31- Epinomis |
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![]() Géocentrisme d'Aristote et Ptolémée |
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Le corps des objets célestes (divinités visibles) est beaucoup plus grand qu’à l’œil nu, et le moteur de telles masses ne peut donc qu’être une âme divine | |
Le dialogue fait référence au Timée et développe le programme du Conseil Nocturne décrit dans Les Lois, (Livre X), après avoir rappelé la discussion précédente, au sujet de l’impiété : il s’agit des dialogues des Lois. Le Conseil Nocturne s’occupe d’astronomie, à laquelle est confondue la théologie : il faut considérer les corps célestes comme des dieux, des vivants dont le corps est fait de feu, destructible en droit mais non en fait. Le dialogue considère que l’âme des corps célestes et divins possède un mouvement régulier et permanent que dirige l’intellect, que le Conseil est chargé d’étudier, parce que c’est de cet intellect que dérivent les lois de la Cité. |
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Un autre rapport avec le Timée est celui du nom des planètes, en association chacune avec une divinité - divinité olympienne, pour la plupart : ce rapport sera repris par la culture et la religion dans l’Empire romain, qui le traduira.
Selon Platon, confirmé par Cicéron au Livre premier de son ouvrage Sur la Divination, c’est d’Égypte et de Chaldée que l’on tient les premières observations du ciel et des phénomènes planétaires. Le terme même de « chaldéen » désignait à l’époque de Cicéron celui qui pratiquait la prédiction de l’avenir par l’astrologie judiciaire.
Source du texte Wikipedia |
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Bibliographie, articles, | |
- Wikipedia, |
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- Cosmovision : commentaires sur l'Epinomis, | |
- Platon-Kepler, | |
- Lois de Kepler, | |