le paranoïaque ne peut lire, lui qui veut que tout soit écrit, dit ! Qui ne supporte pas les langues aux écritures défectives (abjad).
Comme il ne supporte pas l'homosexualité, car ce n'est pas écrit sur le front du sujet ....
.!
Le paranoïaque hait les incorporels ! et pour cela devient fanatique du juridisme, expert en persécution.
Les peuples de l'écriture, souffrent ...! (Japonnais, Juifs, Arabes ...)

Il apparaît une cohérence dans la consitution du Symbolique et l'étude de la Topologie (et des noeuds) qui se tisse des Incorporels, par où le corps symbolique s'incorpore au corps naïf dans le temps du trauma. Incorporels forclos dans la psychose. ( forclos ou "désorientés", ou "morcelés", ou ...)

Pour les stoïciens pas de distinction entre Universel et Particulier, la proposition n'exprime plus l'inhérence d'un prédicat dans un sujet , mais réfère un évènement incoporel, signifié par le verbe, à un sujet réel, et individuel, désigné par le sujet. La proposition n'est complète que si elle comprend un verbe et un sujet : ainsi constituée elle est indissociable. F. Chatelet p 144
...dans sa référence exclusive au discours, la logique stoïcienne , préfigure. le moderne calcul des propositions
Les incorporels voir article sur Wikipedia

Le premier incorporel concerne la sémantique et la logique (voir cette section plus bas) ; les trois autres la physique .

Le dicible (ou exprimable)

Article détaillé : lekton .

En grec, lekta . Les stoïciens distinguent les émissions vocales, la parole ( lexis ) et le langage ( logos ). Les émissions vocales sont tous les bruits formés par la bouche ; la parole est une émission vocale articulée en phonèmes  ; le langage est une émission vocale signifiante par laquelle est exprimée un état de chose. Ce sont ces états de choses qui sont dits dicibles . ( Diogène Laërce , VII, 57). Ce dicible est défini :

« [...] ce qui subsiste en conformité avec une impression rationnelle [..] » ( Sextus Empiricus , Contre les professeurs , VIII, 70).

Il y a deux sortes de dicibles : les dicibles complets, et les dicibles incomplets ( Diogène Laërce , VII, 63). Les dicibles complets sont les propositions et les syllogismes dont l'expression linguistique est achevé ; ce sont ces dicibles qui sont aux fondements de la logique stoïcienne . Les dicibles incomplets sont inachevés (par exemple : il écrit).

L'impression rationnelle est une impression dont le contenu est exprimable par le langage. Les dicibles appréhendés par la pensée à la suite d'une impression sont seulement saisis par ceux qui comprennent le langage au moyen duquel ils sont exprimés, alors que tout le monde peut entendre l'émission vocale, même sans saisir ce qui y est exprimé. Il y a donc une différence d'être entre le signifié et le signifiant. Ce signifié qui est dévoilé dans le langage par la pensée est donc incorporel, alors que l'émission vocale et ce qui porte le nom sont corporels. Dans la mesure où le dicible est un état de chose pensé, il définit la sphère du vrai et faux : l'état de chose signifié et dicible est vrai ou faux.

Sénèque donne l'exemple suivant ( Lettres , 117, 13) : la perception sensible me révèle que Caton est en train de marcher ; par des mouvements de la pensée, je peux énoncer que Caton est en train de marcher. Ainsi, alors que la perception sensible me révèle quelque chose de corporel, mon esprit donne son assentiment à une proposition (en latin Effatum , traduction du grec axiôma ). Sénèque souligne alors la différence fondamentale qui existe entre nommer ce corps et parler à son sujet .

Le vide

Le vide, selon les stoïciens, est ce qui peut être occupé par un existant mais n'est pas occupé ( Sextus Empiricus , Contre les professeurs , X, 3 - 4). Selon Chrysippe ( Stobée , I, 161, 8 - 26), le vide est infini. En effet, le rien n'est pas une limite, et il n'a pas de limite ; il est donc un subsistant (i.e. un incorporel) infini, qui reçoit une limite seulement s'il vient à être occupé.

Le lieu

Bien que le monde en lui-même soit dans un vide illimité, il est sans vide et forme un "tout continu" caractérisé par la "conspiration et la syntonie des choses célestes avec les choses terrestres" (Diogène Laërce, VII, 140). Dans ces limites, le lieu est un incorporel, sans être un vide, se définissant comme un intervalle toujours occupé par un corps ou par un autre, un lieu est un théâtre toujours rempli où des corps se succèdent ou se compénètrent [ 13 ] . Ce que nous appelons aujourd'hui "espace" se caractérise donc chez les stoïciens, non en lui-même, mais à partir des corps qui l'occupent, en réalité le révèlent par leur seule présence, comme ce qui les tient et les diffère à la fois. L'espace stoïcien se dit relativement par rapport aux corps qui le constituent, tant en ce qu'ils sont en eux-mêmes que dans la distance qu'ils engendrent dans leur proximité.

