32- Hipparque,
De l'amour du gain,
ARISTOCLES-Platon

 
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L'Odyssée, Homère, Vase grec, Stamnos (2) à figure rouge,
V eme siècle av JC, (Vulci, Etrurie), British Muséum.
Hipparque, fils cadet de Pisistrate, cousin de Solon, aurait selon Platon-Socrate introduit les livres d'Homère à Athènes.
 
Le dialogue parle du fils de Pisistrate, Hipparque

Socrate et un disciple cherchent à définir ce qu’est l’homme avide
.
 
1- Celui qui recherche ce qui n’a rien d’estimable est un imbécile, et pas un avide.
2- Si l’objet est un dommage, ce dommage est un mal et n’a donc aucune valeur en soi, on ne peut dès lors le considérer comme un bien.
3- Celui qui imagine parvenir à tirer des avantages de choses dont personne ne cherche à tirer avantage est aussi bien une personne bonne que mauvaise, puisqu’elle ne recherche non pas un bien dans l’absolu, mais un bien selon sa définition, sans distinction de l’honnête ou du malhonnête.
4- Parce que tout avantage est synonyme de bien selon soi, on ne peut en juger dans l’absolu : cette définition mélange valeur (estimation du bien) et quantité, inutile dans l’absolu. De plus, la valeur étant utile quel que soit l’objet auquel elle se rapporte, elle est un bien.

Comme une conclusion, Socrate et l’interlocuteur conviennent que tous les hommes sont avides, puis-qu’aucun ne peut dire qu’il n’aime pas le gain.
Source wikipedia,

Bibliographie, articles,
- Wikipedia,
- Homère et Hipparque et la bonne parole, Schnapp-Gourbeillon.A
- L'odyssée une mystique de l'existence, Didier Lafargue,