Le temps

Pour les stoïciens ( Simplicius de Cilicie , Sur les Catégories d'Aristote , 350, 15 - 16), le temps est une dimension ou un intervalle (en grec diastèma ) soit du mouvement (selon Zénon ), soit du mouvement du monde (selon Chrysippe). Le temps est « cette dimension du mouvement selon laquelle on parle de la mesure de la vitesse et de la lenteur. » (définition de Chrysippe, in Stobée , I, 106).

Toutes les choses se meuvent et sont dans le temps qui est infini dans les deux directions du passé et du futur. Mais le temps a deux sens : en un sens large, seul le présent est là, existe réellement pour ainsi dire, bien qu'il soit incorporel. Le passé et le futur sont alors des êtres subsistants, car ils ne sont pas là, ils ne sont pas présents. En un sens strict, aucun temps n'est complètement présent, car tout temps est sécable à l'infini.

     
Signifiant
signifié des stoïciens
dicible
chose
son, phonème
signification,
lekton
c'est le "sens" de Fregge
ou exprimable
sont des incorporels
(de l'ordre du non-être)
mais néanmoins "quelque chose"
"ti"
(objet)
 

Lacan définit trois nouveaux Incorporels, au féminin : Incorporelles :
la fonction : réalité des mathématiques,
l'application : réalité de la topologie,
(en fait la Théorie des ensembles, voir le Commentaires de Jean-Michel VAPPEREAU ci-desssous),
l'analyse : pour la logique .
(L'objet (du désir), c'est ce qui sastisfait la fonction !)

 

Radiophonie, Lacan, 1970, Autres écrits, Seuil, p408-409. Question II, ou Scilicet 2/3 p60: La linguistique, la psychanalyse et l'ethnologie ont en commun la notion de structure, à partir de cette notion, ne peut-on imaginer l'énoncé d'un champ commun qui réunira un jour psychanalyse, ethnologie et linguistique ?
..........................
"Je reviens d'abord au corps du symbolique qu'il faut entendre comme de nulle métaphore. À preuve que rien que lui n'isole le corps à prendre au sens naïf, soit celui dont l'être qui s'en soutient ne sait pas que c'est le langage qui le lui décerne, au point qu'il n'y serait pas, faute d'en pouvoir parler.
Le premier corps fait le second de s'y incorporer.
D'où l'incorporel qui reste marquer le premier, du temps d'après son incorporation. Rendons justice aux stoïciens d'avoir su de ce terme : l'incorporel, signer en quoi le symbolique tient au corps.
Incorporelle est la fonction, qui fait réalité de la mathématique, l'application de même effet pour la topologie, ou l'analyse en un sens large pour la logique.
Mais c'est incorporée que la structure fait l'affect, ni plus ni moins, affect seulement à prendre de ce qui de l'être s'articule, n'y ayant qu'être de fait, soit d'être dit de quelque part.
Par quoi s'avère que du corps, il est second qu'il soit mort ou vif. "

(sur l'incorporation voir SVI, oral et phallique, et SVIII, manger le livre)

 

Position de l'onconscient, Lacan, http://www.ecole-lacanienne.net/documents/1960-10-31.doc ,
Ce texte, résumé des interventions de Lacan au VI e Colloque de Bonneval, fut publié dans L'inconscient , Desclée de Brouwer, 1966, pp. 159-170. La rédaction de ces interventions a été condensée par Jacques Lacan dans ces pages écrites en mars 1964 à la demande de Henri Ey. Elles constituèrent par leur importance l'axe même de toutes les discussions qui eurent lieu lors de ce Colloque.

et Lacan, idem, p848-849, 1960, Ecrits, Seuil, pour la variante:

"La libido , c'est cette lamelle que glisse l'être en son point de disjonction. Fonction de l'animal en sa racine, et que matérialise chez tel d'entre eux la chute subite de son pouvoir d'intimidation à la limite de son « territoire ».

Cette lamelle est organe, d'être instrument de l'organisme. Elle est parfois comme sensible, quand l'hystérique joue à en éprouver, à l'extrême, l'élasticité.

Le sujet humain a ce privilège de symboliser le sens mortifère de cet organe, qui tient à l'effet réel de la sexualité, parce que le signifiant comme tel, a, en le pétrifiant par première intention, fait entrer en lui le sens de la mort. (La lettre tue, mais nous l'apprenons de la lettre elle-même). C'est ce par quoi toute pulsion est virtuellement pulsion de mort.

L'important est de saisir où se fait l'enracinement de l'organisme dans la dialectique du sujet. Cet organe de l'irréel dans l'être vivant, c'est lui que le sujet à un moment vient placer au temps où s'opère sa séparation. C'est de sa mort que réellement, il fait l'objet du désir de l'Autre.

(ce même pargraphe p849 des Ecrits au Seuil :" L'important est de saisir comment l'organisme vient à se prendre dans la dialectique du sujet. Cet organe de l'incorporel dans l'être sexué, c'est celà de l'organisme que le sujet vient à placer au temps au s'opère sa séparation. C'est par lui que de sa mort, réellement il peut faire l'objet du désir de l'Autre.")

Tous les objets autres qui vont venir à cette place, en seront des substituts empruntés à ce qu'il perd, l'excrément, ou à ce qu'il trouve dans l'Autre qui soit support de son désir : son regard, sa voix.

C'est à les tourner pour en eux reprendre, en lui restaurer sa perte originelle que s'emploie cette activité qu'en lui nous dénommons pulsion (Trieb).

Il n'est pas d'autre voie par où se manifeste dans le sujet l'incidence de la sexualité. La pulsion en tant qu'elle représente la sexualité dans l'inconscient n'est jamais que pulsion partielle. C'est là la carence essentielle, à savoir celle de ce qui pourrait représenter dans le sujet, le mode en son être de ce qui y est mâle ou femelle."

 

SXIV - Logique du fantasme, 26-04-1967 p241 (CB) :
"Quel océan de jouissance féminine, je vous le demande, n'a-t-il pas fallu pour que le navire d'oedipe flotte sans couler jusqu'à ce que la peste lui montre enfin de quoi était faite la mer de son bonheur. Cette dernière phrase peut vous paraître énigmatique, c'est qu'il y a en effet ici à respecter le caractère d'énigme que doit garder un certain savoir qui est celui qui concerne l'empen que j'ai marqué ici par le trou. Aussi bien n'y a-t-il pas d'entrée possible dans ce champ sans le franchissement de l'énigme, c'est vous le savez ce que désigne le mythe d'Oedipe, sans la notion que ce savoir, que l'énigme soit ou non résolue, que ce savoir dis-je est intolérable, à la Sphynge, c'est ce qui présente chaque fois que la vérité est en ( p241-> ) cause, la vérité se jette dans l'abîme quand Oedipe tranche l'énigme. Ce qui veut dire qu'il montre la supériorité du , que la vérité ne peut pas supporter, qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire : la jouissance en tant qu'elle est au principe de la vérité, ça veut dire ce qui s'articule au lieu de l' Autre pour que la jouissance dont il s'agit de savoir, là où elle est, elle se pose, cautionnant la vérité. Il faut bien qu'elle soit en ce lieu pour questionner le lieu de l'Autre. On ne questionne pas d'ailleurs. Ceci vous indique que ce lieu que j'ai introduit comme le lieu où s'inscrit le discours de la vérité, n'est certes pas, quoique ait pu entendre tel ou tel, cette sorte de lieu que les stoïciens appelaient incorporel, j'aurais à dire ce qu'il en est, à savoir précisément qu'il est le corps , ce n'est pas là que je vais m'avancer aujourd'hui."

Commentaire de Jean-Michel.VAPPEREAU le 16 juin 2015,

- Pascal.G, a fait un relevé des tous les éléments incorporels dans  Bréhier, qui sont beaucoup plus vaste ( Style, manière d'être, harmonie..) que ce qu’on dit en général du vide, du temps, et du lekton ;  Bréhier le lekton, il l’appelle l’exprimable, Lacan reprend le terme grec en l’écrivant en latin, mais de quoi s’agit-il, Lacan va ajouter 3 incorporel(le)s, mais qui sont au féminin, il introduit la fonction pour les mathématiques, l’application pour la topologie, alors c’est typiquement du Lacan il fait une confusion entre théorie des ensembles et la topologie, à cause de la topologie générale, il dit pour la topologie, mais les applications c’est la théorie des ensembles, et le troisième c’est quoi, pour la logique, Jacques : l’analyse, JMV : oui, l’analyse pour la logique, donc il donne trois incorporels qui sont au féminin, ça élargit un peu les choses, c’est pas spécialement au masculin, Alors ces incorporels, qu’elle est la meilleur définition pour apprécier ce que sont les incorporels, et pour voir les difficultés du paranoïaque avec ça, vous pouvez lire ça dans des cours de philo !, il y a des textes qui définissent les incorporels comme ce que l’étranger ne peut pas comprendre, JMV16062015,

JMV aborde ce thème également le 07 juin 2011, JMV20110706, (en relation à l'I.O.P ...).

Pour mémoire, nous référant à Bréhier ( La théorie des incorporels dans l'ancien stoïcisme, Table des matières,  ),
les Incorporels des Stoïciens sont :
Le lekton (le sens, l'idée),
les exprimables : attributs (logique et réels p19, faits ou événements p23,23), jugements, raisonnements: V et F p23,);
le lieu,
le temps,
le vide,
l'harmonie entre les êtres,
la cause vitale p5,
la manière d'être p12 (exprimée par un verbe),
les faits qui jouent à la surface de l'être p13

L'incoporel n'est pas la représentation, pas la notion, pas le rapport entre mots et choses p15, mais les attributs affirmés d'un être, d'une propriété, les jugements; il n'est pas la raison mais des représentations non sensibles qui arrivent par la pensée p18, il est l'attribut logique, réel, p 19; l'événement ou fait p22.
Les incorporels sont l'objet de la logique stoïcienne, différente de la logique d'Aristote des genres et des espèces.
Sont différents des concepts et de la logique d'Aristote p14, différents des Idées de Platon
Les stoïciens n'acceptent que les verbes, refusent la copule (est) p 20

 

Kojève.A : Essai d'une histoire raisonnée de la philosophie païenne III, la philosophie hellénistique, les néo-platoniciens,                  tel gallimard, n°288. p67, les philosophies dogmatisées, 2 le stoïcisme, p129... les incorporels

La théorie stoïcienne des Incorporels est le trait d'union entre l'ontologie théologique et l'ontologie logique. Les Incorporels sans être objectivment réels ou corporels, vu qu'ils n'exercent aucune Action et ne sont donc pas en Inter-Action, sont :
-l'ensemble des Sens (distingués des Morphèmes)
-La Spatio-temporalité (Espace, Temps, Vide)
     *le Temps est cyclique : ensemble des tansformation cyclique du Plein en Vide et du Vide (total) en Plein (Partiel)
     *L'Espace est la Spatialité occupée par la Sphère Cosmique (Non-vide)
     *Le vide, (Non-cosmos), la spatialité extérieure à cette Sphère Cosmique . (Là où Zeus s'étend par le Feu cosmique)
L'Espace et le Vide constituent la Spatio temporalité qui en tant qu'incorporelle ne fait qu'un avec la Temporalité .
L'incoprorel stoicien est l'ensemble des Sens (Lekton), sens distincts des morphèmes.
L'incorporel stoïcien est à la fois Spatio temporalité et Sens, les deux sont distincts et ont ne peut les séparés l'un de l'autre.
p130 : ....
L'Incorporel stoïcien est à la fois Sens et Essence en puissance sans être en acte NI Essence NI Sens .
Cet Incorporel est donc pour nous le CONCEPT.

Deleuze, Logique du sens, p22 :
Les stoïciens en admettant que les faits étaient incorporels et n'existaient que dans la pensée pouvaient en faire la matière de leur dialectique.
On ne peut avoir la pensée de quelque chose qui n'existe pas.

Bréhier.E : La théorie des incorporels dans l'ancien stoïcisme, Vrin, 1997 , Table des matières,          Haut de page
                 Les Stoïciens, Tel, Gallimard, 1962 ( la logique XXV, la dialectique p31, thorie du langage, p34, les                  exprimables, la proposition, p37, le raisonnement,p41,)                            
Lacan.J : Radiophonie, Autres écrits, Question II1970, 2001, Seuil ou Scilicet 2/3 p60...
              Position de l'inconscient,1960-1964, Ecrits, p848,849, Seuil
              SXIV, Logique du fantasme, 26-04-1967 p241(CB)
Kojève.A : Essai d'une histoire raisonnée de la philosophie païenne III, la philosophie hellénistique, les néo-platoniciens,                  tel gallimard, n°288. p67, les philosophies dogmatisées, 2 le stoïcisme, p129... les incorporels
Aristote, voir sa Théologie
Vappereau.J-M : Corps, incorporation, et incorporelles. Où le symbolique prend corps. BA-12-12-2010
                          Les incorporels, cours du 17 janvier 2012
Deleuze : Logique du sens, p13, p22
Chatelet.F : La philosophie p 142 , MU 311
Gaogoa carnet 2 p 57... et biblio philo et bibliothèque linguist
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stoicisme
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sto%C3%AFcisme#Les_incorporels